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Tous les livres de Georges Ayache

Du récit, presque minute par minute, des deux jours de la fin novembre 1947 au cours desquels est votée à New York, aux Nations unies, la création d'Israël, au récit tout aussi minuté, des derniers jours du mandat britannique sur la Palestine, en mai 1948, juste avant que Ben Gourion ne proclame la fondation du nouvel État : voilà ce que Georges Ayache, qui ne néglige pas le fait qu'Israël s'est créé sur une terre occupée depuis longtemps par d'autres que les Juifs, nous raconte par le menu. Entre-temps, l'auteur nous aura rappelé l'apport essentiel de Theodor Herzl, auteur de L'État des Juifs (1896), les relations toujours délicates avec le pays de Sa Majesté comme avec celui de Mister Président, les tensions et affrontements entre les diverses composantes du sionisme - des orthodoxes aux plus laïcs -, les ruses et combines pour faire venir, avant guerre et pendant celle-ci, les immigrés malgré quotas et restrictions.

Alternant les vastes descriptions des combats de toutes sortes, les croquis psychologiques des protagonistes, et les scènes romanesques aux dialogues rapides, incisifs, dramatiques, Georges Ayache nous donne, à la veille du soixantième anniversaire de la fondation d'Israël, le portrait vérité de sa naissance.

Ancien diplomate, historien de formation, professeur associe en relations internationales, G. A. est l'auteur de plusieurs ouvrages et articles consacrés aux questions internationales et stratégiques.

Ce livre fait froid dans le dos ! Pourquoi les hommes d'État européens, politiques et têtes couronnées, n'ont-ils pas empêché la guerre monstrueuse de 1914, pourtant si souvent annoncée ? Certes, il existait parmi eux des hommes d'État à la forte stature, tels Churchill, Poincaré et Clemenceau. Mais il y avait aussi des empereurs et des princes consternants de frivolité, des politiciens à courte vue, susceptibles et égocentriques, des officiers bornés, n'envisageant les problèmes internationaux qu'à travers la logique militaire. Certains furent prisonniers de leurs obsessions ou de leurs propres limites. D'autres se montrèrent paralysés par leur passivité ou leur prudence même. Tous, ou presque, péchèrent par l'inconscience du péril. En suivant les événements qui se sont succédé pendant trente-sept jours de crise, de l'attentat de Sarajevo aux déclarations de guerre, Georges Ayache nous plonge dans un drame effrayant. Il met en scène ses protagonistes et les ressuscite dans le secret des chancelleries diplomatiques et des antichambres du pouvoir. Il exhume leurs passions et leurs doutes, leurs arrière-pensées et leur logique. Il décrit enfin les coups de théâtre, les rebondissements et les affrontements dramatiques qui animèrent une spirale meurtrière sans précédent. De la lecture de ce livre, on sort épouvanté par les défaillances des gouvernants d'alors.

John Kennedy et Richard Nixon ont marqué à eux deux près d'un quart de siècle de vie politique américaine. D'un côté, Kennedy est auréolé d'une légende savamment entretenue depuis la tragédie de Dallas. A l'inverse, Nixon incarne le " sale type ", disqualifié par le scandale du Watergate et traînant la réputation peu enviable d'un tricheur. La réalité est très éloignée de ces raccourcis faciles. Kennedy a beaucoup menti et dissimulé tout au long de sa carrière : sur sa santé - délabrée à un degré difficilement imaginable aujourd'hui -, sur ses qualités d'écrivain qu'on lui reconnut un peu hâtivement, sur ses frasques sexuelles, systématiquement occultées ; sur ses relations, enfin, avec la Mafia et la criminalité organisée. D'un autre côté, forgée dès son entrée en politique par une intelligentsia libérale revancharde, la légende noire de Nixon fut très excessive. Victime d'un procès en maccarthysme - alors que les Kennedy étaient beaucoup plus vulnérables que lui en ce domaine -, on passa sous silence sa vision authentique d'homme d'Etat. Presque en même temps, la vie politique américaine eut ainsi le héros et l'anti-héros, le nanti flamboyant et le méritant un peu besogneux, celui qu'on aime admirer et celui qu'on aime détester. Au début, tous deux coexistèrent d'ailleurs sans antagonisme majeur. La logique de leurs ambitions les mua en ennemis implacables. La défaite de Nixon, en 1960, fit naitre en lui un formidable complexe envers les Kennedy. Même l'assassinat de John puis de son frère Bobby, même sa propre élection à la présidence ne put en venir à bout. De proche en proche, le complexe se fit paranoïa, et déboucha sur le Watergate. Nixon aura passé une grande partie de sa carrière à se déterminer par rapport à Kennedy. L'inverse n'est pas vrai, mais Kennedy aurait-il été tout à fait le même sans Nixon, son anti-héros ?

On le surnommait « Frankie », mais aussi le « sultan des pâmoisons » parce qu’il faisait défaillir les adolescentes. Il fut l’une des voix les plus écoutées du XXe siècle. Idole de la jeunesse américaine dans les années 1940, "The voice" a vendu des centaines de millions de disques à travers le monde. Acteur de cinéma oscarisé, il fut adulé par les femmes dont les moindres ne furent pas Ava Gardner et Marilyn Monroe. Tel était Frank Sinatra (1915-1998), dont la carrière connut des succès éblouissants. Moins connus furent son soutien durable au Parti démocrate (John F. Kennedy lui dut en partie son élection de 1960), ses engagements courageux en faveur de l’égalité raciale ou contre l’antisémitisme à une époque où cela n’allait pas sans risque – de Roosevelt à Clinton, il connut étroitement près d’une douzaine de présidents américains. Il y eut enfin la face plus sombre – même si elle est loin de résumer un personnage aussi complexe –, comme ses relations avec la mafia, ses caprices de star, etc. Avec ses qualités et ses défauts, Sinatra fut un Américain emblématique de son temps. Il avait un tempérament de chien, mais un talent inégalable. Son parcours fut exceptionnel et il en subsiste aujourd’hui la nostalgie d’un âge d’or évanoui. Il fut et reste encore la voix de l’Amérique.

Depuis George Washington, quarante-quatre présidents se sont succédé à la Maison Blanche. Instruits comme Wilson ou autodidactes comme Lincoln, nés dans des cabanes en rondins du Midwest ou grands aristocrates de la côte Est, militaires, avocats ou encore ingénieurs, tous ont marqué les Etats-Unis de leur empreinte.

Les noms des plus illustres tels TR, FDR et JFK ont bâti la mémoire collective. Qui n'a jamais entendu parler du Watergate et de Nixon, de Reagan le « grand communicateur » ou encore de « W » Bush, l'un des plus vilipendés ? Qui a oublié les assassinats de Lincoln au théâtre Ford à Washington ou celui, plus récent, de Kennedy à Dallas ?

Cette galerie de portraits met aussi en lumière ceux que la postérité a négligés, comme John Tyler, James Buchanan, Grover Cleveland ou Herbert Hoover. Des one term presidents aux quatre mandats de Roosevelt, Georges Ayache retrace le parcours de ces personnalités et dresse le bilan de leur action. Dans sa diversité, l'histoire de ces présidents américains fait écho à celle de l'Amérique, avec ses vertus et ses excès, ses ombres et ses lumières.

La biographie sulfureuse du fondateur de la dynastie Kennedy.

Banquier, trafiquant d'alcool, producteur de cinéma, ambassadeur et homme d'affaires, Joe Kennedy a vécu plusieurs vies. Sensible aux honneurs de la vie publique, il serrait les mains de Roosevelt et de Churchill comme celles des parrains de la mafia. Obsédé par la réussite, il ne s'embarrassait pas de considérations quant aux moyens d'y parvenir.

Fondateur d'une véritable dynastie - dont l'un des enfants devint président des Etats-Unis -, ce patriarche façonna sa famille selon ses idées de performance et d'excellence. Mais les tourments de sa vie personnelle furent à la mesure de sa réussite professionnelle : une fille arriérée mentale, une autre fille et sont fils aîné morts accidentellement ; deux autres fils assassinés (John Fitzgerald Kennedy et Robert Francis Kennedy). Comme un écho des tragédies antiques, l'hécatombe familiale fait de Joe Kennedy la main par laquelle le malheur arrive.

Avec brio, Georges Ayache lève le voile sur cette personnalité controversée et ambivalente, mais toujours fascinante un demi-siècle après sa mort.

Il est difficile d'imaginer John Fitzgerald Kennedy à l'âge de 100 ans. C'est pourtant l'âge qu'il aurait eu le 29 mai 2017, si le destin en avait décidé autrement. Le temps est venu de faire la part des choses entre le mythe du jeune président flamboyant (46 ans), mort tragiquement, et la légende noire du fils de famille dépravé, soutenu par la mafia.

A peine tombé sous les balles à Dallas, le 22 novembre 1963, à 46 ans, John F. Kennedy entrait dans l'Histoire. Jusqu'à ce que les révélations sur les turpitudes du clan familial, l'amateurisme de l'équipe présidentielle, ses frasques sexuelles ne transforment le mythe en légende noire. JFK a-t'il été un héros de la guerre du Pacifique ? Est-il entré en politique par défaut ? Ce yachtman cachait-il une santé médiocre ? Quels ont été les rôles de Joe, son père, et de la mafia, dans sa carrière ? Quel est son bilan face à l'URSS, à Cuba et au Vietnam ? Sur les droits civiques des Afro-Américains ? A-t-il été victime d'un complot ?

Un peu plus de cinquante ans après sa disparition tragique, le temps est venu de dresser un tableau objectif des mille jours du trente-cinquième président américain et un portrait dépassionné de ce Janus aux allures de play-boy.

Retour sur une chasse à l'homme qui s'achève par le casse le plus célèbre de l'histoire politique : le Watergate.

Issu d'une famille modeste, Richard Milhous Nixon fut juriste et servit dans la Marine durant la Seconde Guerre mondiale avant d'entamer une carrière politique. Membre du Parti républicain, il fut élu sénateur en 1950 (Californie) puis vice-président en 1952, poste qu'il occupera jusqu'en 1961. S'en suivra une traversée du désert jusqu'à son élection à la Maison Blanche en 1969. Son mandat fut marqué par son engagement dans la fin de la guerre du Vietnam, le premier choc pétrolier et, surtout, le Watergate.

C'est précisément ce scandale qu'interroge Georges Ayache : à travers la fin de sa carrière, il revient sur l'acharnement dont a été victime le 37e président des États-Unis. Dans une Amérique post-soixante-huitarde, en pleine dérive vers le politiquement correcte, le mot d'ordre était de l'abattre. Vilipendé et avili par la bonne conscience libérale, démoli par la presse qui le surnommait " Tricky Dick ", ou " Richard le tricheur ", Nixon fut l'un des hommes les plus détesté de son temps. Pourquoi ?

D'une plume enlevée, Georges Ayache met en lumière les rouages et les raisons de cette chasse à l'homme lancée par le clan Kennedy, une affaire qui dépasse largement le cas du Watergate.

L'histoire d'Israël à travers ses figures de proue.

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Peut-être parce que sa vocation est d'être le refuge ultime d'un peuple persécuté durant des siècles, parce qu'il est aussi le premier État moderne dont la naissance procède non de la force militaire ou de l'arbitraire politique mais d'une volonté clairement exprimée par la communauté internationale, Israël n'est pas un État comme les autres.

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Sa naissance et son développement, son épanouissement – sa survie, aussi – reposent sur la condition et la volonté d'hommes et de femmes dont Georges Ayache brosse ici le portrait avec talent.

Douze personnalités, de Theodore Herzl le " visionnaire " à Shimon Peres le " survivant " en passant par Ben Gourion et Golda Meir, et autant de piliers d'Israël qui parvinrent à s'imposer avec la foi parfois utopique des précurseurs, mais toujours aussi la détermination implacable des pionniers bâtisseurs.

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Description éditeur

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