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Les Bidochon, tome 1 : Roman d'amour
Les Bidochon, Tome 20 : Les Bidochon n'arrêtent pas le progrès
Les Bidochon, tome 1 : Roman d'amour
Les Bidochon, tome 1 : Roman d'amour
Les Bidochon, tome 8 : Vent du soir
Comme souvent, Binet prend un thème et le décline.
Mais s’il avait plein de choses à dire sur les voyages, l’écologie ou les hôpitaux, ici, ça tourne très vite en rond.
On a un déballage d’accessoires et la découverte de ceux-ci par Raymonde qui passe au second plan derrière les autres, un Robert mou…
C’est très répétitif, les réactions tournent en rond, peu de surprise ou de mordant…
Déçu.
Les Bidochon, tome 22 : Les Bidochon relancent leur couple
Certes, c’est moins virulent que dans les débuts, moins critique du beauf moyen ou de l’absurdité des gens et administrations.
Certes, il y a comme une compilation des trucs débiles qu’on peut trouver dans les magazines proposant des gadgets et on pourrait s’amuser autant à lire le magazine en question…
Mais, s’il n’y a pas beaucoup d’histoire, il y a des situations amusantes où, cette fois, les Bidochon repassent devant René et sa copine pour avoir le premier rôle.
Et l’enthousiasme de Raymond est réjouissant à voir dans les absurdités de ses réflexions et choix.
Et puis il y a quelques éléments qui reviennent en fil rouge de fond qui donnent un liant sympa à l’ensemble.
Les Bidochon, Tome 20 : Les Bidochon n'arrêtent pas le progrès
Je viens de le relire et, au début, je me disais que non, il n’était pas si mal…
Cohérent avec le personnage de la mère aperçu dans le premier tome, Raymond redevient pire qu’un gamin avec elle.
C’est assez simpliste mais plutôt sympa de voir comment il se fait avoir, Raymonde réveillée au clairon ou le code taptaptiptoptap sur le mur.
Et puis, on passe dans un côté qui devient un peu malsain quand la mère se fait tripoter et celle qui veut garder son fils devient glauque…
Et là, on a la fin, totalement hallucinante, qui m’a complètement perdu, beaucoup trop décalée, délirante pour être crédible, de Raymonde qui passe du banc au cerveau aux transformations… Totalement, largué de son arrivée à on sait même pas comment elle sort…
Bref, j’ai compris pourquoi je n’avais pas gardé un bon souvenir de ce tome…
Les Bidochon, tome 15 : Bidochon mère (môman)
Les personnages ont évolué, très bien, pourquoi pas.
Mais en vieillissant, ils se sont un poil amolli et la critique du français moyen beuglard disparaît ici au profit d’une sorte de tendresse un peu gênante – en tout cas, j’étais aussi gêné que Robert de le voir dans certaines situations.
Robert n’est plus un râleur égocentré sûr de lui mais un type malhabile qui tente de faire plaisir à sa femme sans savoir comment s’y prendre ; Raymonde n’est plus une femme forte et caractérielle qui gueule mais une boule de tristesse au bord du suicide.
Ça n’est plus drôle, c’est terriblement triste.
Les Bidochon, tome 13 : La vie de mariage
Je préfère toujours quand les Bidochon ont un thème, il y a des trucs marrants, mais je m’y suis moins retrouvé.
Les Bidochon, tome 11 : Matin, midi et soir suivi de matin, midi et soir
C’est donc plus anecdotique puisqu’on n’a pas un thème majeur qui est traité (comme les vacances, maison, voyage ou voisinage) mais du quotidien.
Cela dit, Binet a l’art de trouver des anecdotes qu’il rend intéressante par ses dialogues, du voisin qui ne veut pas prêter sa tondeuse aux repas chez les voisins…
J’ai plus retrouvé les personnages du début, Raymonde et sa tristesse, Robert et sa maladresse et sa bêtise.
Plus léger mais toujours sympa.
Les Bidochon, tome 8 : Vent du soir
On ne peut pas dire que la critique soit acerbe, comme dans d’autres tomes, mais Binet reprend bien toutes les petites tracasseries des hôpitaux, chambre commune, docteur qui « lui parle », attente…
On survole un peu tout avec de l’humour très légèrement grinçant (le gamin insupportable qui remplace le mec qui tousse, c’est plus rigolo que m’échant, comme avant) et, dans celui-ci, Raymonde fait preuve de beaucoup de gentillesse et d’intérêt pour son mari qui ne s’en énerve même plus, ce qui adoucit l’ensemble.
Un humour plus gentil mais toujours agréable.
Les Bidochon, tome 7 : Assujettis sociaux
C’est donc beaucoup plus cruel, le couple de français moyen ne s’associe pas contre les autres mais jouent l’un contre l’autre et les attaques, les remarques, les méchancetés sont beaucoup plus cinglantes et touchantes.
Il y a de l’humour mais, comme dans le premier, noyé sous une tonne de noirceur.
Le tome n’est pas mauvais pour autant parce que c’est vif et efficace, mais c’est plus lourd que les 3 tomes précédents !
Les Bidochon, tome 5 : Ragots intimes
Après, ça devient un peu plus mécanique, dans le style « bon, voilà une façon de voir les choses, comment je l’utilise ? ». De là, ça devient inégal : je me suis bien amusé avec le pendule, je me suis plutôt ennuyé avec le voyage astral…
Les personnages sont là mais ça manque parfois du cynisme qui faisait le sel de la série…
Les Bidochon, tome 18 : Voient tout, savent tout
C’est gentiment méchant mais drôle et juste le plus souvent.
Les Bidochon, tome 2 : En vacances