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Je suis mitigé, j'ai aimé l'histoire c'est bien construis et tout s’emboîte bien mais au début j'ai eu du mal avec la plume de l'auteur et au fils du livre j'ai fini par apprécié.
C'est mon avis et il ne faut pas s’arrête qu'a un seul avis surtout que ça faut le coup de le lire.
J'ai rencontré l'auteur lors du salon du livre au Mans, j'ai beaucoup apprécié cette rencontre et même si ce premier livre que j'ai lu de lui me un peu chiffonné, je lirai les autres.
Commissaire Aïcha Sadia, Tome 1 : Djebel
Une femme, sexagénaire, Viviane Dimasco, vient le trouver un jour pour lui demander d’enquêter sur la fin tragique de son frère jumeau Antoine Berthier, survenue en 1960.
Malgré son mariage, elle ne s’est jamais remise de ce drame car très proche d’Antoine comme le sont, bien souvent, les jumeaux. Une disparition tragique, au combat pendant la guerre d’Algérie, comme l’en a informé, à l’époque, les autorités militaires. Toutefois, quarante ans plus tard, elle reçoit un appel téléphonique puis un courrier de la femme de René Michaud qui a fait son service dans le même régiment qui remettent tout en question. L’ancien sergent, sur son lit de mort, a demandé à Sylvie, sa femme, de rétablir la vérité auprès de la sœur d’Antoine comme quoi il s’est donné la mort sur le bateau qui le ramenait à Marseille. Dans le courrier figure une liste de noms d’autres membres de la compagnie qui pourront confirmer cette version.
Par manque de courage et sous prétexte que les langues des anciens se délieront plus facilement en présence d’un homme, elle porte tous ses espoirs sur notre détective pour comprendre comment son frère a pu en arriver là alors qu’il était démobilisé et s’apprêter à retrouver sa famille.
Malheureusement, les investigations vont tourner court, chaque fois qu’Antoine veut rendre visite a un des hommes figurant sur la fameuse liste, il arrive trop tard. Difficile de faire parler des cadavres, qui égorgé, renversé par une voiture ou victime d’un surdosage médicamenteux. La perplexité de notre enquêteur ne cesse de croitre, car il retrouve son cabinet de travail complétement sans dessus-dessous. Le lendemain, il doit en avertir sa cliente. Survient l’apothéose, il se rend à la chambre d’hôtel que Viviane a réservée le temps des recherches, elle ne répond pas. Quelle horreur, il la trouve dans la salle de bain, torturée puis finalement égorgée.
Sur la scène du crime de Viviane, la police découvre un rasoir mécanique appartenant à Antoine. Le commissaire Aïcha Sadia ne peut qu’inculper Antoine malgré son parcours professionnel. Ce dernier, explique pendant la garde à vue que Viviane est, en fait, sa cliente et l’informe de la teneur du courrier qu’elle a reçu et du lien probable entre ce meurtre et ceux des anciens d’Algérie. La vérité doit rejaillir à tout prix, Antoine et Aïcha doivent unir leur force.
Passionnant de bout en bout, Gilles Vincent utilise un langage viril parfois un peu cru qui sied bien au milieu militaire et à cette « sale guerre » d’Algérie. Il nous embarque et ne nous lâche pas jusqu’à l’épilogue inattendu. La lecture de « Djebel » nous ouvre des questionnements sur les stigmates liés à ces foutues guerres, sur les jeunes appelés, sur les populations, les mémoires qui saignent des décennies après. Les interrogations du personnage d’Aïcha Sadia, la commissaire, kabyle de naissance, sont très intéressantes, cette affaire la plonge dans un embarras et réactive les souvenirs que sa famille lui a racontés.
Tous mes remerciements aux Editions Cairn pour cette lecture.
Commissaire Aïcha Sadia, Tome 1 : Djebel
J'ai tout de même apprécier le scénario, la description de Londres et des passages alternant entre passé et présent.
Cependant j'ai trouvé le trio d'enquêteurs en herbe un peu plat, beaucoup de théories mais peu de prise de positions, l'ajout du chat est un plus dans les personnages (qui a d'ailleurs été mon personnage préféré).
Les Aventures de Michael Connors, Tome 2 : Jack l'Éventreur, le retour
On devrait toujours bien méditer ses actions avant de commettre des choses dont le karma peut nous renvoyer avec le messager de la terrible vengeance.
Un, deux, trois, sommeil !
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/05/14/39445523.html
Usual victims
Les rebondissements s'enchaînent rapidement et surtout inattendus, imprévisibles et bluffants
Écriture fluide, réaliste, des descriptions dignes d’un scénario cinématographique .on est happé par l’intrigue jusqu'à la dernière ligne
Usual victims
Au début, j’étais à fond ; à la fin, j’étais super mitigé…
Une écriture fluide et correcte, sans figure de style particulier, mais ça se suit avec plaisir, des personnages bien campés et prenants…
Et puis, passé la moitié du bouquin, des trucs pas toujours cohérent, tirés par les cheveux, moyen crédibles… L’auteur tente de nous convaincre de plusieurs choses, en les répétant à moult reprises, mais j’ai pas marché à tout et de moins en moins vers la fin…
Des personnages intelligents au début se révèlent être des buses totales à la fin ; des évènements dans le dernier lieu, la maison, la cave, l’armoire, arrivent parce que c’est bien pratique pour le bouquin, sans réelle logique…
Et puis on part sur un type et c’est finalement une autre histoire que l’on résoud…
Bref, de bonnes idées, pas désagréables, mais trop de choses bancales à mon goût.
Et puis j’étais parti sur ce bouquin qu’on m’avait présenté comme une critique sociale (légère certes mais en fond tout de même) d’une société de consommation qui déshumanise ses employés… Au final, c’est à peine abordé, avec gentillesse et aucune critique ; les protagonistes auraient bossé dans un abattoir, une mairie ou une entreprise de papier-peint, ça aurait été pareil…
Usual victims
Commissaire Aïcha Sadia, Tome 4 : Beso de la muerto
Et je n'ai franchement pas été déçue du tout. Je me suis même régalée, c’est un roman assez court, un peu moins de deux cents pages. On va se retrouver plongés dans trois périodes différentes, mais toujours dans le même lieu. Il y a 17000 ans, au temps des hommes préhistoriques, lorsque l'un des hommes arrive à faire des dessins sur les parois de la grotte où il se trouve. On est ensuite en 1919, lorsque deux soldats de la première guerre mondiale, Jean Delbos et Noël Bouillon, vont trouver un trou et se faufiler dedans et ainsi trouver des dessins sur les murs d'une grotte. Et enfin, à notre époque, une lieutenant de police, Frédérique, part faire son jogging, mais il pleut tellement qu'elle va être victime d'un accident qui fait qu’elle va se trouver emmurée dans la grotte de Lascaux, suite à un éboulement, avec un historien, Léo, qu'elle avait appelé à la rescousse. En attendant que les secours arrivent, ils vont découvrir le corps d'un homme mort il y a très longtemps, le nom trouvé sur celui-ci fera remonter des souvenirs et ses secrets de famille enfouis pour l'historien.
On va ainsi naviguer entre chacune de ces périodes, chaque chapitre alternant entre elles. Cela a donné beaucoup de rythme à la lecture, lorsque je quittais les personnages d'un temps, j’étais déjà pressée de les retrouver deux chapitres plus loin. J'aime beaucoup cette forme de construction dans un roman. À chaque période, nous suivons deux personnages qui sont ensemble. J'ai apprécié ce point commun. Je ne peux pas parler d’attachement spécial comme cela se passe lorsqu'il n'y a qu'un personnage principal. Mais j'ai aimé suivre chacun d’eux et ils m’ont tous touchée à leur façon. Il a été intéressant de suivre cet homme préhistorique découvrir le dessin, les couleurs données par les plantes, arriver à les appliquer sur les murs. Il a été aussi très intéressant de suivre ces deux hommes qui auraient ainsi découvert la grotte de Lascaux avant tout le monde, juste après la guerre, mais de vouloir la garder précieusement secrète. Et enfin, de nos jours, le suspense est bien présent dans cette grotte où la lieutenant est prise au piège. Il y a une double tension, celle de l’enfermement des personnages et celle provoquée par la découverte de ce cadavre qui serait mort il y a bien longtemps.
La lecture s'est faite rapidement et avec une certaine addiction. J'avais tellement envie de savoir qui était ce mort, quel lien il pouvait avoir avec l'historien, s'ils allaient arriver à s'en sortir. Envie aussi de savoir ce qui allait se passer dans les différentes époques traversées. Comme je l'ai dit plus haut, l’alternance de chapitres qui en plus sont assez courts, donne beaucoup de rythme et je n'ai pas vu passer les pages. Tout est finement travaillé par l'auteur, tout est aussi très bien imaginé car on se doute bien qu’il est difficile d'avoir des renseignements précis sur les hommes préhistoriques. Et j'aime bien l’idée que cette grotte ait été découverte et gardée secrète avant celle officielle des quatre jeunes adolescentes en 1940.
Le style très fluide de l'auteur a aussi permis de rendre cette lecture facile. Les décors et les scènes sont bien décrits, comme si on y était, et ce, sans apporter de lourdeurs au texte. Je découvre totalement cet auteur que je ne connaissais pas, et il m'a beaucoup séduite, je prendrai plaisir à le lire à nouveau. Et en regardant sur le site des éditions Cairn, j'ai vu que d’autres livres de lui étaient publiés, je pense que je les lirai, en tout cas je note Gilles Vincent dans mes auteurs à suivre.
Je pense que vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce livre, j'ai passé un excellent moment en compagnie de l'auteur et de ses personnages. Une lecture très intéressante, passionnante, que je vous recommande. Si vous aimez le suspense, les énigmes, vous verrez que vous serez gâtés avec ce roman. Pour ma part, pour une première fois avec cette maison d'édition et cet auteur, c’est une belle réussite, je pense que vous entendrez à nouveau parler d'eux sur mon blog.
Noir Vézère
Un journaliste français venu faire un reportage sur une exploitation agricole inhumaine tombe sur cette affaire et s'y trouve mêlé.
Un excellent roman policier avec l'histoire espagnole en toile de fond. J'ai moins adhéré à l'histoire secondaire (mais vraie) de l'exploitation des migrants qui tombe un peu dans la facilité.
Les poupées de Nijar
L'intrigue est bien maîtrisée, ficelée. Les chapitres sont courts. Le rythme est effréné , haletant sans temps mort.
Sébastien Touraine , ex flic devenu détective privé est très attachant surtout dans les échanges et les moments passés avec sa compagne.
L'écriture est fluide même si j'ai noté la présence de coquilles dans mon édition.
L'auteur sait jouer avec nos émotions jusqu'à la dernière page.
J'ai vraiment passé un excellent moment de lecture.
Sébastien Touraine et Emma Steiner, Tome 2 : Peine maximum
L'histoire est addictive. On veut savoir ce qui est arrivé à Sébastien, qui a tué la patronne d'Abdel.
L'histoire des hommes qui décident de se faire justice eux mêmes est un point de départ vite résolu.
La révélation finale est malheureusement difficilement crédible (donc pas de liste de diamant) mais cela ne m'a pas gâché le plaisir de lecture.
Commissaire Aïcha Sadia, Tome 3 : Parjures
Difficile de ne pas en dire trop. Les chapitres et les phrases sont brefs. Pas de fioritures. L'auteur va à l'essentiel. Beaucoup de suspense. Un très bon thriller.
Commissaire Aïcha Sadia, Tome 2 : Hyenae
Dans la douleur du siècle
Que deux gamins et une gamine mènent l’enquête, je ne dis rien, c’est un postulat qui me plait.
Par contre, que Miss Margaret Higgins, une espèce de Sherlockette en vieilles dentelles, amie de Sir Archibald Forsythe, le directeur de la police, chargé de l’enquête, divulgue toutes ses infos aux trois gosses, comme s’ils étaient de véritables enquêteurs, ça ne passe plus.
La coïncidence est tout de même bien fichue, le directeur de la police connait la tante des gamins et passe chez elle avec sa Miss Higgins pour parler des meurtres. On nage en plein surnaturel, je trouve. Mais j’avais encore rien vu, j’ai eu pire ensuite, dans le surnaturel !
Même leur tante, chez qui ils sont en vacances durant une semaine, leur expliquera au moment de leur arrivée, tout ce qu’il y a à savoir sur les crimes horribles qui ont eu lieu dans le quartier, depuis quelques jours. L’aîné des gamins va sur ses 14 ans… Heu ?
Le chat qui parle (en zozotant), ça passe moins bien aussi. Enfin, non, il ne parle pas vraiment, les gens entendent des miaulements, mais les trois gosses, eux, ils le comprennent, ainsi que tout ce que miaulent les autres matous.
Oui, moi aussi je comprends le langage chat, mais ils ne font pas des phrases avec le sujet, verbe et complément ! Généralement, les miaulements veulent dire « Faim » ou « Donne-moi à bouffer » ou « On veut du lait », à la rigueur « Laisse-moi rentrer à la maison », la plus longue phrase étant « Tu peux nous refiler les foies de volaille cuit dans du riz comme tu donnes aux chiens, on bouffera même les rondelles de carottes ».
Mais jamais au grand jamais je n’ai encore réussi à charger un des minous à enquêter, à voler des fanions de la police, à récupérer des pièces à convictions, à suivre un suspect de sa propre initiative, à prendre le bus, ni à trouver un trou de ver qui vous conduit directement le 30 septembre 1888, le soir de l’assassinat de Catherine Eddowes, dans un cimetière… Hein ?? Dans un cimetière ?
Eddowes fut tuée à Mitre Square et retrouvée contre une palissade donnant sur l’arrière d’un immeuble. Ok, ferme les yeux, ça va passer… La touche fantastique et les voyages dans le temps, ça passe ou ça casse. Ici, ça casse car le voyage temporel ne sert pas à grand-chose, mais ceci n’est que mon humble avis.
Ce qui ne passera pas, c’est le fait que la Higgins, en observant les yeux d’une des femmes décédées, y ai décelé la plus intense des surprises. Pitié, n’en jetez plus !
Anybref, vous l’aurez compris, ce sera la lecture pas super du mois (je reste polie), qui ira rejoindre les lectures à oublier de l’année et qui ne me laissera qu’un souvenir de n’importe quoi, comme si les jeunes à qui cette littérature est destinée étaient des crétins à qui on peut tout refourguer, tout faire avaler, l’auteur prenant ses aises avec le réalisme afin de faciliter au possible l’enquête de ses jeunes héros.
Yapuka trouver un meuble bancal à caler et ce sera parfait !
Les Aventures de Michael Connors, Tome 2 : Jack l'Éventreur, le retour