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— Je vais te faire une fleur, ma belle. Pour t’éviter la recherche pénible et infructueuse d’un nouveau mâle forcément décevant, je vais m’efforcer de t’en apprendre plus sur moi, sur ma vie, ma famille, tout ce que tu souhaiterais savoir.
— Ce n’est pas ce que je veux, Brook.
— Bien sûr que si, sauf que tu n’en as pas encore conscience,
Afficher en entier— Vous êtes magnifique, Lola, souffle-t-il en me rendant mon regard enflammé.
— Vous avez bien mauvais goût, mon pauvre…
— Vous plaisantez ? Vous illuminez tout autour de vous. Votre sourire, vos grands yeux candides, vos cheveux dorés, votre douceur, il n’y a rien chez vous qui ne soit pas attirant. Vous me trouvez peut-être cavalier, mais je ne suis pas le seul homme à vous regarder avec appétit. Et ce soir, ce sera pareil, sauf que j’aurai encore plus envie de tuer tous les enfoirés qui vous souriront.
— Pourquoi ?
— Parce que j’en fais partie, et je sais ce qu’ils pensent. Quand ils le pensent. Ou comment ils le pensent. Ça ne me plaît pas beaucoup.
Afficher en entier« — Tu m’as offert quelque chose que je ne pensais pas posséder, donc maintenant que tu l’as repris, je suis en manque.
— De quoi s’agit-il ?
— De mon cœur, Lola.
Je plaque la main sur ma bouche pour étouffer un petit sanglot ému, alors il m’enlace par-derrière, puis ses lèvres se posent contre mon cou. Là, je fonds contre lui, et le serre à mon tour. »
Afficher en entier« J’ai juste fait pire.
J’ai joué avec elle, ses sentiments, sa vie, la forçant à venir jusqu’ici pour un boulot qui semblait lui plaire, l’étourdir d’impatience, jusqu’à ce que je prononce ces fameux mots. Ceux qui lui ont volé toute sa joie. »
Afficher en entier« Je vous jure sur ma vie que je n’avais jamais autant ri ! Jamais ! Cependant, vous me vexez complètement par votre façon de me traiter. »
Afficher en entier— Tu m’as offert quelque chose que je ne pensais pas posséder, donc maintenant que tu l’as repris, je suis en manque.
— De quoi s’agit-il ?
— De mon cœur, Lola.
Je plaque la main sur ma bouche pour étouffer un petit sanglot ému, alors il m’enlace par-derrière, puis ses lèvres se posent contre mon cou. Là, je fonds contre lui, et le serre à mon tour.
— Tout le monde a un cœur, Brooklyn. C’est juste que le tien ne bat que devant les gros seins, ris-je.
— Tu as tort, je ne suis pas ce genre d’homme. Les petits ne me dérangent pas non plus !
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