Commentaires sur ses livres

Je me suis absolument pas ennuyée une minute en lisant...64 participants,4 étages,a franchir,ils arrivent tous nus et les mains vides,ils doivent faire attention aux pièges, trouver des coffres pour avoir a manger,des armes de l'eau des habits ect ...bien s'orienter et s'entre tuer,il n'y a pas le choix,le sable monte et risque de les enterrer vivant, faut franchir les paliers,car il n'y aura qu'un seul vainqueur,a chaque fois qu'une auto porte s'ouvre la moitié des candidats sont morts.C'est très addictif on ne lâche rien jusqu'au dernier mots

— Roman lauréat des Murmures Littéraires, édition 1 –

L’auteur nous entraîne dans un univers de science-fiction dystopique où les hommes et les femmes vivent dans des sociétés distinctes et mènent une guerre frontale. L’auteur a poussé son concept jusqu’au bout pour nous proposer un univers très métaphorique qui est malgré tout extrêmement cohérent et bien pensé.

Le roman comporte une certaine ambivalence morale qui rend l’intention de l’auteur difficile à saisir, bien que très intéressante sur le plan narratif. Gaëtan B. Maran s’empare de thématiques délicates, car sujettes à la controverse, et les aborde en profondeur. Ce roman vaut la peine d’être présenté au public pour ses immenses qualités : il propose une analyse fine du sujet brûlant qu’est la « guerre des sexes » en l’abordant par le biais d’une intrigue fascinante et pleine de rebondissements. La tension est palpable tout au long de l’histoire grâce à l’alternance des points de vue entre la faction masculine et la faction féminine, qui permet au lecteur de s’identifier aux deux personnages.

C’est un roman qui vaut vraiment la peine d’être lu !

Pour lire l'article complet : https://les-murmures-litteraires.fr/no-mans-land-de-gaetan-b-maran-chez-notre-partenaire-onyx/

L'action. C'est le gros point fort de ce livre !
On y entre directement, sans détours, et nous y restons tout le long du récit. C'est un récit dystopique basique avec la trame qui est assez fréquente en ce moment : des adolescent.e.s forcés de s'entretuer pour survivre.
L’originalité se trouve dans le fait que toute l’action de l’histoire se déroule dans une pyramide, et dans ses nombreux étages. On n’a pas vraiment le temps de s’attacher aux personnages, et dans un sens, tant mieux au vu des nombreux combats et victimes.
Je n’avais pas spécialement de champion.ne attitré, donc j’ai suivi l’intrigue en attendant de voir qui parviendrait au dernier étage de Pyramide. Si je n’ai pas été spécialement surprise, j’ai apprécié d’accéder à cette précieuse partie de l’édifice, aux côtés du dernier personnage vivant.
Pour moi, le point fort est la dernière partie avec la réflexion sur le pouvoir et le dilemme du survivant. La fin est intéressante.
C’est donc un bon récit d’aventure et de survie, se déroulant dans un lieu atypique avec une réflexion très intéressante sur la manipulation des foules et le pouvoir.

C'était le livre que j'attendais depuis des années : Le coup de cœur. Il est bien construit, on y trouve des similarités avec les "Hunger games" dans son histoire, mais aussi dans son côté engagé. On y suit quatre personnages en espérant les voir tous réussir cette incroyable ascension de la pyramide qui se compose de différents paliers qui ne s'ouvrent qu'après que la moitié des survivants ne trouvent la mort. Malheureusement, il ne peut y avoir qu'un gagnant. Il y a de l'action, du rythme, c'est très addictif. Je comprends ceux qui ont pu trouver le rythme trop rapide, mais moi, ça ne m'a pas dérangé. La fin est pleine d'espoir, c'était une très bonne aventure que je vous conseille.

Pyramide est un livre assez bien. C'est une dystopie addictive et des la début de la lecture tu veut savoir le fin mot de l'histoire. Point négative je trouve que ça ressemble trop à hunger game. Mais globalement bonne lecture.

J’appréhendais un peu le sujet de la battle royale. Des jeux qui impliquent la mort des participants jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un, ce n’est pas forcément mon truc. Mais je dois dire que dès les premières pages ce roman m’a cueillie.

Pas de préambule, l’auteur ne plante pas le décor, nous voici projeté dans les couloirs étroits, sombres et humides d’une pyramide où le danger guette partant et tout le temps. Des jeunes filles, des jeunes garçons sont là pour relever le défi imposé par un régime autoritaire et ils savent que leur vie est en jeu, ils savent qu’ils devront gagner pour rester en vie.
Nous n’apprenons le pourquoi de tout cela qu’au fur et à mesure, voire même en partie à la fin du roman.

A partir de ces premières pages, j’ai été happé par l’action. Les participants se racontent tour à tour avant de disparaître presque sous nos yeux. Un décompte des participants participe d’ailleurs à nous tenir dans un état de …, très malin. On enchaîne les chapitres de manière addictive.

L’écriture est rapide, sans fioritures, va droit au but. Pour autant, elle ne prend pas un malin plaisir à nous décrire l’horreur de ces morts qui se succèdent (et c’est très bien car n’oublions pas que nous sommes dans un roman jeunesse).

Ce qui est intéressant et qui aurait sans doute pu être plus développée, c’est l’idée de la préciosité de l’eau, un sujet d’actualité qui nous concerne tous. Dans le désert où se trouve la pyramide, l’eau est un “bien” rare et précieux pour lequel tous ces jeunes gens sont prêts à se sacrifier.
Intéressant, cette volonté de l’auteur d’être dans une intrigue d’action où les épreuves se succèdent puis ensuite d’approfondir la réflexion sur le pouvoir, la soumission des peuples, …

Un roman palpitant, efficace, qui effleure quelques sujets de réflexion bien plus profonds, j’ai beaucoup aimé et je voulais vous le partager.

Un livre hyper addictif au scénario aussi bien ficelé que perturbant, les personnages sont très bien décrit, on comprend rapidement leur motivation et leur but.
Un livre dans la lignée de Hunger Games qui nous pousse à réfléchir sur le pouvoir.
Seul point négatif, l'univers est parfois compliqué a décrypter, une carte du monde n'aurait pas été obsolète, pour mieux situer les différents quartier couchant, famille, discipline.

Ces quatre héros nous emmènent au cœur de Pyramide, ce lieu impressionnant et dangereux, où s'entretuent soixante-quatre adolescents tous les sept ans, contre un peu d'eau pour leurs familles. Le soixante-quatrième, le dernier, le survivant, devient Oasis, chef, jusqu'à ce qu'un nouveau miraculé vienne lui prendre sa place...

Ce livre, une véritable pépite de dystopie, nous entraîne dans un monde incroyable où l'eau est un trésor, et l'égalité presque inexistante.
Ce récit est très addictif, les meurtres et les rebondissements s'enchaînent jusqu'à la fin. Mais, la réflexion est elle aussi présente, ainsi que la manipulation politique et la philosophie.

Tous les sept ans, 64 jeunes gens s’affrontent dans une pyramide truffées de piège. Il n’en restera qu’un. L’enjeu ? Le pouvoir et surtout l’eau, denrée rare parce que contrôlée dorénavant par le Tout-Puissant Oasis. Le prochain à prendre sa place changera-t-il la donne ou perpétuera-t-il les injustices?

Le premier roman de Gaëtan B. Maran nous entraîne dans une succession de chapitres courts et rythmés. On suit quatre concurrents et on alterne entre les points de vue sans avoir le temps de s’ennuyer. On dévore les pages aussi vite que le sable s’infiltre par les interstices de la pyramide mortelle!

Une très belle découverte grâce à Masse Critique et aux éditions Syros Jeunesse. Mon seul regret c’est de n’avoir pu en découvrir plus sur le monde autour de Pyramide… Ce que Gaëtan B Maran nous a laissé entr’apercevoir promettait un univers riche et intéressant et je reste un poil sur ma faim.

Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de lire No man's Land lors de la première édition des Murmures littéraires, dont il a été gagnant, mais la version éditée par Onyx est vraiment bien !
Il faut du temps pour entrer dedans, mais une fois compris l'univers (une carte n'aurait pas été de trop) et habituée à la façon d'écrire des femmes, c'est très prenant.
J'attends avec impatience un tome 2, et je vous recommande volontiers ce livre, qui est très agréable à lire !

TW : meurtre, torture

Merci aux éditions Onyx pour ce service de presse !

La Terre n'est plus qu'un désert glacé divisé entre les hommes, qui vivent dans d'immenses bâtiments mobiles, et les femmes, qui s'organisent dans les souterrains. Aya et Ansel naissent dans ces deux camps opposés, destinés à s'entretuer. Mais ils pourraient bien renverser le cours de cette guerre interminable...

C'est une très belle découverte ! Le résumé vend plutôt une histoire young adult, une romance peut-être. Eh bien détrompez-vous ! On part sur une intrigue violente, qui prend aux tripes avec des chapitres courts.

L'univers créé par l'auteur est original, avec une technologie et des coutumes propres qu'il faut prendre le temps d'intégrer. Un tiers du récit est consacré à la vie de nos héros jusqu'au moment fatidique de leur rencontre, mais à partir de là, impossible de lâcher cette lecture !

Les différences entre les deux camps ont été imaginées jusque dans leur langage, dans les légendes qu'ils ont bâties... C'est intéressant de voir qu'en voulant se démarquer l'un de l'autre dans une ère nouvelle, l'homme et la femme se sont en fait enfoncés dans les stéréotypes qu'on leur prête aujourd'hui : vulgaire et brutal, ou douce et réfléchie.

Le seul bémol pour moi, c'est le surnombre de personnages qui meurent à la pelle et nous empêche finalement de les distinguer les uns des autres, de vraiment nous attacher à eux.

Même s'il s'agit d'un premier tome, la fin, heureuse en apparence, se suffit à elle-même et laisse présager une nouvelle dystopie...