Emmanuelle De Boysson

Un petit livre sympathique, idéal comme lecture lorsque l'on a besoin de quelque chose de drôle et léger.. j'ai beaucoup ri..

Un roman qui nous entraîne au XVIIème siècle, au coeur des grands salons parisiens, chez les Précieuses. Un roman sympathique, le style est agréable. Cependant, j'ai eu du mal à m'attacher à l'heroine.

La suite du "Salon d'Emilie". Là encore, une lecture agréable mais je suis lassée des romans sur le siècle de Louis XIV qui montre Mme de Montespan telle une sorcière qui va tous les quatre matins faire une messe noire: et c'est le cas de ce roman. C'est pourquoi, j'ai un peu été déçue par le manque d'originalité de ce roman. J'ai préféré le premier opus.

Bien vendue par son auteur sur un salon du livre. Et je ne regrette pas l'argent dépensé ce jour là.

Un roman historique très agréable avec un beau portrait de Molière, de superbes passages sur Racine et un regard sur la Cour de Louis XIV et l'affaire des poisons.

Les aventures de Blanche sont certes peu originales dans la mesure où ont suit ses histoires d'amour pour l'essentiel, mais sa vie à la Cour et son travail d'actrice nous permette de porter un regard intéressant sur l'histoire de France.

Cerise, Philippine, Iris, Douce, Lila et Rose sont six grandes bourgeoises, toutes issues de la haute société privilégiée, toutes plus ou moins bien ou pas mariées et toutes dans la quarantaine à l'heure des bilans et autres remises en question. Beaucoup sont oisives et passent leur temps entre les réceptions, les voyages à l'étranger, les séjours à Ré et les sports d'hiver à Courchevel sans oublier les épuisantes séquences de shopping, de coiffure, de manucure ou de sport. Pas vraiment des vies de galère, même si l'une s'essaie à la peinture, une autre à la littérature et une troisième à l'artisanat. Et pourtant aucune ne semble véritablement heureuse. Ces femmes s'observent, se jalousent, se jugent et surtout se chipent leurs maris ou leurs amants. Et pour compliquer l'affaire une bague en émeraude, bijou de famille et cadeau d'un prince russe à une petite juive russe, passe de main en main, attisant encore un peu plus l'envie, l'aigreur et la déception des unes et des autres.

« Les grandes bourgeoises » est un roman social amusant et qui sent le vécu. Emmanuelle de Boysson est elle-même issue de ce milieu aussi fermé que féroce. Elle nous présente une comédie de moeurs dans laquelle l'une après l'autre, chacune de ces femmes, en s'exprimant à la première personne du singulier, expose sa version d'une même histoire ou plutôt de la partie d'histoire qui la concerne. C'est vivant (nombreux dialogues) et agréablement écrit, dans un style simple, clair et enlevé. C'est aussi parfois drôle, mais sans être désopilant car l'auteur ne cherche pas à faire systématiquement de l'humour. L'ennui vient plutôt de personnages assez peu sympathiques et même limite agaçants, pour certaines des héroïnes qui se lamentent sans apprécier leur bonheur. Au bout du compte, un livre de divertissement basé sur une observation fine et pleine d'auto dérision d'un milieu peu connu du pékin moyen, présenté dans le cadre d'une intrigue sentimentale pas vraiment originale.

Un excellent roman historique avec sont lots de complots d'amour et de déception...

J'ai adoré ce premier tome et une fin qui présage encore de bon moment de lecture ...

Vivement la suite..

Des aventures avec la fille D’Émilie , Blanche..

Marquise66

Une excellente suite ou les complots à Versailles sont de mise j'ai adorée....

Une héroïne attachante lue d'une traite se roman ma captivé..

Marquise66

Me voila au dernier d'une très belle série historique passionnante...

J'ai vraiment adorée et passé une excellent moment avec des personnages d'une autres époque..

Et l'histoire sur trois générations de femmes exceptionnels..

Marquise66

Un livre sympathique.On s'attache à ses six femmes avec leurs personnalités, leurs failles mais surtout l'importance qu'elles attachent aux apparences. Quelques moments drôles.

j'ai aimé l'époque, le style, les personnages fascinants une pure merveille