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Tous les livres de Gilles Martin-Chauffier

Qui se rappelle le rôle des Bretons à la bataille d'Hastings ? Qui se souvient que Richard Coeur de Lion et Jean sans Terre confisquèrent et tyrannisèrent le duché ? Et la flotte Vénète luttant contre César ? Les fidèles du roi Arthur se réfugiant en Armorique ? Nominoé, le père des rois de Bretagne, chassant les fils de Charlemagne ? Jusqu'à Cadoudal, le dernier des Chouans, des générations de héros ont écrit l'Histoire d'une Bretagne libre.

Le temps et l'Éducation nationale les ont effacés de la mémoire. On a tout oublié des longs siècles de prospérité et on tresse des couronnes à la duchesse Anne, fière mais impuissante ! De Vitré à Brest, on enseigne aux élèves la grandeur de Clovis, de Du Guesclin et de Louis XI qui furent les ennemis de leurs ancêtres. La France n'est plus un mur bouchant l'horizon. Le vrai pouvoir quitte les rives de la Seine pour Bruxelles.

Toute l'Europe s'en rend compte. La Slovaquie, la Bosnie, l'Estonie et d'autres sont apparues sur la carte. L'Écosse, la Catalogne, la Flandre et d'autres battent déjà des ailes. Cela n'arrivera pas qu'à nos voisins. Dans un style romanesque, vivant et incisif, l'auteur ressuscite Salomon le Grand, les ducs Jean, Pierre Landais, Isaac le Chapelier et tous ces ancêtres illustres et oubliés qui ont insufflé leur âme à leur terre.

Car, pour lui, le futur attend parfois dans des maisons très anciennes. Et, demain, il y aura à nouveau une Bretagne souveraine.

La Turquie entrera-t-elle dans l'Europe? Est-elle voisine de la Grèce ou de l'Iran? Est-ce une nation musulmane autoritaire ou un pays laïc et démocratique? On n'a pas fini d'en débattre. Mais une évidence s'impose: depuis deux mille ans, l'ancienne capitale de ce pays, quand il s'appelait Empire romain, Empire byzantin ou Empire ottoman, est au cœur des destinées de notre continent.

Contre ses murailles se sont brisées les invasions des Huns, des Perses, des Arabes ou des Tatars. Grâce à elle, le christianisme a survécu, quadrillant le continent de ses monastères et assurant sa survie intellectuelle. Constantinople, cependant, n'était pas qu'une forteresse. C'était d'abord une université et une fête. Immense métropole frivole et dévergondée, elle avait allumé les mille bougies de la culture, de la mode et de l'art. A l'heure où les Mérovingiens paressaient dans leurs déserts moisis, on y enseignait Platon et la danse, Aristote et la parfumerie. Cité des Mille et Une Nuits, la capitale des basileus et des courtisanes inventait notre future civilisation.

Le Roman de Constantinople ne se veut pas un traité encyclopédique d'histoire. Il entend rappeler des lieux, des personnages, des fêtes et des drames qui donnent le sentiment de ce que fut la Ville des villes. Du sacre de Théodora, la prostituée devenue impératrice, à la passion de Soliman le Magnifique pour son trop beau vizir, de l'impératrice Irène faisant crever les yeux de son fils à l'intronisation de Mehmet III ordonnant la mort de ses dix-neuf frères, on va de bain de sang en cérémonie fastueuse, d'épuration impitoyable en savante intrigue de sérail.

A la fois roman noir et roman-photo, ce livre est une promenade cocasse et atroce à travers l'histoire de Constantinople. Notre histoire.

En janvier 1994, un secrétaire d'Etat décide de publier un livre.

Il choisit de signer une biographie de Barbey d'Aurevilly. Un journaliste va l'écrire pour lui. En trois mois, l'affaire est dans le sac. Au-delà de l'apparence brillante du ministre anticonformiste, son " nègre " va peu à peu découvrir le député maire cynique d'une commune de la banlieue parisienne. La corruption est-elle le monopole des princes qui nous gouvernent ou s'étend-elle à tous ceux qui la connaissent sans pour cela s'en émouvoir ? Dans la salle à manger privée du Président de la République ou dans les salons d'honneur d'Orsay, au Grand Véfour avec un jury littéraire ou dans une église occupée par des sans-logis, à sa conférence de rédaction ou chez son élégant éditeur, partout, le journaliste se trouve confronté à la question. Quand le Canard Enchaîné révèle son rôle, la comédie change hélas de registre.

L'amoralisme frivole d'un Parisien cultivé se heurte soudain à des intérêts qui ne prennent pas la vie pour une plaisanterie. Alors apparaît le vrai visage de la France : une société de castes en apparence exquise, en réalité cruelle.

Agnès de Courroye, une belle aristocrate drôle et cultivée, exerce à Paris la profession de guide touristique pour étrangers fortunés. Quand la superstar américaine Bruce Fairfield, l'un de ses clients, tombe amoureux d'elle, la presse people est sous le charme. Mais le jour où Agnès l'accuse de viol, le mirage disparaît et la cruauté de l'époque se révèle au grand jour.

*

4eme de couv :

Elle s'appelle Agnès de Courroye.

C'est une ravissante aristocrate, drôle et cultivée. Son métier : faire visiter Paris à des étrangers fortunés qu'elle familiarise, quelques jours durant, avec la civilisation française. Avec elle, ils ne s'ennuient jamais. Aux États-Unis, Bruce Fairfield est une superstar. Il a vendu des millions de disques. Avec Agnès, il va du château de Fontainebleau au défilé Galliano, de la Sainte-Chapelle au bureau de Nicolas Sarkozy, d'un palace à un musée... Et il tombe amoureux.

La presse people est sous le charme.

Quand Agnès l'accuse de viol, la police, la justice et les avocats s'en mêlent.

Une certaine idée de la France, romantique et futile, se transforme en piège « Vieille Europe » pour Yankee naïf... Soudain se révèle l'indécence d'une époque où les stars se croient tout permis, où l'argent s'étale, où la justice devient un instrument et l'amour un calcul.

Le titre du roman rappellera une féminisation du Bel-Ami de Maupassant mais, de l'aveu même de l'auteur, c'est surtout du côté du Comte de Monte-Cristo de Dumas qu'il faut aller chercher la référence et la veine d'inspiration. De l'aventure avant toute chose et Belle-Amie n'en manque pas. Plus de trois cents pages où l'on retrouve les étapes du triptyque de la composition romanesque chère à Dumas, à savoir l'amour, la chute et la vengeance. En scène, une belle héroïne ; en selle, une belle amazone : Arielle de Kergantelec, lasse des frasques de son mari, accepte pour se désennuyer une mission hasardeuse. Il s'agit de séduire et d'espionner, pour le compte d'un grand patron industriel et contre une très forte somme d'argent, un ministre dont elle ne manquera pas en réalité de tomber amoureuse.

Au-delà du roman à clef et du clin d'œil presque trop appuyé à l'affaire Deviers-Joncour, Gilles Martin-Chauffier ressuscite le plaisir du grand roman à la française. À l'instar d'un Laclos, l'auteur dénonce le vice en décrivant la volupté du vice ; il se fait magnifiquement voyeur des ors et des ombres de la République. Lire Belle-Amie, c'est découvrir et démasquer comme son héroïne "le ridicule des princes" et vivre intensément, en toute immoralité, la griserie qui stimule toute quête de pouvoir.

Denis Gombert

Sait-on ce qui se trame dans le XVIIIe arrondissement de Paris ? Ce qui se passe dans les cours d'immeubles, les caves et les étages de l'ensemble Artois-Picardie ?

Le commissaire Kergénéan, cynique et manipulateur, n'en croit pas ses oreilles quand on lui annonce l'enlèvement d'un jeune juif du quartier. Une guerre des gangs ? Une autre affaire Ilan Halimi ? Et si l'on avait juste un peu dérangé le chaos naturel du trafic de drogue ? Que cache Hassan, le premier de la classe ? Qui protège Anne-Marie, la professeure du collège, une égérie de la mode qui aurait mal lu le Coran ?

Du bureau dy ministre de l'Intérieur au parvis d'un cité, en passant pas les suites du Bristol, Gilles Martin-Chauffier aime écrire là où ça fait mal, entre hypocrisie des uns et paranoïa des autres. En ces temps de montée de l'extrémisme, voici Paris en temps de paix. Le pacte républicain dans le hachoir du communautarisme subventionné. Drôle de paix...

En apparence, tout oppose Richard Tessler, l'animateur vedette de Canal Première, qui manie la langue comme une arme de combat, et Hassan Elgann, l'ailier droit de l'équipe de France, au physique de pharaon émacié, le crâne rasé, le verbe rare, soudé à son clan familial dans le 93. En apparence, seulement. Ces deux fauves ont au moins un rêve en commun : Delphine, blonde aux jambes affolantes, aussi cynique que Tessler dont elle ne fera qu'une bouchée. En la raccompagnant chez elle, Richard voit ce qu'il n'aurait pas dû voir : une émeute dans la cité où un enseignant se fait molester puis tombe dans le coma. La police cherche les responsables et surtout leur commanditaire. Richard sera-t-il impliqué? Alors la bluette entre happy few des plateaux télé vire alors à la série noire. Chacun verra son passé resurgir. On découvrira, au passage, que tout le monde ment. Et se ment. Tessler a effacé toutes traces de ses origines, le clan Elgann flirte avec le banditisme, Delphine est une manipulatrice hors pair. Mais au juste, qui manipule qui ?

Une femme hors du commun - inspirée par la grand-mère de l’auteur - se remémore et nous raconte son incroyable existence.

1938. Alors que le destin de l’Europe s’apprête à basculer à Munich, un voilier anglais accoste sur l’Ile-aux-Moines. A son bord, Charles Evans et sa fille Marge. La jeune fille anglaise rencontre là deux jeunes Bretons, Blaise de Méaban et son meilleur ami Mathias. Elle épouse Blaise et, se croyant enceinte, ne peut l’accompagner à Londres lorsqu’il s’embarque pour répondre à l’Appel du Général de Gaulle. Esseulée, elle fait alors de Mathias son amant - et le véritable père de son fils. Ce trop lourd secret de famille et les guerres feront le reste…

De la débâcle 1940 à l’épuration en passant par la déportation, de la guerre d’Indochine aux Jeux olympiques de 1964 en passant par la guerre d’Algérie, ce trio amoureux traverse un quart de siècle où la petite histoire se mêle à la grande. On y lit la lâcheté et l’opportunisme des hommes, mais aussi leur grandeur. Marge, joueuse et intrépide, délurée, tolérante et libre, raconte leurs choix et leurs trahisons, leurs défaites et leurs victoires, leurs joies et leurs amertumes. Elle aura fait de sa vie une fête galante et incarné une certaine idée de la France. Marge, à la marge des conventions ; Marge, au centre de tous ces destins.

Dans la « Cité noire » de Versières, territoire oublié par la République, un adolescent d’origine maghrébine est retrouvé mort en bordure d’une voie de RER. La veille, il avait été poursuivi par un jeune gardien de la paix. Tout semble indiquer que ce dernier n’y est pour rien, mais qu’importe : les jeux sont faits. La police, la famille, les grands frères, la mairie, les avocats, la presse, les « consciences » – tous s’en mêlent, chacun y cherche son compte mais personne ne semble se préoccuper de l’essentiel : qui est le véritable coupable ?

De l’Élysée au ministère de l’Intérieur, d’un commissariat à une piscine de luxe en passant par la rédaction d’un magazine d’information, L’Ère des suspects nous conduit au cœur d’une société du mensonge et du faux-semblant où les « victimes » servent de dépouilles médiatiques aux tartuffes qui nous gouvernent.

Entre thriller politique et comédie du pouvoir, Gilles Martin-Chauffier signe ici son Bûcher des vanités à la française : un roman ambitieux sur les impostures de notre temps.

(Source : Grasset)

L'éditeur fait une erreur en écrivant : "Nous sommes à Rome, juste à l’heure où elle va dominer le monde, au septième siècle, au temps de César."

En effet César et Cicéron, c'est le 1er siècle avant JC, pas le 7ème !

Un été de canicule. Au bord de l’Atlantique, une jeune actrice, Clémence Moncoeur, attend la sortie de son premier film. Elle est coachée par la redoutable Corinne Content, dite Coco Contexte. Grande courtière en célébrités et manipulatrice de destinées virtuose, elle lui a obtenu grâce à ses relations avec l’Elysée un long sujet dans le fameux magazine Scoop. Quand Clémence rencontre le rédacteur-en-chef, quelque chose se passe entre la fausse ingénue et le journaliste revenu de tout. Le charme piquant de l’une et le détachement surjoué de l’autre ont la couleur des vacances.

Or, au même moment, on annonce la reprise prochaine de Scoop par Vincent Bolloré. Si la chaleur ne baisse pas, la tension monte, médiatique, politique, amoureuse... Les people gagnent à ne pas être connus, les bobos se déguisent en résistants pour rejouer le Grand Soir. Dans les studios télévisés, les salles de rédaction, les terrasses de restaurants, promesses, calculs, pièges et illusions déjeunent en tête à tête. On promet des photos à Brégançon, on menace un ministre d’en publier d’autres, on améliore celles d’une star vétilleuse....

Le plomb et l’or se mélangent, l’influence et l’autorité aussi. Tout comme l’amour, l’odieux et le ridicule. Paris n’a pas de conscience. Mais sait jouer de ses clauses…

Le roman mélancolique et joyeux d’un homme qui prend ses cliques et distribue quelques claques à notre époque ridicule.

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