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Commentaires sur ses livres

François Busnel

Par Armand-9 le 28 Mars 2019 Editer
Armand-9
29 JANVIER 2019 MUMU DANS LE BOCAGE2 COMMENTAIRES
america 8L’Amérique comme vous ne l’avez jamais lue :
Russel Banks
Le grand entretien.
Richard Ford
Voyage au Trumpistan.
1619 – 2019
400 ans d’esclavage.
De la race en Amérique
Jesmyn Ward
Joh Edgard Wideman
Chimamanda Nogozi Adichie
Un texte inédit de James Baldwin

Pourquoi j’ai choisi de lire ce magazine

J’ai commencé comme ça par feuilleter un numéro le 5 je crois en Juillet dernier et je suis devenue accro parce que j’y découvre la plume d’écrivains américains que je connais parfois de nom mais qu’y m’effrayaient un peu car pour moi des « monstres » de la littérature, et puis ensuite pour mieux comprendre ce pays.

Depuis l’élection de l’homme orange (je suis un peu comme Paul Auster, excusez du peu, je n’arrive plus à prononcer son nom) je suis dans l’incompréhension totale. Qu’un tel personnage est pu être élu !!!!! Alors je veux comprendre, je veux que l’on m’explique et qui peut mieux le faire que ceux qui y vivent, qui y vont et ceux qui ont écrit l’Amérique…..

Ma lecture

C’est un rendez-vous que je ne manquerai pas…. Chaque trimestre me voici plongée dans l’Amérique d’hier pour mieux découvrir celle d’aujourd’hui.

Le thème De la Race et l’image de James Baldwin qui nous regarde avec le reflet dans ses lunettes des multiples races qui constituent l’Amérique…. et comme à chaque lecture de ce magazine j’ai découvert, appris et tenté de comprendre ce qu’était l’Amérique d’aujourd’hui.

J’ai trouvé l’édito de François Busnel particulièrement fort et juste, annonciateur d’articles éclairants.

Puis Richard Ford prend le relais pour nous faire le constat de la politique sous T. mais aussi sur la société américaine et ce qui m’a particulièrement intéressée sur la société de consommation.

Comme toujours le poisson rouge devient fou dans son bocal et laisse ensuite la parole Russel Banks. Ce que j’aime dans ce magazine c’est qu’il me permet de découvrir les prises de position, les vies d’auteurs que je connais de nom mais que je n’ose pas toujours lire (pour moi presque des monstres sacrés…… mais je me soigne). Ce fut le cas pour John Ford et Russel Banks.

Ce dernier fait le constat du peu d’influence qu’ont les écrivains désormais sur les idées. Il n’est question, selon lui, que d’adaptations cinématographiques plus que de romans. Le pouvoir est entre les mains des médias alors qu’auparavant les romans possédaient une certaine influence. Le rêve américain ? Quel rêve américain !. Les nouvelles technologies prennent le pas sur la littérature (voir l’article dans Lire du mois de Janvier page 14 qui évoque la baisse des droits d’auteur des écrivains américains et dont une majorité vit en-dessous du seuil de pauvreté…..).

Il y a également Une histoire de l’esclavage par Thomas Srégaroff ainsi que La dernière traversée par Zora Neale Hurstor qui revient sur le traffic d’esclaves, récits que chacun de nous a déjà lu mais il est bon de revenir dessus, ne pas oublier et surtout parce que l’esclavage n’a pas disparu. Ce dernier récit avec le parcours de Cudjo Lewis, né Kossula au Dahomey embarqué sur le Clothilde, dernier bateau négrier à avoir débarqué en toute illégalité aux Etats-Unis, en 1860 est particulièrement édifiant.

Il y a également un texte inédit de James Baldwin qui évoque le Blues, ses différentes formes, ceux et celles qui l’ont interprété, vécu et comment il a raisonné aux oreilles des de tous.

John Edgar Wideman avec La ligne de démarcation évoque la visite à son frère en prison avec une introduction une phrase longue, très longue comme un cri poussé et Jesmyn Ward évoque les différentes nuances du noir, du plus pâle au plus foncé, la connaissance de ses origines, la perception que l’on peut en avoir et du choix de les accepter ou pas.

Pour une lectrice comme moi, j’ai particulièrement aimé La question raciale en 10 grandes œuvres, Le jour où je suis devenue noire de Chimamanda Ngozi Adichie, Les nouvelles couleurs de l’Amérique avec des interviews d’auteurs américains aux origines très diverses, Carson Mc Cullers avec l’histoire d’un grand livre : Le cœur est un chasseur solitaire (roman que j’ai beaucoup aimé ainsi que Frankie Addams)

Il y a également, comme dans chaque numéro, la découverte d’une des grandes villes américaines et cette fois-ci il est question de Boston et si on dit Boston on dit Urgences, la mythique série médicale.

America est une source d’informations, d’interrogations, de regards sur ce pays que l’on dit grand, qui interroge, inquiète, le rêve américain ne devient-il pas un cauchemar. Avec sa lecture je ne peux pas dire que je le comprends mieux mais au moins je tente de découvrir tout ce qui le compose, le construit à travers principalement par ceux qui en sont les voix mais aussi ce que ce pays devient derrière le mythe.

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Les Editions America – Janvier 2019 – 194 pages
Par loeilnoir le 20 Février 2023 Editer
loeilnoir
Quatre romans de Franck Bouysse sont réunis dans ce recueil : Grossir le Ciel, Plateau, Glaise et Né d’aucune femme. Les saisons qui rythment la vie, le temps qui passe, impitoyable au coeur d’une nature rude, coriace, et une rose, une poésie, un espoir… Et le prénom du personnage phare d’un de ces quatre romans, peut-être le plus vibrant en effet.

La préface de François Busnel, rend véritablement hommage à l’écriture de Franck Bouysse: « ces romans, écrits sans souci de genre ni envie de plaire, contiennent toutes les nuances de la noirceur humaine« . Ecrire sans souci de genre ni envie de plaire me semble être l’essence même de la véritable littérature. Authentique.

Les personnages de Bouysse sont façonnés par la pierre, la roche et la terre. L’auteur nous offre une galerie de portraits de paysans, de modestes agriculteurs, de petites gens en somme qui vivent dans la campagne profonde, qui survivent loin de toute modernité, à l’ancienne. Qu’en est-il de la place des femmes dans ce monde? De la matrone ou de la femme soumise, de celle qui attend le mari parti à la guerre et de celle qui fait tourner la ferme. Les deux se rejoignent, se confondent lorsqu’il faut faire face à la violence des hommes. C’est de cela qu’il est question dans les romans de Bouysse : de domination physique, d’apreté verbale, de silences violents. Et ô combien peuvent être violents les silences lorsque les secrets intergénérationnels étouffent chaque existence, sans concession aucune. Le malheur, la haine, la rancune se transmettent de génération en génération, en douce parfois sans que l’on s’en rende compte. L’enfance de chacun où naissent les traumatismes destructeurs est une des bases de la noirceur humaine dépeinte chez Bouysse.

Dans Grossir le ciel qui le révèle en 2014, Franck Bouysse entraine son lecteur dans un huis-clos rural saisissant de réalisme. Au coeur des Cévennes, entre Alès et Mende, un hameau appelé Les Doges réunit deux fermes éloignées de quelques centaines de mètres. L’une appartient à Gus, un paysan solitaire et taciturne qui vit avec son chien. Dans l’autre vit Abel, avec qui, au fil des ans, il a sympathisé. Mais les temps changent, l’abbé Pierre disparait et cet évènement national semble être le point de départ d’une nouvelle ére aux Doges. Des visites inhabituelles, une présence inexpliquée, une tension qui s’installe peu à peu entre les deux voisins. La montagne pour seul témoin, un climat âpre et rude, de lourds silence et un fusil…

Dans Plateau paru en 2017, Judith et Virgile tiennent une petite ferme dans un hameau, sur le plateau de Millevaches. Ils ont élevé Georges, leur neveu orphelin qui vit désormais dans une caravane sur leur terrain. Leur voisin Karl est un ancien boxeur aux prises avec des pulsions sexuelles débordantes que rien ne peut apaiser par même une fervente croyance en Dieu. Lorsque arrive de la ville Cory, une jeune femme qui vient trouver refuge au hameau tentant d’échapper au joug d’un mari violent, la vie sur le plateau maintenue par un fragile équilibre vole en éclats.

Glaise, du nom la terre argileuse dans laquelle on peut d’enfoncer et se perdre, se déroule en 1914, dans le Cantal où les hommes vaillants sont réquisitionnés pour la guerre. Ils laissent derrière eux les fermes tenues par les femmes et les enfants. Joseph, quinze ans s’occupe avec sa mère de l’exploitation, avec l’aide de leur vieux voisin Léonard. Dans le domaine voisin, Valette, la main atrophiée est exclu du combat, et se referme sur lui-même dans une rage sournoise. Avec sa femme, ils n’ont d’auttre choix que d’accueillir chez eux sa belle-soeur Hélène et sa fille Anna. Leur présence va semer le trouble et bouleverser la vie au hameau.

Le joyau de Franck Bouysse jusqu’à présent semble être le magnifique Né d’aucune femme. Lu en 2020, je garde pour ce roman une affection particulière, c’était un de mes premiers avis sur ce blog et j’avoue que cette lecture inoubliable m’a profondément marquée. La plume remarquable de l’auteur, fine, ciselée, d’une poésie aérienne transcende un récit d’une rare violence. Nous sommes au 19ème siècle, une jeune fille de quatorze ans, Rose, est vendue par son père à un châtelain nommé Charles, qui vit avec sa mère, la vieille. Tous deux, habités par un ignoble dessein, l’asservissent et lui font connaître l’enfer. Rose trouve toutefois le moyen de relater son calvaire dans un journal intime lu par la suite par un curé de campagne. Grâce à ces mots frénétiques, que l’on croyaient inaccessibles pour une fille de son rang, Rose trouvera le moyen de se libérer de ses bourreaux.

Dans les livres de Bouysse, les dialogues sont brefs, les propos très courts, tout est dit de la façon la plus abrupte qu’il soit. On ne tourne pas autour du pot, pourtant on tait bien des choses, on tire à l’extrême la corde du secret jusqu’à ce qu’inévitablement elle se casse. La nature est exigeante, on lui donne tout et elle prend beaucoup. L’existence rythmée par les travaux des champs, par les saisons, le labeur, le courage, la force ne laissent place à aucune émotion. Cela nous va bien à nous citadin d’aller se vider la tête en montagne ou au fin fond de la campagne, d’oublier nos soucis pour profiter du bon air. Mais lorsque l’on y vit, que l’on y est né et que l’on y meurt, il n’y pas d’alternative possible, « malgré les grands espaces, les gens sont confinés dans leur tête » (F. Busnel). Et dans ce cas, tout tend vers la catastrophe.

Recueil qui me semble être à classer parmi les essentiels de la littérature contemporaine, en tête de fil du roman noir rural. Merci au Livre de Poche via Netgalley pour cette lecture que je conseille aux amoureux du terroir et aux lecteurs désireux de découvrir l’écriture exceptionnelle de Franck Bouysse.
A propos du livre :
Des Saisons et une Rose
Des Saisons et une Rose
Par JuSE le 19 Octobre 2020 Editer
JuSE
Beau format. Une lecture très intéressante !
A propos du livre :
America, n°6 : Ladies First
America, n°6 : Ladies First
Par marine_livraddict le 8 Octobre 2019 Editer
marine_livraddict
Cela faisait plusieurs mois que je lorgnais sur la revue n°9 America, consacrée à L'Amérique Indienne. Ma médiathèque se l'était procurée mais elle était toujours empruntée et impossible de la réserver. Je suis vraiment tombée dessus par hasard et je me suis jetée dessus sans plus attendre! J'avoue que je n'ai lu que la partie sur l'Amérique Indienne, le reste ne m'intéressait pas du tout. Ce qui m'intéressait tout particulièrement, c'était d'en savoir plus sur l'Amérique indienne d'aujourd'hui, sur ce que sont devenues les tribus, comment ils vivent... Quant on parle d'amnésie quant à l'histoire des Amérindiens, eh bien, c'est tout à fait ça, le mot est juste! Depuis plusieurs mois, je suis vraiment fascinée par la culture amérindienne. J'essaie d'élargir mes horizons, d'enrichir ma culture général sur un sujet qui me tient à cœur et cette revue a rempli sa part du contrat.

La partie sur l'Amérique Indienne se découpe en 7 parties bien distinctes:
*Sur la piste de Curtis (12 pages): il s'agit d'un dossier photos en noir et blanc du grand Edward Sheriff Curtis, un photographe du XIX-XX siècle où pendant plus de 20 ans, il a pris plus de 40 000 clichés de scènes, de personnes de différentes tribus.
*Le coeur battant de Wounded Knee (16 pages) de Davd Trewer: l'auteur de l'article parle d'un Lakota du nom de Black Elk, de ses visions de paix entachées par la violence et la mort, sa participation à la bataille de Little Big Horn, son engagement dans le célèbre Wild West Show, qui a vu le massacre de Wounded Knee où hommes, femmes et enfants ont été froidement assassinés et qui a été un tournant majeur. On découvre ainsi l'après Wounded Knee.
*La réserve en hiver (14 pages): il s'agit d'une rencontre que fait un de mes auteurs favoris désormais, Jim Fergus (auteur de Mille femmes blanches) avec Grand-Mère Margaret, une Cheyenne femme-médecine qui lui narre son histoire; j'ai donc appris qu'il entamait des voyages et faisait des rencontres, qu'il faisait un vrai travail de recherches pour l'élaboration de ses romans.
*Macadam Indian (8 pages) de Tommy Orange: c'est en quelque sorte un essai de l'écrivain de There There, qui parle d'assimilation, de génocide et de l'Indien d'aujourd'hui.
*Indiens, vos papiers! (8 pages): Joseph Boyder est lui aussi écrivain, il évoque son expérience personnelle, les doutes quant à ses origines, les questionnements sur le "vrai indien".
*Seule la Terre est éternelle (14 pages) de Jim Harrisson: un hommage pour le célèbre écrivain qui nous a quitté il n'y a pas si longtemps. Un plaidoyer pour une éthique écologique et une critique contre l'amnésie de l'Amérique. Je n'ai toujours pas lu de romans de JH mais je vais tout faire pour y remédier!
*Rencontre avec Louise Erdrigh (7 pages): une interview mené par Julien Bisson, qui va poser des questions judicieuses à cette écrivaine aux origines amérindienne et ses réponses m'ont énormément interpellées.

En lisant cette revue, j'ai encore plus ouvert les yeux, j'ai eu une prise de conscience. Encore et toujours, je suis pas mal choquée sur bien des points et admiratives sur d'autres. Il y a des propos justes qui ont trouvé écho en moi. J'ai encore appris tellement de choses et c'était ultra intéressant, enrichissant... important. J'ai aussi appris que je n'utilisais pas forcément le terme correct pour désigner les Indiens, j'ai d'ailleurs toujours peur d'apparaître négative rien qu'en un mot. Il vaut mieux parler de Native American (Natifs Américains) mais après, à chacun sa propre vision des termes.

Il y a des dates et des cartes plus que bienvenues qui m'ont été très utiles. Il y avait aussi une liste de livres qui m'a énormément plu, j'ai pu ainsi noter plein de titres! De ceux qu'il faut impérativement avoir lus, j'en ai justement lu deux que j'ai beaucoup aimé dont un qui a été mon plus gros coup de cœur de 2018 et qui a été une révélation pour moi : Mille femmes blanches de Jim Fergus. Et l'autre est Le Dernier des Mohicans!

En bref, j'ai beaucoup aimé ce magazine, elle met en avant un sujet très intéressant et important! Cela fait énormément réfléchir! Je ne peux que recommander vivement cette revue!
Par Maev-a8616 le 6 Juin 2017 Editer
Maev-a8616
Livre très intéressant si on désire connaître les histoires de la mythologie grecque. Très bien écrit et qui s'avère suffisamment simple pour pouvoir être compris de tous.
Par FlW-Lucas le 6 Mars 2014 Editer
FlW-Lucas
Un recueil très court et fort intéressant.
Ou je me suis même quelque fois retrouvé, grâce aux émotions que font transmettre ces écrivains. A la découverte d'une librairie, celle poisseuse, celle qui nous protège, celle qui nous libère... Un recueil insignifiant, mais qui est quand même un régal à lire.
A propos du livre :
lettres à mon libraire
lettres à mon libraire
Par Brownie le 23 Mai 2013 Editer
Brownie
Bon livre qui explique bien la mythologie sans être trop compliqué ou "enfantin" pour autant. Intéressant pour ceux qui voudraient découvrir quelques bases de la mythologie grecque.
Par Zikiki le 8 Avril 2012 Editer
Zikiki
J'ai lu ce livre il y longtemps. J'ai beaucoup aimé découvrir la mythologie grecque grâce à ce livre car chaque conte est consacré à l'histoire d'un personnage. Les histoires sont courtes et simples à comprendre, rendant ce livre accessible aux enfants et aux adultes.
L'auteur expose de façon claire et intéressante les légendes, et il nous permet de les découvrir ou redécouvrir. Je conseille ce livre à ceux qui veulent en savoir plus sur la mythologie grecque sans se prendre la tête.

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