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Tous les livres de Catherine Ecole-Boivin

À quatre-vingt-quatorze ans, Mimi Guillam se souvient. La Bretagne, l’école normale, sa première classe, la guerre... et toujours ses chers élèves autour d’elle. Institutrice en avance sur son temps, pionnière de la “méthode Freinet”, elle nous fait partager sa passion ardente pour l’enseignement. Avec elle, l’éducation ne se fait pas seulement dans la classe. Une belle vie, remplie du sourire des enfants !

Sur les landes battues par les vents et les vagues du Cap de La Hague, il se disait encore, à la fin du XIXe siècle, que les « bergers blancs », qui louaient leurs bras à la saison, venaient de la mer. Les paysans craignaient ces hommes libres, à la peau diaphane d’albinos, arborant à l’épaule un tatouage de bateau au mat brisé : des jeteurs de sort, qui pouvaient lire l’avenir dans les mains et les puits… Puisant son inspiration dans les souvenirs des habitants de la pointe du Cotentin, la romancière Catherine Ecole-Boivin nous entraine sur les pas de Léo, le berger un peu sorcier, et de sa fille adoptive Katica, « La Dormante », dotée d’un étrange pouvoir de guérison. Traversant un demi-siècle d’Histoire, cette grande saga, où passions et émotions sont indissociablement mêlées aux forces mystérieuses de la nature, redonne vie à un monde rural oublié.

Fevrier 1961, aujourd'hui, c'est le grand jour, Paul Bedel achète son premier tracteur pour économiser sa peine. Sa petite ferme n'a connu que les chevaux. Chez le marchand de véhicule agricole d’occasion, le plus simple, le moins beau, pense qu'il n'a aucune chance d'être choisi, et pourtant, Paul ne regarde que lui...Débute alors une merveilleuse amitié entre eux, amitié qui dure encore aujourd'hui, et cela depuis plus de quarante ans. Arthur le tracteur nous raconte cette belle aventure entre "deux drôle d'engins" !

Voici le témoignage d’un homme né en 1927, qui a observé pendant toute son enfance son père rebouteux et hérité de sa mère l’incroyable don de soigner zonas et brûlures.

Grâce à ce précieux legs, il ira, itinérant, soulager les souffrances des uns et des autres, entre le Mont-Saint-Michel et la Bretagne. Avec lui, on pénètre un univers où la raison lâche parfois prise quand le corps et les mots guident les gestes du soignant.

D’une rare humanité, cet homme déroule le fil de sa vie ponctuant ses confessions d’histoires surprenantes au cœur d’une campagne presque disparue à conserver au sein de notre mémoire collective.

Arsène-Georges Lepoittevin, orphelin de l’hôpital-hospice de Valognes est enrôlé dans les fermes avant treize ans comme tâcheron agricole. Avec pour salaire le prix d’un pain par jour, il subit son existence au « cul des vaches ». En décembre 1939, à dix-sept ans, habité par un sentiment permanent de révolte, il décide de s’engager sur la mer pour sauver la France. En 1941, le marin devenu radiotélégraphiste de l’école des Radios de Lorient, tente de rejoindre les Forces Navales Françaises Libres. Des soldats français stationnés comme lui au Maroc l’en empêchent. Mis en prison, il est interné, maltraité et torturé. Exfiltré de sa geôle marocaine par des résistants, il rejoint Londres et le Général De Gaulle puis participe au débarquement à bord de La Surprise avec le capitaine Jean-Marie Levasseur. A la fin de la guerre, il se marie avec une anglaise et s’installe dans le région de Londres.

Officier de la légion d’honneur, médaillé militaire, etc., Arsène-Georges Lepoittevin a reçu des mains de la Reine d’Angleterre la prestigieuse MBE (Membre de l’Empire Britannique). Parfaitement intégré à la société anglaise il est aussi un champion de boules anglaises très populaire.

C'est entre le cap de la Hague et le nez de Jobourg, là où l'on prend de plein fouet le souffle de la mer, que Jeanne dite « Terre d'amour » est née en 1912, troisième enfant d'Alexandre et d'Aimée. Alexandre ne s'est pas attardé en ce monde - la guerre et une fluxion de poitrine l'ont emporté - et Aimée, après ce drame, a décrété que le mot « bonheur » n'était plus pour elle ni aucun de ses enfants survivants... Très jeune, Jeanne a accompagné sa mère à chaque accouchement, rêvant du jour où, à son tour, elle pourrait fonder une famille. Elle était déjà amoureuse de Germain, le fils de Loup-Marin, le pêcheur à la rocaille disparu, qu'elle suivait en dévalant les fascinantes et terribles falaises. Germain était un taiseux, mais quand ses lèvres touchaient celles de Jeanne, celle-ci se sentait invincible. En 1931, lors d'une permission, l'apprenti menuisier est allé, en gants blancs, demander à Aimée la main de sa fille. « Non. Je la donne à personne », fut la réponse. Définitive. Que restait-il aux deux jeunes gens ? La rupture ou une aventure clandestine au creux de leurs chères falaises ?

source : le grand livre du mois

“L'absence d'amour maternel peut-il bouleverser une vie ?

Après quatre ans d'absence et d'exil en Autriche où il a passé la guerre prisonnier dans un camp, Marin retrouve Margriette, sa fille de six ans, qui ne le reconnaît pas. Les retrouvailles sont difficiles, d'autant plus que son épouse Vivianie lui fait payer son absence. Mais le père et la fille s'apprivoisent et ne se quittent plus. Au point que la mère, jalouse, oblige sa fille à toujours porter un petit bonnet de laine rouge afin de la surveiller plus facilement. Quand Vivianie décide de refaire sa vie ailleurs avec un G.I., Margriette gardera le bonnet de laine rouge sur la tête dans l'espoir insensé de la voir revenir un jour. Enceinte d'un premier amour laissé pour mort en Algérie, elle épouse Maurice, un agriculteur porté sur la bouteille, qui lui rendra la vie difficile...

source : le grand livre du mois

Catherine Ecole-Boivin, née en 1966, originaire de la Hague, habite Nantes. Historienne de formation, elle est également écrivain. Après le succès de ses livres, dont Jeanne de Jobourg, La Petite Misère et L'Enfant Loup de Blanche, Paul Bedel, héros du film Paul dans sa vie, l'a autorisée à écrire ses mémoires.

Elle nous présente donc Paul, dans les pas du père, un poème à la terre et aux éléments naturels, un hommage à une vie simple, paisible, faite de grandes joies et de petites résistances face au progrès d'un agriculteur normand.

Gagne-petit des campagnes mais grand homme sage, Paul verdit la campagne haguaise de sa bonne humeur et de son bon sens, Paul défriche l'horizon et cultive sans le savoir la bonté dans le coeur des hommes, il la sème et regarde patiemment la graine germer.

Source : Ouest-France

Barfleur (Manche), 1890. Le vieil Imanol, le sorcier, a adopté Thilda. Celle-ci grandit ainsi entourée de l'affection du devin du Val de Saire et de son valet, Jean. L'année de leur disparition à tous les deux, la jeune femme épouse un potier, Marcel Valvachet, qu'elle ne peut empêcher de partir vers une guerre dont elle sait - Thilda a hérité des dons de voyance de son père adoptif - qu'il ne reviendra pas. Veuve, elle accueille sous son toit son beau-frère, Roland. A la faveur d'un bal, Roland et son frère Auguste s'éprennent de deux Nantaises, Madalen et Aëlle, de dix et neuf ans leurs cadettes. Mais Thilda pressent une tragédie...

source : le grand livre du mois

Si Yvonnick a un prénom et des bras d'homme, c'est grâce à sa mère qui lui a appris à se défendre des coups. Et ces bras d'homme, Yvonnick en a bien besoin depuis que son mari, qui travaillait à J.J. Carnaud et forges de Basse-Indre, l'ancêtre d'Usinor puis d'Arcelor, n'est plus là. En acceptant de prendre sa relève à la forge, la jeune veuve et mère d'un enfant fragile, élevée dans le marais salant breton, devient métallo.

Une vie ouvrière de lutte qui ne l'empêche pas de se faire respecter des hommes ni de gagner son indépendance, et surtout, d'être fière de son travail à l'usine et de sa communauté solidaire. Mais cette fierté, menacée dès 1968, se rompt au fil du temps, les notions de rentabilité, de courbes et de tableaux de chiffres chassant l'idée d'un combat pour une vie meilleure.

Inspiré d'un authentique témoignage, le destin d'Yvonnick fait revivre un monde aujourd'hui disparu. De l'apogée de l'industrie française dans les années 50 à son déclin en 1980, Catherine Ecole-Boivin trace, dans ce roman d'une vie peuplée d'étincelles, le portrait empreint d'humanité du monde ouvrier.

Lucille est née au milieu des marais salants de la baie de Bretagne. Très tôt, elle apprend auprès d’Agnès une saulnière qui est aussi sonneuse de cornemuse, à extirper le sel des entrailles de la terre. De cette passion secrète, elle veut en faire son métier. Mais dans la Bretagne des années 60, les salines sont rarement léguées aux femmes. Son père a prévu d’offrir celle de sa famille à son frère qui perpétuera la tradition.

La jeune femme quitte le marais et devient vendeuse à Nantes. Dès qu’elle a un moment, elle vend des pochons de sel. Mais cela ne suffit pas à lui faire oublier le pays maraîchin. Car tout, y compris l’amour, la ramène à la terre salée du marais, là où son corps et sa vie embrassent l’eau et la lumière.

Du « champ de labeur » qu’est la côte normande, le père Yvon a tout vu, tout connu. Il en a ramené des marées miraculeuses, arraché des trésors. Depuis son premier embarquement en 1946, sur l’Avenir – petit mousse perclus de mal de mer – jusqu’au « patron » des plus innovants chalutiers du port de Cherbourg, le bonhomme raconte tout de la vie d’un pêcheur. Les cris des fous de Bassan, les jours de « matelote », les femmes qui attendent, les enfants qu’on ne voit pas grandir – les périls et les gloires, ciré sur le dos.

Pas plus que le nom d’un bateau, on ne change le cœur d’un homme.

Inclus un cahier photos

Édition revue et corrigée par l’auteur

" Paysan, je vis depuis 87 ans, sur une terre à cailloux, dans une presqu'île. Ca change beaucoup de choses d'être entouré par la mer. Chaque jour j'écris mes pensées sur de vieux agendas de récupération. Par petits coups de griffes sur le papier, j'écris des morceaux de mon cerveau. Raconter ma vie, c'est pour moi un peu comme baratter mon beurre, le même baratin, sauf que c'est moins difficile pour les bras.

J'ai envie de parler des pierres, car des pierres, personne ne pense à parler pour elles. D'autres pensées me préoccupent, comme celle des gens qui sont vivants, trop vivants aujourd'hui et notre terre qui devient morte. J'ai ouvert la porte de ma petite ferme avec vue sur mer, phare et sémaphore. Vous me parlez de votre vie et je vous parle du trésor de comprendre ce qu'a été la mienne. Je n'ai rien voulu du bonheur et je l'ai rencontré quand même en regardant mes vaches ne manger que de l'herbe et des fleurs."

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