Tous les livres de Gérard Depardieu
lettres volées de Gérard DEPARDIEU, vingt cinq textes pour autant de visages aimés, d'aventures fracassées, ou d'amitiés indestructibles..
« Ma grand-mère habitait en bout de piste à Orly, elle était dame pipi à Orly où je passais mes vacances quand j’étais gamin. Dans les chiottes d’Orly – j’adorais ça : " Départ à destination de Rio de Janeiro… " Putain, ils s’en vont à Rio ! Et je courais voir. Je voyais toutes les villes du monde défiler : Saigon, Addis-Abeba, Buenos Aires… Moi, j’étais dans les chiottes. Elle, elle nettoyait les chiottes, elle travaillait pour une boîte qui s’appelait L’Alsacienne. Ma grand-mère se rasait, j’étais toujours fasciné. Elle avait un Gillette double lame et elle se rasait. Quand je l’embrassais, je lui disais : "Tu piques encore, Mémé ! — Je me raserai demain, t’en fais pas…" »
"Une vie de funambule courant au-dessus de ses précipices intimes. Le portrait d’un joueur qui ne triche pas."
Christophe Ono-Dit-Biot, Le Point.
"Un livre de souvenirs si crus qu’il en est bouleversant." Catherine Schwaab, Paris Match.
(Source : LGF - Le livre de poche)
Comme Gabin ou Delon, Gérard Depardieu est devenu, en trente-cinq ans de carrière et quelque 165 films, l'emblème du cinéma français, un phénomène de société à lui tout seul. Le jeune homme de seize ans qui quittait Châteauroux a toujours la même énergie, la même insolence. Lorsqu'il évoque, avec Laurent Neumann, les débuts de sa carrière, ses grands rôles, son travail à la télévision ou sa tâche de producteur et de découvreur de films, les anecdotes pleuvent en cascade, mettant en scène les plus grands noms du septième art. Mais cette figure du grand et du petit écran, boulimique insatiable, curieux de tout, incapable de se reposer, répond à toutes les questions avec la même franchise. Sur ses amours, sa famille, l'argent, la religion, la politique, il dit ce qu'il pense. Sans jamais chercher à se justifier ou à déguiser les faits : il va droit à la vérité. Parce qu'il est vivant
Gérard Depardieu se met à table. Après avoir raconté son enfance et ses débuts au cinéma dans Ça s’est fait comme ça (XO, 2014), il nous ouvre ici son regard sur le monde d’aujourd’hui.
Le cinéma, la politique, la religion, les médias, les femmes, la France, la Russie, les dictateurs, les accusations dont il est l’objet, Depardieu, toujours scandaleux, n’esquive rien, ne ménage personne et se livre à cœur ouvert.
Il évoque également « un autre temps », celui de ses amitiés avec Michel Simon, Jean Carmet, Jean Gabin ou encore Barbara…
C’est, en forme de bilan, l’expérience de toute une vie que nous offre ici ce monstre sacré, une vie à nulle autre pareille qui, de Châteauroux, l’a mené sur les routes du monde entier, dans une quête inlassable de rencontres, d’authenticité et d’émerveillements.
"Il faut laisser sortir ses monstres, si on ne veut pas que ce soient eux qui nous bouffent."
J'ai connu un potier dans le Berry : quand ça le faisait chier de faire des assiettes, toujours les mêmes, il prenait sa terre et il faisait un monstre. Un énorme monstre. En terre cuite. Et il disait : "Je fais ça parce qu'il faut que ça sorte ! J'en ai plein comme ça à l'intérieur de moi !"
Il avait raison.
Il faut laisser sortir ses monstres, si on ne veut pas que ce soient eux qui nous bouffent.
" LES GRANDS VINS DU MONDE" est une invitation à découvrir l'histoire de la vigne depuis ses origines quelque part en Anatolie jusqu'aux vins les plus élaborés d'aujourd'hui.
Ce guide, magnifiquement illustré de tous les grands crus, vous fera d'abord parcourir les différentes régions viticoles françaises.
De plus, vous voyagerez dans le monde vinicole de l'Australie à l'Afrique du Sud, du Japon au Chili ; vous vivrez aussi l'étonnante épopée de la vigne en Californie.
Vous connaîtrez les vins légendaires : le " Commandaria" de Chypre, le Tokay de Hongrie, etc. Vous goûterez à des centaines de vins, fruits de cépages et de terroirs inimaginables, en parcourant ce fascinant tour du monde des vins.
En annexe, près de 2.000 adresses de viticulteurs.
L'ailleurs : cette petite distance qu'il faut trouver pour rester profondément humain.
Je suis parfois un innocent, parfois un monstre.
Tout ce qui est entre les deux ne m'intéresse pas.
Tout ce qui est entre les deux est corrompu.
Seuls l'innocent et le monstre sont libres.
Ils sont ailleurs.