Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 592
Membres
1 018 052

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Livres - Bibliographie

Bernard Bro


Ajouter un livre manquant

Tous les livres de Bernard Bro

La meule du travail quotidien, la meule du souci, de l'angoisse, des autres, la meule de l'usure et de la nuit, la meule qui broie et doit broyer pour que le tégument du grain, le son et la farine puissent être séparés, livrés, consommés. Et la cithare ? Mais avez-vous une cithare ? La meule sans la cithare c'est trop dur. La cithare sans la meule c'est trop léger. Mais quelle cithare ?

Si vous avez prié, une fois, une seule fois dans votre vie ; si vous avez intérieurement gémi une fois, une seule fois dans votre cœur ; si vous avez imploré ou exulté une fois, une seule fois dans votre mémoire, alors, sans le savoir, vous êtes embarqué dans la prière. Celui qui arrive à prier un instant de sa vie est engagé dans un mouvement qui l'invite à prier toujours. Il a prié comme il a pu. mais il a prié. Un jour il priera de telle sorte que les murailles de Jéricho s'effondrent. Mais pour prier toujours, il faut prier un instant. Mal, peut-être. Mais prier. Alors la première ébauche de la prière nous conduit à prier de plus en plus jusqu'à cette prière unique qui nous fera entrer au Ciel.

« Espérant contre toute espérance, il crut d'une foi sans défaillance. Devant la promesse de Dieu, il ne succomba pas au doute. Et ce n'était point pour lui seul, mais pour nous également. » (saint Paul)

Une angoisse est partout présente. Quelque secteur que l'on regarde : on n'a plus ce qu'on avait, on n'a pas ce qu'un attend. Et, pourtant, nous continuons à vivre poussés par une passion et un besoin fou d'espérer. Même pour le non-croyant, la question est là : qu'arrivera-t-il à l'humanité après ma mort ? Pour qui accepte le combat de l'espérance, l'Église d'aujourd'hul est-elle une aide ou un obstacle de plus ? Comment repérer l'itinéraire et comment franchir les trois « cercles de l'espérance » ? Devant le mal, et l'horreur des événements, l'homme n'apparaît-il pas meilleur que Dieu ? Ni prouesse, ni héroïsme, ni évasion, ni pari, ni démission, l'espérance est beaucoup plus forte et proche que nous ne le pensons : au montent même où nous sommes le plus découragés, comme les disciples d'Emmaüs, le Christ est là, dans notre détresse même, victoire sur toute angoisse, si nous acceptons d'être assez démunis pour espérer.

« Soyez toujours prêt a justifier votre espérance devant ceux qui vous en demandent compte. » (saint Pierre)

Quand sera-t-on vraiment attentif au génie féminin ? Avec Pascal, Thérèse de Lisieux est sûrement le plus grand génie de l'histoire religieuse française. Pourquoi sa pensée reste-t-elle encore si méconnue alors que, sans discontinuer, neuf papes et des millions de fidèles l'ont tant aimée et si bien comprise ? Comment faire le bilan de ce siècle à la fois si riche de pensée et si désespéré ? Une vie qui commence comme un murmure et se termine dans l'ouragan d'un amour consumant.

" Un but : rendre heureux ceux qui aiment l'Évangile, quelles que soient leurs convictions religieuses ; redonner le goût et l'espérance de la vie ; retrouver le sens caché du bonheur quotidien ; rejoindre les enfants et la part d'enfance cachée en chacun de nous ; aider à toutes formes de transmission : catéchisme, catéchèse et prédication.

Il ne s'agit pas d'historiettes, mais de la complicité

de Dieu avec sa création et d'une confiance plus forte que toutes les épreuves et les croix de l'existence : découvrir la lumière du Credo à quelque âge que ce soit, enfin "accrocher son wagon à une étoile"...

Jésus a parlé en images, et même davantage en "paraboles". C'est sa manière personnelle de s'exprimer. L'Évangile nous livre plus de cent quatre-vingt-dix paraboles. Grave ou joyeuse, la "parabole" embrasse toutes les dimensions de notre vie. J'ai voulu livrer ici le secret qui m'a rendu heureux. La "parabole" ? Nous y trouvons la musique de l'âme de Jésus, sa poésie, la lumière sublime et concrète qui mènent aux mystères de Dieu... et de notre vie. "

B. BRO

Prier sera toujours un signe de jeunesse : c'est espérer le meilleur. Plus l'âge avance, moins on a envie de laisser les images flottantes et les fantasmes angoissants prendre la place de Dieu. Moïse a eu peur ; saint Jean-Baptiste a tremblé ; saint Paul a balbutié. Et nous ?

Ces géants ont fait leur la maxime de Jean-Paul II : " N'ayez pas peur ! " C'est au moment où l'on se trouve dans le brouillard, ou bien dans la joie, que Quelqu'un se découvre à nos côtés : Il nous attend. Il a désarmé de tout. Il s'est fait pauvre. Il s'est agenouillé devant saint Pierre, et devant nous, pour nous dire : " C'est toi, ma créature, c'est toi qui comptes ", alors qu'impatient ou tremblant nous lui disions : " Mais non, Seigneur, c'est Toi qui comptes. "

Il reprend alors et, du haut de la croix, insiste : " Non, c'est toi, ma créature, tu es mon ami, c'est toi qui comptes. " Quel mystère d'amour et de réciprocité. C'est Dieu qui nous prie. Entendre ce message s'appelle : prier. Quel bonheur secret. Peut-être la seule certitude. Oui, " prier " : le seul espoir d'avoir laissé une cicatrice sur terre.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode