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Toutes les séries de Étienne De Montety

10 livres
1 087 lecteurs

Les éditions Pocket sont très heureuses de vous présenter un recueil de nouvelles inédites publié au profit des Restos du Coeur.

13 auteurs pour 13 nouvelles centrées autour d’un thème commun : un repas. Intrigues policières, réunions de famille qui dérapent, retrouvailles inattendues… Du noir, de la tendresse, de l’humour, de l’absurde, à chacun sa recette.

Toute la chaîne du livre se mobilise avec Pocket autour de ce projet entièrement bénévole, dont les profits seront reversés à cette association. Notre souhait est d’atteindre 300 000 exemplaires vendus et ainsi distribuer 1 million de repas.

http://www.pocket.fr/livres-poche/evenements/13-a-table-avec-les-restos-du-coeur/

Tous les livres de Étienne De Montety

La notice de Wikipédia sur Charles-Elie Sirmont ne disait pas grand-chose. Il avait été député et deux fois ministre. Son nom restait attaché à l'opération Ile-de-Lumière, au Liban et à la Bosnie. Il s'exprimait souvent dans les médias pour parler de la guerre, témoignait, publiait des livres. Qui était vraiment Sirmont ? Une authentique figure de l'humanitaire ? Un imposteur ? Moreira se souvenait d'un homme emphatique et cinglant, mais qui ne manquait pas de brio. Il n'avait jamais réussi à le détester. Chargé de rédiger sa nécrologie pour le journal, il voulut en avoir le coeur net.

Tous les jours dans «Le Figaro», l'auteur fait le portrait d'un mot qui revient régulièrement dans les médias.

Bosnie, années 90. Deux jeunes hommes venus de France se battent contre les Serbes.

Mosko est un fils d'immigrés polonais. À la faculté de Nanterre, il fait la connaissance d'un étudiant musulman qui oriente sa vie vers l'islam. Lors de l'éclatement de la Yougoslavie, il rejoint les moudjahidine, venus prêter main forte à leurs frères bosniaques... Fahrudin, lui, est un fils de Bosniaques arrivés en France après la mort de Tito. Il a grandi dans une cité de la banlieue rouennaise, avant de s'engager dans la Légion étrangère. Quand la guerre éclate, il déserte et regagne la Bosnie.

Deux destinées singulières se rencontrent, alors que la guerre embrase de nouveau le cœur de l'Europe.

En faisant revivre le conflit en ex-Yougoslavie, La route du salut offre un éclairage profond et sincère sur l'engagement, la foi, les vertus militaires et leurs limites, et sur la montée des identités dans l'histoire récente du vieux continent.

Quand on a le panache d'un chevalier, comment accepte-t-on le risque d'un destin obscur et sans gloire, d'une vie errante, entre faux papiers, espionnage et clandestinité ?

Quand, depuis la première de la défaite de 1940, on éprouve l'occupation nazie comme une oppression, comme un scandale pour lequel on est prêt à affronter la prison, la torture et la mort, par quel mystère surmonte-t-on son ardeur patriotique jusqu'à se choisir pour ultime confident un aumônier allemand ?

Éclaircir ces paradoxe qui ont nourri la légende d'Honoré d'Estienne d'Orves, telle est la belle ambition d'Etienne de Montety. Grâce à de nombreuses sources familiales, il brosse le portrait d'un enfant né avec le siècle en 1901, aussi doué pour les études scientifiques que curieux de découvrir le monde après sa sortie de Polytechnique, mais hanté, déjà, par le traumatisme d'une guerre, celle de 14-18, qui façonne le patriotisme d'un adolescent de bonne famille.

Ce mélange détonant permet de comprendre, grâce également à des archives militaires inédites, l'attitude du marin pris dans la nasse d'Alexandrie à l'été 1940 par l'amirauté britannique. Le lieutenant de vaisseau d'Estienne d'Orves gagne Londres en septembre et se rallie au général de Gaulle. S'ouvrent alors trois mois d'une carrière météorique où il devient chef du 2ème bureau de la France Libre, puis responsable d'un réseau d'espionnage avant d'être arrêté, en janvier 1941, sur dénonciation.

Et, tandis que Vichy s'agite pour le faire libérer, que les Allemands hésitent avant de l'exécuter le 29 août 1941, c'est en prison que d'Estienne d'Orves révèle, dans la foi et la méditation, l'ultime facette de sa personnalité et qu'il devient, pour la mémoire nationale, le héros "qui croyait au ciel".

«J’ai passionnément aimé Constantinople, la littérature et Artémis Démétrios. À leur contact, j’ai momentanément oublié la guerre, la boue de Champagne, d’où j’ai rapporté une blessure et des hantises. Il est possible qu’elles m’aient rendu heureux.

Mais au moment d’entreprendre le récit de ma vie, je dois le dire : rien ni personne n’est parvenu à supplanter mon cher opium, mon amant noir. Lui seul me connaît, lui seul sait m’apaiser, atténuer la dureté de ma condition d’homme. À Péra, dans le Rif, et plus tard dans Paris occupé, il m’a suivi. Il ne m’a jamais abandonné.»

(Source : Gallimard)

Un couple sans histoire, Laure et François Berteau. Leur fils adoptif, David, adolescent enjoué qui se pose des questions sur ses origines. Le père Georges Tellier, un prêtre qui s’arc-boute à sa foi, dans une Eglise qui s’étiole. Frédéric Nguyen, flic résolu à l’action et au silence, pour préserver sa vie privée. Hicham, que le goût du risque et de la frime finit par conduire en prison. Des remarques blessantes, de mauvaises rencontres. Une emprise croissante de l’islamisme et une colère de plus en plus radicale.

Et tout se précipite. Vers cette petite église d’un village du Sud-Ouest de la France, la tragédie attire comme un aimant explosif des hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer.

Le sujet de La Grande Epreuve nous concerne tous. La violence peut surgir au coin de la rue, comme ce fut le cas pour le père Hamel assassiné dans son église de Saint-Etienne du Rouvray. Etienne de Montety s’en inspire librement, en romancier. Car ce que seul un roman peut nous faire comprendre, par son souffle, ses échos et son irrésistible accélération, c’est la dimension inéluctable de tels événements. Le courage, la prudence, la peur, l’amour ou le désarroi, rien ne pourra arrêter une religion devenue folle.

(Source Stock)

À la 23e World Rose Convention, en Australie, le narrateur, journaliste français dans un magazine d’art de vivre, et Barbara, reporter allemande du Die Berliner, vont éprouver la même fascination pour la présidente de l’événement, May de Caux. Cette Française au charme insolite cache une part d’ombre qu’ils vont bientôt découvrir : le passé douloureux qui la hante. De leur complicité grandissante va naître le projet d’un livre. Reste à vaincre les réticences de May, ancienne résistante et déportée.

Pour Barbara, jeune femme d’une autre génération, pour l’indispensable transmission, elle va consentir à raconter : Ravensbrück à dix-huit ans, la souffrance, les amitiés, les petites joies et les grandes difficultés. Et l’après, le corps qui a perdu la mémoire de la tendresse, malgré l’attention de son mari, Paul. La vie de femme bouleversée. « Je sais que Paul devine les ombres qui ne me quittent pas, sur lesquelles personne n’a de prise. Notre harmonie n’est pas complète. Une partie de moi se refuse. Je lui donne la plus belle, la plus aimable. Il connaît le combat que je mène depuis vingt-cinq ans contre les fantômes. »

Et puis, il y a le souvenir de cette rose cueillie à Ravensbrück, improbable éclat coloré dans le gris funeste, la beauté dans la monstruosité à l’origine de sa renaissance. May est passée de l’horreur à la délicatesse des fleurs, et à l’amour.

« Certaines nuits à Montmartre sont singulièrement fécondes en récits et en actions. Ce sont elles qu’attend obscurément, au prix d’une patience infinie, celui qui aime le mystère brusquement percé, l’aventure subite et brutale, la dure émotion. » Dans les années folles, les faits divers sont à la mode, l’essor de la presse en a fait une matière dont raffole le grand public. En 1928, Gaston Gallimard va lancer avec succès Détective, hebdomadaire illustré à grand tirage, consacré aux crimes et aux faits divers. Il n’en faudra pas plus pour attirer Joseph Kessel. Inlassablement, son tempérament aventureux et sa soif de rencontres le poussent à partir. Cette fois, pourtant, le voyage n’est pas long. Les terrae incognitae sont seulement éloignées de quelques stations de métro des salles de rédaction et des maisons d’édition pour lesquelles il travaille. Journaliste autant qu’écrivain, Joseph Kessel va chercher la fiction dans la réalité de la ville et confère à celle-ci la noblesse des mots, le drapé de la littérature.

La seule biographie de référence d'un héros, symbole de la France libre.

Quand on a le panache d'un chevalier, comment accepte-t-on le risque d'un destin obscur et sans gloire, d'une vie errante, entre faux papiers, espionnage et conspiration ? Quand, depuis la première heure de la défaite de 1940, on éprouve l'occupation nazie comme une oppression, par quel mystère surmonte-t-on son ardeur patriotique jusqu'à se choisir pour ultime confident un aumônier allemand ? Eclaircir ces paradoxes, tel est le pari réussi dans ce livre, grâce à de nombreuses sources inédites.

L'unique biographie de Thierry Maulnier, l'une des grandes figures intellectuelles oubliées du XXe siècle.

Elève de l'Ecole normale supérieure avec Brasillach, Weil et Pompidou, Thierry Maulnier (1909-1988) est une figure oubliée. Ce grand esprit à l'ironie clairvoyante illustre pourtant à merveille une certaine conscience de droite, libre et brillante.

Engagé à l'Action française, mais alarmé très tôt par la montée du nazisme, il refuse tout embrigadement et ne s'abîme pas dans la collaboration. Son talent de polémiste se réveille plus tard, dans le combat mené contre le communisme et par la création de La Revue de la Table ronde avec François Mauriac. Critique littéraire, homme de théâtre à la silhouette de funambule, proche de Malraux, il termine sa vie académicien et grand éditorialiste au Figaro.

Que sait-on des lectures des présidents de la Ve République? Quels livres gardent-ils à leur chevet, quels autres emportent-ils en campagne électorale ou en visite officielle? Quels sont les ouvrages dont ils ne se séparent jamais, ceux qu'ils annotent et citent dans leurs discours? De Pompidou qui collectionne les éditions anciennes à Chirac qui ne se déplace pas sans une « Série noire » dans la poche de son pardessus, de Mitterrand dont les rayonnages débordent d'écrivains de droite à Sarkozy qui dévore les classiques, en passant par Macron, grand amateur de Gide et de Rimbaud, tous entretiennent un rapport intime à la lecture. Grâce à l'enquête originale d'Étienne de Montety et de sept autres auteurs, journalistes et historiens, on pénètre pour la première fois dans le jardin secret de nos présidents.

Pour la première fois, un dictionnaire explore tous les aspects de cette institution et société militaire d'exception. Singulière à plus d'un titre, la Légion étrangère occupe une place à part dans l'armée française depuis sa création en 1831. Longtemps objet de la curiosité inquiète du public ou de l'hostilité de certains pays pourvoyeurs d'engagés volontaires, elle a réussi à surmonter toutes les crises menaçant son existence. Le halo de mystères qui l'entourait à l'origine a laissé le champ libre à un imaginaire que la presse, la littérature et le cinéma ont largement contribué à diffuser jusqu'à nos jours. Si l'histoire occupe la première place de ce volume, elle n'est pas pour autant confinée aux seuls récits des combats, batailles et conflits au cours desquels les volontaires des régiments étrangers se sont illustrés : les travaux les plus récents permettent d'éclairer le lecteur sur la sociologie de cette société masculine et de mieux cerner le profil complexe du légionnaire. Les grandes figures, mieux connues aujourd'hui grâce aux biographies qui leur ont été consacrées, côtoient la foule " des hommes sans nom ", ces " héros subalternes " et anonymes aux destins contrastés. Les articles consacrés aux maladies et aux pathologies, aux plaisirs (l'alcool, les femmes, le bordel militaire de campagne), à l'acculturation apportent des éclairages inattendus, nouveaux à plus d'un titre, sur la vie quotidienne du légionnaire au temps des colonies. Le lecteur est plongé dans ce microcosme, le plus souvent imaginé et imaginaire depuis la fin du XIXe siècle. Nul ne s'étonnera de la place dédiée à la littérature (souvenirs ou mémoires, journaux et romans), à la presse, aux représentations en général (la chanson, le théâtre, l'opérette) et au cinéma en particulier. La ligne de partage entre le mythe littéraire et la réalité rapidement franchie, le lecteur est invité à déchirer le voile et à mieux connaître cette société jugée impénétrable. L'engouement marqué du public pour la littérature de guerre ou sur la guerre, qui a conduit les chercheurs à en comprendre les ressorts et à dégager les lignes de force d'une culture militaire originale, justifie pleinement la place tenue par les articles consacrés à la mémoire et aux traditions. Les aspects les plus neufs relèvent de l'histoire des relations internationales, plus exactement des relations franco-allemandes marquées par des crises et des tensions qui ont jalonné le premier XXe siècle (1900-1962). Le dictionnaire est précédé d'un texte ? " Étrangers au service de la France " ? sur la " préhistoire " de la Légion étrangère et comprend, outre une chronologie comparée, une bibliographie inédite, les premières discographie et filmographie sur la Légion, des cartes, plans et croquis, ainsi que des tableaux accompagnant divers documents et planches d'insignes. Une courte anthologie fait de surcroît découvrir l'âme sensible qui se cache derrière le légionnaire anonyme. Le public dispose désormais d'un outil de travail inégalé à ce jour.

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