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Tous les livres de Harry Whittington

Buz Johnson appartenait à cette génération perdue issue de la Seconde Guerre mondiale. As de l'aviation, il buvait pour oublier sa vie minable de professeur de pilotage dans un petit aéroport de Floride. Criblé de dettes et venant de perdre sa petite amie, il ne vivait plus que pour son chèque hebdomadaire et le prochain verre. Pour prendre sa revanche sur les "rampants" et retrouver sa propre estime, il se décide à tenter un ultime banco, avec l'aide du délinquant Sid Coates : un hold-up audacieux dans une petite ville fermière...

Un inédit de Harry Whittington, un des écrivains-phares de la Série Noire, dont nous avons déjà publié Des feux qui détruisent.

Bernice savait qu'en tuant un homme elle aurait l'argent pour vivre avec un autre. Aussi, planifia-t-elle un meurtre qu'elle accomplit avec le plus grand calme. Maintenant, elle était libre d'aimer et d'être aimée. Libre de s'abandonner aux passions qui la rongeaient. Mais Bernice ne savait pas que c'était la porte de l'Enfer qu'elle venait d'ouvrir, et non celle du Paradis.

Un inédit de Harry Whittington, un des écrivains-phare de la Série Noire. Une œuvre corrosive par la violence des passions décrites. Un des romans préférés de son auteur.

- Vous connaissez Marve Pooser ?

Elle était là, dans l'ombre de la porte, une bassine de fer à la main, et je me rendis compte immédiatement qu'elle ne ressemblait pas aux autres gens du pays. J'eus cette impression d'insolite. Ça sautait aux yeux... Cette fille cherchait quelque chose, elle voulait quelque chose et pour l'avoir, elle était prête à tuer.

Vous enlevez un milliardaire et vous le flanquez dans votre frigo. C'est la solution idéale, à votre idée. Sur ce, vous piquez la rançon et vous gagnez les mers du Sud.

Seulement voilà : les milliardaires, ça n'aime pas le froid. Ça bricole les fils à l'intérieur du frigo, le moteur s'arrête, le milliardaire se met à fondre, ça attire les voisins et la police.

Un bon conseil : si vous voulez planquer un milliardaire dans votre frigo, tuez-le d'abord. C'est élémentaire.

Dans le plateau de la balance, on place un gros quinquagénaire avec son compte en banque, ses biens immobiliers, sa nostalgie et ses exigences.

Sur l'autre plateau, on pose un jeune homme joli et gentil, avec son ardeur, sa vigueur, ses scrupules et ses espérances. Ca fait le poids. Mais essayer d'ajouter à l'une de ces charges si parfaitement équilibrées un moustique .

C'est la débâcle ! Les plateaux s'effondrent, les fléaux se faussent, le quinquagénaire s'écrase, le jeune homme se volatilise et la belle fille reste seule devant la mécanique disloquée.

On a un bon petit boulot, une femme comme on n'en voit qu'en rêve, un bonheur qui paraît solide et durable, une ambition modeste. Et voilà qu'un beau matin, un inconnu sonne à votre porte et il vous dérouille. Malentendu? Erreur sur la personne? Peut-être... Mais, inexplicablement, on perd son emploi. On a les gangsters et les flics aux trousses.. on se sauve à l'aveuglette, on essaie de comprendre, et, plus on en apprend, moins on comprend. On devient l'homme à abattre, pour les honnêtes gens comme pour les bandits... sans raison apparente. De quoi se casser la tête...

Elle est belle, elle s'appelle Cara Wilson, c'est la fille d'un pauvre métayer. Elle flirte avec Peter, le fils du propriétaire et futur héritier des terres. Elle a une idée en tête : le mariage. Mais Peter convolera en justes noces avec une fille de son milieu.

C'est compter sans Lonnie. Lorsqu'il rentre après six ans de bagne, son père est aux abois, sa sœur est bafouée, alors il voit rouge.

Dans sa ville-fantôme, au cœur des montagnes arides du Nouveau Mexique, Cardell le prospecteur avait beau mener une vie d'ermite, il adorait la compagnie.

Ce jour-là, il fut bien servi : une dizaine de visiteurs vinrent tour à tour frapper à sa porte : amoureux en fuite, mari vindicatif, gangsters en cavale, caissier indélicat, shérifs en pétard...

Cardell se met en quatre pour faire bon accueil à tout ce joli monde qui ne tarde pas à donner à l'eden-fantôme un petit air d'abattoir.

Ric Durazo est chargé d'une mission. Dans le désert du nouveau Mexique.

Un désert, par définition, c'est un endroit où il n'y a rien, sauf peut-être quelques cactus. Ric s'aperçoit néanmoins que les coups durs y fleurissent, aussi bien que les plantes grasses : un gamin vicieux le braque avec un pistolet, une fille hystérique exige des hommages et une autre, évanouie, exige des soins. Elle a été asphyxiée par le gaz!

Ces filles-là sont sûres de leur beauté et elles croient que la rigolade durera toujours. L'amour, elles l'ont connu à treize ans. Elles en ont vingt, et le moment est venu pour elles de mettre le grappin sur le richard.

Alors c'est la grande vie : les belles nippes, les vadrouilles, les spectacles, les aventures. Tout leur est dû, tout leur est proie.

Et puis elles finissent par s'ennuyer. C'est à ce moment qu'elles deviennent mauvaises, folles... et dangereuses.

L'ancien mauvais garçon qui voulait se ranger des voitures s'est embarqué sur le camion du laitier. Il n'y a pas de sot métier. Il n'y a que de sottes gens. Et c'est vraiment sot d'exiger un manteau de vison d'un garçon livreur qui veut oublier son ancienne carrière de casseur. Et quand on gagne sa vie en distribuant du lait, on aurait mauvaise grâce à crier : «Mort aux vaches!»

Par la lucarne de la remise à outils, le vieux Yeager aperçut Juan affalé contre le mur. L'un des ravisseurs du jeune Mexicain se tenait devant la porte ; l'autre choisissait un manche de pioche au râtelier.

Les yeux de Juan s'agrandirent soudain. Le gourdin venait de se dresser au-dessus de sa tête. Yeager entendit alors un hurlement strident.

Et pour le vieil homme, le monde entier se réduisit désormais à ce manche de pioche s'élevant et s'abattant en cadence.

Dès que je m'endors, le téléphone sonne. Une malédiction! Cette fois-ci, c'était Jack Roland. Un honneur! C'est la grande vedette moins cinq, le chéri de ces dames, la belle gueule de Hollywood. Ce qu'il voulait ? Un coup de main. Il était compromis dans une histoire de meurtre...

Pourtant je ne suis pas détective privé, mais publiciste. Et je n'ai pas d'amitié pour Roland. Mais son argument – informulé d'ailleurs – me fait réfléchir. Jack Roland est le mari de mon ex-femme. Mon ex-femme, que j'aime toujours, aime Jack Roland. Et, si un coup dur arrivait à Roland, la femme que j'aime aurait beaucoup de chagrin... Alors?...

Mac Rivers arriva à Roxmount par le Greyhound de vingt heures. Il se rendit aussitôt à un motel et y passa la nuit avec la fille qui l'avait dragué dans le bus. Le lendemain matin, il était plongé jusqu'au cou dans une affaire de meurtre.

Corruption, chantage, menaces, faux témoignages, assassinat : en quelques heures, une petite ville américaine, souriante et paisible, se change en un bloc de haine. Mac Rivers, l'étranger, parviendra-t-il à sauver sa peau ?

Harry Whittington, né en Floride en 1916 a écrit plus de 140 romans. Admirateur de Scott Fitzgerald, Maupassant et Somerset Maugham, il est "le plus grand écrivain réaliste du roman noir".

(Marabout, 1981)

Le pasteur Blake reçoit une lettre surprenante : une femme le supplie de la sauver du cauchemar qu'est devenue sa vie conjugale. Son mari, revenu de la guerre civile où, pendant cinq ans, il a torturé des prisonniers pour leur arracher des aveux, torture maintenant sa propre épouse. Celle-ci est enceinte, mais son mari prétend qu'il n'est pas le père de l'enfant... La lettre est signée Valérie.

Sur cette mystérieuse entrée en matière vient se greffer un grand roman d'amour, dans lequel la personnalité tour à tour émouvante et inquiétante de Valérie tient la première place.

La dramatique histoire de Valérie nous livre, au long de cet étonnant western judiciaire et policier, trois aspects de la vérité, sous la forme de trois dépositions faites sous serment devant le tribunal, chacune prétendant rapporter 'toute la vérité" mais qui, toutes trois, se contredisent et s'annulent... Jusqu'à ce que la seule vraie vérité éclate, départageant les innocents des coupables et mettant finalement au jour le vrai visage de Valérie.

Quand le prisonnier a éclaté en sanglots, quand il m'a supplié de le sauver de la chaise électrique, j'ai dit : "Trop tard, mon vieux, faut savoir se résigner." Et quand sa femme est venue chez moi pour plaider sa cause, j'ai pensé : "Quel casse-pieds!".

C'était une fille sans élégance, aux yeux fatigués. Je l'ai à peine écoutée. Et puis, brusquement, un vent de folie s'est emparé de moi. J'avais senti le parfum de ses cheveux, un parfum qui me rappelait de troublants souvenirs d'enfance. Et j'ai compris que pour elle j'allais entreprendre l'impossible, quitte à me compromettre, quitte à la perdre.

Quand Steve Blake rentra chez lui, ce soir-là, il n'y avait personne pour l'accueillir. Le cadavre ensanglanté de sa femme gisait au milieu du salon. Blake était détective privé.

Il savait encaisser. En se penchant sur le corps, il comprit qu'une partie de lui-même venait de mourir. Recherché par la police, traqué par des tueurs, Blake était seul. Totalement seul. Pourtant, il se sentait invulnérable. Un jour ou l'autre, il retrouverait l'assassin. Et Blake n'avait plus rien à perdre...

Harry Whittington, né en Floride en 1916, a écrit plus de 140 romans. Admirateur de Scott Fitzgerald, Maupassant et Somerset Maugham, il est "le plus grand écrivain réaliste du roman noir". Source : Marabout

Stella avait raison : le métier de " privé " est un sale boulot... On joue les fouineurs, les mouchards et on s'occupe de choses pas très, jolies... Mais lorsque Steve Blake prit la décision de changer d'emploi, il devait y renoncer...

Stella, sa femme, venait d'être assassinée. II était obligé de continuer pour rendre sa propre justice.

Source : Publications Zed

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