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Tous les livres de Dominique De Villepin

La terre a été ravagée par le feu.

Tout désormais est recouvert de cendres et les rares êtres qui subsistent n'ont plus grand-chose d'humain.

Seul vestige de la splendeur du monde passé, un arbre règne sur les ruines d'une ville morte.

Il est le dernier témoin de ce qu'a été l'humanité et, au milieu du silence, il prend la parole : dans cc monde perdu, il veut sauver ce qui peut encore l'être, et transmettre leur héritage à ces hommes qui n'en sont plus.

En racontant son incroyable destin - indissociable de l'histoire du monde -, l'arbre va tenter de faire comprendre au peuple des cendres ce qu'est la vie et lui rendre ainsi son humanité.

Nous vivons dans un système de cour et nous ne le savons pas. En apparence, nous évoluons dans une démocratie exemplaire, assise sur le suffrage universel et la récompense du mérite. En réalité, il n'en est rien, nous démontre Dominique de Villepin dans cet essai historique qui retrace l'histoire de la cour depuis sa fondation jusqu'à nos jours. A la fois instrument pour parvenir et foire aux vanités, la cour est indissociable du pouvoir, qui n'a cessé de croître, et d'élites, qui n'ont cessé de se déchirer pour le conquérir puis le conserver. Conjuguant la démarche de l'historien et le regard du témoin, l'ancien Premier ministre nous retrace une autre histoire de France vue à travers le prisme du pouvoir et de ses élites. A l'exception des moments où une figure de proue parvient à dominer la cour et imposer un grand dessein, Louis XIV, Napoléon, de Gaulle, l'esprit de cour domine la scène ; avec d'autant plus d'efficacité qu'il avance dans l'ombre, sous couvert de principes dont il se réclame pour mieux les contourner. C'est ainsi que la Révolution puis la République se sont détournées de leur essence au profit de " l'éternel retour " de la courtisanerie avec son cortège de complots et de cabales. Dans le dernier chapitre intitulé " Le déclin présidentiel ", l'auteur, pour la première fois, raconte son expérience et nous livre des confidences inédites, notamment sur sa relation avec Jacques Chirac, et les raisons de sa " rupture " avec Nicolas Sarkozy.

Parmi les nombreux essais et réflexions suscités par la question européenne, ce livre se distingue par l’originalité de son concept : la réunion de deux personnalités aussi connues et aussi différentes apporte au débat une dimension et une richesse toutes particulières.

Pourquoi un écrivain et un ministre, un Français et un Espagnol, un militant républicain et un gaulliste fervent se retrouvent-ils dans le désir de défendre le même rêve européen ?

Pourquoi deux hommes de langues différentes, engagés dans des chemins différents, nourris de mémoires différentes, d’images différentes, rassemblent-ils leurs énergies pour soutenir un même projet, celui d’une Europe de paix et de démocratie ?

En neuf chapitres définissant les divers aspects de la construction européenne, Dominique de Villepin et Jorge Semprun confrontent leurs expériences, leurs sensibilités, leurs analyses, pour une conclusion commune.

Au cours de mes nombreux déplacements à travers la France, j'étais sans cesse désarçonné par le changement des paysages. Ce n'était plus le pays que j'avais connu. Ce n'était pas non plus le pays tel qu'il s'imaginait, tel qu'il se montrait à lui-même et aux autres. Je me suis rendu compte que je préférais les Français tels qu'ils étaient, changeants, incertains, vivants, aux images d'Epinal immuables et ridicules qui occupent l'espace public. La France au quotidien, ce n'est ni une pagnolade ni une caricature hip-hop sur fond de souffrance urbaine. On peut l'aimer telle qu'elle est, et pas seulement comme on croit qu'elle a été ou comme on voudrait qu'elle soit. Je n'ai guère la nostalgie d'une France de l'enfance, car la France, je l'ai rêvée avant de la connaître, depuis l'autre rive de la Méditerranée où je suis né, depuis l'autre rive de l'Atlantique où j'ai grandi. Recommencer, encore recommencer, voilà le mot d'ordre de toujours des amoureux de notre pays. Rien ne serait pire que de le figer dans le marbre. Faisons-nous encore peuple, faisons-nous encore société ? Quelle étrange et fière nation, de si haute ambition et de si peu de citoyens.

Dans cette chronique des premières semaines de son quinquennat, Dominique de Villepin se dévoile, tout en révélant les mesures qu’il prendra s’il est élu à la présidence à la République.

Ce récit tourné vers l’action détruit tous les clichés dont on l’a affublé : un amoureux des postures, un aristocrate qui joue à la politique, un homme que les habitudes de son milieu éloigne des préoccupations des Français, un littéraire égaré dans une époque dominée par les gnomes de la finance ; un homme, enfin, qui se soucie tellement peu de la démocratie qu’il a négligé d’en passer par le suffrage universel… Jusqu’à ce jour de décembre où il a étonné tous les observateurs de la vie politique en se présentant à l’élection présidentielle.

Dominique de Villepin livre ici les raisons profondes pour lesquelles il lui a paru nécessaire de se lancer dans la bataille, en expliquant ce qu’il fera s’il est élu et pourquoi. Il exprime les sentiments qui naissent en lui de son observation des Français et de son dialogue avec eux.

Ce livre donne à découvrir une personnalité nouvelle dans la vie politique, qui répond aux exigences d’une démocratie moderne, composée de citoyens formés, vigilants, désireux de participer aux décisions tout en ne lâchant rien sur l’amour de la grandeur qui caractérise notre pays.

A travers le Napoléon de la fin, ce livre raconte une des périodes les plus riches de notre histoire. Tout commence en 1814 avec les adieux de Fontainebleau. Trahi, abandonné, Napoléon découvre sur le chemin de l'exil la haine et l'humiliation. L'île d'Elbe devient le refuge où cet homme blessé panse ses plaies et médite sur sa chute avant de tenter le pari fou du retour. Le 1er mars 1815 commence l'extraordinaire aventure du vol de l'Aigle. De clocher en clocher, acclamé par le peuple et l'armée, l'Empereur reconquiert son trône sans tirer un coup de fusil. Mais déjà le piège se referme qui dessine le visage de la France moderne...

Napoléon est-il un météore dont le destin extraordinaire a traversé les siècles ou demeure-t-il le passeur du monde moderne, celui qui a terminé la Révolution en France tout en contribuant à la diffuser dans le monde ? Comment aborder une pareille existence ? Passionné depuis toujours par l'époque et le personnage, j'ai préféré observer l'envers du décor en privilégiant l'analyse de la chute plutôt que la "gloire de l'Empire". Car, bien qu'ébloui par le soleil d'Austerlitz, je pressentais qu'il ne s'agissait que d'un "soleil noir". Pour comprendre la chute, il faut partir du sommet, et plus précisément disséquer la décennie triomphale qui relie le point de départ de Lodi à l'apogée de Tilsit. Et ses deux choix majeurs accomplis au zénith de la gloire : l'hérédité rétablie avec le sacre de 1804 ; le pari de la conquête avec le Blocus continental fin 1806. Ce livre remanié sans cesse depuis 2002, se nourrit d'une conviction fortifiée par l'expérience personnelle de la solitude du pouvoir, de sa fragilité, de son immense complexité, enfin de son caractère foncièrement tragique, appuyé sur les ressorts de la peur et du rêve.

Au zénith de son règne, Napoléon remet à nouveau son sort au hasard des batailles. Cet homme seul, écartelé entre la confiance en son étoile et le doute perpétuel, cède à l'illusion de la puissance, obsédé par l'écriture d'une page supplémentaire de son roman personnel. De la guerre civile espagnole aux déserts glacés de Russie, Dominique de Villepin montre comment la fragilité d'un empire impossible, bâti trop vite, trop tôt et sans véritable légitimité, précipite sa chute. En entremêlant, selon la méthode qui a fait le succès des précédents tomes, analyses, portraits, récit très écrit des événements et réflexions sur la solitude de tout pouvoir, Dominique de Villepin livre une fresque inspirée de ces années tragiques pour la France. Les Cent-Jours (Grand Prix de la Fondation Napoléon et Prix des Ambassadeurs) et Le Soleil noir de la puissance ont chacun conquis des dizaines de milliers de lecteurs. " La chute est un gros, beau, clair et solide volume consacré à l'Empire de 1807 à 1814, de Tilsit à l'abdication. "Alain Duhamel, Le Point" Une fresque passionnante sur la chute de Napoléon. "Le Parisien

En histoire, les aubes et les crépuscules sont souvent plus éclairant que la lumière apogée. Dans la naissance des empires, on repère l'appétit du pouvoir, la soif de la richesse, l'orgueil passionné d'être soi; quant aux chutes impériales, elles charrient malheur triomphal et fierté de laisser dans les ruines de quoi ensemencer l'avenir et récolter des floraisons inattendues. Ces périodes sont brèves à l'échelle du temps historique, mais leur intensité les rend plus fascinantes. Emmanuel Le Roy Ladurie, Jacques Marseille, Claude Nicolet, Pierre Chuvin, Jean-Pierre Rioux, Jean-Pierre Azema, Stéphane Audoin-Rouzeau, Jean-Jacques Becker, Marie-Claire Bergère, Serge Gruzinski et Laurent Theis brossent l'histoire de ces constructions politiques et culturelles qui ont accompagné l'évolution de l'humanité.

Aldo Schiavone et Justin Vaïsse s'interrogent sur la nature de l'Empire américain et son rapport avec l'Empire romain.

Quant à Dominique de VIllepin, son texte inédit sur l'Empire napoléonien peut se lire aussi comme une réflexion sur la puissance.

Devant l'incapacité des diplomaties contemporaines à penser les questions de sécurité collective autrement qu'à court terme, et sous l'angle étroit d'intérêts nationaux ou régionaux, ce manuel se propose d'ébaucher les pistes concrètes d'une nouvelle approche de la paix. Analysant les grands conflits récents et les fractures de l'ordre international des dernières décennies, Dominique de Villepin entend fournir un éventail d'outils et de méthodes concrètes dans la gestion des crises, locales, régionales ou mondiales, loin des statu quo trop souvent admis comme indépassables.

Face à l'illusion d'une pacification entre puissances avec la fin de la Guerre Froide, la multiplication des crises et des menaces a peu à peu brouillé les cartes traditionnelles de la diplomatie, aboutissant au triptyque délétère de l'occidentalisme, du moralisme et de l'interventionnisme. Après quinze ans de guerre inefficace " contre le terrorisme ", il est permis de dresser un bilan de l'état des relations internationales, et d'en proposer une compréhension générale.

Réformer l'outil militaire, rénover la diplomatie, instituer de nouveaux cadres de coopération internationale : voilà quelles tâches attendent ceux qui désirent oeuvrer en faveur de la paix En tirant les leçons de son expérience politique et diplomatique, Dominique de Villepin interroge les moyens de la paix selon une démarche neuve. Exemples historiques et analyses des conflits actuels nourrissent conjointement cette réflexion qui vise à renouveler les cadres d'analyses d'un monde instable, confronté aux fléaux des " Etats faillis ", des frontières contestées, des hystéries identitaires et des pathologies de l'extrémisme politique et religieux.

Autant de cadres anciens et sclérosés qui nous empêchent d'imaginer une politique lucide, audacieuse et cohérente, déployant une vision des rapports entre Etats, entre puissances et entre peuples. Penser la paix pour mieux la reconstruire sur la base d'instruments concrets et d'initiatives collectives, tel est l'objet de cet ouvrage.

« J'ai souvent redouté le drame d'un pays aveuglé, marchant à tâtons », écrit Dominique de Villepin, après sept années passées au sommet de l'État.

Dans une fulgurante synthèse historique, de la monarchie à la récente cohabitation, il décrit la France comme le pays du pouvoir, un pouvoir paralysé, divisé, confronté aux angoisses des Français.

Dénonçant avec une verve nourrie de son expérience « l'esprit de Cour » qui s'est répandu partout, Dominique de Villepin veut croire au sursaut collectif, au « passeur » comme à tous ceux qui voudront participer à la « révolution pacifique ». « À nous, écrit-il, d'établir un nouveau pacte, un nouveau contrat, bien au-delà de celui venu du fond des âges, conclu entre le peuple inquiet et le Léviathan. »

Pour lui, comme pour Malraux, ce qui caractérise la civilisation d'aujourd'hui est, à l'évidence, son absence de décisions. Aussi pense-t-il enfin venue l'heure « décisive », le « temps de l'action ».

Source : Le Livre de Poche

« Depuis quinze ans, le monde semble emporté dans une folle course à la guerre. Le Moyen Orient est pris dans une spirale suicidaire sans fin, le terrorisme international nous défie, de grands empires entrent en confrontation.

Le virus de la guerre est en nous, rendu plus agressif par les peurs, les humiliations et les colères. La crispation des nations occidentales sur leurs privilèges et sur une vision du monde dépassée ne peut qu’aggraver les maux.

Toute ma vie durant, j’ai voulu mettre le travail de la paix au cœur de mon action. En 2003, auprès de Jacques Chirac, j’ai mené le combat de la paix à l’ONU contre l’intervention américaine en Irak, conscient des dangers de la vision néoconservatrice du monde.

Nous devons apprendre à regarder le monde et à en comprendre les métamorphoses. A nous d’entendre ce qui anime aujourd’hui les peuples et les nations, en Russie, aux Etats-Unis, comme en Chine, en Turquie, en Côte d’Ivoire ou en Colombie. C’est au plus près de la réalité que nous pourrons mesurer la faillite des Etats-Nations et le jeu des revendications identitaires dans une mondialisation qui semble condamnée à l’accélération perpétuelle.

Le moment est venu de s’atteler au travail de la paix, d’ouvrir les yeux sur les blessures du monde et de nous doter des outils pour construire un nouvel ordre, stable et juste. Des solutions existent, mais elles nécessitent de la patience, de l’imagination, de la volonté. Pour contrer les épopées mensongères de la guerre, nous avons besoin d’un récit de la paix, qui constitue le grand défi, le seul héroïsme possible de notre temps, adapté à un monde fragile aux identités blessées, en mal de réconciliation. J’ai la conviction que la France a un rôle à jouer dans ce nouveau monde, à condition de retrouver sa vocation d’initiative, de médiation et de dialogue, fidèle à son message et à son histoire. »

«Cet Éloge s'imposa il y a bien longtemps. J'avais seize ans, et toi mon frère dix-huit, quand nous marchions dans les rues de New York à l'heure où le soleil couchant éclaboussait les tours. Tu scrutais le paysage, les visages blafards à six heures, la fumée qui jaillissait partout, luttant contre les ombres. Je compris que, hors de ce quotidien aveugle et sourd, il te fallait des mots, comme des ballons de couleur, pour toucher au cœur. Des mots de ces fous, qui s'en sont allés quérir au fond du désespoir la lueur qui ouvre le chemin, la passion qui fait sauter les verrous de la langue. Des mois durant ils agrandirent la vie.

Toi parti, il me restait ce devoir de l'aînesse : dire après la catastrophe, apprivoiser la parole pour les enfants de la peine. Oui, la poésie, pour vivre encore.

Contre le naufrage de la mémoire, contre les forces vaines, choisissons le combat qui grandit. Et partageons les mots de Rimbaud, d'Artaud ou de Duprey, de tous ces voleurs de feu qui allumèrent les brasiers de l'âme, pour ne bâtir d'autre empire qu'à l'intérieur de soi.

Tourne et craque la terre dans l'obscur mystère où se débattent voix et masques, victimes et bourreaux ! Derrière l'urgence de chaque jour, je rêve d'une parole qui défriche, d'une parole qui sauve. Alors cet ouvrage, pour refuser la fatalité et le vertige, pour exorciser la peur qui crie au fond de nous !»

Dominique de Villepin.

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