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Tous les livres de Claude Duneton

Quelle est l'origine de la curieuse expression à la mode : prendre son pied ?... Pourquoi dit-on lorsqu'on ne se sent pas bien, qu'on n'est pas dans son assiette, ou au contraire qu'on reprend du poil de la bête si l'on va mieux ? Pourquoi passer l'arme a gauche veut-il dire "mourir" et mettre a gauche "faire des économies" ?...

Ce livre a pour objet de répondre a toutes ces questions. Ce n'est pas un dictionnaires mais un récit, écrit à la première personne par un écrivain fouineur, sensible à l'originalité du langage. Un récit alerte, souvent drôle, qui mêle l'érudition au calembour, mène à la manière d'une enquête policière et qui aiguillonne à vif la curiosité du lecteur.

Comme toutes les communes de France, Lagleygeolle en Corrèze, terre natale de Claude Duneton, a perdu nombre de ses fils lors de la tuerie de 1914-1918. Sur le monument aux morts du village, vingt-sept noms sont gravés dont bien peu de gens se souviennent aujourd'hui. Claude Duneton a choisi de faire revivre, un à un, ces garçons perdus dont les traces sur la stèle l'accompagnent depuis l'enfance. Paysans ? certains ne parlaient que le patois de la paroisse ?, ils étaient partis sans finir les moissons, dans l'espoir de revenir pour les vendanges. Il en fut autrement. Dans ce bouleversant « roman vrai », l'auteur s'est laissé guider par ces hommes innocents, fraternels, autant que par son propre père, survivant plein d'amertume. Il est allé, à leur suite, jusqu'au fond des tranchées boueuses, au coeur des orages d'acier qui les ont broyés.

Le fabuleux destin d'une obscure brodeuse devenue la première femme océanologue au monde...

1812. C'est au milieu d'un troupeau de boeufs et avec comme chaperon un maquignon cousin de son père que l'adolescente Lili Villepreux quitte sa Corrèze natale pour tenter sa chance à Paris... Adoptée par une ouvrière farouchement antinapoléonienne qui lui apprend le métier de brodeuse, la petite provinciale découvre l'univers du théâtre grâce à de menus travaux réalisés gratuitement pour des comédiennes en vogue... Autodidacte tenace et surdouée, ouvrière inclassable et élégante, elle s'émancipe au fil des années jusqu'à son mariage en Sicile avec un riche négociant anglais : James Power. Bientôt passionnée par la vie sous-marine, la jeune femme plonge d'étranges cages dans la mer et s'impose comme la fameuse «Dame de l'Argonaute», inventeur de l'aquarium...

Mettant en scène avec une rigueur ethnologique langage, culture populaire et façons de vivre des Français au déclin de l'Empire et au début de la Restauration, Claude Duneton dévoile à travers ce roman historique la vie fascinante et méconnue d'une pionnière scientifique de génie, traversant les soubresauts d'un XIXe siècle en pleine ébullition.

Il était une fois… l’enfance d’un roi : Petit Louis, dit XIV. De deux galaxies incompatibles, Anne d’Autriche (Espagnole fantasque, comploteuse, hardie, ennemi de Richelieu) et Louis XIII (dévot, taciturne, chaste, vibrant à certaines amitiés), naîtra, à la suite d’un orage propice, le 5 septembre 1638, Louis XIV.

Ce chérubin tant attendu, ce « Dieudonné » est poupon bien dru, sorte de Gargantua, qui assèche une flopée de nourrices et apprend le monde à travers complots, cajoleries, chuchotis. L’oreille de ce bambin royal sera bercée de mille châteaux en Espagne, des colères du Roi, dont l’enfant a une peur bleue, d’événements historiques (la révolte des Va-Nu-Pieds en Normandie, 1639-1640), d’échos de conspirations, de terreur (panique de la Reine à qui le Roi veut toujours retirer ses enfants), mais aussi de chansonnettes, légendes, contes, jeux délicieux, etc.

Les mémoires de Pierre de La Porte, favori de la Reine, puis premier valet de Louis XIV enfant, traversent le roman de part en part et nous emmènent hors du château, par les villes et le pays.

C’est ainsi que l’on arrive à la merveilleuse et longue agonie hallucinée de Louis XIII. Le 14 mai 1643, Petit Louis devient le Roi-Soleil. Il règnera très longtemps…

Bâti sur du vrai, du vraisemblable, écrit dans une langue populaire du XVIIe siècle remaniée, et pour ainsi dire restitue admirablement pour le lecteur d’aujourd’hui, c’est l’Histoire de France racontée par Duneton de façon complètement neuve et ingénue, c’est la crèche qui recommence avec un drôle de Petit Jésus : Petit Louis !

Le français familier, pourquoi ? Parce qu'il existe des mots que tout le monde emploie, du président de la République au plus humble des citoyens, et qui n'ont pourtant pas le même statut dans la langue que le français conventionnel, le même droit de cité dans la communication. Exemples : La confiote... un casse-croûte... le fric... les pépètes ... une bibine... une liquette... les loupiots... les tifs... droper ... tomber sur un os... la flotte... un moutard... se planter... la belle doche... se cailler... une bafouille ... à Pétaouchnok... à perpète... la trouille... se carapater... le boulot... une torgnole... un patelin... En somme, il s'agit ici d'un guide pratique du bon usage de la langue de tous les jours dans la France d'aujourd'hui.

Quelles sont les origines d'expressions comme reprendre du poil de la bête ou passer l'arme à gauche ? Il ne s'agit pas d'un dictionnaire mais d'une sorte de récit écrit à la première personne s'appuyant sur l'originalité du langage et cherchant à expliquer certaines expressions familières.

(source : laprocure)

La Chapelle-aux-saints. C'est dans ce lieu qu'a été mise à jour la sépulture d'un homme de type Néandertal.

Claude Duneton en prend prétexte pour raconter, avec humour, la fin d'un vieillard préhistorique.

Une truie, c'est vorace. Ca vous avalerait le diable et son train... Si par hasard un jour elle rechigne, elle se détourne de son banquet, rien ne va plus. Une truie qui jeûne est une truie malade, elle file un mauvais coton...

Les profs non plus ne manquent pas d'appétit. Nous avons des boulimies tenaces, intellectuelles s'entend. Nous croquons les enfants tout crus...et puis un jour il vient des répugnances. Le malaise, dit-on, nous envahit. C'est que pour enseigner, il faut avoir la foi. L'une ou l'autre, n'importe laquelle. Une foi qui écarte le doute sur le sens de la profession. Si on la perd, on est foutu.

C'est joli une truie. C'est plein de mamelles. Un prof aussi. Mais je suis comme une truie qui doute, je ne suis plus bon à rien.

« Avant le dentier tout rose qu’il s’est acheté après la Libération, mon père n’avait que deux dents, bien écartées sur la mâchoire du haut, devant. Elles étaient couleur de paille… Avec les deux dents qu’il avait en bas, en vis-à-vis, on aurait dit une pince double quand il riait aux éclats.

Particulièrement dans les coups très joyeux et drôles où il renversait la tête en arrière… Mais finalement c’était un air très paternel, je pense. Après tout, la chienne aussi avait des crocs jaunes qui dépassaient sous sa babine quand elle souriait. Ça faisait un air de famille, je trouvais. »

Pétain. La France rurale. Le peuple vaincu. Une mère excédée. Un père, marqué par la guerre de 14, indiscipliné fondamental. Et leur fils, qui traîne toujours là où il ne faut pas. Qui n’en fait qu’à sa tête. Qui n’écoute que ce qu’il veut, pas même sa mère qui le fait grandir dans la certitude qu’il finira mal, que les Maisons de Correction ne sont pas faites pour les chiens. Avec eux, ou plutôt près d’eux, vit la chienne Rita. Bouche inutile. Bonne à rien, elle aussi. Complice du fils. Tous deux, pendant ces années rudes, mènent le même combat : éviter les coups et vivre au mieux leur vie de chien.

Des années plus tard, Claude Duneton se souvient et évoque avec émotion le pays de son dernier roman - Le Monument. Fidèle à sa Corrèze natale, l’auteur n’a pas oublié cette époque, aujourd’hui révolue, où les familles restaient toujours au village, où les gens ne se mélangeaient pas. La Chienne de ma vie est le récit poétique et nostalgique de ce monde archaïque.

Amoureux de la langue et fin connaisseur de l'histoire des mots, Claude Duneton leur consacre, depuis quelque trente ans, une recherche aussi attentive qu'ininterrompue. Tour à tour piquant, grinçant, savant, drôle, mais toujours bien vu et parfaitement documenté, cet ouvrage est un heureux florilège de son travail. Pour connaître l'origine de tel ou tel mot, l'évolution de telle ou telle expression, savoir le pourquoi et le comment de la dérive langagière, de l'irruption - et parfois de la disparition - d'un anglicisme, il faut lire cette formidable « histoire » des mots par l'un des vrais amoureux de la langue française.

"Ceci est un hommage à Louis-Ferdinand Céline. Avant que la page soit tournée, et le siècle. Céline était revenu en France en 1951, après l'exil au Danemark. Quand il a posé le pied sur le sol de Nice, le 1er juillet, venant de Korsör, il lui restait dix années à vivre. J'ai voulu envoyer un salut à l'artiste, pour ses cent ans. Disons que j'ai composé une "ode à Céline", à l'occasion de ses cent bougies !... Mais quoi qu'on écrive sur son dos, il se retournera dans sa tombe ! Il nous l'a promis : "Je veux passer fantôme ici, dans mon trou... Dans ma tanière...je leur ferai à tous... Hou !...rouh !... Hou !... Roug !... Ils crèveront de peur... Ils m'ont assez emmerdé du temps que j'étais vivant... Ce sera bien mon tour..." (Bagatelles pour un massacre)." C.D.

Cet anti-manuel est un livre ouvert...

Il s'adresse à tout le monde : aux jeunes, aux moins jeunes et même aux carrément vieux. Il est fait pour tous ceux qui en ont marre du langage scolaire, des histoires littéraires en forme d'encensoir, des célébrations, des dissertations à pleurer...

C'est un livre de parti pris. Il ne cherche pas à s'abriter derrière une soi-disant " neutralité » dont on sait ce qu'elle cache — et personne n'est obligé d'être de notre avis. Manuel critique à discuter, à compléter, prolonger, colorier... Il est à refaire, en somme, au gré du lecteur.

A hurler le soir au fond des collèges

Il existe une crise sérieuse en ce qui concerne l'enseignement de la langue française, c'est exact. Il s'agit de l'analyser à fond, sans aucun préjugé, et de tâcher de penser à des solutions... Pas de montrer son voisin du doigt - ce qui est extrêmement malpoli.

C'est l'objet de ce livre, lequel apporte certaines "révélations" sur l'état des choses que c'en est... à hurler ! - le soir, au fond des collèges.

Claude Duneton

A enseigné le français et l'anglais dans divers établissements secondaires.

Frédéric Pagès

Professeur de philosophie (et de psychopédagogie), journaliste.

Ceci est un roman classique, définitivement moderne, cocasse, énorme et tendre ; c'est "la vie de bohème" dans les années 1970. Un retour dans le même neuvième arrondissement de Paris revisité. Le narrateur s'appelle Robert - mais comme la vie, parfois, nous change le nom de baptême, à la fin il est devenu Jean. L'amoureuse se nomme Carolina, par goût du romanesque. L'ami, c'est Clément, dit Le Tiaf, dit Moineau... Il s'envolera. Elle s'encourra, loin, sous le bonnet du monde. Mais Paris s'appellera Paris, tout du long. L'amour se dira "tendresse". La folie s'en prendra aux murs, la mort aux vivants. La pluie viendra, entre deux rires finalement... A la fin de ce roman, le narrateur est devenu lui-même, un "homme fait", comme on dit. Il s'est endurci. Selon les mots du poète : "On est partis dans la vie avec les conseils des parents, ils n'ont pas tenu devant l'existence."

Alors que nous vivons le dernier automne du millénaire qui a vu naître notre langue, Claude Duneton expose dans ce livre la plus provocante des thèses : vivons-nous, aveugles ou impuissants, la "mort du français" ? Alors que la disparition de notre langue reste considérée, par les linguistes, comme un pur fantasme, une peur irrationnelle exprimée seulement par quelques académiciens nostalgiques, l'auteur entraîne le lecteur dans un voyage en France à travers le temps et les langues. Il évoque longuement l'importance qu'a eue la suppression des langues secondaires, rappelle, fait méconnu, que notre pays est le seul en Europe, et peut-être au monde, où les quatre-cinquièmes de la population ont changé de langue depuis cent ans. Quatre-vingts pour cent des familles françaises n'étaient pas de " langue française ". Et il souligne cette évidence : " Le français n'est pas véritablement la langue des Français. Fabriquée dès le départ par une chatoyante élite, puis travaillée au long des siècles comme un bijou par une coterie de gens du monde, elle ne possède aucune assise locale, aucun terreau régional sur lesquels elle a poussé. " Alors que l'anglais, l'allemand, l'espagnol, ou plutôt le castillan, sont des plantes de " plein air " qui sont les produits d'une lente germination sur leurs sols nationaux, le français, lui, est une plante de serre, choyée, raffinée, distribuée ensuite à la nation Française en lui faisant obligation de ne pas l'abîmer. Cher lecteur, Claude Duneton vous apprend que la langue française n'a peut-être plus que votre vie devant elle : rendez-vous compte que ce n'est pas l'éternité.

1991, la Russie postsoviétique part à la dérive. Dans la splendeur déchue de Pétersbourg, Claude Duneton découvre les ruines du communisme, qui fut l'idéal de sa jeunesse. Partageant la vie difficile des habitants, le narrateur replonge dans la magie des espérances évanouies. Une famille paysanne en Limousin, où les noms de Staline et de Thorez résonnaient comme ceux des héros antiques. Et où l'attente du Grand Soir permettait d'endurer l'injustice sociale, la mise en apprentissage précoce des enfants... Dans une langue savoureuse et précise, Duneton fait resurgir le monde des ateliers qu'il a trop tôt connu, "l'odeur des perceuses, de ce produit laiteux dont on barbouillait les forets, mélangé à la limaille". Alors la révolte semblait aller de soi...

Entre le vieux rêve communiste français au parfum de terroir et les illusions perdues de la Russie d'aujourd'hui, ce récit se construit dans un va-et-vient tendre et douloureux. Dénonçant la grande imposture idéologique, Loin des forêts rouges est aussi une méditation sans amertume sur une génération de dupes, à l'Est comme à l'Ouets, qui ont gardé la force d'espérer.

Claude Duneton est un détective un peu particulier, il poursuit les mots, il les débusque et les découvre pour raconter leur histoire, pour notre plaisir à tous.

Les Origimots ou de l'art de réconcilier les choses et les mots. Claude Duneton invite les enfants du XXIe siècle à un merveilleux voyage dans le temps, en proposant sept visites à rebours, du XXe siècle au Moyen Âge, pour assister à la naissance des mots. D'où viennent les mots. Parfois de loin dans le temps et dans l'espace, ils font des tours et des détours. Ainsi le mot «tlacacahualt», qui vient des Aztèques au Mexique, après une pirouette est passé par l'Espagne, pour devenir «cacahuète» chez nous.

De manière à les mettre en bouche, la langue française joue avec les mots nouveaux, les mots d'argot, les mots d'oiseaux, les onomatopées. Elle fait aussi du nouveau avec de l'ancien, façon de dire bien haut que notre langue est belle et vivante.

Marguerite aurait bien pu rester une petite délinquante, une petite paumée. Mais un jour, la chance lui a souri. Ou du moins, Marguerite a su saisir ces deux ou trois perches que la vie tend à tout un chacun, mais que beaucoup laissent filer. Ainsi, Marguerite, du haut de ses dix-huit ans et d'un passé qu'on imagine déjà lourd, va-t-elle vivre dans le cadre du festival du théâtre de San Geminiano, en Toscane, une véritable rédemption. La découverte de la vie. Il y a un homme à la clé, bien sûr, mais il y a aussi beaucoup de copains, de paysages enchanteurs...

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