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Commentaires sur ses livres

Ayn Rand

Par Eliiias le 31 Juillet 2016 Editer
Eliiias
J'ai découvert ce livre grâce à la trilogie de jeux "Bioshock", en particulier le premier. La philosophie objectiviste d'Ayn Rand a énormément inspiré l'un des personnages centraux du jeu, Andrew Ryan - dont le nom est, à peu de choses près, l'anagramme d'Ayn Rand -, et sa ville sous-marine, l'impressionnante utopie qu'est Rapture.

Livre très long - plus de mille pages -, mais pas moins très captivant. Il s'agit de l'ouvrage littéraire, juste après la Bible, le plus influent aux Etats-Unis, si ma mémoire est bonne, et il n'a pas usurpé sa place.

Je l'ai terminé ce matin-même à deux heures, transporté par le discours vibrant de John Galt, qui ne dure pas moins de soixante pages, soit six pour cent du livre environ, ce qui est énorme.

Un livre que je conseille à tout amateur de philosophie ou de politique - et à tout fan de Bioshock qui se respecte !
A propos du livre :
La grève
La grève
Par LireauxWC le 20 Février 2014 Editer
LireauxWC
Ce que j’ai aimé : Ayn Rand s’est vraiment fait chier à nous décrire le petit monde tragique de l’architecture, avec ses grandes œuvres, ses habitations bon marché, ses marchés privés et publics. Bref, ce petit monde de requins.

Ce que je n’ai pas aimé : Les personnages sont vraiment trop stéréotypés et coincés dans leurs idéaux, ce qui les rend presque sans âme, alors qu’elle a voulu en faire des passionarias, chacun dans leur combat. Du coup, leurs interactions sont presque plates. Seul le personnage de Gail Wynand arrive bien à se sortir de tout ça, alors que finalement, c’est lui qui risquait de tomber le plus dans le stéréotype.
Ensuite, ce n’est pas super bien écrit. Et puis c’est long, mais alors looooong, comme un jour sans pain. Et pour un bouquin « philosophique », il y a un peu trop de place à la romance. D’ailleurs, la romance prend une place prépondérante dans le bouquin, avec ses bons gros moments de WTF : à un moment, deux persos se retrouvent après une très longue séparation, il la prend dans ses bras, et l’assoit sur ses genoux. A ce moment-là, tu te dis que ça va niquer (ça nique toujours dans les bouquins, quelle que soit l’époque) : eh ben nan, elle se laisse glisser par terre, pose sa tête sur ses genoux et ils se regardent, yeux dans les yeux. D’ailleurs, leur histoire commence par le fait qu’il la viole, et qu’elle aime ça -_-. Ayn Rand réussit à faire passer son message : le capitalisme nous viole tous et on aime ça…
Bref, les capitalistes y voient sûrement du génie dans cette œuvre; moi, je trouve que c’est largement oubliable.
A propos du livre :
La Source Vive
La Source Vive
Par PTITELN le 9 Mai 2014 Editer
PTITELN
Il s'agit d'une pièce ou 12 membres du public peuvent participer en tant que jurés.
A la fin de la représentation nous découvrons le verdict!
coupable ou non coupable? A vous de choisir!
c'est très sympa de lire cette pièce mais c'est encore mieux de la voir sur scène.
A propos du livre :
La nuit du 16 janvier
La nuit du 16 janvier
Par Fruikipik le 27 Octobre 2023 Editer
Fruikipik
Un livre surprenant par une approche différente, ne dénonçant pas seulement un système comme beaucoup d'autres. Il nous ouvre également la voie vers un système de pensée pertinent et surtout différent, qu'on l'approuve ou pas, l'objectivisme.
Bien que nous ne soyons pas en URSS, ce livre m'a parlé en ces temps où les personnes compétentes se font de plus en plus rares. On le remarque au quotidien, la culture de la facilité ainsi que celui de la médiocrité a fait place dans notre société. La morale, la pensée et la raison sont en deuil savamment remplacés par la bienpensance et une pseudo égalité qui n'en porte que le nom.
A lire ne serait-ce que pour se faire sa propre opinion.

"Je jure sur ma vie et sur l'amour que j'ai pour elle de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi."
J. Galt.
A propos du livre :
La grève
La grève
Par mel951 le 27 Juillet 2019 Editer
mel951
La grève (Atlas Shrugged outre atlantique) est un livre très influent aux USA.
Véritable hymne au génie humain sans entrave, ce livre permet à l'auteur de propager sa philosophie, l'objectivisme, à travers une histoire romancée.

Pendant une grosse partie du livre on suit deux personnages, Danny Taggart vice présidente d'une compagnie de chemin de fer et Hanks Rearden magnat des acièries qui invente un métal révolutionnaire. Tout deux aiment leur travail et se donne corps et âme tout les jours. Mais plus le temps passe et plus l'Etat impose ses lois en matière d'économie et n'hésite pas à limiter la production et exiger que les personnes qui réussissent comme Rearden avec son métal, partage leur savoir. Et ces chefs d'entreprise, ces inventeurs, ces personnes qui réussissent commence à disparaître. Une phrase, plutôt une question revient toujours quand l'espoir n'est plus, qui est John Galt?
Voilà en gros l'énigme de base.

L'auteur née en Russie et immigrée aux USA vers ses 20 ans, écrit ce livre dans les années 1950. En pleine guerre froide contre l'URSS, ce roman est un plébiscite anti communisme. En effet pourquoi l'Etat qui ne créer pas de richesses se donne le droit d'imposer ses idéaux à ceux qui font tourner le monde? Sans toute ces personnes qui n'auraient pas eu l'ambition de créer tout ce qui nous entoure nous serions probablement encore à l'âge de pierre.
Pour moi Hank Rearden est LE personnage du livre. Il ne représente certes pas un idéal mais presque.

Ce livre m'a tenue, non pas en haleine parce que je connaissais plus ou moins la fin, mais par ses principes. Étant une lectrice très lente il m'a fallut je ne sais combien de temps pour arriver au bout de ces 1370 pages. Malgré cela je n'ai trouvé aucun temps mort, seulement 1 ou 2 passages que je n'ai pas aimé mais ce sont mes goûts personnels.
Ce livre peut être lu par tout le monde, de n'importe quelle classe sociale, de n'importe quel bord politique (si du moins on a envie de se faire sa propre opinion) car il nous apprend quelque chose. Ce livre m'a donné envie de me battre, de vivre ma vie comme je le veux.
La France n'a jamais été libérale au sens Americain du terme et c'est pour cela je pense que ce livre a mit plus de 50ans avant d'avoir sa traduction officiel dans l'hexagone (censure?).

Je pars du principe que chacun doit vivre comme il le veut. Certains voudrons vivre minimaliste c'est-à-dire avec pas grand chose, qu'ils le fassent. Certains voudront créer quelque chose, soit, qu'ils se donnent les moyens de réussir. Certains voudront gagner plus d'argent en se donnant au travail, c'est leur droit. Mais faites ce que vous voulez de votre vie.

"Je jure sur ma vie et sur l'amour que j'ai pour elle de ne jamais vivre pour les autres, ni demander aux autres de vivre pour moi."
A propos du livre :
La grève
La grève

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