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Toutes les séries de Helen Dunmore

5 livres
11 lecteurs

I wish I was away in Ingo Far across the briny sea, Sailing over deepest waters Where love nor care never trouble me. . . .

By the Cornwall coast where Sapphire lives with her family, it's easy to hear the call of the sea. Too easy.

When the sea called to Sapphy's father, he vanished from her life. When the sea called to her brother, he started disappearing for hours on end. And now the sea is calling to Sapphy, and she feels its pull more strongly than she's ever felt anything in her life.

Traduction appoximative:

Je voudrais être en Ingo, loin dans la mer salée, naviguant dans les eaux profondes où ni l'amour ni l'attachement viendraient me troubler.

Sur les côtes en Cornouailles où vit Sapphire et sa famille, il est facile d'entendre l'appel de la mer. Trop facile.

Quand la mer appela son père, il a disparu de sa vie. Quand elle a appelé son frère, il a commencé à disparaître pendant des heures. Et maintenant que la mer l'appelle aussi, elle se sent attirée par cette force plus que ce qu'elle ait jamais senti.

Tous les livres de Helen Dunmore

La saison de Rob, c'était l'été. Août. L'ombre aussi noire que les noix mouillées et les oiseaux muets dans la chaleur. [Celle de sa soeur Cathy, c'est l'hiver.] J'aurais voulu qu'à notre réveil, nous fussions dans un royaume de glace où notre haleine se transformerait en glaçons au seuil de nos lèvres [...], que la neige durât toujours, aussi je me tournais, enfouissant ma tête sous l'oreiller pour ne pas entendre le ruissellement moqueur du dégel. Frère et soeur, tous deux sont liés face aux autres, par le silence autour de l'abandon de leur mère et de la maladie de leur père. Pour en parler, il fallait attendre d'être au lit, " alors nos voix se rencontraient, se mêlaient dans le noir, disant tout ce qu'elles voulaient. " Voix et corps mêlés, leur fusion les isole, leur passion les dissout jusqu'à ne plus pouvoir être deux personnes distinctes. Le pouvoir de suggestion de ce roman autour d'un amour illicite plonge le lecteur dans une ambiance envoûtante dont il ne sort pas indemne.

Dans la Finlande de 1900, bruissant du vent de la révolte contre la Grande Russie.

Orpheline, la Eeva est placée comme domestique chez Thomas Eklund, un médecin de campagne veuf et bon. Mais étouffée par le jugement et les commérages des villageois, elle part rejoindre Lauri, son ami d'enfance, à Helsinki. Avec ce presque frère, elle voudrait une amitié différente. Mais Eeva peine à se faire une place dans le cœur de Lauri, accaparé par l'amitié jalouse de Sasha, un étudiant révolutionnaire.

Les sentiments exacerbés, les rivalités et le combat pour la liberté vont précipiter le trio amoureux dans un drame qui bouleversera irrémédiablement leur existence...

Délaissées par leurs parents après le décès de leur petit frère Colin, Isabel et Nina se sont construit un univers bien à elles.

Des années plus tard, lorsque Isabel met au monde un fils, Nina quitte aussitôt Londres pour la rejoindre à la campagne.

Mais Isabel, affaiblie, traumatisée par un accouchement difficile, tient sa soeur à l'écart. De son côté l'attitude ambiguë d'Isabel à l'égard du nouveau-né inquiète Nina.

Dans ce climat lourd de suspicion, les fantômes oubliés du passé resurgissent.

D'une écriture dense et extraordinairement évocatrice, Un été vénéneux est un roman dans lequel l'atmosphère étouffante et sensuelle vient renforcer un suspense psychologique sans cesse croissant.

Un huis clos tragique dont on se souviendra longtemps.

Alexandre Fillon - Madame Figaro

Quand Daniel Branwell rentre dans son village de Cornouailles, après la guerre, celle de 14, il n’est pas vraiment accueilli à bras ouverts. Il n’a plus de famille et comme pas mal de ses copains d’autrefois ont réussi à échapper à la conscription, un héros n’est pas trop bien vu.

Seule la vieille Mary Pascoe, un peu considérée comme une sorcière le laisse se construire un abri près de chez elle, à l’écart, sur la falaise qui domine le village. Mais il y a un prix à payer, une terrible promesse à faire et quand il faudra la tenir, Daniel devra mentir, s’enfoncer dans un mensonge de plus en plus lourd. Le fantôme de Frederick, mort à ses côtés dans les tranchées, qui l’accompagne partout, peut-il l’aider ? Ou alors la tendresse de Felicia, la petite amie d’enfance autrefois perdue mais jamais oubliée ? Un roman très fort. Un final inoubliable.

In the summer of 1954, newly wed Isabel Carey arrives in a Yorkshire town with her husband Philip. As a GP he spends much of his time working, while Isabel tries hard to adjust to the realities of married life. Life is not easy: she feels out-of-place and constantly judged by the people around her, so she spends much of her time alone.

One cold winter night, Isabel finds an old RAF greatcoat in the back of a cupboard that she uses to help keep warm. Once wrapped in the coat she is beset by dreams. And not long afterwards, while her husband is out, she is startled to hear a knock at her window, and to meet for the first time the intense gaze of a young Air Force pilot, handsome, blond and blue-eyed, staring in at her from outside.

His name is Alec, and his powerfully haunting presence both disturbs and excites Isabel. Her initial alarm soon fades, and they begin a delicious affair. But nothing could have prepared her for the truth about Alec's life, nor the impact it will have on her own marriage.

The final words of Helen Dunmore's The Siege--"No, I shall not wholly die..."(Alexander Pushkin)--respond to the stark threat with which the novel begins: "Re: The future of Leningrad ... The Führer has decided to have Leningrad wiped from the face of the earth". In this powerful work of fiction, Dunmore writes through her fascination with one of the most remarkable, and painful, episodes in Russian history: the siege of Leningrad through the winter of 1941 during which untold thousands perished of cold and starvation.

The Siege is a type of memorial, a literary document to an experience in which, as Dunmore writes, "being dead is normal". People die in the streets, in their beds; whole families are frozen, "bodies piled up by the Karpovka canal, or outside the cemeteries". What does it take to survive? Dunmore explores that question through the powerful characters--Anna Levin, Kolya (her child-brother) and Andrei (her lover)--who people this novel, conjuring the contest with death that becomes the daily existence of the Leningraders, their belief in a world beyond the siege. The Siege is itself part of that world, stricken by memory and the question of what it means for a novel (and a novelist) to take on the "flesh of all those other Leningraders who died of hunger in silent, frigid rooms". This is part of the wager, and accomplishment, of Dunmore's extraordinary book and confirmation of the extraordinary skill and sensitivity, of her writing. --Vicky Lebeau

[Description d'Amazon]

"Brusquement et sans signes avant-coureurs, Volkov tape du poing sur la table : « Vous pensez que je ne me rends pas compte que mon fils est très sérieusement malade ? Vous, les médecins, vous nous prenez tous pour des imbéciles ! Vous savez qui je suis ? »

Andreï pose ses mains à plat sur ses genoux. D’une part, il ne sait pas quoi répondre. De l’autre, il devine que tout ce qu’il pourra dire sera pris pour de la provocation. Il est fort naturel qu’un père ait besoin d’exprimer ses émotions. Et il faut surtout que Volkov ait le sentiment d’être un parent et rien d’autre, ici, dans cet hôpital."

Mais Volkov est un des chefs de la terrible police secrète. On est à Leningrad, en 1952. Andreï, jeune et brillant pédiatre, a vu arriver dans son service un petit garçon souffrant d’un très grave cancer des os – le fils unique de Volkov. Or celui-ci n’accepte pas le diagnostic, ni le verdict : amputation d’une jambe. Quoi qu’il arrive, Andreï sera coupable et donc puni.

Alors que faire, alors que l’étau se referme sur lui et sa famille ? Partir dans une autre ville ? On le retrouvera. Se cacher ? C’est impossible. Lâché par ses collègues et amis, tous contaminés par la terreur ambiante et prêts à le trahir, il risque de payer le prix fort.

Helen Dunmore est une des romancières les plus connues en Angleterre aujourd’hui et auteur de douze romans et d’ouvrages pour les enfants, traduite en plus de trente langues.

Trahir a été sélectionné pour le Man Booker Prize.

(Source : Mercure de France)

En septembre 1941, l'armée allemande entame le blocus de Leningrad qui durera deux ans et demi, prenant au piège des milliers d'hommes et de femmes, dont beaucoup ne survivront pas aux terribles rigueurs de l'hiver russe. Réfugiés dans la ville, la jeune Anna, son peti tfrère Kolia et son père Mïkhaïl découvrent alors la torture quotidienne des bombardements et des terribles pénuries d'eau et de nourriture. Malgré la faim qui affaiblit leurs corps épuisés, malgré le froid intense qui règne une fois les meubles et les livres brulés, Anna et les siens vont résister. parce que, en dépit de l'horreur, subsiste l'espoir de vivre et d'aimer sans contraintes.... Mêlant fatalisme et poésie dans la droite ligne des grands romans russes, Helen Dunmore, retrace le destin d'une famille confrontée à l'un des épisodes les plus dramatiques de la Seconde Guerre mondiale : le siège de Leningrad. Une bouleversante histoire d'amour, de courage et d'espoir servie par une écriture limpide et envoûtante.

Une femme confrontée à un terrible drame, un écrivain qui sublime son amour dans l'écriture, un artiste ambulant qui vend du rêve... un roman pudique et bouleversant sur l'histoire, l'amour, la perte et la reconstruction.

À sa venue au monde, Rebecca est déposée dans une boîte à chaussures à la porte d'un restaurant italien.

Adulte, elle n'a de cesse de se constituer un foyer : elle vit un temps un amour singulier avec Joe, son ami écrivain, et c'est Adam qu'elle épouse et avec qui elle conçoit Ruby.

Mais, à cinq ans, Ruby meurt, fauchée par une voiture.

Anéantie, Rebecca s'en va. Elle fuit sa vie et tous ceux qu'elle a aimés. Sur sa route, elle fait des rencontres et, surtout, écoute des histoires : celle de l'attachant M. Damiano, cet ancien saltimbanque lié par-delà la mort à sa soeur Bella ; celles de Joe, vraies ou romancées, histoires d'amour et de deuil... Autant de témoignages, de tranches de vie qui l'aideront à panser ses blessures.

Dans ce roman brillamment construit, les histoires naissent les unes des autres, s'imbriquent et se répondent à

la manière de la métaphore des petits avions du poète Mandelstam. Une écriture sensible et délicate, une émotion nourrie d'espoir.

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