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L'empereur, c'est moi
L'empereur, c'est moi
Un enfan différent, mais je crois qu'on est tous particulier
Je ne fais pas l'éloge de la différence, mais je ne la mets non plus pas au sommet de l'éloge idéaliste
Avoir le sentiment que l'on perd le sens de la réalité, des responsabilités, du respect de chacun(e), de rester dans son monde de victimisation au nom des agissements non conformes de l'approche de l'autisme, de n'avoir pas l'impression d'être pris pour une personne à part entière, dans le respect que l'on se doit d'avoir à l'égard de toute personne, de chercher à comprendre la situation, d'avoi une approche humaine, un regard attentif: c'est normal
De vouloir rester hors société au nom de sa différence, de demander la compréhension, le respect, sans en avoir en retour pour la majorité du monde: voilà ce qui ressort de la lecture de ce livre et cela me met mal à l'aise
En effet, je pense que c'est dangereux,pour soi et pour les autres, que l'on soit autiste ou pas d'ailleurs, car on se prend pour le roi du monde, sans limite
Ne pas avoir de cadre, voler tel un électron libre, faire ce que l'on a envie,et puis c'est tout: ce n'est pas conseillé pour le commun des mortels, car on devient extrêmiste dans ses attitudes, radical
Encore une fois, j'appuie sur cela parce que je pense qu'actuellement il y a une mode béatfiante, une mouvance, un fait de société récurent, relatif à cet aspect par rapport à l'autisme
S'en se rendre compte que l'on est entraîné comme dans une béatitude admirative de certains aspects de la personnalité de l'intéressé(e), sans relever ce qui ne doit pa être tout de même
Car l'intelect est développé chez cette catégorie et apte à comprendre le b à b de la vie, vu qu'un enfant se pose déjà en bas âge des questions d'adulte
Ce n'est pas pour autant qu'on doit tout excusé quant à un comportement devenant déviant, non par incompréhension, mais par désir de rester dans le spectre où on a placé la personne
L'empereur, c'est moi
Sans filtre et à réserver à un public adulte ou bien ciblé, avec introduction au préalable
En effet, les mots sont crus et les situations sont décrites de façon très précise, y compris dans la violence des relations
Cette façon de voir risque de perturber un public jeune et de l'inciter à reproduire des faits qui ne sont pas l'apanage de la majorité des gens
Etre asperger, c'est être différent, certes, mais je pense par contre qu'il y a, comme dans la majorité des gens, des caractères et des personnalités différentes dans l'approche de la vie en son ensemble et dans la façon de voir l'existence ordinaire
On peut même s'avancer à penser à des "anarchistes" de profession, des personnes qui se construisent sur la base de la confrontation systématique, qui aiment fleurter ou dépasser les limites aussi dans l'ordinaire, qui recherchent un sens à être, mais qui peuvent avoir aussi un vide absolu, abyssal à combler
Hugo Horiot m'a fait découvrir une face cachée de cela
Carnet d'un imposteur
Un récit d'un long combat contre lui-même, les autres, le monde extérieur, les normes sociales, éducatives et morales...
(NB : la postface écrite par la mère de l'auteur - l'écrivaine Françoise Lefèvre - est bouleversante !)
L'empereur, c'est moi
L'empereur, c'est moi
L'empereur, c'est moi
Carnet d'un imposteur
Ce livre est un témoignage d'une grande franchise, en effet Hugo Horiot ne mâche pas ses mots dans certain passage. Je trouve qu'il y a un paradoxe dans ce livre entre la force voire parfois la violence dans les pensées de ce si jeune garçon et à la fois une grande fraglité que l'on devine à travers les événements qu'il relate.
L'empereur, c'est moi
L'empereur, c'est moi
Force est de constater le peu de moyens mis en place pour ces enfants, mais il faut avouer que les suivre n'est pas non plus évident.
Il est vrai que les méthodes sont controversées, que certaines ne conviennent pas à tous les enfants, mais la recherche fait ce qu'elle peut et cette maladie qui n'en est pas une est difficile à percer.
J'ai apprécié le livre, la complexité et l'organisation de cet homme, mais sa conclusion est, bien que légitime, un peu violente. La conclusion de sa mère par contre était parfaite !
L'empereur, c'est moi
Un témoignage simple, mais efficace pour comprendre son décalage, son envie de retourner dans le ventre de sa maman et sa lutte contre le monde entier...
L'empereur, c'est moi
L'empereur, c'est moi