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Tous les livres de Colette Vlérick

Pendant des siècles, les moulins qui se succédaient au fil des rivières ont modelé le paysage du nord du Finistère. Sur le Kanol, un des affluents de l'Aber Benoît, Moulin Vieux est, depuis plusieurs générations, aux mains d'une même famille.

Après la guerre de 1914-1918, Jean Salaün confie à sa petite-fille Marie la charge de poursuivre l'œuvre de leurs ancêtres. Il lui transmet son savoir-faire et la passion de son métier. De 1910 à nos jours, trois femmes vivent au quotidien l'évolution de la meunerie : Rose, sa fille Anne-Marie puis sa petite-fille Marie font face aux grands événements de l'histoire et aux accidents de l'existence sans perdre de vue l'essentiel : la qualité de la farine sortie de leurs meules. Avec Le Blé noir, Colette Vlérick signe un superbe tableau de la vie rurale en Bretagne.

Pont-L'Abbé, pays bigouden, 1905...

Depuis qu'il a croisé les yeux bleus d'Hélène qui peignait sur les quais de la ville, Yann Toulemont dix-sept ans - sait enfin quel sens donner à sa vie. Il ne sera pas tailleur comme son père. Il va peindre ! Lui qui a toujours rêvé de papier, de pinceaux, de couleurs... Oui, il peindra, mais avec des fils et des aiguilles. Il sera brodeur Et pour conquérir sa belle, il brodera le plus joli corsage qu'on n'ait jamais vu. Mais il ignore que le destin peut parfois se montrer plus cruel que le vent qui balaie les côtes bretonnes en hiver...

Fin du XIXe siècle en Bretagne. Dans ce petit village de la pointe du Finistère, c'est une véritable lutte contre les éléments que doivent mener ces hommes qu'on appelle "les goémoniers". Orpheline à douze ans, Madeleine en sait quelque chose.

Très vite, elle rejoint les hommes sur la grève : inlassablement, le dos courbé, de l'eau parfois jusqu'à la taille, ils récoltent les algues puis les font sécher sur la dune pour les vendre plus tard au meilleur prix. Heureusement, il y a Yves. C'est l'homme que Madeleine a choisi. Ensemble ils se battent pour offrir à leurs enfants un avenir moins sombre. Le jour où leur fille aînée épouse un quartier-maître, ils voient enfin naître l'espoir de jours meilleurs... Un magnifique tableau d'une communauté de pécheurs bretons où le drame, la fierté et le courage font partie intégrante de la vie quotidienne.

La Marée du soir s'ouvre sur le geste immémorial du pêcheur qui met son filet à l'eau et le ramène chargé de sa moisson vivante. A Quiberon et à Belle-Ile dans les années trente, la pêche à la sardine et sa mise en conserve font vivre une communauté très active et très gaie. Emile est l'un de ces pêcheurs à forte personnalité, respecté de tous, qui n'a pas volé son surnom de " Mon Cousin le Roi de la Sardine ". De son mariage avec la " Belle Angèle " est née Jeanne-Yvonne dont le rêve est de devenir institutrice. A la suite d'une violente dispute avec sa femme, Emile, dévoré par la jalousie, quitte brusquement le domicile conjugal. Angèle lui inflige une vengeance humiliante en travaillant dans la conserverie de sardines gérée par un ancien soupirant. En 1937, la tempête jette à la côte des réfugiés espagnols. Jeanne-Yvonne se prend de passion pour l'un d'eux, passion sans avenir possible mais qui renforce la jeune fille dans son idéal. Après le retour inattendu d'Emile, cette famille déchirée va peu à peu se réconcilier pour mieux résister aux événements. Contre vents et marées, Jeanne-Yvonne accomplira son destin.

Finistère nord....La culture de la fraise de développe dans la presqu'île depuis le milieu du XIXe siècle. On se dispute à grand renfort d'argent les meilleures terres, "ces terres chaudes" où le fruit pousse si bien.

Début du XXe siècle. Au hameau de Kerbiel en Plougastel, la famille Le Gall, dont les ancêtres ont acquis une belle prospérité grâce à la culture du lin, continuent d'accroître leurs biens en agrandissant leurs fraiseraies. Les deux filles Le Gall, Blanche et Eugénie, sont liées par un secret : le terrible accident qui a causé la mort du petit frère et qui a fait de Blanche une infirme. En 1903, apprenant le départ d'émigrants pour le Canada, Blanche convainc l'un de ses oncles de l'emmener. Mais l'exil est rude pour cette belle jeune femme, profondément liée à sa Bretagne et à sa sœur.....

Tandis que Blanche reconstruit sa vie dans les vastes plaines de l'Ouest canadien, Eugénie épouse un voisin. Le domaine des Le Gall s'agrandit donc de nouvelles terres productives. Année après année, la vie réservera aux deux sœurs joies et coups durs. Longtemps, elles se demanderont ce qui les réunira, la réussite, le chagrin ? Ou bien le secret qui pèse sur elle - la mort du jeune frère -, les séparera-t-il pour toujours ?

En 1740, s'ouvre la nouvelle manufacture royale des tabacs de Morlaix.

L'herbe à la reine, surnom du tabac inspiré par Catherine de Médicis, assure aux ouvriers un salaire régulier et des avantages sociaux uniques. Dans le port arrivent des navires chargés de marchandises du monde entier, source de richesse pour l'ensemble de la ville.

La prospérité bénéficie à tous : à Anna, la jolie domestique ; à l'opulente famille Le Dantec, négociants en gros, qui l'emploie ; à Loïc Madec, le cousin corsaire...

Jusqu'aux années difficiles de la Révolution et à la fermeture de la manufacture, les destins heureux ou chahutés des trois familles s'entrecroisent sur les pavés de Morlaix.

Colette Vlérick vit dans le Finistère. Elle fut saluée dès son premier roman, La Fille du goémonier, par un grand succès en librairie et par le prix Bretagne. Ses livres témoignent tous de son attachement à la Bretagne et s'appuient sur des recherches approfondies.

À Morlaix, la réouverture de la manufacture des tabacs par Napoléon Ier donne un coup de fouet à la ville. Après les années de turbulences révolutionnaires, descendants de corsaires, marins, commerçants, ouvriers et paysans mordent dans la vie à pleines dents. Ainsi Charles Dirou devient-il contremaître et pompier à la manufacture, Joséphine Launay, papetière, ou Jean-Nicolas Bozec, notaire. Et Gabrielle, la belle et généreuse brodeuse aux doigts d'or, fait merveille dans l'atelier de roulage de cigares. La modernité est en route et, désormais, le chemin de fer traverse la ville sur son fameux viaduc.

Certains secrets ont un prix qui ne se paye pas en argent. Léon Mortain, qui a créé une entreprise de transports à Portquay à la fin de la Deuxième guerre mondiale, l'apprendra à ses dépens. Il suffira de quelques !ours pour que son univers bascule dans le cauchemar.

Dans Vengeances, se croisent un ninja fou, un homme prêt à tout pour apaiser sa souffrance, un commissaire très étrange, un innocent... Beaucoup d'innocents, en réalité, et beaucoup de coupables. Tous paieront le prix du secret de celui qu'on appelait " Monsieur Léon ".

Après celles d'Anna et Gabrielle, Colette Vlérick raconte la vie d'une troisième héroïne dont le destin est lui aussi lié à la manufacture de tabac de Morlaix au xxe siècle.

Anne-Marie, la petite-fille de Gabrielle, naît au début du xxe siècle, après trois garçons.

Sa mère, Julie, a épousé un négociant aisé de Morlaix qui fait faillite et disparaît dans un naufrage au large du Maroc où il espérait rebâtir sa fortune. Elle doit quitter sa belle maison et s'installe à Keranna tandis qu'Anne-Marie habite à Morlaix chez des amis de la famille pour poursuivre sa scolarité. Ses frères font leurs études à Paris, loin des commérages. Arthur, un cousin de Julie devenu le médecin de Locquénolé, épaule Julie et joue un rôle paternel auprès d'Anne-Marie. La guerre de 14-18 coûte la vie aux deux aînés de Julie tandis que la grippe espagnole emporte le troisième en 1919. Brisée, Julie meurt quelques années plus tard. Anne-Marie, en tant que soeur de soldats tombés au front, bénéficie d'un emploi à la Manufacture de tabac.

Quand elle prend sa retraite, elle devient à son tour « la dame de Keranna ».

Toute sa vie, comme sa grand-mère et sa mère, Anne-Marie a tenu un « journal de bord » dans lequel elle a consigné les événements de sa vie, privés ou publiques. Elle y décrit l'évolution des conditions de travail, les relations entre les ouvrières, l'évolution des mentalités, les transformations de Morlaix, de Locquénolé et de la Bretagne en général...

1865, en Bretagne dans le Finistère.

Jean-Marie Le Guen, jeune paysan de douze ans brutalement orphelin, est mis en apprentissage à la Société linière du Finistère à Landerneau. Portée par la réhabilitation du lin pour la fabrication des toiles à voile, la Linière est alors en pleine expansion.

Jean-Marie est encadré par des mécaniciens écossais, embauchés par la filature pour s’occuper de machines hydrauliques ultramodernes importées de Grande-Bretagne. Le travail, harassant, l’occupe quatorze heures par jour, du lundi au samedi, mais Jean-Marie est courageux et ambitieux. Il se promet de tout faire pour améliorer sa condition. Grâce à l’aide d’un pharmacien philanthrope, il apprend à lire, à compter. Il peut bientôt rêver d’un avenir meilleur. Mais un lien puissant le retient à la Linière : ses sentiments secrets pour la fille de Mc Leod, l’intimidant contremaître en chef, dont il est tombé amoureux dès le premier jour…

(Source : Calmann-Lévy)

Emily croyait avoir réalisé le plus beau de ses rêves, régnant sur le meilleur restaurant de Quimper avec vue sur la cathédrale, elle aux fourneaux et un mari élégant et cultivé à l'accueil.

Heureuse sans doute, avec les souvenirs de son Angleterre natale, dans les Cornouailles, sa passion pour la Bretagne et son métier. Mais le temps modifie les caractères et les cœurs.

Sept ans plus tard, Emily divorce d'un époux décevant et découvre que la réussite et le travail n'étaient qu'une fuite. Jamais elle n'a oublié les lieux enchantés d'autrefois, ni sa famille ni Alan Tavistock, le prince charmant de son adolescence...

Source : Pocke

1874. Quand Jean-Marie Le Guen atteint sa majorité, il est devenu mécanicien à la Société linière du Finistère à Landerneau. Orphelin de père et de mère, il y a commencé comme apprenti quand il avait douze ans. Il s’est lié d’amitié avec les techniciens écossais qui encadrent les ouvriers sur les métiers modernes importés de Grande Bretagne.

Jean-Marie, qui aspire à devenir contremaître, est épris de Mary, la fille du chef mécanicien, l’intimidant Mc Leod. Celui-ci sera-t-il prêt à laisser sa fille faire sa vie avec un Breton ? Les difficultés de la Linière, dues au déclin du lin, précipitent les événements. Comprenant qu’il lui faut quitter l’entreprise s’il veut se forger un avenir professionnel, Jean-Marie n’a pas d’autre choix que de braver le redoutable Ecossais... ou d’enlever sa fille...

Entre Bretagne et Québec, la suite des Terres chaudes. L'épopée des enfants de Blanche et d'Eugénie, héritiers des terres chaudes où poussent les délicieuses fraises de Plougastel, la nouvelle génération des Le Gall, porteuse d'espoir et de modernité, dans l'entre-deux-guerres.

Dans le monde en mutation de l'entre-deux-guerres, en Bretagne et au Canada, deux sœurs arrivent à un tournant de leur existence. Héritières de terres familiales à Plougastel, où poussent les célèbres fraises, Blanche Le Bras et Eugénie Kervella ont construit des destins très différents. Blanche a choisi l'exil dans l'Ouest canadien, où elle s'est forgé une vie heureuse auprès des siens dans l'esprit pionnier des migrants bretons. Sa cadette, Eugénie Kervella, fragilisée par son veuvage, l'y a rejointe avec ses enfants sans réussir à s'adapter au froid ni à l'espace ; elle se languit de la mer et de sa Bretagne, si lointaines... Lorsque deux lettres arrivant du Vieux Continent les invitent à rentrer à Kerviel, leur village natal, pour régler de difficiles affaires de famille, vient le temps des décisions. Le cœur et la raison entre deux pays et deux traditions, Blanche et Eugénie doivent choisir : quel héritage culturel et patrimonial, quelle vie transmettre à leurs enfants ?

Le jour où Julien Seyrols, dit Blaireau, photographie une superbe rousse au milieu d'une manifestation, il ignore que cela lui vaudra, des années plus tard, d'être condamné. De la même façon, quand la belle Salomé Droz traîne Julien en justice, elle ne sait pas encore que cela l'obligera à affronter une vérité très déplaisante.

Quant au commissaire Didier Lhernot, découvert dans Vengeances (éd. du Palémon, 2003), jamais il n'aurait imaginé finir sa carrière à Portquay, sur les lieux mêmes de ses débuts. Heureusement pour lui, Clara ne le laissera pas affronter seul le sac de noeuds qui l'attend: lettres anonymes, barbouillage de bâtiments publics et inscriptions injurieuses. Sans compter la belle voiture de Salomé qui termine en feu d'artifice...

En cette fin du XIXe siècle, la vie est rude au pays des abers. Pour les femmes, les travaux de la ferme et le soin de la famille. Pour les hommes, les dangers de la mer quand ils partent récolter le goémon sur les îles. À onze ans, celle qu’on nomme La Petite échappe au labeur de la terre : une parente lui trouve une place d’aide-lingère à l’Hôtel des Anges au port de l’Aber-Wrac’h.

Le destin de La Petite bascule quand un riche inventeur de Normandie s’installe sur la rivière avec sa famille. Il y bâtit une magnifique demeure et crée le premier parc à huîtres de l’Aber-Benoît, à Prat-ar-Coum.

Embauchée « aux huîtres » avec son amie Maria, La Petite est prise en affection par le plus proche collaborateur de l’inventeur. Face aux incertitudes du destin, les deux fillettes se promettent une amitié indéfectible. Elles ignorent la rivalité qui naîtra lorsqu’elles découvriront l’amour…

Pont-Aven a séduit les artistes bien avant que Gauguin y vienne. Dès 1866, une petite colonie de peintres américains s'y établit. Tout les enchante : la lumière incomparable de la Bretagne, les paysages et les moulins pittoresques, les sentiers du Bois d'Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port animé par les bateaux de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils peignent, se font adopter par la population.

Parmi eux, on remarque Mary Anne Flynn, une jeune américaine adepte du fusain. Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui préfère l'aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière et s'y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou moins argentés. Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d'un homme, artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l'une et l'autre cachent une blessure. Auraient-elles choisi l'art contre l'amour ?

À travers la peinture d'une amitié sans faille entre deux femmes à l'esprit libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.

Un mensonge, il suffit d'un horrible mensonge pour que Delphine perde tout, son poste d'enseignante, son mari, sa fille, sa réputation....

Victime, c'est pourtant elle qui paie le prix fort : dix ans de souffrance, de solitude, de déchéance, jusqu'au jour où elle saisit l'occasion de s'en sortir.

Louise n'a pas encore treize ans quand la police du roi la déshabille en pleine rue de Brest. Son crime ? Elle porte une étoffe prohibée, une indienne. Toute l'Europe s'est prise de passion pour ces cotons tissés en Inde et peints de couleurs éclatantes. Mais la France les interdit toujours, en plein XVIIIe siècle ! La honte pousse Louise à s'enfuir de la maison de son tuteur, le chevalier Philippe de La Gambais.

Envoyé à sa recherche, Nicolas, un autre protégé du chevalier à peine plus âgé qu'elle, choisit de l'accompagner. C'est le début d'un long périple semé d'obstacles et de drames mais aussi de rencontres lumineuses.

A Lorient, Louise trouve une place dans une bonne maison et Nicolas à la Compagnie des Indes. Il y découvre la beauté des indiennes, importées légalement pour être exportées dans les pays qui les autorisent.

Dès lors, convaincu que la prohibition ne tiendra plus longtemps, il veut tout apprendre sur leur fabrication. Là sera son avenir ! Mais pas à Lorient : à Nantes ! Louise l'y retrouve et le succès leur semble promis quand, l'interdiction enfin levée, se créent les premières manufactures d'indiennes nantaises. Mais de lourds secrets pèsent sur eux...

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