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Par FollowTheReader le 25 Décembre 2018 Editer
FollowTheReader
Chronique de Diana :

https://followthereader2016.wordpress.com/2018/12/03/la-mer-qui-prend-lhomme-christian-blanchard/

Voici un récit qui va vous faire carburer les neurones à 100 à l’heure. On reste toujours dans l’attente du prochain indice qui nous guiderait pour comprendre l’intrigue un peu mieux. On oscille entre 3 lieux, une île Bretonne, un bateau de pêche et l’Afghanistan. Mais revenons au début du récit qui ne l’est pas vraiment.

Un bateau à la dérive, aucun cadavre, du sang partout, un chaos absolu et une seule survivante cachée en état de choc. C’est sur cette terrible image que nous lecteur, rentrons dans cette énigme.

Chaque personnage est liée de près ou de loin avec le conflit en Afghanistan sans qu’on arrive à faire le lien entre ceux sur le terrain et ceux à l’extérieur. On est baladé sans jamais trouvé un repère fixe qui nous ancre dans un début de piste. Walter infirmier, Xavier Kerlic, Franck le sniper et Paul un prêtre. Tous souffrent d’un PTSD (d’un choc post traumatique). Paul semble être celui qui vit le mieux la situation, se raccrochant à la religion en apparence. Franck revit son enfer au quotidien en ne pouvant échapper à l’horreur, reste Xavier et Walter qui sont des pièces du puzzle dont on comprend mieux l’implication au fur et à mesure du récit.

Pour les aider à dépasser ce stade, le lieutenant Emily Garcia leur propose une expérience de réhabilitation. Les mettre face à la mer et au danger pour gommer les stigmates de la guerre. Saadia rejoint ces militaires après le décès suspect de Walter pour essayer de répondre aux questions qu’elle se pose et aux interrogations face aux circonstances de la mort de Walter.

Les horreurs de la guerre prennent bien des formes et ne restent pas au final que la mort semée. N’oublions pas que la nature humaine se dévoile dans ses pires moments. Entre bonnes intentions premières et appât du gain il suffit de peu pour que tout bascule et que la spirale infernale débute.

Ce roman nous plonge dans la noirceur la plus totale, c’est prenant, intense, angoissant et surtout cruellement et tristement crédible. Ce récit n’est commun en rien, l’intrigue vous ronge comme nos héros, la folie l’emporte et le suspens est insoutenable jusqu’au bout.

L’interrogation reste : jusqu’où iriez vous pour absoudre vos pêchés passés et rétablir la justice par la vengeance ?

Ce thriller est mené magistralement, la plume géniale et la fin à couper le souffle. Une exploration machiavélique de l’esprit humain qui ne vous laisse pas indemne.
A propos du livre :
La mer qui prend l'homme
La mer qui prend l'homme
Par Sissireadingbooks le 13 Novembre 2018 Editer
Sissireadingbooks
https://sissireadingbooks.wordpress.com/2018/11/13/jai-lu-la-mer-qui-prend-lhomme-de-christian-blanchard-24/#more-963

Une fois commencé, j’ai eu beaucoup de mal a lâcher ce roman. Ce thriller est très prenant du début jusqu’à la fin.

Christian Blanchard a une plume très captivante et un style noir. J’avais l’impression de vivre l’histoire et je l’ai trouvé très réaliste. J’ai aussi beaucoup aimé les personnages, dont aucuns n’est réellement innocent. D’ailleurs l’auteur aborde un sujet très important le stress post-traumatique des soldats.

En conclusions, j’ai adoré ce thriller que j’ai trouvé très addictif et très bien construit. J’ai été beaucoup surprise par la tournure des événements et dont la fin qui est très surprenante ( je ne m’y attendais vraiment pas). Ce Roman a été une grande découverte pour moi ainsi que pour cet auteur. Il me tarde de découvrir un de ces autres romans qui est » Iboga « .
A propos du livre :
La mer qui prend l'homme
La mer qui prend l'homme
Par sagweste le 18 Octobre 2018 Editer
sagweste
http://saginlibrio.over-blog.com/2018/10/la-mer-qui-prend-l-homme-de-christian-blanchard.html
Je remercie les Editions Belfond et Christian Blanchard pour m’avoir permis de lire ce nouveau roman. J’ai rencontré l’auteur au salon de Vannes en juin de cette année, et il fera partie de mes plus belles rencontres humaines autour de ma passion littéraire. Avec deux autres bloggeuses nous sommes restées presque 30mn avec lui alors que seule une d’entre nous avait lu son précédent écrit « Iboga » ( et non, ce n’était pas moi !). C’est un homme passionnant à écouter, plein d’humour avec un intérêt nous dissimulé pour notre fonctionnement de chroniqueuses. C’est donc avec un plaisir évident que j’ai reçu son tout dernier thriller dédicacé, une façon pour moi de le lire ‘enfin’ et de m’imprégner de sa plume. Mon mari, lui, a dévoré « Iboga » la semaine suivant ce salon, d’une part car il est breton comme lui et le thème l’intéressait énormément, même s’il était très dur.



Ici, nous ferons connaissance avec 3 ex-militaires ayant fait une campagne en Afghanistan ensemble : Kerlic, Lecostumer et Brive. Tous 3 diagnostiqués SPT (stress post traumatique), leur 4ème compagnon sera découvert mort dans sa maison sur l’île de Batz de manière anormale. Le lieutenant Garcia va vouloir entamer avec eux une thérapie spécifique, les amenant sur un chalutier pour éprouver la dureté du métier de marin et que leurs peurs vécues sur l’eau puissent annihiler leurs cauchemars.



L’auteur alterne les chapitres entre maintenant sur le chalutier, et il y a 6 ans en Afghanistan. Nous connaitrons ainsi comment ils se sont rencontrés et ce qui s’y est véritablement passé. De rebondissements en introspections, les relations interpersonnelles sont fortes mais biaisées. La tension montera crescendo sur le chalutier, car ces personnalités à part, quasiment borderline, surfe avec la violence et la folie.



Cette plongée dans l’esprit humain détruit par la guerre est puissante, elle régit tous les faits particuliers qui vont se dérouler au fur et à mesure. La lectrice que je suis est passée par plusieurs phases de ressentis, allant de l’empathie à l’antipathie, excusant puis détestant leurs gestes, éprouvant une certaine pitié mais voulant qu’il surgisse de leurs ténèbres une moralité même tenue.



J’ai refermé ce livre en étant scotchée par les révélations et une fin en apothéose. Que l’on cautionne ou pas, les comportements de chacun sont libres, imbriqués par une réalité qui leur est propre. Magnifique coup de cœur pour l’histoire et la plume ! Merci Christian de t’être souvenu de moi, ce chalutier de l’enfer m’a donné le mal de mer pour mieux vivre profondément ce qui a fait force pour eux.



Enjoy !
A propos du livre :
La mer qui prend l'homme
La mer qui prend l'homme
Par annick69 le 13 Juin 2018 Editer
annick69
Bluffant, voilà pour moi un vrai thriller. Je m'explique : thriller pour moi veut dire peur, très peur, et ce roman m'a fait très peur dans le sens où tu te demandes comment tu peux avoir de l'empathie pour Jeff. Comment l'auteur arrive à une telle situation alors qu'elle est complètement irrationnelle… la vrai peur de te dire mais comment est-ce possible !? Si le nom de Karin Giebel est associé à ce livre ce n'est pas pour rien, il m'a rappelé effectivement un de ses romans et la façon de te retourner le cerveau envers les personnages. Psychologique, maléfique, efficace, prenant à en avoir des frissons. L'auteur a su m'emmener là où il voulait. Bravo !!! Un huit clos complètement addictif.
A propos du livre :
Iboga
Iboga
Par miel22 le 16 Mai 2012 Editer
miel22
Auteur breton, décor breton....suspens, ambiance glauque, très glauque. Inspirée de faits réels, l'histoire paraît parfois invraisemblable, et pourtant...
A ne pas mettre entre toutes les mains comme le signale l'auteur
A propos du livre :
Chairs amis
Chairs amis
Par Mlle_Dine_Bouquine le 10 Juin 2024 Editer
Mlle_Dine_Bouquine
🎀 COUP DE COEUR 💛

« L’écriture est ma thérapie. »

C’est ainsi qu’Antoine qualifiera son ressenti en faisant la rétrospection de sa triste vie. Lui, enfant discret, solitaire et calme, issu d’une famille de fermier, dont le père décide du jour au lendemain de changer de métier et d’intégrer les docks de Dieppe en tant qu’ouvrier.

Cette transition professionnelle amène à la dégradation de son cercle familial, puisque le père de famille va plonger rapidement dans l’alcool. Durant plusieurs années, Antoine et sa mère vont vivre dans une insécurité permanente au sein de ce foyer, où la violence verbale et physique sera omniprésente, jusqu’au point de non-retour, qui poussera Antoine à tuer son père.

« Il avait tenté de sauver sa mère »

Dès lors, son destin va s’en trouver bouleversé. Comment un enfant qui grandit tiraillé par une peur viscérale constante peut-il arriver à se construire ?
Nous allons suivre son histoire emplie de solitude, et découvrir avec lui, que les hommes sont cruels et que de nombreuses épreuves l’attendent encore.

Malgré les humiliations quotidiennes et les traumatismes qui en découleront, il répondra à cette violence par le silence et l’acceptation, se renfermant toujours plus sur lui-même.
Une âme brisée, qui cherche à comprendre pourquoi la justice l’a abandonné. Lui qui ne cherchait qu’à protéger sa mère et sa propre existence.

À travers une alternance de chapitre entre ses pensées, qu’il couche dans des carnets d’écriture, et le récit de son parcours de vie chaotique, mon cœur s’est brisé pour ce petit garçon que la vie n’a pas épargné. Un enfant torturé qui grandit sans les codes d’une société qui l’a abandonné, perdu dans une foule de sentiments contradictoires.
Et qui cherche malgré tout, à réparer les injustices de ce monde, animé d’une colère noire qui s’est ancrée en lui depuis tant d’années.

« Là-bas, je n’arrivais pas à formuler mon traumatisme, à mettre des mots sur la perte terrible de ma mère, sur ma conversion de petit garçon en assassin. »
A propos du livre :
Antoine
Antoine
Par Joyce-1 le 16 Avril 2024 Editer
Joyce-1
Très belle découverte !

Je suis directement rentré dans l'univers de Jeff, pas le choix j'y ai mis les 2 pieds en plus.

On retrouve donc jeff ce prisonnier qui doit être exécuté jusqu'à ce que la grâce présidentielle la transforme en peine à perpétuité.

Comment vit-il? Que pense-t-il ? Qu'à t'il fait ? Et quelques autres questions ont pousséma curiosité...

Il est presque cool Jeff, il ne se plaint pas, il subit sa peine bien sûr, mais il est fort mentalement. 💪🏻

Oui ce livre ma vraiment fait me questionner et quand une question a été répondue, j'en avais une autre...

Il y a 2 questions ou je n'ai pas forcément eu les réponses concrètes que j'attendais 🤷🏻‍♀️

J'ai beaucoup aimé ce livre, un huis clos qui ne prend pas la tête par la longueur.
J'ai même été un peu surprise, triste et en colère par moment.

Il y a des petites choses qu'on est surpris de découvrir, bah ouais, je m'attendais à un livre qui allait être plat, rythmé par les repas et les bagarres avec les matons, mais iboga, c'est plus que ça !

Les 50 dernières pages, j'avoue, c'était le clous du pestacle je ne m'y attendais pas !

Franchement, je vous invite à lire ce livre ou si c'est déjà fait à me donner votre avis.
A propos du livre :
Iboga
Iboga
Par Valeriegeorge le 3 Avril 2024 Editer
Valeriegeorge
Antoine
☀️☀️☀️☀️☀️

Un coup de cœur pour ce roman noir tragique, difficile de trouver mes mots pour ce roman qui m'a totalement bouleversée.
Que vous dire....que j'ai eu beaucoup d'empathie pour Antoine,un attachement si j'ose...
Pourquoi le sort s'acharne autant sur ce jeune garçon éprouvé au passé si marqué.
Pourquoi lui infliger encore tant de souffrance alors que sa vie pouvait prendre un nouveau départ.
Alors je voudrais demander à l'auteur pourquoi tant d'acharnement,ne pouvait -il pas lui offrir une meilleure vie...je sais que non car son but est ailleurs...
Ne dit-on pas que nous forçons notre destin, Antoine si sûr de lui pour une seule chose,la seule chose qu'il exprimera "il répare les injustices"...
Malheureusement le rôle qu'il s'est choisi va le conduire à un geste fatal plusieurs même, l'isoler de tous de la vie de dehors et de lui-même.
Enfermé dans son mutisme il n'aura comme seul échappatoire d'écrire des bribes d'histoire,de son histoire.

💫 Antoine est en enfant de paysans,une famille en déclin peu argentée le père décide de laisser le travail de la terre pour s'enfermer dans un atelier de construction à Dieppe .
Un travail difficile bien plus qu'il n'y paraît et puis il y a des heures passées avec les collègues au café du coin, là où tout bascule pour lui mais aussi pour le couple et la vie d'Antoine.
Antoine cet enfant chétif, choyé par une mère attentionnée trop à la vue de son mari va découvrir tout le côté sombre de son père,celui de la misère de la violence de toutes les violences dont son père se montre capable.
Un jour,sans réfléchir il commet l'irréparable, début d'une longue descente aux enfers ...
Pourtant il en est certain il répare les injustices...
A propos du livre :
Antoine
Antoine
Par Valeriegeorge le 18 Janvier 2024 Editer
Valeriegeorge
Champey est une jeune mère d'origine cambodgienne, ses parents qui l'ont adoptée à l'âge de un an ne lui ont jamais caché ses origines .

Mère depuis six ans elle a dû faire face à des choix afin de protéger sa fille Mau de son père incarcéré pour trente années. Elle décide de lui cacher la vérité et invente un passé familial.

Seule avec sa mère,les journées sont bien orchestrées afin de ne jamais laisser l'enfant seule.

Mais les nuits de Champey deviennent cauchemardesques,elle voit une vieille femme aux yeux bridés qui meurt sous les bombardements.
La scène est apocalyptique Champey doit connaître ses origines pour comprendre.

Et puis cette question qui revient en boucle...
"Qu'est devenue ma mère ? "Qui est mon père ?
Champey décide de partir dans le pays où tout à commencé le Cambodge...

Mais est-elle prête à faire face aux conséquences de ses choix ?

❇️ J'ai adoré ce livre,il s'agit de mon premier de l'auteur .

Ce roman m'a plongée dans l'histoire du Cambodge dans les années 1976 où régnait la dictature des Kherms rouges.C'est une période très sombre dans l'histoire du pays puisque tout le monde était sous la terreur de l'insurrection communiste d'avril 1975 à janvier 1979 qui décima la population.

Je me suis beaucoup attachée à Champey,tout comme elle je cherchais à comprendre le pourquoi du comment.

L'écriture fluide et les chapitres courts alternants les récits rendent ce roman immersif et addictif.

J'avais déjà entendu parlé de la mémoire trans générationnelle,le roman porte à réfléchir sur l'incidence du passé sur le présent et le futur.

Un roman noir qui vous l'aurez compris est très addictif et immersif.
A propos du livre :
Angkar
Angkar
Par crostif le 23 Août 2023 Editer
crostif
Personnage principal attachant
L'auteur rencontré sur un salon est très sympa et m'a conseillé de découvrir ses œuvres par ce roman. Je le remercie chaleureusement. Je lirais d'autres romans de Christian Blanchard
A propos du livre :
Iboga
Iboga
Par alapage le 17 Août 2023 Editer
alapage
Chaque année, j’aime bien lire quelques recueils de nouvelles. Le plus souvent, ce sont des nouvelles noires, glauques, bref, des nouvelles pour me donner de légers frissons de frayeur, et ce, malgré que je sois une froussarde. J’adore lire des romans noirs le soir avant de me coucher. Et puis, c’est toujours plaisant de découvrir de nouveaux auteurs. Ces recueils me permettent donc de faire de jolies découvertes!

Yvan Fauth nous a présenté au cours des cinq dernières années, cinq recueils basés sur les cinq sens. Je dois avouer que j’étais quelque peu sceptique lorsque j’ai commencé la lecture du premier recueil. Mon opinion a drastiquement changé lorsque j’ai tourné la dernière page. J’ai adoré le concept et j’attendais le prochain recueil avec impatience. Je venais de découvrir plusieurs auteurs et cela m’a donné le goût de pousser plus loin mes découvertes en lisant quelques romans de ces auteurs.

Cette fois-ci, Yvan revient avec un dernier recueil, donc un dernier sens et c’est celui du goût. Les auteurs de chacun des recueils ont su me surprendre au fil des ans et j’étais bien curieuse de lire celui-ci car je me doutais bien que cela ne serait pas facile de mélanger nouvelles noirs et Déguster le noir. Comment associer un mini thriller à ce cinquième sens sans tomber dans la redondance ou le déjà-vu?

Je fus agréablement surprise, encore une fois, par la créativité des auteurs. Certaines nouvelles étaient choquantes, d’autres assez glauques… Mais c’est un fait, aucune ne m’a laissé insensible. J’ai même senti des frissons de frayeur et de dégoût à certains moments. Je n’aurais jamais pensé que certains auteurs iraient aussi loin dans la noirceur de leur nouvelle.

Encore une fois, je ressors de la lecture de ce recueil en ayant vécu une multitude d’émotions. Bien évidemment, j’y ai découvert et redécouvert la plume de certains auteurs, et ce, à mon plus grand plaisir. Pour ce dernier recueil, Yvan a osé y aller en force avec plusieurs auteurs reconnus, et qui, avant même de commencer à lire leur nouvelle, je savais que j’allais prendre plaisir à les redécouvrir.

Finalement, après avoir lu les cinq recueils, je peux affirmer que c’était une idée tout à fait géniale. Aucun projet ne ressemble de près ou de loin à celui-ci et je lève mon chapeau tant aux auteurs qui ont embarqué dans ce projet, mais surtout à Yvan Fauth qui a su mener ce projet admirablement! Est-ce que l’an prochain Yvan nous reviendra avec un nouveau projet?

http://alapagedesuzie.blogspot.com
Par Evalyadu13 le 12 Août 2023 Editer
Evalyadu13
Tout d'abord merci aux éditions Belfond Noir pour ce service presse.


Il s'agit d'une série de nouvelles relataient par les grands noms du genre, plus glaçantes les unes que les autres, certaines vous raviront plus que d'autres.

Tout est une histoire de goût, ceci dit c'est bien résumé

car ce cinquième opus de nouvelles est en rapport avec le goût.

D'ailleurs si cela vous a passionné, vous pouvez toujours lire les autres livres en relation avec les sens (l'odorat, l'ouie, le toucher, la vue)...

Vous n'en ferez qu'une bouchée !

Nicolas Beuglet, Christian Blanchard, Pierre Bordage, Patricia Delahaie, Sonja Delzongle, R. J. Ellory, Jacques Expert, Jérémy Fel, Nicolas Jaillet, Anouk Langaney, Ian Manook, Bernard Minier et

Cédric Sire : treize auteurs prestigieux, maîtres incontestés du frisson, nous entraînent dans une cinquième exploration sensorielle inédite autour du goût.

Autant de nouvelles originales, singulières et terrifiantes à la rencontre de personnages succulemment cruels ; autant d'histoires délicates qui satisferont papilles et méninges les plus affûtés.

Un recueil plein de vengeance, de coups bas et mortels, à savourer froid au chaud, avec tous les sens en alerte.

Vous aurez comme moi vos préférées, pour ma part "La visite" de Nicolas Beuglet,m'a le plus marqué, car je ne m'y attendais pas du tout!

"Joe" de Christian Blanchard m'a ému aux larmes, bon ok je suis sensible mais vous le savez depuis le temps!

"La feijoada" de Ian Manook est pour ma part la plus rusée car ne dit on pas que tout ce sait ? et

enfin "Les jalousies" de Sonja Delzongle donne une leçon de vie, agir sous la colère, n'est pas toujours une bonne solution, au contraire...

Je vous souhaite une bonne lecture, vous allez vous régaler, enfin façon de parler...
Par LeschroniquesdeLyane le 7 Août 2023 Editer
LeschroniquesdeLyane
Quand les meilleurs auteurs de polars se mettent ensemble pour nous servir…
C’est le dernier sens à être mis en scène, nous sommes donc aujourd’hui conviés à déguster 13 nouvelles publiées sous la direction d’Yvan Fauth. Pour ceux qui ne connaissent pas le projet des recueils de nouvelles autour des cinq sens, il faut que j’explique que c’est le cinquième et dernier opus et que l’impatience est grande chez les lecteurs fidèles pour savoir quel pourra bien être le thème des prochains. Tous pensent qu’il est impossible que le collectif talentueux s’arrête à 58 nouvelles noires et très noires.
Les explorations sensorielles se terminent avec le goût et vous vous en doutez bien, j’ai trouvé des cannibales. Je ne vais pas vous faire la liste des textes et des auteurs mais vous donner ceux qui ont généré des émotions intenses, car oui, ils sont doués et non, ils ne sont pas tous assez doués pour avoir vingt sur vingt. Bernard Minier, par exemple, m’a déçue, sa construction autour des discours me paraissant trop simple. Tout comme R.J Ellory mais là, il y a peut-être eu un défaut dans la traduction. En revanche, les mets aussi succulents que l’écriture d’Anouk Langaney m’ont repue tout comme l’esthétisme et le pathétique de la nouvelle de Sonia Delzongle. Au même niveau, je citerais Feijoada de Ian Manook pour le plat devenu outil de vengeance et je trouve que Nicolas Beuglet ne sera pas reconnu comme ambassadeur de la campagne malgré ou à cause de son talent à nous faire peur.
Vous le voyez, il y en a pour tous les goûts et vous allez pouvoir déguster en toute sérénité après ces avertissements.
Je remercie très sincèrement les Editions Belfond pour avoir accepté aussitôt ma demande de Service Presse et #NetGalleyFrance pour l’envoi du fichier numérique #Dégusterlenoir. Je félicite Yvan Fauth qui sur ces cinq recueils de nouvelles a prouvé qu’il était le maillon indispensable pour faire œuvrer les meilleurs auteurs de polar ensemble.
Par Armony22 le 26 Juillet 2023 Editer
Armony22
Le patron Yvan Fauth a le plaisir de vous convier à déguster un repas d'exception dans son nouveau restaurant.
Aux fourneaux, 13 grands chefs du noir ont revêtu leur toque et tablier pour vous mitonner un dîner aux petits oignons.
Un menu savoureux que chaque chef a assaisonné à sa sauce. Une bonne dose d'imagination, un soupçon de cynisme, une grosse louche d'humour noir, une pincée de gore et un zeste d'horreur. Ajoutez une pointe d'angoisse et arroser le tout d'émotions. Laissez mijoter quelques minutes. C'est prêt !
Voilà 13 nouvelles qui ne manquent pas de sel !

En guise d'apéritif, Bernard Minier vous offre un Bloody Mary à sa façon.

Anouck Langaney s'est chargée des hors d'oeuvres pour vous mettre en appétit.

Patricia Delahaie vous a concocté une entrée à base de truffe.

Pour le plat principal vous avez du choix :

Christian Blanchard et Jérémy Fel revisitent des plats traditionnels, du classique à la dystopie.

Ian Manook vous sert une Feijoada épicée saupoudrée d'argot. La java des papilles !

Et le plat de résistance vous est proposé par R.J. Ellory. C'est en quelque sorte la surprise du chef.

Pierre Bordage et Jacques Expert, en bons gourmands, se sont occupés de goûter tous les mets. Ils ont donné leur feu vert.

Nicolas Beuglet vous sert les fromages. Tout est bio et local ! Le conseil du chef, le parmesan. Perso, je ne suis pas très fromage, je vais donc passer mon tour.

On passe au succulent dessert, les alfajores, un dessert d'origine hispanique proposé par Nicolas Jaillet. Mais il aurait tout aussi bien pu s'occuper du barbecue.

On termine avec Sonja Delzongle et on déguste un café un peu trop corsé.

Ils ont pensé à tout ! Pour vous remettre de ce copieux repas et vous permettre de rentrer à nouveau dans vos jeans, Cédric Sire vous présente un programme de régime à faire pâlir Weight Watchers.

Vous prendrez bien un petit digestif pour faire passer tout ça ?

Pour un repas de cette qualité, avec des mets raffinés et délicats, l'addition est loin d'être salée. Vous en aurez pour votre argent. Vous sortirez de table repus, un peu écoeurés peut-être, mais satisfaits.

C'est délicieusement noir et à savourer sans modération. Je me suis régalée.

À table !!!
Je vous souhaite une bonne dégustation.

https://www.facebook.com/lecturesnoirespournuitsblanches
Par Christele-1 le 12 Juillet 2023 Editer
Christele-1
On dit qu'il ne faut jamais être treize à table, que cela porte malheur. Pourtant autour du festin que nous propose treize auteurs, nous feront donc office du quatorzième convive car il s'agit bien là de déguster le noir comme jamais. Treize auteurs, treize nouvelles toutes plus succulentes les unes que les autres. Gastronomie et nouvelle riment enfin dans un ensemble savoureux. Comme toujours selon les préférences nous seront plus où moins touchés, piqués, passionnés par certaines plus que par d'autres. Pour ma part je vous propose de vous donner mon top trois de ces courtes histoires qui ont su me faire frissonner. En numéro trois je placerais : «  Amertumes » de Pierre Bordage. Une histoire de goûteur, une profession méconnue et oh combien risquée à tout point de vue. En numéro 2 :  « Joé » de Christian Blanchard. Un conte onirique qui n'est pas sans rappeler Des souris et des hommes de John Steinbeck. Un boxer, véritable colosse qui ne voulait rien d'autre que savoir quel goût à la me. Accompagné de son ami manager dans un road trip émouvant. Et pour finir mon numéro 1 pas tant pour son contenu que pour sa forme : « Feijoada » de Ian Manook. Un texte taillé au millimètre, il faut savoir que « Souvent l’Arménien est sanguin ». Quand un ancien taulard règle ses comptes autour d'une Feijoada légendaire ! On se délecte de la prose truculente et de l'argot revisité avec un humour noir à couper au couteau.
J'arrive un peu après la bataille puisque quatre recueils de nouvelles sont déjà parus avant celui-ci qui ont permis d'explorer les cinq sens. A travers la vision oh combien talentueuse d'auteurs triés sur le volet et représentant la crème de la crème dans le monde du roman noir, du polar et du thriller.
Laissez vous porter par cette sélection, vous ne risquez aucun surdosage. Bonne lecture.

http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2023/07/12/39931839.html