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Il est considéré comme une figure de la gauche radicale.
Geoffroy de Lagasnerie est le troisième enfant issu du mariage de Jean-François Daniel de Lagasnerie, ingénieur diplômé de l'École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace, issu de la famille Daniel de Lagasnerie, appartenant à la bourgeoisie du Limousin, et d'Agnès de Goÿs de Meyzerac, issue d'une ancienne famille de la noblesse du Vivarais.
Il se pacse avec Didier Eribon en 2003.
Ancien élève de l'École normale supérieure de Cachan (qu’il intègre en 2003 au terme de trois années de prépa B/L), il est agrégé de sciences économiques et sociales. Il commence une première thèse avec Frédérique Matonti en 2006, puis change de directeur en cours de route et s'inscrit avec le sociologue Jean-Louis Fabiani. Il soutient finalement une thèse de sociologie à l'École des hautes études en sciences sociales en 2012, sous la direction de ce dernier. À l'inverse de la commission scientifique de l'EHESS qui a autorisé la soutenance, des deux pré-rapporteurs et de trois autres membres du jury, Christian Topalov, professeur de sociologie et ancien directeur au CNRS, émet un avis défavorable sur la qualité de la thèse, son intervention ayant pour conséquence que Lagasnerie n'obtient pas les félicitations du jury.
Depuis septembre 2013, il est professeur de philosophie et sociologie à l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy.
Il est titulaire d'une habilitation à diriger des recherches soutenue à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en 2018.
Il dirige la collection « À venir » aux éditions Fayard. Il fait notamment publier — outre ses propres livres — des ouvrages de Joan W. Scott, Didier Eribon, Judith Butler, Pierre Bergounioux.
Ses travaux portent notamment sur la philosophie politique, la théorie critique, la sociologie du droit et la sociologie des intellectuels. Ses ouvrages sont traduits dans plusieurs langues dans divers pays.
En 2015, il est classé par le magazine Les Inrockuptibles parmi les cent créateurs qui, dans tous les domaines, « réinventent la culture