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Toutes les séries de Dominique Kalifa

8 livres
3 lecteurs

16 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un homme, dans sa cage de verre, tenta de s’exonérer de la responsabilité du crime. Était-il un monstre ou un simple rouage de la machine infernale nazie ?

Et aussi : « Le patrimoine : une question de morale » entretien avec Jean-Michel Leniaud.

« Grèce : les hommes et la terre » par Julien Zurbach.

Tous les livres de Dominique Kalifa

Biribi, c'est le nom donné à la fin du XIXe siècle aux nombreux bagnes militaires que l'armée française installa en Afrique du Nord pour se débarrasser de ses " mauvais sujets " : on y envoyait les fortes têtes, les indisciplinés, les condamnés des conseils de guerre, les jeunes qui sortaient de prison, mais aussi parfois les opposants politiques, les homosexuels ou les faibles d'esprit. Ce livre retrace, pour la première fois, l'histoire tragique de ces " corps spéciaux " : compagnies disciplinaires, bataillons d'Afrique ou ateliers de travaux publics. Il décrit le sort terrible réservé aux milliers d'hommes qui y furent envoyés, les brimades, les sévices, parfois les tortures infligées par des sous-officiers indignes, le travail harassant sous un soleil de plomb, la violence des relations entre hommes dans ce qui était considéré comme les bas-fonds de l'armée. Mais il montre aussi comment le courage de quelques-uns, condamnés, médecins, militants ou journalistes comme Albert Londres, contribua à faire peu à peu prendre conscience au pays de l'horreur quotidienne vécue dans ces camps disciplinaires. Les derniers " corps spéciaux " de l'armée française furent supprimés au début des années 1970.

Journal à grand tirage, livre bon marché, photo, cinéma, music-hall, sport-spectacle, expositions universelles, réclames, TSF… Comment la société française fut-elle, à compter du dernier tiers du XIXe siècle, progressivement saisie par les logiques d’une industrie culturelle qui modifia profondément l’organisation, les métiers, les valeurs et les pratiques culturelles du grand nombre ? Ce livre analyse les transformations qui ont affecté l’univers du livre, du journal, des spectacles, des loisirs et du divertissement entre la fin du Second Empire et le Front Populaire, ainsi que les discours récurrents sur la « mauvaise culture » et le « mauvais loisir », largement constitutifs de cette entrée dans l’ère des masses.

Gueux, mendiants, misérables, prostituées, criminels, aliénés, détenus, bagnards peuplent de leurs figures hideuses, pour partie réelles et pour partie fantasmées, l'envers ou les dessous de notre société. Ils en sont le repoussoir, la "part maudite", mais aussi l'une des lignes de fuite symbolique et sociale. Car s'ils disent des réalités - la pauvreté, le crime, les transgressions -, ces "bas-fonds" constituent aussi un imaginaire qui traduit tout autant nos inquiétudes et nos anxiétés que certains de nos désirs. C'est à l'exploration de cet imaginaire que ce livre est consacré. Il montre comment les bas-fonds naissent dans l'Europe bouleversée du me siècle, mais empruntent à une tradition où se mêlent les figures bibliques - Sodome, Babylone -, les mauvais pauvres de la tradition chrétienne et la cour des Miracles. Des "mystères" de Paris à l'underworld victorien, des bas quartiers de New York aux trottoirs de Buenos Aires, il décrypte la fabrique d'un regard qui n'a cessé de nous fasciner. Ces histoires qui hantent nos consciences ont-elles pris fin aujourd'hui ? Les contextes ont changé, mais les débats sur l'underclass, les images du cinéma contemporain ou la culture steampunk montrent que l'ombre des bas-fonds rôde toujours autour de nous.(Amazon.fr)

En décembre 1901, Henri Vidal, un hôtelier de Hyères âgé de 34 ans, agresse à coups de couteau deux prostituées, puis assassine une autre fille publique ainsi qu’une jeune Suissesse. Arrêté parce qu’il voyageait sans billet, celui que le pays surnomme très vite « le Tueur de femmes » est condamné à mort par la cour d’assises de Nice, puis gracié et envoyé au bagne de Cayenne où il meurt en 1906.

Dès ces crimes commis, l’assassin devient l’objet d’une imposante production discursive : faits divers, chroniques judiciaires, témoignages, expertises, ainsi qu’une autobiographie rédigée en prison. À partir de ces matériaux, et sans rien ajouter aux paroles des contemporains, les auteurs ont réalisé un montage qui permet de dérouler le film de cette existence, mais qui montre aussi comment une société, dans sa diversité et ses contradictions, construit la figure d’un criminel.

Publié en 2001, longtemps indisponible, ce livre singulier, dont le forme suscita l’étonnement, interroge à la fois l’écriture du passé, la nature du récit biographique, les incertitudes et la fragilité de l’histoire.

La « Belle Époque », qui désigne les quinze premières années du XXe siècle, fait partie de notre héritage culturel. Mais sait-on vraiment ce que recouvre cette notion et les différents usages qu’on en a faits ? Ce livre raconte quand et comment l’expression fut forgée – beaucoup plus tard qu’on ne l’a dit – et retrace les multiples visages d’une période perçue, en France et à l’étranger, comme un moment heureux, emblématique d’un certain art de vivre « à la française ». Un instant privilégié d’insouciance et de joie de vivre, de froufrous et de flonflons, d’audaces esthétiques et d’innovations scientifiques. Le Moulin-Rouge voisine avec l’Exposition, Toulouse-Lautrec dialogue avec Marie Curie et la belle Otero, Fantômas inaugure l’écriture automatique.

Traquant les représentations de « 1900 » que nous ont données les mémoires et les souvenirs, la littérature et le cinéma, l’art et l’histoire, Dominique Kalifa lève le voile sur un pan méconnu de notre contemporain, expliquant pourquoi nous avons eu besoin, depuis un siècle, d’inventer et de réinventer sans cesse ce moment pensé comme « fondateur ». Car la « Belle Époque » des années 1930 n’est pas celle qui triomphe dans le cinéma des années 1950 ou celle qui s’exhibe en 1980 dans les collections de cartes postales. C’est tout l’imaginaire et la nostalgie d’un monde perdu qui se découvrent, offrant une lecture originale de ce qu’est vraiment l’histoire : une méditation sur le temps et ses interactions.

La ville la plus sensuelle de la planète a un nom, et c’est Paris. Même Venise, sa seule rivale, ne parvient pas à la détrôner. Pour Dominique Kalifa, tout s’est joué en un siècle, ce "grand siècle haussmannien" qui court des années 1860 aux années 1960, de la "fête impériale", dont La Vie parisienne d’Offenbach est le symbole, à la "révolution sexuelle" des Sixties, qui bouleverse les mœurs des Français. C’est donc à une autre histoire de Paris, qui est aussi celle de la conquête de l’espace public par les femmes, qu’il nous invite ici – l’histoire des lieux où les regards se croisent, où les battements de cœur s’accélèrent, les lieux de rencontre et ceux des rendez-vous, les parcours et les promenades de ceux qui s’aiment, les chambres d’hôtel où se retrouvent les couples adultères, les portes cochères ou les "allées des veuves" dans lesquelles stationnent des filles de misère. Qu’est-ce qui pousse à déclarer sa flamme sur les berges de la Seine ou à s’embrasser place de l’Hôtel-de-Ville ? Pourquoi certains lieux de Paris suscitent-ils plus que d’autres des émotions amoureuses ? En quoi le métro, les restaurants ou les piscines municipales, tout autant que ses rues, jardins et boulevards, charrient-ils un puissant imaginaire érotique qui a fait et fait encore aujourd’hui de Paris la "capitale de l’amour" ?

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