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Toutes les séries de Alfred Döblin

1 livres
2 lecteurs

Bourgeois et soldats

Récit des derniers jours de la présence allemande en Alsace-Lorraine, Bourgeois et soldats installe le roman au milieu de l’agitation, soldats révoltés et population civile mêlés : officiers provisoirement détrônés et bourgeoisie locale en spectatrice ricanante ; amours qui se font et se défont ; petits trafics, chapardages, et enfin les drapeaux tricolores cousus à la va-vite…

Tous les livres de Alfred Döblin

"Ce livre relate la fuite de l'auteur à travers la France occupée, puis à travers l'Espagne et le Portugal où l'attend un bateau qui l'emmènera vers l'Amérique. On lira ici un tableau saisissant des heures les plus noires de l'Occupation. Au-delà des descriptions prises sur le vif, ce récit est également une odyssée personnelle dans laquelle l'auteur ressasse le parcours d'une vie dans une somme d'interrogations fondamentales sur l'état du monde et sur sa destinée personnelle qui est transfigurée par les événements qu'il traverse. Traduit de l'allemand. Du même auteur : Berlin, Alexanderplatz ; Hamlet ou la longue nuit prend fin..."

" Un grand seigneur est tombé dans des difficultés conformes à l'air du temps et se trouve contraint d'abandonner son train de maison habituel. Avec deux compagnons, qui ne sont pas mieux lotis que lui, il mène la vie d'un pauvre diable, passe par un grand nombre de villes, dont nous ne nommerons que Bagdad, Constantinople et Pans, pour signaler l'ampleur de leurs efforts et des résistances auxquelles ils se heurtent. En chemin, ils rencontrent bien des obstacles, liés à l'amour, à la boisson, au mensonge, auxquels ils n'avaient été exposés jusqu'ici ni de près ni de loin. Lentement, juché sur les épaules des deux autres, le grand seigneur réussit à prendre pied. La paix dans l'âme, il tient. Lui qui ne s'était pas soumis volontairement aux fatigues du voyage, il doit à la fin reconnaître qu'il fut long, mais que cela valait la peine. Accessoirement, c'est l'histoire d'un Adam qui rencontre beaucoup d'Eves, mais non le péché, et qui a du mal à quitter le paradis. Accessoirement, l'histoire d'un tyran qui se croit pareil à Dieu, se trouve précipité dans les plaisirs et les misères de notre existence, et c'est son ascension à la pauvre humanité ". C est ainsi qu'Alfred Döblin résume son Voyage babylonien, grand livre comique qui se veut une suite de choses burlesques, gaies, graves, ironiques, etc. La question que pose ce texte est la suivante : comment survivre dans un monde où l'inhumanité triomphe, sans être tenté par la fuite et sans devenir cynique. D'une verve exceptionnelle, le roman révèle, à travers cette immense et jouissive déambulation, le goût des chemins de traverse, de la légèreté et de la dérision, et surtout une liberté totale d'invention.

Avilie par un mari qui la brutalise, la jeune Elli se révolte, trouve refuge auprès d'une amie, se confie, s'abandonne et, dans ses bras, découvre l'autre versant de la sexualité. C'est alors qu'à ces deux femmes vient l'idée de faire payer à l'époux ses outrages... Inspiré d'un procès qui défraya la chronique dans les années 1920, L'Empoisonnement est de ces récits auxquels la cruauté confère un éclat inoubliable. Médecin psychiatre, Alfred Döblin dissèque le drame selon les règles d'une autopsie méticuleuse. Sous sa plume, la rancœur et le désir de vengeance des deux amies semblent s'insinuer et se propager sur un rythme implacable, de phrase en phrase, de ligne en ligne, inexorablement, comme un empoisonnement.

Source : http://www.magazine-litteraire.com/critique/non-fiction/voyage-pologne-alfred-doblin-17-06-2011-34843

Le voyage d’écrivain est un genre littéraire inégal, décousu souvent : il peut donner lieu à des mémoires de touriste curieux, aux notes d’un observateur engagé à l’étranger, ou bien à des explorations exotiques À certaines conditions, ce récit devient un document personnel historique et politique de très grand intérêt. Lorsque, par exemple, l’écrivain s’appelle Alfred Döblin, qu’il est l’un des écrivains européens les plus importants du début du XXe siècle, et qu’il quitte Berlin en 1924 pour découvrir la Pologne pendant deux mois. Alerté par des premiers pogroms qui ont lieu en Allemagne, et par la montée de l’antisémitisme, Döblin veut comprendre ce qui se passe en Pologne, quelles y sont les conditions d’existence, comment les gens vivent et ne vivent pas ensemble : « Je veux savoir ce qui se passe dans ce pays, quelles forces, quelles puissances organisent l’État, qui gouverne officiellement ou non. Qui a le pouvoir et qui parle. [...] Je demande : qui a faim dans le pays, et qui est rassasié ? Qu’est-ce que des crimes politiques ici ? » Mais, en partant pour la Pologne, c’est aussi à la rencontre des Juifs que part Döblin, né dans une famille juive. Il veut connaître qui sont les Juifs de l’Est, eux qui possèdent leur propre langue, leurs rites, leurs coutumes, et sont restés en somme « un peuple », en comparaison avec les communautés qui vivent en Allemagne. Une grande partie de ces pages sont donc consacrées à la visite des quartiers juifs, des écoles et cimetières, à la rencontre des rabbins et des communautés de Varsovie, de Cracovie ou de Vilnius. Döblin, dont l’éducation fut très peu imprégnée de judaïsme, assiste aux rites sans bien les comprendre, tente de saisir la spiritualité étrange des plus orthodoxes, analyse les luttes politiques entre les différents groupes, évoque les conséquences politiques du sionisme. Ce témoignage, qui regarde aussi de face la montée de l’antisémitisme, a évidemment une grande force au regard de ce qui s’apprête à arriver vingt ans plus tard avec l’élimination systématique de la population juive. Comme le dit très justement Heinz Graber, qui signe la postface érudite de cette édition, Alfred Döblin nous livre « les photos instantanées de victimes avant l’entrée de leurs assassins ». On ressent dans ce récit le talent de l’auteur de Berlin Alexanderplatz paru en 1929 pour observer le chaos urbain, regarder l’envers des rues et la pauvreté des hommes et des façades, se laisser entraîner sur la plateforme d’un tramway ou dans une église, fasciné par la piété de fidèles adorant une statue de la Madone. Döblin n’a pas peur des énumérations, des digressions historiques, des citations des personnes croisées qui prennent part à son enquête tâtonnante. Où qu’il aille, il cherche à comprendre les hommes installés sur cette terre : « Là un homme intelligent me parle à voix basse : "Un État, c’est l’équilibre entre oppresseurs et opprimés. Mais en Pologne la classe de ceux qui souffrent grandit." »

Franz Biberkopf sort de prison, où il purgeait une lourde peine pour avoir tué sa femme. Il est fermement décidé à mener désormais une vie honnête. Mais dès la rencontre avec Reinhold, souteneur et petite frappe sans scrupule, ce voeu pieux semble impossible à tenir. Mêlé à toutes sortes de trafics, Franz commence à en savoir trop sur Reinhold. Dès lors commence pour lui une lente et terrifiante descente aux enfers... Le roman d'Alfred Döblin, paru en 1929 à Berlin, est un monument unique de la littérature mondiale. Il capte les bruits de la ville, nous plonge dans la vie du petit peuple des prostituées et des malfrats, nous fait sentir les fracas d'une métropole qui broie ceux qui se perdent dans sa nuit. Grâce à cette nouvelle traduction, Berlin Alexanderplatz retrouve enfin toute sa violence, sa richesse et son urgence. Une redécouverte majeure.

Bien avant le succès historique de Berlin Alexanderplatz en 1929, Alfred Döblin fit son entrée sur la scène littéraire en publiant des nouvelles. En voici réunies treize, parues entre 1902 et 1917, treize miniatures où se condensent toute la précision et toute la virtuosité du style de leur singulier auteur. L'espace dans lequel évoluent les personnages de ces récits est dessiné par la mêlée des sexes. A travers elle, Döblin s'avance vers l'utopie du couple en suivant les lignes de fracture que celle-ci inscrit dans les sentiments et les conduites. Exploration des vides plutôt que des pleins : la voie négative en somme. Expressionnisme, abstraction, naturalisme, objectivité ? Le phénomène Döblin et à vrai dire inclassable. L'humoristique occupe ici une place de choix. Si l'on veut bien admettre que ce dernier n'a rien de commun avec la zone médiane et pondérée de l'humour, mais s'obtient plutôt par conjonction des extrêmes, la cruauté, le grotesque côtoyant de près le lyrisme et la tendresse.

"Döblin ne craint pas de plonger dans l'inconscient, dans le viscéral. Plusieurs de ses nouvelles ont la guerre pour inspiration et le dérisoire pour fil conducteur.(...) Passionnante démarche qui change de la littérature prédigérée et qui, avec le recul du temps, fait encore davantage figure de nouveauté." (Claude Fleury, Le Républicain lorrain)

Source : site de l'éditeur (Payot & Rivages)

" A cet instant un homme sauta sur le tigre et lui planta un long couteau acéré dans le ventre qu'il ouvrit tout au long. Le tigre se retourna, se cabra. Le jeu prenait fin. Le bâton vola hors de sa gueule ; les hommes fuirent. C'en était fait de l'animal. La gueule béante, il poussa un hurlement profond vers ceux qui l'abandonnaient, puis un autre. La douleur était atroce. Il plongea la langue, la tête dans la terrible blessure et l'en ressortit couverte de sang. Il eut encore un râle, plein de haine envers les fuyards, puis s'enroula autour de la plaie, s'affaissa. Il était mort ". Le Tigre bleu, ou le récit tumultueux du choc entre deux mondes : quand les Jésuites entreprirent de civiliser les Indiens d'Amérique du Sud. Une fresque superbe, menée au rythme de l'épopée, où la violence vire au sublime. Alfred Döblin campe un univers baroque et sauvage qui transporte le lecteur aux limites de l'insupportable.

L'Esthétique de la musique d'Alfred Döblin, publiée en 1910 dans Der Sturm se déroule dans le cadre d'un petit drame à caractère expressionniste. Traité d'un genre insolite, qui relève davantage d'une composition musicale ouverte, sorte de suite chorale dont la musicalité remarquable repose sur les mêmes principes fondamentaux qu'elle invoque.

Pour le lecteur français qui n'avait longtemps pu connaître, de ce grand écrivain contemporain à l’œuvre multiple, que le seul roman Berlin Alexanderplatz, voici une excellente initiation à la complexité döblinienne.

Il y a bien des raisons de lire et relire ce beau texte inclassable, qui intrigue autant qu'il attache -par ce mélange de tristesse, d'humour et de sérénité, de rigueur et de poésie - et qui retient par la qualité de son écriture.

"Pas de Pardon" est le premier roman que Döblin, écrivit, en 1934, après avoir fui l'Allemagne nazie. L'écrivain habitait alors Paris avec sa famille, il sera d'ailleurs naturalisé français. Au contraire de Berlin Alexanderplatz, épopée des masses au montage cinématographique, "Pas de Pardon" est un roman classique, d'inspiration autobiographique. Le héros en est Karl, un garçon de la campagne qui vient tenter sa chance, avec sa famille, dans la grande ville fascinante et impitoyable et qui va gravir un à un les échelons du succès, pour devenir capitaine d'industrie, faire un riche mariage, avant de tout reperdre. Un destin riche en péripéties et souvent poignant qui semble servir de paradigme au mouvement cyclique, expansion-crise, du capitalisme, toile de fond de l'intrigue. Le centre du roman est la description haletante de la grande dépression qui frappe l'Allemagne après la Première Guerre mondiale. Nous découvrons sur les pas de Karl, l'affolement du monde des affaires, mais aussi la misère des faubourgs où le chômage frappe de plein fouet une population qui croyait à la vertu du travail et au progrès social et qui apprend à ses dépens la cruauté d'un système où chacun est jugé à l'aune de sa valeur économique.

En suivant les avatars d’Albrecht von Wallenstein, le roman dresse un portrait total de la Guerre de Trente ans (1618–1648), ce moment sanglant de l’histoire européenne dans lequel Döblin projette sa propre expérience de la boucherie alors contemporaine de la Première Guerre mondiale. La fiction prend l’histoire en cours de route, après la victoire des Impériaux sur la Bohême, soit après le début de la guerre, et la laisse aussi au bord de la route : elle s’achève avec la mort de Ferdinand de Habsbourg (1637).

Pour Döblin, Wallenstein n’est pas (comme chez Schiller ou chez Golo Mann) cette figure prestigieuse de général et du grand homme d’État mais un banquier atteint de la goutte. Sans doute a-t-il bien livré quelques batailles, mais, comme le remarque Günter Grass dans À propos de mon maître Döblin en 1967, il est d’abord « le premier manager moderne d’une planification militaire à long terme, le premier architecte d’un cartel financier qui, nourri par la guerre, nourrit la guerre. […] Bien avant que Krupp ne fît ses affaires à Verdun, Wallenstein investissait sa fortune dans les affaires d’armement. »

Ici la fiction romanesque est mise au service d’une vision du politique très actuelle : la guerre comme une poursuite des affaires par d’autres moyens.

Bien loin du « beau style » d’un Thomas Mann (refus de la syntaxe conventionnelle, absence d’articles, ellipses, ponctuation non orthodoxe), Döblin invente un matériau langagier baroque pour saisir l’époque démesurée de la première grande guerre de l’Occident moderne.

Deuxième grand roman d’Alfred Döblin (après Les Trois Bonds de Wang Lun, en 1915), Wallenstein est écrit entre 1915 et 1918, publié deux ans plus tard par Fischer Verlag : il appartient donc à la première production de l’auteur (avant Berlin Alexanderplatz, 1929), marqué par l’expressionnisme et la collaboration à la revue Der Sturm.

Première édition originale Fischer Verlag, 1915 — Première édition française, Rieder/PUF, 1932

Dernière édition française, Fayard, 1989 — Dernière édition allemande, Fischer Verlag, 2009

« Un léger frémissement envahissait les contrées qui voyaient apparaître les Vraiment Faibles. Leur nom courait à nouveau sur toutes les lèvres depuis des mois. Ils n’avaient pas de maisons ; ils mendiaient le riz et la purée de fèves dont ils avaient besoin, ils aidaient les paysans et les artisans. Ils ne prêchaient pas, ne cherchaient à convertir personne. En vain des littérateurs se mêlaient à eux pour s’efforcer de découvrir dans leurs paroles un dogme religieux. La nuit, la plupart couchaient sous les rochers, dans les forêts immenses, les cavernes. Souvent, des plaintes et des sanglots bruyants s’échappaient de leurs abris. Il venait là de jeunes débauchés avec des filles qu’ils avaient libérées des maisons peintes. On voyait souvent les filles qui comptaient parmi les sœurs les plus vénérées dans d’étranges extases, et on entendait leurs balbutiements incompréhensibles. Beaucoup d’entre eux ne mangeaient pas de viande, ne cueillaient pas de fleurs et semblaient liés d’amitié avec les plantes, les ­animaux et les pierres. »

Paru en pleine Grande Guerre, premier grand roman d’Alfred Döblin, Wang Lun s’empare d’un événement de l’histoire chinoise du XVIIIe siècle : un soulèvement des pauvres contre l’oppression. Accompagnant la grandeur et la décadence d’un fils de pêcheur devenu l’instrument d’une immense révolte populaire, il tourne autour d’une question : est-il fatal que les faibles se servent des armes des forts et s’enferment à leur tour dans la sphère du pouvoir et de la violence ?

Peuple trahi

Les deuxième et troisième tomes de Novembre 1918, écrits de début 1939 à mi-1940, Peuple trahi et Retour du front avaient été conçus comme un seul volume : où l’on découvre le Berlin de la misère et celui des profiteurs de guerre, des bourgeois insouciants, des petites et grandes canailles… ; ce sont aussi, entremêlées, grandes et petites manœuvres : au niveau des États, les affrontements autour du Traité de Versailles, qui décideront de l’avenir de l’Europe ; au niveau individuel, les engagements et trahisons, d’amour et de politique, prélude au dénouement sanglant du dernier tome.

Retour du front

Les deuxième et troisième tomes de Novembre 1918, écrits de début 1939 à mi-1940, Peuple trahi et Retour du front avaient été conçus comme un seul volume : où l’on découvre le Berlin de la misère et celui des profiteurs de guerre, des bourgeois insouciants, des petites et grandes canailles… ; ce sont aussi, entremêlées, grandes et petites manœuvres : au niveau des États, les affrontements autour du Traité de Versailles, qui décideront de l’avenir de l’Europe ; au niveau individuel, les engagements et trahisons, d’amour et de politique, prélude au dénouement sanglant du dernier tome.

Karl & Rosa

En dehors de Berlin Alexanderplatz, toute l’oeuvre d’Alfred Döblin reste pratiquement à découvrir. Écrit en 1942 depuis un exil dont l’auteur ne peut espérer la fin tant le nazisme semble triompher, Karl et Rosa donne le dernier acte de l’évanouissement d’un espoir : que l’ordre ancien disparaisse avec la fin de la Grande Guerre. Personnages historiques et de fiction se croisent ici pour rendre le drame de l’écrasement de la révolution spartakiste, prélude funeste au siècle qui commençait.

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