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— Monsieur, dit posément Triste. Je n’ai aucune envie de partir. Il n’y a aucune raison de continuer cette conversation.

— Je n’ai pas peur d’être mouillé, Varun, dit Zéphyr en haussant un sourcil. Est-ce que tu maltraites généralement les prétendants de Triste ? Peut-être le forces-tu à rester célibataire à tes côtés.

— Il n’y a aucun besoin de maltraiter Triste. Il est obéissant.

Triste regardait les deux démons, cherchant le moyen de stopper la dispute.

— Varun est occupé, Zéphyr. Nous devons nous dire au revoir et te souhaiter adieu.

— Ne nie pas ce que tu désires juste pour son bien, Triste. Tu n’es pas une mauviette. Serviteur ou non, tu as le droit de prendre l’air, argumenta Zéphyr en reculant cependant d’un pas.

— Triste n’a aucun besoin de prendre l’air.

Varun agrippa la porte juste dans le dos de Triste. Toutes les paroles qu’il venait de prononcer parcoururent la colonne vertébrale de Triste, faisant voler en éclats le calme qu’il avait maîtrisé durant toutes ces années.

— Non, dit Triste en tournant le regard vers Varun. Tout comme vous, je pense que j’ai besoin d’un peu d’espace pour respirer.

— Je te demande pardon ?

Triste déboutonna sa veste, la retira et la tendit à Frémont.

— Je serai de retour à minuit, monsieur.

Varun fit de grands yeux, Frémont le dévisagea avec inquiétude et prit la veste.

— Triste… chuchota son maître.

— Le dîner est dans la cuisine. Le dessert est en train de refroidir sur le comptoir. Amer peut terminer de mettre la table et de vous servir. Je suppose que vous et votre invité pourrez trouver le chemin jusqu’à la chambre à coucher.

— Est-ce qu’il s’agit de…

Triste leva la main, stoppant la question de Varun.

— Que Zéphyr soit un remplacement ou seulement un sursis, je laisse cela à votre imagination.

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— Je ne me confie pas à beaucoup et maintenant que nous semblons être un peu plus familiers, j’espérais te confier quelque chose avant que nous passions aux affaires.

— Une confession si tôt dans la soirée ? Ne sois pas fou, taquina Frémont.

— Pourquoi se contenter d’un grain de folie et passer à côté de tous ces plaisirs ? rétorqua Léandre.

— J’ai le sentiment que tu danses sur la promenade sous la pluie.

— À chaque fois que j’en ai l’occasion.

— Comme un homme fou à lier.

Léandre sourit.

— Je me suis entiché de toi, Frémont, dit-il sans préambule ou pause aucune.

Frémont, stupéfait, en resta bouche bée.

— Tu es fantastique, vraiment. Je me demandais pourquoi je n’avais pas pu te rencontrer plus tôt, avant que l’on ne risque nos vies.

Léandre avait réussi à rendre Frémont sans voix.

— Léandre, se força-t-il à répondre.

— Ne prétends pas avoir perdu ta voix, Frémont. Les affaires de cœur sont-elles un sujet si difficile ? J’ignore pourquoi la poésie rend cela si étrange.

Frémont sourit, le secret de Léandre ne l’étonnait pas entièrement et il était attachant.

— Tu éprouves seulement une passion passagère parce que tu crois que nous allons mourir à Sénac. Si nous nous étions rencontrés dans des circonstances différentes, je n’aurais été rien de plus qu’un autre agent pour toi.

Frémont n’était pas dupe.

— Non, nia Léandre précipitamment. Je ne prends pas ce genre de sentiments à la légère, Frémont. Je ne supporte pas ceux qui tombent amoureux sur un coup de tête, s’engagent et courent alors après le premier beau minois venu. Je protège mon cœur en empêchant les autres d’y entrer. Mais tu t’y es infiltré sans ma permission. Sois tu te retires et me laisses en paix, ou bien tu en prends la totale responsabilité.

Frémont s’esclaffa.

— Tu plaisantes, n’est-ce pas ?

— Juste un peu, consentit Léandre.

— Je suis flatté, Léandre, mais je n’ai rien à t’offrir. Peut-être une relation physique mais rien de plus.

Léandre observa Frémont.

— Pourquoi cela, petit diable ?

— J’ai jeté mon cœur à la mer, avoua Frémont d’un ton ferme. Je n’aimerai pas une autre personne.

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L'ordre semblait clair net et précis: punitions et extractions.La pluie balayait les rues de la cité de fénian, ce qui conduirait les passants à déserter les lieux de passages habituels.

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