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« Le Dead Rabbit ne cilla pas. Au contraire, son sourire s’élargit plus encore.

— Avez-vous fini votre petit manège, tous les deux ? intervint SIRS en baissant la tête pour pénétrer dans la pièce. Il est déroutant de penser que le destin du monde tel que nous le connaissons repose potentiellement sur deux personnes qui ne peuvent s’empêcher de se grogner mutuellement dessus comme des bêtes. Si je ne faisais pas preuve de plus de discernement, je pourrais croire qu’il existe entre vous une tension sous-jacente qui aurait fort besoin d’être explorée… »

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"Le tas de ferraille est descendu de la montagne, lui aussi. Il est déjà sorti avant ?

Pas depuis toutes ces années que Cavalo le connaissait. Pas une seule fois.

— Ça me dit rien qui vaille, commenta Cavalo.

Tous réunis ! s’exclama Bad Dog avec un aboiement sonore en tournant sur lui-même. Comme à la maison ! Il s’interrompit et sa queue retomba. Sauf qu’on est encore en prison.

Cavalo se leva.

— Plus pour très longtemps, je crois.

C’est vrai ? demanda Bad Dog en levant les yeux vers lui.

Cavalo haussa les épaules.

— C’est soit ça, soit on mourra beaucoup plus vite que prévu.

Je choisis la première option. J’aime pas être mort.

— T’as jamais été mort avant.

Oui, mais je sais que j’aimerais pas ça."

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L’espoir est ce qui nous garde en vie quand tout part en couille.

Cavalo ricana.

— C’était poétique.

Une étoile était plus grosse que les autres. Plus brillante. Cavalo pria désespérément pour connaître son nom. Il espérait qu’il ne s’agisse pas d’Absynthe.

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Tandis que la ville de Cottonwood l’observait avec une stupeur horrifiée, Lucas n’avait d’yeux que pour Cavalo.

Et Cavalo, sachant quel plaisir il y avait véritablement à brûler, ne détourna pas le regard.

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On va s’en tirer ? lui demanda Bad Dog.

— Peu probable.

On va y arriver ?

— Peu probable.

On va mourir ?

— C’est probable.

Bad Dog s’ébroua. Renifla le sol. Donna un léger coup de tête contre la jambe de Cavalo ; On va y arriver, dit-il. On va pas mourir. Pas aujourd’hui. On a des trucs à faire.

— Ah bon ?

Oui. Chasser les oiseaux. Manger de l’herbe. Vomir de l’herbe. Ronger des os. Battre les méchants et sauver le monde.

— Dans cet ordre-là ?

Oui. C’est mon ordre préféré.

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- Je suis fatigué, avoua-t-il, plus honnête qu'il ne l'avait été de toute sa vie. Je suis fatigué de cette vie. De vivre. D'avoir juste assez pour tenir une journée. Ou une semaine. Ou un mois. Je suis fatigué de ces voix que j'entends dans ma tête. Je suis fatigué de tous les fantômes que je vois marcher entre les arbres. Je suis fatigué de les sentir effleurer ma peau la nuit alors que tout ce que je veux, c'est dormir.

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Les derniers mots furent plus aisés à prononcer. Ils semblaient inévitables.

— On est pareils.

Oui. Oui. Oui.

Cavalo l’embrassa alors. Il put percevoir le désespoir derrière cet échange. Le sentiment de soulagement. Le sentiment de perte. Le sentiment que finalement, après des années d’errance à travers des terres fantômes, il avait trouvé par hasard une porte qui ouvrait sur une échappatoire. Elle était recouverte d’abeilles, oui, et la pancarte au-dessus d’elle représentait un masque noir et estompé qui ne pouvait que le mener à la mort, mais la porte ne présenta aucune résistance lorsqu’elle s’ouvrit, et le choix fut fait.

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— Cavalo ?

Il semblait hésitant. Cavalo reporta son attention sur le robot.

— Sommes-nous… amis ? lui demanda SIRS.

— Oui. Tu le sais. Toi et Bad Dog êtes tout ce que j’ai.

— Et Lucas.

— Et Lucas, répéta Cavalo.

— C’est amusant, n’est-il pas ? La vie nous réserve de drôles de surprises, n’est-il pas ?

— En effet.

— Je te laisse t’y remettre, dans ce cas. Tu sais. À la survie.

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Non. On est SeigneurMaîtrePatron et Bad Dog. On trouve les méchants et on leur fait payer ! Et peu importe où tu fuis, si des méchants en ont après toi, ils te trouveront. Même si tu cours très loin, ils te trouveront. C’est mieux de se retourner et se battre que de se faire tirer dans le dos avec un bâton qui fait boom.

Il lécha le menton de Cavalo.

Et on fuit pas.

— On fuit pas.

Jamais. Les Bad Dog et les SeigneurMaîtrePatron fuient pas les méchants.

Cavalo n’eut pas le cœur de lui dire qu’il n’avait rien fait d’autre que fuir jusqu’à présent

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Hank leva les yeux vers lui pour la première fois depuis qu’il était entré dans la pièce. Il lui parut plus vieux que jamais, et ses yeux étaient injectés de sang.

Cavalo se demanda combien de verres de scotch il avait ingurgités cette nuit-là.

— Je m’en doutais un peu.

— Tu savais que je m’échapperais.

— Peut-être. Sûrement. Tu n’as jamais été fait pour les cages, si ce n’est celles que tu t’es imposées à toi-même.

— C’est profond, ça, Hank.

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