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Toutes les séries de Daniel Nguyen

36 livres
319 lecteurs

Le plan à trois est sans doute un des fantasmes les plus répandus, chez les hommes comme chez les femmes. Et il offre des possibilités illimitées. Découvrez-les au fil de ces 20 nouvelles éro­tiques qui vous conduiront tour à tour dans un pub en Écosse où un couple de timides français se laissent envoûter par un beau marin local, dans la salle de répétition d’un pianiste classique uni par un lien pervers aux deux musiciennes qui l’accompagnent, dans le délire candauliste d’un homme qui pilote à distance un plan à trois avec sa femme par webcam interposée, dans l’atelier d’un peintre qui se laisse inspirer par ses muses plus que la décence ne l’autorise… Et autre configurations toutes plus imaginatives et excitantes les unes que les autres !

2 livres
8 lecteurs

Présentation de l'éditeur

"Dur métier que celui de réceptionniste.

Mon nom de baptême, Martin. J’ai 25 ans, originaire de Toulouse, la ville rose. Je n’ai pas de passion, des désirs simples, peu d’ambition. Je n’ai pas fait d’études. J’aimais trop me laisser vivre. J’ai commencé comme garçon de café, puis garçon de salle à Toulouse dans une brasserie la place du Capitole.

Et puis, j’ai eu envie de découvrir autre chose. Je suis monté à la capitale, il y a trois ans. La réalité m’y a vite rattrapé. Trouver un boulot pas trop contraignant, un logement douillet et pas trop loin, dans un quartier animé. J’ai mis un an à m’habituer aux parisiens. Chez moi, on sourit, on discute, on prend le temps. Ici, les gens passent, font la gueule, surtout ne s’adressent pas la parole. J’aime le contact et j’en suis un peu frustré.

J’ai commencé dans ma branche, garçon de café dans le quartier latin, au Lutetia, un petit café de quartier. J’y suis resté presque un an. C’était sympathique, le patron et sa femme compréhensifs, les clients pour la plupart des habitués, mais peu de pourboires. Dans ce métier, c’est très important.

J’ai ensuite trouvé une place de serveur dans un restaurant non loin de là, chez Momo. Pas facile le midi. Les clients sont trop pressés, ne discutent pas, et laissent peu de pourboire, à part les touristes étrangers. Il y avait pourtant des habitués différents, dont mon patron actuel, Jean-Marc. Il tient l’Hôtel D-Lys."

Un jeune homme anonyme, ordinaire, monte sur Paris. Garçon de café, puis serveur dans un restaurant, il finit par trouver une place de réceptionniste dans un petit hôtel familial du quartier latin, l'hôtel D-Lys.Ses quelques instants de liberté sont consacrés aux échecs, dans les jardins du Luxembourg.

Découvrant le sexe, puis l'amour, il sera, malgré lui, confronté au pouvoir, ses tentations et ses perversions.

C'est avec une distance certaine, comme au travers du prisme d'une caméra de vidéo surveillance que l'on suit les mésaventures de Martin découvrant un monde clos et souterrain.

8 livres
2 lecteurs

NouvVue imprenable sur la Seine, petits déjeuners en chambre compris, une salle de bains avec baignoire, une très bonne opportunité pour notre première nuit. Nous la voulions spéciale, dans un cadre dont nous puissions nous souvenir ensemble. Check-in négocié pour 11h du matin. Il a fallu négocier ferme avec elle. Petit à petit, elle a cédé, se ralliant à mon idée qu'il nous fallait un cadre particulier pour notre première fois. J'y tenais, autant qu'à mes goûts de luxe et mes exigences en matière d'hôtellerie. Le goût du beau, d'un certain raffinement, pour accueillir nos gestes et nos baisers. Deux semaines que nous ne nous sommes ni vus, ni touchés et encore moins embrassés. A Lyon, nous avions failli et puis nos corps avaient considéré que c'était encore trop tôt. Nous avions contourné en poussant plus loin, bien plus loin, nos attouchements. Ils étaient déjà presque comme une première fois, une avant-première fois. Je l'avais goûtée à deux reprises le mardi et le mercredi. J'avais adoré son goût tout autant que sa manière de s'abandonner à mes lèvres, mes dents, ma langue et mes doigts. J'aurais aimé qu'elle jouisse tout à fait. Lors de son séjour à Paris, nos rencontres clandestines et matinales s'étaient renouvelées du dimanche matin au mercredi, chaque jour marquant la nécessité de plus en plus impérieuse de nous revoir le lendemain, aux aurores, et de prendre le petit déjeuner chez moi, sur mon lit. Chaque matin avait eu son lot de surprises, dévoilant notre faim mutuelle, la chute inattendue de nos barrières. Cela avait commencé un dimanche matin, au marché des Enfants Rouges. Elle était arrivée par derrière, apposant ses mains nues sur mon visage. Instinctivement, nos doigts s'étaient emmêlés, puis sa taille avait cédé a mon bras. Elle portait une robe en laine bleue, assez courte et près de corps. Au café, elle avait défini une limite virtuelle au milieu de la table de bistrot, entre ma tasse et sa théière. Cette robe bleue, je ne l'oublierai jamais. Premier baiser, ma main en dessous du genou. Plus tard, elle m'a révélé qu'elle portait des bas

2 livres
2 lecteurs

Ce livre est une nouvelle d'environ 7 pages

30 livres

Tous les livres de Daniel Nguyen

Mademoiselle Jacquemin est impatiente de reprendre la partie. Matin aussi, enfin une adversaire à son niveau. Et quelle femme ! Sûre d'elle, sexy... Qu'a-t-elle en tête ? Juste une partie d'échec ? La suite est à découvrir en lisant cette nouvelle issus du roman Le Réceptionniste...(description perso avec accord de l'auteur Daniel Nguyen)

Nouvelle érotique sur le voyeurisme.

Deux voisins jouent : l'un d'un côté de la caméra miniature, l'autre depuis son écran.

Le vieux moulin, juché contre la rivière. Il a eu divers usages au cours du temps. D'abord destiné à moudre le grain des exploitations environnantes, il a ensuite été converti en centrale électrique dans les années 30. Il aurait servi à la Gestapo pendant la guerre, mais ce ne sont que des rumeurs. Aujourd'hui, il est abandonné ou presque, témoin du temps. Sa grande roue à aubes grince, s’arrête puis reprend sa vaine quête de liberté, prisonnière de son axe solidement amarré. Une ampoule témoin, à l’intérieur de l’édifice, grésille et s’illumine au gré du courant, seule réelle source de lumière en dehors de la grande vitre opaque qui donne sur la rivière, obstruée par la roue à aubes. Les éclaboussures du temps y sont incrustées.

Je me suis réveillé dans la nuit, seul dans la chambre de Marie. L’étage était plongé dans le silence. La fête était terminée. Je reprenais conscience petit à petit. Mon corps me faisait mal, avec des crampes dans les membres, mon sexe gorgé de sang sans aucune raison apparente. Une migraine insupportable me tambourinait le crâne. J’étais nu, allongé confortablement dans le lit de Marie. Si mon corps tout entier ne me l’avait rappelé, j’aurais pu croire que j’avais fait un cauchemar, mais je savais que cela s’était vraiment passé. J’étais calme, très froid, revisionnant la cérémonie scène après scène dans ma tête. Je sentais la colère reprendre le dessus progressivement. Je ne m’en voulais plus. Je ne me sentais pas responsable. J’en voulais à la Confrérie, à Isabelle pour sa perversité, à Marie parce qu’elle en était la prêtresse. J’en voulais à l’assistance pour avoir laissé faire. J’en voulais au chien pour avoir pris son plaisir. A cet instant, si j’en avais eu le pouvoir, je les aurais tous tués dans des tortures atroces sans la moindre culpabilité.

Présentation de l'éditeur

Au 4ème, j’entendis de la musique. Je crus reconnaître le thème du film Barry Lyndon. Je me dirigeais rapidement vers le local de service histoire d’examiner la situation. J’y trouvais Marie, assise sur un des tabourets, face aux deux miroirs de droite, jambes croisées. J’entendais comme une vibration et notait que sa petite culotte en dentelle était réduite en boule dans sa main droite. Elle me tendit son verre. Je m’emparais d’une bouteille dans le petit frigo, l’ouvrit sans faire de dégât et remplit sa coupe. « Accompagne moi », me dit-elle sans me regarder. Je me servis. « Tu aimes Haendel ? », me demanda-t-elle en me regardant cette fois. Ses yeux étaient chargés de larmes. Je m’assis à ses côtés et rapprochais mon tabouret. Elle posa sa tête sur mon épaule tout en regardant le miroir de gauche. Son genou vint caresser le mien. Je sentis des vibrations se diffuser de son corps vers le mien. Je posais ma main sur sa cuisse et les sentis plus fort.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Présentation de l'éditeur

Vers 17h30, les premiers convives commencèrent à arriver. Marion assurait l’accueil, moi le vestiaire. Elle les dirigeait vers le 4ème où les soubrettes les installaient à la 44 avec des collations. Au final, ils étaient une quinzaine, huit femmes et sept hommes entassés dans la chambre. A 17h45, Mademoiselle Jacquemin arriva. Elle monta directement dans sa chambre après m’avoir souri en guise d’invitation. Marion me fit signe de monter avec un air complice. Elle se retourna et remonta sa jupe pour me faire constater qu’elle ne portait pas de culotte. Je découvrais une belle toison rasée au millimètre. Juste le temps pour moi de trébucher sur la première marche et la jupe retomba comme elle s’était levée.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Présentation de l'éditeur

C’est l’odeur du café qui m’a sorti des bras de Morphée. J’ouvris les yeux. La lampe de chevet était toujours allumée. Sur la petite table à côté du lit, un plateau avec une tasse de café fumant et une corbeille de viennoiseries. A côté, Marion, assise dans le fauteuil Louis XVI, regard bienveillant. Elle a pris le plateau et l’a déposé sur le lit, s’est assise au bord. Après l’avoir remercié et l’avoir embrassée, je me restaurais. Elle me regardait sans rien dire, ses jambes croisées remontant légèrement sa robe, ses belles mains sur ses cuisses. Ma collation terminée, elle a déposé le plateau sur la table et est revenue vers moi. Je me suis assis à côté d’elle sur le bord du lit. Ma main s’est rapprochée de la sienne. Je me suis penché sur elle. Elle m’a donné sa bouche pulpeuse. Nous nous sommes enlacés dans un long baiser tendre et voluptueux.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Présentation de l'éditeur

Mes narines humaient l’air. On venait d’allumer de l’encens dans la pièce d’à côté. Je sentais le parfum des soubrettes et les entendait chuchoter. Isabelle, je reconnaissais sa main, me saisit par la verge tandis que Jacqueline, se tenant derrière moi, me guidait par les épaules. Nous quittâmes le vestibule en cortège et prirent à gauche, la 44. J’entendis des chuchotements d’hommes et de femmes de toutes parts. La pièce semblait pleine à craquer. Je n’entendais plus le bruit des menottes de la pièce secrète.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Présentation de l'éditeur

Je suis arrivé au premier, les thermos à la main. J’entrais machinalement dans le local de service. Après les avoir posés, j’ouvrais lentement les rideaux des trois miroirs : celui de la première chambre, de la seconde, et enfin de la salle de bain commune. Il faisait encore sombre. Le jour commençait tout juste à se lever.

Comme la première fois, je commençais par le miroir de droite. Aucune paire de lunette sur les tables de nuit. Je distinguais bien les formes des occupants. Ils étaient allongés dans le lit, lui sur le ventre, elle sur le dos. Mais quelque chose clochait. C’était bien l’homme que j’avais vu avant-hier dans cette chambre, mais ce n’était pas la même femme. C’était celle de l’autre chambre, aux cheveux courts, celle qui m’avait ouvert la porte. La lumière entrait dans la pièce et je pouvais mieux comprendre la configuration. La nuit avait dû être agitée. Il y avait une bouteille de gel à moitié vide sur une table de nuit, des sex-toys plutôt imposants gisant sur le tapis. Les vêtements étaient éparpillés sur le secrétaire et la moquette. Le miroir au dessus de la commode était de travers.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Un meurtre dont le mort n'a pas conscience de son état, dans le milieu de l'art contemporain parisien, avec pour enquêteur un journaliste indépendant à la dérive, ancien inspecteur du Quai des Orfèvres.

Les thèmes principaux sont l'art au sens conceptuel et événementiel, la performance artistique, et l'addiction. En effet, les morceaux du corps sont mis en scène et retrouvés un à un. Certains organes deviennent la base chimique d'une nouvelle drogue dont la principale propriété est de permettre à l'enquêteur de dialoguer avec la victime et d'accéder à sa mémoire. L'effet indésirable en est l'addiction instantanée du sujet.

Isabelle était devenue accro à ma queue. Tous les matins, elle devenait mon esclave sexuelle. Une fois, je l’avais obligée à l’abstinence. Elle n’avait eu mon pieu ni dans son con ni dans son cul, sa bouche ne comptait pas. Le lendemain, elle m’avait suppliée, totalement soumise et je lui avais fait un festival, histoire qu’elle comprenne bien qui était le maître du jeu. Elle devenait mon esclave sexuelle et j’en jouissais. Elle devenait docile, une bonne chienne bien dressée, obéissant à la seconde au moindre de mes ordres, sous peine de correction, mais elle adorait ça aussi. Nous nous contactions par SMS et par code. Je lui avais ordonné de couper la sonnerie et laisser le vibreur. Elle avait un gros Nokia à 1 Euro. Ce dernier devait être placé dans sa culotte contre son abricot pourri de 7h à 12h dans un premier temps. C’était la plage horaire que nous affectionnions le plus. Une sonnerie voulait dire « Viens au premier. ». Deux au deuxième et ainsi de suite.

Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36

Un recueil de neuf nouvelles érotiques traitant du thème récurrent des chambres. Des rencontres, des tranches de vie, des initiations.

Trilogie d'un amour clandestin :

- Chambre 31, Première fois

- Chambres 21 et 25

- Chambre 24, Saint-Valentin

Un amour d'été qui marque à vie :

- Cité U

Dans la suite sur les étudiantes, veuille d'examen :

- Chambre 502, l'étudiante

- Chambre 502, Le bain

Une harmonie parfaite pour un anniversaire pas comme les autres :

- Lâche-toi, l'arrivée

- Lâche-toi, Nuit étoilée

Et enfin, en bonus, un dépucelage bourgeois pour un jeune homme tout juste majeur sexuellement :

- La passe

Pour un public adulte.

La présentation de l'éditeur est un extrait le voici :

C’est crevant de torturer. Cela faisait presque une semaine que je n’avais pas remis les pieds chez moi. La 2 était devenue mon antre et maintenant mon Donjon comme ils l’appelaient sur internet. J’étais en train de visionner la punition sur mon blog, une bière fraîche que je buvais au goulot, quand Marie débarqua à l’improviste. Elle était chargée de deux valises à roulettes. Elle venait pour longtemps visiblement. J’étais tellement surpris de la voir que j’en oubliais de fermer la page internet. Heureusement, je n’avais pas mis le son. Je l’ai aidée à s’installer dans la 45, puis nous sommes redescendus à la réception pour boire un verre. Elle avait besoin de se détendre. L’épisode auvergnat avait été plus long et plus pénible que prévu. Elle ne m’en dit pas grand-chose, mais juste assez pour que je comprenne que Marion avait perdu la tête. Je dus faire appel à toute ma maîtrise pour ne pas laisser paraître mon trouble. J’étais devenu très bon.

extrait du roman : Le réceptionniste"

(source : Amazon)

9h30. Marion et sa mère ont terminé leur petit déjeuner. Comme à l’accoutumée, elles descendent les marches du perron en direction du moulin. Isabelle, dans sa tenue de soubrette impeccable, débarrasse la salle à manger. La cuisinière s’affaire déjà et prépare le déjeuner. George, harnaché d’une besace et de son fusil de chasse, installe son attirail dans le 4x4 grand ouvert. Sur son invitation, le chien-loup saute à l’arrière. Il ferme le haillon et s’installe à la place du conducteur. Le véhicule démarre et file en trombe dans l’allée menant au portail grand-ouvert. Il croise de justesse la camionnette de l’épicier qui se dirige vers l’entrée de la cuisine. Les promeneuses la regardent s’avancer puis reprennent leur marche.

Extrait du roman érotique "Résurrections"

source : amazon

Neuf nouvelles érotiques hors-série, dont une inédite.

- La lecture : deux auteurs érotiques se rencontrent pour enregistrer leurs textes.

- Churros : une jeune fille en fleur est initiée aux plaisirs par un couple.

- Napoléon : une plage naturiste à Pâques.

- Space Oddity : faire l'amour en apesanteur.

- Les Deux Tours : dominer la situation à 360°.

- Le Défi : apprende, servir, subir.

- Le vieux moulin : du détournement de certains objets de la vie courante.

- Le spaghetti : de l'usage des nouvelles technologies.

- TGV 6911 : une rencontre internet.

Pour un public averti

Nouvelle DescriptionAu travers de mes quelques expériences d'initiation, j'en suis venu à la conclusion que l'âge n'a que peu d'importance. Une jeune femme de vingt ans peut être aussi ouverte à cette voie qu'une femme de quarante, qui se redécouvre après une vie bien rangée, dédiée à sa famille et sa carrière professionnelle. C'est avant tout une question de curiosité, d'ouverture, à soi et à l'autre, autant au niveau sensoriel que psychique, pour arriver à un lâcher-prise commun, dans une combinaison improbable et imprévisible. Cela veut dire accepter les risques d'un tel niveau d'implication, dans une relation bien plus intime qu'une simple relation sexuelle dite normale, accepter de se montrer tel que l'on est, se découvrir et se révéler mutuellement avec l'autre, en toute confiance, au plus profond de soi. Les scénarios élaborés dans les avants ne sont pas à strictement respecter. Ils constituent une trame, une ligne directrice.

En résumé, cette voie ne saurait se réduire à des pratiques plus ou moins originales. Elle relève à la fois du jeu et de l'intime au sens le plus profond qui soit. Elle est le fruit d'un apprentissage, d'un accompagnement, avec ou sans amour, ce qui n'exclut pas des sentiments, du respect, de la compassion, de l'empathie et de l'écoute dans l'échange. Comme pour toute relation qui se construit, elle demande de l'entretien et du temps à y consacrer.

Je remercie Florence de m'avoir ouvert cette voie si riche d'enseignements et d'épanouissements.

C’était il y a deux jours, ou plutôt deux nuits.

Un nouvel endroit du milieu alternatif. Un bar à absinthe qui a ouvert depuis peu, et dont la réputation est encore à confirmer. Je n’aime pas l’absinthe plus que cela, mais j’affectionne l’ambiance de ce genre de lieu : le côté décalé. Le bar, en rez-de-chaussée, dans une arrière-cour du faubourg, a été rénové dans l’esprit boudoir et crypte du Père-Lachaise. Avec une décoration soignée : mélange de métal patiné à la Eiffel et de xviiie siècle aux tonalités rouge vermillon. Un doux mélange à la fois glacial et chaud.

Cette nouvelle est paru aussi en format papier dans le recueil "20 histoires de vampires et de sexe".

À quoi rêvent les grandes personnes le soir de Noël ? La réponse se trouve dans ces histoires érotiques de Noël : de cadeaux coquins en pères Noël dévergondés, de réveillons aphrodisiaques en fantasmes enneigés, quand les auteurs de la Musardine s'amusent à détourner les codes de Noël, il s'en passe de belles, sous le sapin ! Érotisme bien sûr, mais aussi amour, humour, nostalgie et rêverie sont les ingrédients de ces récits.

La difficulté en tant qu'auteur est qu'on est seul face à son ordinateur ou sa page blanche. On a beau lire à haute voix parfois, pour vérifier la bonne musicalité de nos phrases, on a beau s'enregistrer pour tenter de prendre un peu de distance, on reste seul. Or, nous avons besoin d'avis extérieurs, de partage et d'échanges sans concession pour nous apporter la critique nécessaire au progrès. De nos jours, avec ces nouvelles technologies devenues indispensables, nous vivons dans l'illusion de la communication. En réalité, ouvrant à une multitude de contenus, dans un temps de plus en plus contraint, le partage s'est appauvri, la convivialité de l'échange a fait place au zapping. Peu de personnes prennent encore la peine de donner un avis sur ce qu'ils ont pris et consommé trop facilement.

Alors, un autre mouvement semble s'initier, parfois, celui des groupes, du rapprochement de ces isolements cherchant à recréer un vrai rapport humain et non de consommation des productions et des êtres. C'est dans cette philosophie de générosité que nos échanges virtuels avaient commencé, par l'écriture, la critique mutuelle, les conseils. Puis, comme cela peut arriver parfois, au fil des jours et des semaines, une forme d'intimité s'était immiscée dans les échanges. A plusieurs reprises, j'avais voulu reprendre le contrôle et la distance de l'écran, j'avais prévenu : nous sommes à des centaines de kilomètres l'un de l'autre, privés de nos sens animaux si essentiels pour reconnaître de réelles affinités sexuelles. Je ne crois pas aux histoires d'amour virtuelles, encore moins aux amours à distance qui entretiennent le fantasme et étirent le temps de manière inconsidérée. J'en ai déjà fait l'expérience malheureuse, en ai suffisamment souffert pour ne pas remettre le couvert et rester vigilant. Pourtant, ces dérives sensuels, puis sexuelles, de nos mots écrits sur l'écran, se multipliaient et devenaient de plus en plus fréquentes. Je m'étais aperçu qu'elle aimait sucer, en goulue, comme je l'affectionne particulièrement, salivant en longs filets abondants. Son approche du sexe correspondait littéralement à ma conception, celle du plaisir partagé sans jugement, dans l'échange, celle de l'exploration mutuelle et de la curiosité ludique, presque enfantine. Elle avait la trentaine délurée.

"Ses pensées l’emmènent vers son passé récent. Désagréable au premier abord. Elle se trouve dans une pièce éclairée par des bougies. De l’encens stimule ses narines. A demi-consciente, elle est attachée, debout sous la poutre qui la surplombe. Elle est à l’hôtel D-Lys. Sa punition. Autour d’elle, l’assistance en cape l’observe. On lui place un mord de bambou entre les dents. Les souvenirs reviennent par bribes. Ils sont douloureux et excitants à la fois. Elle commence à se caresser les seins sous les draps. Ses jambes glissent dans une forme d’impatience comme électrisées. Les souvenirs reviennent, plus précis..."

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