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Tous les livres de Boris Strougatski

Dans un petit hôtel perdu au cœur des Alpes autrichiennes l’inspecteur Glebski est bien décidé à oublier la médiocrité policière. Neige, brandy, coin du feu et drague légère sont au programme…

Hélas ! Un crime horrible l’oblige à mener une enquête qui dépasse ses compétences. Quel flic raisonnable serait prêt à admettre que certains suspects sont des extraterrestres ? Ou qu’un dangereux individu cherche à terroriser le premier étage en volant des pantoufles et des montres ? Ou que l’un des témoins transporte dans ses bagages une réplique en cire de sa jeune épouse ?… Ou qu’une bande de gangsters se dirige vers l’hôtel pour traquer Belzebuth en personne ?

Surtout, ne pensez à rien ! Vous voici au pays de l'Imbécile Heureux. Sous le règne de l'abondance et du plaisir. Et de la folie. Tout comme Ivan Zhilin, Agent des Nations-Unies, vous enquêtez dans cette étrange station balnéaire où les fêtes succèdent aux cérémonies aberrantes, ou les Maîtres Coiffeurs changent votre apparence, où les Intels sont maudits, où les feuilletons idiots s'immiscent dans la réalité.

Mais où est la réalité entre les tentacules du rêve, dans ce pays d'où l'on ne revient pas, où vous affrontez une menace plus terrible que la guerre totale ?

Ils avaient été examinés par des sommités médicales, membres du Conseil Mondial et consultants de la Commission des Treize. On les lava, les langea et, le même jour, à bord d'un vaisseau spécialement équipé, ils furent amenés sur Terre. Vers le soir, dans treize creiches dispersées sur les six continents, des nounous pleines de sollicitude s'affairaient déjà autour de treize orphelins et enfants posthumes qui ne verraient jamais leurs parents et qui avaient désormais une mère unique : l'humanité, immense et tendre.

Une nuit, des événements étranges mettent en émoi une petite ville... Tremblement de terre ? Guerre atomique ? Ou... invasion des Martiens ?

Arcadi et Boris Strougatski se livrent ici avec leur verve habituelle à une double parodie : parodie de H. G. Wells d'abord comme le suggère le titre, et ensuite parodie d'une petite ville — style Clochemerle — avec ses cancans, sa mesquinerie, ses personnages picaresques...

Une satire très drôle et très réussie.

Un astronome. Un mathématicien. Un biologiste. Un ingénieur. Un orientaliste. Chacun de ces cinq hommes est sur le point de faire une découverte importante dans son domaine. C'est là que commence le cauchemar. Le délire. L'hystérie collective.

Une explosion se produit. Un éclair sphérique dévaste un appartement. Une sorcière prend l'apparence d'une femme. Un nain surgit de nulle part. Un meurtre devient un suicide.

Quelqu'un veut à tout prix arrêter les recherches de ces cinq hommes, les écraser, les anéantir. Des extraterrestres craignant pour leur suprématie ? Une hypercivilisation tapie dans les profondeur de l'océan ? La mystérieuse Union des Neuf ? Qui ? Ou quoi...

♦ Existe sous le titre " Stalker - Pique-nique au bord du chemin " aux éditions Denoël ( 1981, 1982 ).

♦ Des Visiteurs sont venus sur Terre.

Sortis d'on ne sait où, ils sont repartis sans crier gare.

Dans la Zone qu'ils ont occupée pendant des années sans jamais correspondre avec les hommes, ils ont laissé traîner des objets de toutes sortes.

Objets-pièges. Objets-bombes. Objets-miracles.

Objets que les stalkers viennent piller au risque de leur vie, comme une bande de fourmis coloniserait sans rien y comprendre les détritus abandonnés par des pique-niqueurs au bord d'un chemin.

Les hommes ne sont-ils donc que des fourmis pour les Visiteurs ?

De ce roman étonnant, le cinéaste soviétique Tarkovsky a tiré un film admirable.

♦ Prix de la SF de Metz, roman étranger, 1981

Echoué sur une planète archaïque dont les habitants n'ont jamais entendu parler de la valeur suprême de la vie humaine ni de la Déclaration universelle des droit de l'homme, le jeune Maxime découvre une dictature qui ne dit pas son nom, un régime politique très militarisé, aux accents ubuesques, qui utilise des tours radio pour contrôler la population. Alors qu'il pourrait accepter cette situation, d'autant plus facilement que les ondes de contrôle n'ont aucun effet sur lui, Maxime décide d'entrer en résistance. Roman initiatique au personnage principal très vite privé de sa candeur initiale et de son sourire éblouissant, conte philosophique au cours duquel ce même personnage apprend se méfier des apparences, à se rebeller mais aussi à renoncer, L'Ile habitée est le plus politique des romans des frères Strougatski.

Imaginons un jeune soldat sur le point de succomber à d'atroces brûlures dans l'horreur d'un champ de bataille et qu'un voyageur de l'espace soustrait in extremis à la mort. Il devrait lui en être reconnaissant. Qu'en outre son sauveur l'arrache à sa planète natale, misérable et ravagée par des guerres incessantes, pour le conduire dans un univers de rêve où tout est beau et où les hommes s'aiment entre eux, on s'attend à lui voir verser des larmes de gratitude.

Eh bien, il en est tout autrement pour le triste héros de cette histoire, parabole transparente qui, sur un rythme endiablé, illustre avec l'humour le plus noir les goûts pervers de l'humanité.

Les « charybdes » avançaient de front, d'un bout de l'horizon à l'autre, respectant des intervalles réguliers de cinq cents mètres, dans le fracas et le vrombrissement des moteurs super-puissants. Ils laissaient derière eux, sur la steppe jaune, de larges bandes de terre marron retournée, éventrée jusqu'à la couche inférieure de basalte. Les engrenages des chenilles brillaient sous le soleil. Loin sur la droite, dans le ciel terne, s'agitait un point à peine visible : c'était l'hélicoptère qui guidait le mouvement de ces monstres métalliques. Les « charybdes » marchaient sur la Vague.

Ce livre est donc d'abord l'histoire de Viktor Banev, écrivain vivant dans un pays ouvertement fasciste, entièrement tourné vers le culte de Monsieur de Président. Banev est en disgrâce, et exilé dans sa ville natale, laquelle est prise depuis plusieurs années sous des pluies continues. Banev se retrouve au coeur d'un cercle d'intellectuels plus ou moins perdus, tous alcooliques. Il y est aussi confronté à l'existence mystérieuse de mutants, lesquels semblent provoquer la pluie et surtout qui ne se nourrissent que de lecture.

Mais ce livre est aussi l'histoire de Félix Sorokine, écrivain vivant en URSS, membre de la très officielle et dogmatique Société des Ecrivains. Sorokine a lui aussi connu sa période de disgrâce, du fait de la publication d'un recueil de contes de Science Fiction, alors qu'il est habituellement un auteur de strict réalisme soviétique, genre que pourtant il déteste. Sorokine est lui-même l'auteur de l'histoire de Banev, lequel est donc son personnage.

Enfin, et surtout, ce livre est l'histoire des frères Strougatski, écrivain vivant aussi en URSS. Car les deux frères ne manquent pas d'humour en plaçant en tête du roman: « Les auteurs tiennent à avertir le lecteur qu'aucun des personnages de ce roman n'existe ni n'a jamais existé. Aussi serait-il vain de chercher à deviner 'qui est qui'. De même, sont imaginaires tous les organismes et institutions mentionnés ». Comment pourtant ne pas reconnaître Arkadi dans cet écrivain envoyé au front de l'est durant la Seconde Guerre mondiale, et devenu de ce fait traducteur de japonais et d'anglais? Comment ne pas reconnaître les deux frères dans cet auteur victimes d'ostracisme durant plusieurs années pour avoir écrit un recueil de Science Fiction? Pire, un recueil que la critique accuse d'être inspiré par les Chroniques Martiennes de Ray Bradbury (p. 184)...

C'est ainsi qu'en fait, les Strougatski règlent leurs comptes avec le métier d'écrivain, avec son statut, non seulement dans la société soviétique, mais en général, dans le monde. Ils placent ainsi quelques petites réflexions qui pouvaient être dites dans le microcosme des auteurs soviétiques (ainsi, p. 75, au sujet d'un confrère malade, un écrivain assène: « Ce n'est pas grave, il refera surface, la merde ne coule pas »). Ils tirent à boulets rouges sur le genre qui eut les faveurs de Staline et de ses continuateurs, le réalisme soviétique (p. 129: « J'adore les sujets de ce genre, ça vous change du roman tumultueux entre un chef de service marié et une technicienne également mariée sur fond de lave métallique et d'entorse au plan de production de la fonte »).

Enfin ils se livrent à de nombreuses réflexions, parfois délicates, sur le processus de création littéraire (p. 176: « Et tout ça parce que je suis un écrivain de merde, moins que rien, je ne supporte pas d'écrire alors qu'écrire c'est souffrir, quelque chose comme une douloureuse et répugnante nécessité physiologique, une diarrhée, du pus à extraire d'un furoncle, je déteste ça, je suis horrifié à l'idée qu'il va falloir continuer à le faire toute ma vie, que j'y suis condamné, ça me donne la nausée, je vais vomir... »).

C'est définitivement pour toutes ces réflexions qu'il faut lire ce roman, et non pour les récits qu'il contient, qui sont finalement peu importants, voire anecdotiques. Il ne se passe quasiment rien dans la vie de Félix Sorokine ou dans celle de Banev, qui rythment tous deux le temps à coup de verres de cognac. Non, ce ne sont pas ces histoires qui comptent. Et l'on sera tenté de suivre Banev, qui, lorsqu'on lui dit: « Comble de malédiction, il faut que notre éducation démocratique s'en mêle: égalité, fraternité, tous les hommes pétris dans la même glaise, de la même pâte. Nous nous identifions sans cesse à la populace, ça nous paraît noble et généreux, mais nous pensons bien qu'en cas de pépin nous saurons nous en tirer grâce à notre intelligence supérieure. Messieurs, il est temps de comprendre que si nous voulons nous sauver, nous devons le faire tout seuls... », se contente de répondre: « Il est temps de boire ».

Ce roman détonne, dans toute la production soviétique de Science Fiction. Et on peut comprendre aisément pourquoi il a connu une histoire aussi chaotique (achevé en 1982, il n'est publié en journal qu'en 1986), même si, dès 1983, un autre écrivain, Sergueï Abramov, avait pu explorer ce terrain en livrant lui-même une nouvelle très critique envers le réalisme soviétique et l'enchaînement des écrivains au pouvoir (Les habits neuf de l'empereur - Новое платье короля, traduit en français en 1987 dans Lettres Soviétiques n°344, une fort belle nouvelle, soit dit en passant): un vieil écrivain célèbre, qui toute sa vie a écrit des romans de « réalisme soviétique », et qui, tous les soirs, discute avec un petit diable de second rang. Jusqu'au jour où le diable lui propose l'habituel pacte. C'est l'occasion pour le vieil homme de revivre de nombreux moments de sa vie, et de se rendre compte qu'on l'a depuis toujours encadré, jusque dans son intimité, pour que son talent ne se développe que dans le genre du « réalisme soviétique ». A défaut de décrire des usines, Félix Sorokine, lui, écrit des romans sur la « Grande Guerre Patriotique » (la Seconde Guerre mondiale).

Destin Boiteux détonne par la crudité de son propos (combien de fois le mot « merde » peut-il donc bien être écrit?), et surtout par sa liberté de ton, sa lucidité envers le monde soviétique. Banev est écrivain dans un état fasciste: on peut donc comprendre qu'il soit paumé, alcoolique. Mais comment accepter que Sorokine, écrivain dans cette « utopie réelle » qu'était censée être l'Union Soviétique, puisse finalement lui être en tout point similaire? En définitive, il est là, le réalisme soviétique.

Au bord de l'à-pic, sur le plateau, s'étendent les cottages, les bureauxt les parcs et les statues de la bibliothèque de l'Administration. En bas, c'est la forêt invisible et présente, où s'ébattent, dit-on, les ondines nues, où les biologistes traquent la vie. Au-delà, le Continent.

A la tête de l'Administration, un directeur qu'assistent des managers, proconsuls, commandants, ingénieurs, chauffeurs, mécanos qui tous obéissent à la logique du règlement.

Au cœur de l'action, Perets l'étranger, le linguiste, venu là pour voir la forêt, vit, rêve, s'insurge, jusqu'au jour où, parvenu, sans qu'il puisse se l'expliquer, au pouvoir suprême, il se soumet en signant l'ordre d'extermination générale. Pour commencer...

Entre la science-fiction la plus audacieusement sophistiquée et le fantastique des maîtres éprouvés — on pense à Gogol plus qu'à Kafka, à Buzzati plus qu'à Borges — , l'ouvrage ouvre une brèche dans le domaine mal connu de la littérature soviétique slave contemporaine.

Vous êtes un programmeur scientifique et très réaliste. Mais soudain vous voici propulsé dans un institut de chercheurs passionnés pour qui le Lundi commence le samedi et qui ont pour collaborateur : des Pythies, Merlin l'Enchanteur... et un ex-Grand inquisiteur ! Alors vous commencez à vous poser quelques questions pratiques sur le bon usage de la science et de la technique. Et les réponses que vous trouvez sont tout à fait fantastiques !

Dans cette ville de notre temps, le ciel est perpétuellement brumeux. Il bruine, il pleut sans cesse.

Des mutants qui ont le pouvoir d'agir sur la réalité par la force de la volonté ont changé le climat autour d'eux. La nuit, ils peuvent même ouvrir un trou rectangulaire et mobile dans les nuages pour regarder la Lune.

Ils ont aussi des besoins que n'ont pas les hommes normaux. Il leur est nécessaire de lire autant que de manger. Privés de livres, ils meurent.

Les habitants de la ville les persécutent. Parce qu'ils sont différents. Les Juifs sont, d'ailleurs, tous partis, sentant que les choses allaient se gâter. Les chats aussi...

Seuls les enfants, les adolescents, voient dans ces mutants du brouillard l'espoir d'un monde meilleur...

Une fusée terrienne se pose sur une planète inconnue. Ciel sans oiseaux, forêts sans animaux, océans sans poissons, elle serait totalement désertique s'il n'y vivait pas une créature, une seule. Un gosse humain, s'étant retrouvé orphelin à la suite d'un accident, tout seul, à des années-lumière de sa planète natale.

Sur les écrans du central Dispatching cosmique, une forme insolite apparaît. Celle d'une fusée périmée à réacteur nucléaire qui va s'abattre sur un cosmodrome désaffecté.

— Salut à vous tous, mes descendants ! dit l'un de ses deux occupants blessés, avant de s'évanouir.

La fusée ZT 3 « Taymir » était partie en 2017. Mais au 434ème jour de son envol, elle avait brusquement disparu en tentant de franchir le « mur de la lumière ». Et la voilà revenue... plus de cent cinquante ans après !

Les deux revenants des étoiles, le pilote Kondriatev et Slavin, son compagnon, ont tout à réapprendre dans ce monde de l'an 2169 où ils se retrouvent sans avoir vieilli, avec ses routes automouvantes, ses D-cosmofusées, ses fermes de baleines ou d'éléphants et tant d'autres merveilles... Comme si des hommes n'ayant connu que la lampe à huile se trouvaient devant un tube d'éclairage au néon !

Depuis bien longtemps, l'humanité envoie des spécialistes accélérer la marche de l'histoire dans les civilisations attardées de l'univers. Et si l'humanité, à son tour, était l'objet d'une manipulation planifiée par une supercivilisation désireuse de la sortir de son Moyen Âge ? Toïvo Gloumo connaît bien la question : avant de juger le chose immorale, il a lui-même été Progresseur. Et aujourd'hui, avec acharnement, il traque les insaisissables Pèlerins qui veulent intervenir dans les destinées humaines...

Il est difficile d'être un intellectuel dans un pays où règne la violence et la tyrannie.

Mais il est encore plus difficile d'être un dieu, c'est-à-dire le citoyen d'une planète hautement civilisée, qui cherche à faire progresser les pays fascistes et arriérés.

Mais quelle est donc cette planète idéale où les hommes sont bons et tout-puissants ?

Paru en 1964 en U.R.S.S., ce passionnant roman de science-fiction a obtenu un immense succès auprès des intellectuels russes.

Un immeuble a nécessairement un dernier étage. Ce n'est cependant pas le cas d'un des bâtiments les plus modernes de Moscou, dont la hauteur se perd dans l'infini. Comme les séries divergentes en mathématique, il est ouvert. Il s'étend dans les autres planètes, dans les autres dimensions, dans les autres univers.

De courageux explorateurs le parcourent et constatent que l'on peut en rapporter des objets qui feraient progresser, de façon fantastique, la science et la technique. Ils se heurtent à l'opposition de la bureaucratie soviétique, symbolisée par la Troïka...

Ce livre de science-fiction dérive davantage de Swift et de Jarry que de Jules Verne ou Wells.

Dans une société humaine qui a réussi, sans guerre, sans argent, avec une administration bienveillante, le monde est dans une démarche collective d’exploration de l’univers. Mais dans cette utopie où tout semble aller pour le mieux, un grain de sable, comme un mystère cosmique peut vite enrayer la mécanique.

Recueil de nouvelles :

Alexandre BELIAEV, Hoity-Toity

Alexandre KAZANTZEV, Le Messager du cosmos

Alexandre KAZANTZEV, Le Martien

Arcadi STROUGATSKI & Boris STROUGATSKI, Réflexe spontané

Gueorgui GOUREVITCH, L'Infra du dragon

Vladimir SAVTCHENKO, L'Éveil du professeur Berne

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