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A noter que ce livre ne doit pas être conseillé à des personnes malheureuses en ménage, ou qui vivent mal le célibat, car il sera peut-être pénible de découvrir l'amour que se portent les deux personnages...
Un bémol bien sûr : l'horrible scène ponctuant "l'Automne", qu'aucun lecteur n'oubliera (et n'aura pu envisager) mais dont je me serais bien passé ! Pour autant, évidemment, je reconnais tous les droits à l'auteur, et donc celui de nous l'avoir infligée.
Le vase où meurt cette verveine
J'ai adoré la passion entre Joseph et Zika, j'espère vivre un tel amour inébranlable un jour... Un beau portrait de couple.
Le vase où meurt cette verveine
Quelle chaleur, quelle humanité dans ce petit monde de jeunes colocataires !
J'ai rencontré Claire, Juliette, Tischa, Kader et Monsieur Bréhel, tous différents, mais tous terriblement attachants.
Kader est fou amoureux de Juliette, mais Juliette en aime un autre... un autre qui ne l'aime pas ou plutôt pas comme elle aimerait...
Monsieur Bréhel, le voisin discret est secrètement épris de Claire, cette jolie et délicate violoncelliste qui aime... quelqu'un d'autre.
Ce livre est une histoire de vies croisées, une fiction arrachée à un monde contemporain difficile pour certain, où la violence, l'alcool et la drogue sont souvent les seuls recours ou échappatoires.
J'ai beaucoup aimé l'écriture franche, vraie, fluide et poétique de Frédérique Martin, mais aussi et surtout la bienveillance qui s'en dégage. Je pourrais encore épiloguer sur mon ressenti, mais je préfère vous laisser découvrir ce très beau roman.
Sauf quand on les aime
Commence alors entre eux une relation épistolaire qui voit la perspective de leur retrouvailles.
Zika et Joseph découvrent ainsi la face cachée de leurs enfants et leurs propres zones d'ombre.
Jusqu'au drame final où ils devront affronter le désastre qu'ils ont engendré.
Très beau roman empreint de délicatesse.
Le vase où meurt cette verveine
Le vase où meurt cette verveine
Le vase où meurt cette verveine (titre tiré d'un très beau poème de Sully Prudhomme) est un joli livre.
Zyka et Joseph sont un couple attachant, un de ceux que le temps ne parvient pas à briser. La force et la longévité de leur amour touchent et surprennent. C'est brillant de simplicité.
Chaque lettre est ponctuée par le sentiment de manque lié à l'absence de l'autre et à la distance. Parce que Joseph et Zyka, après des décennies ensemble, se retrouvent brusquement séparés : Zyka, malade, ira chez sa fille à Paris, quant à Joseph, c'est chez son fils et sa famille qu'il trouvera domicile.
Le roman se heurte ainsi au thème des générations, des relations qu'entretiennent les enfants avec leurs parents et plus généralement à la famille, microcosme fragile où il est parfois compliqué pour chacun de trouver sa place. S'écrivant tour à tour, les deux époux nous livrent leur manque, leurs doutes, leurs prises de conscience vis-à-vis de leur rôle de parents. La passion se mélange à la jalousie, à la rancœur et la colère.
La fin est brutale, comme un impact violent sur du verre. Mais étrangement, je n'en attendais pas moins. Ce fut une belle découverte d'un auteur que je ne connaissais pas du tout.
Le vase où meurt cette verveine
Le vase où meurt cette verveine
Moralité : aimer tant qu'il est temps, l'énoncer, le montrer, toutes générations confondues ; respecter la dignité de chacun jusqu'au dernier instant, ce n'est pas toujours facile car il ne faut en aucun cas oublier que notre histoire transgénérationnelle est parfois un lourd fardeau à porter.
Le vase où meurt cette verveine
cf : http://mickaelineetseslivres.blogspot.fr/2016/02/jenvisage-de-te-vendre-jy-pense-de-plus.html
J'envisage de te vendre (j'y pense de plus en plus)