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Toutes les séries de François Barcelo

10 livres
7 lecteurs

Depuis ce matin, Momo de Sinro est enfin en vacances. Évidemment, Momo de Sinro n'est pas son véritable nom : Momo est le surnom de Maurice Monette, Sinro l'abréviation de Saint-Romain-des-Champs, le village où il habite. Mais puisque ça se dit bien plus vite, tout le monde l'appelle ainsi.

Momo a une véritable passion pour les patins à roues alignées. Mais sa mère, Lucie, refuse de lui en acheter. «C'est trop cher, proteste-t-elle. Pourquoi tu ne travailles pas un peu? L'été commence. Tu pourrais tondre des pelouses ou désherber des plates-bandes.» Bien sûr, Momo a pensé à travailler pour se faire des sous. Il n'est pas paresseux. Mais s'il passe l'été à arracher des mauvaises herbes, il va finir par avoir assez d'argent pour acheter ses SupaRollas... mais seulement au mois d'août, quand il sera trop tard pour faire du patin à roues alignées pendant tout l'été!

Tous les livres de François Barcelo

En France, on les appelle des poulets. Aux États-Unis, des cochons. Au Québec ? Des chiens, même si on a souvent envie de les traiter de «chiens sales». Quand ils font une connerie, pour la cacher ils en font une plus grosse qui devra être dissimulée par une énorme, et celle-là, par une monumentale...

Mais si vous trouvez que c'est exagéré, attendez de lire ce qui est arrivé à Carmen Paradis...

Pompes funèbres : bertrand est le patron du salon des pompes funèbres de ramsay.

Son meilleur ami, wilfrid, un ancien camionneur, lui donne souvent un coup de main. un jour ils ont l'idée saugrenue de cacher un magnétophone dans le cercueil d'une défunte pour enregistrer ce que disent ses proches en se recueillant. wilfrid est victime d'un accident de la route. bertrand le ramasse, le ranime. le faux-mort était seulement sous le choc et s'enferme chez son ami. ils vont pousser la plaisanterie très loin, ce qui fait remonter à la surface un terrible secret bien enfoui.

Fonts baptismaux : dans cette autre chronique de ramsay, un prêtre, tout à fait respecté, entre en conflit avec une certaine gisèle, à propos de l'achat de fonts baptismaux pour son église. cette femme intraitable est à la tête du conseil qui gère le budget paroissial. la haine entre eux va monter au point de donner au prêtre des idées criminelles. ira-t-il jusqu'à passer à l'acte ? les deux courts romans réunis sous le titre de chroniques de saint-placide-de-ramsay illustrent le talent de barcelo : une imagination débridée y fait des siennes, n'épargnant rien, ni la religion, ni les politiciens, ni la police.

Source : [ http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/barcelo-francois/chroniques-de-saint-placide-de-ramsay,973861.aspx ]

Raoul Damphousse est un champion de la danse à claquettes, activité dont il a dû abandonner la pratique à la suite d’un accident. Il s’est depuis recyclé dans la podorythmie avec plus ou moins de succès. Un jour, une dame de La Réunion l’invite à venir dans cette île de l’océan Indien pour assurer la direction de l’école de claquettes de son défunt mari. Damphousse arrive, pour deux mois, et espère transformer ses apprentis danseurs en podorythmistes accomplis. Il ne passera dans l’île qu’une semaine et n’en verra pratiquement rien. Mais il apprendra à connaître ses gens, surtout les jeunes. Et à se connaître lui-même... ce qui est parfois bien plus difficile.

Antoine Vachon haït le hockey. À la suite de l'assassinat du coach de l'équipe de hockey de son fils, Antoine se voit pourtant contraint de le remplacer à pied levé, sans savoir alors que sa vie va changer. Le flou persiste. Qui a assassiné le coach? Et surtout, pourquoi? Le fils d'Antoine aurait-il quelque chose à voir dans tout cela? L'entraîneur était pourtant connu et apprécié dans sa communauté, il s'occupait bien de ses joueurs, trop bien peut-être…

François Barcelo signe ici un roman vif, nerveux, outrageux, sensible, noir, étonnant, détonnant, shakespearien, tragique, sportif, amoureux, désillusionné, un roman sur l'amour, sur la trahison, sur l'incompréhension…

Roger Lorange, un écrivain paumé dans la soixantaine, décide de redevenir rédacteur publicitaire pour renflouer son compte d'épargne avant sa retraite. Engagé sans difficulté, il se voit même confier la campagne du siècle. Tout va pour le mieux, jusqu'à ce que tout aille horriblement mal. Une description souvent hilarante du monde de la publicité ainsi que de celui de l'écrivain.

En 1990, un événement extraordinaire réveille un petit village tranquille du Québec. Un vieillard à la vue basse et une jeune punk à la coiffure multicolore affirment qu’une statue de la Sainte Vierge a bougé. Bougé comment ? Elle a montré une partie de son anatomie que personne n’avait jamais vue. Et voilà qu’accourent de partout des croyants devenus sceptiques et des agnostiques prêts à croire en ce miracle insolent. Bientôt, les journaux, la télévision, le Premier ministre et même le pape seront interpellés par ce phénomène...

Deuxième roman de François Barcelo, La tribu fait d’abord penser à une saga historique conventionnelle : un moussaillon est abandonné sur la côte du Nouveau Monde où une tribu indigène le prend sous son aile. Mais il n’y a rien d’ordinaire dans ce récit qui couvre trois siècles, alternant des chapitres consacrés aux aventures de la tribu et d’autres qui racontent la vie des individus qui la composent ou qui croisent son chemin. Et cette tribu pourrait bien être une métaphore du peuple québécois, avec ses moments de gloire et de misère, ses espoirs et ses hésitations. Dans une langue pure et avec un humour constant, ce roman qu’on a qualifié de baroque, de réaliste magique, de postcolonial et de postmoderne se révèle finalement, comme son auteur, parfaitement inclassable.

Viviane haït les bébés. Viviane a des enfants, mais ne les voit presque plus. Elle leur fait même croire qu’elle passe Noël dans le Sud alors qu’elle part s’installer dans une cabine à Percé, seule. La première nuit, un panier est laissé à sa porte avec dedans un bébé naissant. Question d’épargner à l’enfant une vie d’enfer, Viviane décide d’abréger ses jours. Bien sûr rien ne se passe comme prévu : on ne se débarrasse pas d’un bébé comme ça, surtout quand les cabines voisines sont remplies de touristes français et que nos pas laissent des traces dans la neige...

Une vieille demoiselle voit sa maison ensevelie sous la neige. Elle appelle à l'aide sa jeune voisine afin que celle-ci dégage sa sortie contre une récompense.

Et surprise, elle voit arriver Thomas, son frère. Thomas qui chaque été l'exaspère par ses balles de base-ball envoyées sur sa pelouse. Vont-ils arriver à dépasser leurs préjugés ?

Armand Lafleur est un vieux chanteur de charme qui vit dans la solitude et l'oubli. Un beau soir, alors qu'il regarde une série policière, deux jeunes trentenaires frappent à sa porte pour l'inviter à remettre un prix dans un grand gala, le soir même. Une limousine l'attend en bas, et un tuxedo dans une loge là-bas.

Armand Lafleur accepte, pour se rendre compte que non seulement il a servi de bouche-trou, mais qu'il devra remettre un prix à sa pire ennemie, une vieille folle qui habite le même immeuble que lui et qui vient de faire paraître un dernier disque de ses grands succès.

Écœuré, Armand modifie le résultat et accorde le prix à une jeune artiste qui le rejoindra après la cérémonie, pour le remercier comme il se doit.

Personne n'entendra la vieille chanteuse se glisser dans la chambre d'Armand.

Je vis à St-Barnabé, un bled du Canada où même les arbres sont plus moches qu'ailleurs parce qu'ici les gens sont pauvres. En mourant, ma mère à ouvert la portière et elle est tombée dans le fossé. Ça m'agace. Même si je n'ai fait que mon devoir en la tuant parce qu'elle me l'a demandé, il faut que je répare la voiture abîmée et que je repêche le corps dans le fossé avant que les flics ne le trouvent.

Benjamin Tardif, Québécois et traducteur, fait le tour des États-Unis dans une fourgonnette de camping Westfalia. Alors qu’il circule sur une petite route du Texas, l’envie lui prend de se baigner dans le golfe du Mexique. Il est encore dans l’eau, tout nu, quand il entend son véhicule s’éloigner: on vient de le lui voler, avec tout ce qu’il possède...

Ces carnets présentent deux manières de voir Montréal. D'une part, par les yeux d'un artiste, Raynald Murphy, qui parcourt la ville avec sa trousse d'aquarelle, prêt à croquer sur le vif les immeubles, paysages, gens et objets qui attirent son regard. D'autre part, avec les yeux d'un écrivain, François Barcelo, qui cherche dans ses souvenirs et dans les sources les plus diverses ce qui n'aurait pas été trop souvent dit et redit à propos d'une ville où il a vécu pendant plus de cinquante ans.

Ces Carnets de Montréal ne prétendent donc pas vous faire connaître Montréal dans sa totalité. C'est pourquoi nous avons choisi l'ordre alphabétique, quasiment aléatoire, plutôt qu'un ordre résolument logique - thématique, chronologique ou géographique. Cela nous a forcés à tricher quelque peu. Pas question, par exemple, de mettre dans la lettre S tous les lieux de Montréal dont le nom commence par Saint. Cela n'aurait pas laissé grand-chose aux autres lettres de l'alphabet. Mais cet ordre désordonné vous présente notre ville comme nous l'avons découverte nous-mêmes, au fil des ans: par petites touches d'images et d'anecdotes, sans idée préconçue

Ma famille, les Plouffe, est réunie pour l'anniversaire de mon grand-père. Je lui amène le plus beau des cadeaux : Jonathan, l'enfant dont j'ai la garde, et que je fais passer pour son arrière petit-fils. Mais, quand les Plouffe se réunissent, ça peut être pareil à l'Irak. Surtout quand Jonathan, pourtant planqué pour la nuit dans un tiroir, disparaît et que sa mère, membre du club des motards Devil's Own, se pointe pour le récupérer.

Présentation de l'éditeur (VLB) :

« Écrire un livre c’est plus facile que d’en lire. On a pas besoin de se demander ce que ça veut dire parce qu’on le sait d’avance. »

Sylvain Beausoleil est un déficient intellectuel, ce qui ne l’empêche pas de passer ses soirées à écrire un journal. Il est d’ailleurs convaincu que son ordinateur lui permet de surmonter toutes les embûches de l’orthographe.

Le jour, il classe des dossiers et cachette des enveloppes pour l’Agence de gestion des greffes.

Là, comme dans sa vie personnelle, il se passe des choses qui le dépassent.

Il répète souvent : « J’enterre mon lapin », parce qu’il pense que c’est la chose à dire quand on ne comprend rien.

Mais ce n’est pas grave, car personne ne l’entend.

Il est muet.

En 1981 paraissait le premier roman de François Barcelo, Agénor, Agénor, Agénor et Agénor.

Vingt-cinq livres plus tard, voici peut-être la plus étonnante de ses œuvres, remplie d’humour et de révolte, de cynisme et de tendresse, de fausses perles de sagesse et de vraies fautes de français.

128 pages

ISBN : 978-2-89005-762-3

Collection : Roman

Parution : 2001-01-18

Il vit dans un village. Il est le directeur-adjoint (non-permanent) de la succursale d’une banque québécoise, la BQ. Une banque anglaise vient s’installer à côté de la sienne et il sait qu’il va perdre son emploi avant la fin de sa période d’essai.Il rêve d’un avenir meilleur, il veut partir sa propre entreprise et a besoin d’argent. Sa propre banque lui refuse le prêt.Il décide donc qu’il ira chercher l’argent là où il y est : dans la banque voisine, la banque des Anglais. Il s’achète un blouson noir, un gros sac et un passe-montagne puis échafaude le plan d’un vol parfait. Tout va comme sur des roulettes, jusqu’à ce que…Comme dans tous les romans de la série J’haïs… François Barcelo nous réserve un dénouement inattendu, aussi dément que drôle à s’en battre les cuisses.J’haïs les anglais, un roman haletant!

Après le succès remporté par le recueil de nouvelles Crimes à la librairie, le directeur de la publication, Richard Migneault, comme un criminel non repenti, récidive. Il a invité dix-sept autres auteurs à investir un lieu de culture, de lecture et de recherche différent, pour y mettre en scène des crimes : la bibliothèque.

François Barcelo, David Bélanger, Roxanne Bouchard, Laurent Chabin, Sylvie-Catherine De Vailly, Hervé Gagnon, Anna Raymonde Gazaille, Maxime Houde, Michel Jobin, Jacqueline Landry, Jean Lemieux, François Lévesque, André Marois, Maureen Martineau, Maryse Rouy, Francine Ruel, Martin Winckler.

Tous ces écrivains fabuleux ont relevé le défi : ils nous ouvrent leur imaginaire, nous entraînent dans leurs intrigues en compagnie de leurs personnages, et ils nous régalent de leurs styles singuliers. Ils nous convient à les suivre dans des endroits où les crimes sont improbables : bibliothèque d'un sous-sol d'église, d'une école secondaire, d'une municipalité, voire même d'une communauté religieuse… Que ces bibliothèques soient situées au Québec, au Moyen-Orient, à Venise ou dans le Far West, munissez-vous de votre carte d'abonné et armez-vous de courage, car la bibliothécaire vous y attend en ténébreuse compagnie…

Montréal, 1964

Normand Bazinet est petit pour son âge. Quand sa grand-mère est assassinée avec l'embout d'un parapluie dans son lit à l'Hôtel-Dieu, personne ne pense qu'il pourrait être le coupable. Mais lorsque la police apprend qu'il avait dix ans et non sept, on l'envoie « pour son bien » dans une maison de redressement.

À sa sortie, il n'a qu'un seul désir: tout oublier. Ce qui ne l'empêchera pas de passer les vingt-cinq années suivantes à chercher la vérité.Parce qu'autour de lui les gens qu'il aime se mettent à mourir, de plus en plus nombreux. Et même avec entrain, pourrait-on croire.

Inquiétants, sombres, angoissants, parfois drôles, François Barcelo, Marie-Claire Blais, André Truand, Chrystine Brouillet et Gilles Pellerin nous donnent de leurs nouvelles. Dans cette édition en format poche, Patrick Senécal et André Marois rejoignent le collectif qui nous transporte dans les rues les plus sombres de la ville. Une unité de lieu : Montréal... mais noir, et Montréal noir ne fait pas de quartier...

Jocelyn Quévillon n'a pas du tout envie de se marier avec Eliane Laurencelle. Mais tout se passe très bien, puisqu'un tueur assassine le curé de Saint-Gérard-de-Mainville au début de la cérémonie. Et voilà nos deux fiancés partis en cavale du côté de Niagara, le seul endroit d'Amérique où une fille en robe de mariée ne risque pas de se faire remarquer. Comble de bonheur : sur la route, l'autoradio joue une chanson délirante, interprétée par une voix phénoménale, qui semble affirmer que l'ennui est une femme à barbe...

En 1990, juste après la crise d’Oka, Benjamin ­Tardif poursuit son tour des États-Unis à bord de sa fourgonnette Westfalia. Il est en compagnie de deux drôles d’amis rencontrés Nulle part au Texas : Soutinelle, la jolie Noire dont il est tombé amoureux, et le frère de celle-ci, l’ex-shérif Justin Case. Le trio a mis le cap sur la Californie, mais le voilà coincé à Elsewhere, en Arizona, lorsque leur Westfalia disparaît dans un nuage de poussière…

Dans cet étonnant mélange de roman d’aventures, de récit de voyage, d’histoire d’amour et de conte satirique, François Barcelo nous mène de surprise en surprise, à la découverte d’un monde comme il n’en existe nulle part. «... une distraction si vraie que vous dévorez son texte jusqu’à la dernière ligne.»

 G. Pascal, Lettres québécoises«... une plume alerte et sautillante, une langue rigolote mais toujours juste...» M.-C. Fortin, Voir«Belle arène intellectuelle où ferraillent la mémoire et l’espoir... gentiment anarchiste.» R. Martel, La Presse

Au début des années 1990, Benjamin Tardif, traducteur québécois en vacances, voyage dans le sud des États-Unis au volant d’un vieux Westfalia. Il est accompagné de la femme qu’il aime, Soutinelle Case, et de son encombrant frère, Justin Case, aussi Blanc que sa soeur est Noire. Après avoir traversé le Texas et l’Arizona, notre trio arrive en Californie. Le Westfalia tombe en panne tout près de Beverly Hills et pas loin du tout d’Hollywood. Entre les ambitions de Soutinelle qui veut devenir actrice et les réparations à faire sur le Westfalia, Benjamin rencontrera des sosies des plus grandes vedettes, fera la connaissance d’immigrants mexicains aussi sympathiques que miséreux et connaîtra une très brève carrière de scénariste.

« Beaucoup d’humour, un sens aigu du suspense, uneécriture nerveuse et rigoureusement respectueuse de la grammaire. » Réginald Martel, La Presse

« … une pointe de tendresse, et autant de méchanceté, envers cette Amérique à mi-chemin entre l’apogée et la décadence. » Le Moniteur

« François Barcelo a trouvé avec Benjamin Tardif sa meilleure veine, dans un récit léger, parfaitement contrôlé. » Jacques Allard, Le Devoir

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