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Livres - Bibliographie

Ian Kershaw


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Toutes les séries de Ian Kershaw

2 livres
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Douze ans seulement ont suffià Adolf Hitler pour faire de l'Allemagne la machine de destruction la plus meurtrière de tous les temps et l'amener à sa propre ruine : comment "un État moderne avec une grande culture et une économie avancée" a-t-il pu "confier son destin à un marginal politique" ? C'est la question maîtresse à laquelle Ian Kershaw, auteur des ouvrages de référence les plus récents sur le nazisme, tente de répondre dans le deuxième tome d'une oeuvre magistrale, qui fait suite àHitler. 1889-1936. Les deux tomes sontégalement disponibles en coffretHitler.Loin de n'être qu'une stricte biographie, cet ouvrage fait plutôt l'histoire du régime au travers de celle de son chef. Des grandes opérations d'une guerre de conquête et d'anéantissement à la vie intime avec Eva Braun en passant par les relations complexes et conflictuelles avec ses subordonnés, cette étude très fouillée et excellemment documentée fait le point des connaissances actuelles sur toutes les questions qui touchent au maître du IIIe Reich. Jamais sans doute il n'a été permis d'approcher d'aussi près cette "incarnation du mal politique moderne" que fut Hitler.--Thomas Ferrier

Tous les livres de Ian Kershaw

Présentation de l'éditeur

Les années 1940 et 1941 ont été décisives dans l'histoire : en l'espace de dix-huit mois, non seulement la guerre devient mondiale, mais le XXe siècle tout entier bascule dans la violence et l'horreur. La cascade d'évènements qui marque les débuts du conflit confronte les acteurs à des choix qui, pour fatidiques qu'ils aient été, n'étaient cependant pas inéluctables. A Londres. Tokyo, Rome, Moscou, Berlin et Washington, politiques et militaires, qu'ils cherchent une. issue à la crise ou tentent de l'exploiter, décident de l'avenir d'un monde où tout semble possible. Ian Kershaw les fait revivre, à travers dix décisions d'une portée sans précédent : de l'entrée en guerre de la Grande-Bretagne a la décision de Staline de s'allier à Hitler, du choix de Roosevelt de s'engager dans une guerre non déclarée à l'entrée du Japon dans le conflit, de la volonté de l'Allemagne d'affronter les Etats-Unis a la mise en oeuvre par Hitler du génocide des Juifs. Avec un art consomme de l'analyse et de la narration, lan Kershaw livre la une somme magistrale.

Publiée en France en 1999 et en 2000, la monumentale biographie que Ian Kershaw a consacrée à Hitler est devenue LA biographie de référence. Elle se voulait, par-dessus tout, une étude du pouvoir hitlérien. Du fait de l'approche choisie, les deux volumes étaient nécessairement longs, rendant la lecture de cette biographie inaccessible au grand public. Ian Kershaw a donc retravaillé entièrement son texte pour en offrir une version 'allégée'.

Événement majeur de notre siècle, le nazisme demeure également une énigme majeure posée aux historiens. Entre l'omnipotence diabolique de Hitler et la description de son pouvoir comme celui d'un « dictateur faible » face à un appareil d'État tout-puissant, Ian Kershaw risque une vision nouvelle. Ce qui devient objet d'histoire, ce n'est plus Hitler, mais sa position exceptionnelle qui excédait la mesure d'un individu sans qualité, tribun de brasserie, déclassé social, artiste raté. Hitler exerçait une autorité charismatique, fondée sur la perception, toujours renouvelée, par la masse de qualités, d'une mission, d'un héroïsme supposés du chef. Le charisme permet enfin de tenir ensemble tous les traits que les interprétations précédentes avaient jusqu'alors séparément soulignés: le pouvoir de Hitler résultait de la collaboration, de la tolérance, des faux espoirs ou de la faiblesse de tous ceux qui, en Allemagne, occupaient une position de pouvoir ou d'influence tous reportèrent leurs attentes ou leurs ressentiments dans la personne du dictateur. Il devint l'emblème de l'activisme, la source de l'autorité légitime, l'instance de confirmation ou de sanction des faits et gestes de quiconque agissait selon les intentions qu'il prêtait au Führer. De cela résultait une combinaison sans précédent d'instabilité institutionnelle et de dynamisme hors du commun, qui, incapable de stabilisation dans des formes légales, finit dans l'autodestruction.

Le 20 juillet 1944, une bombe éclate au quartier général de Hitler, la " Tanière du loup ". L'instigateur de l'attentat, Claus von Stauffenberg, rentre à Berlin, pour mettre en oeuvre le coup d'État qu'il a préparé avec les autres conjurés ; mais la nouvelle que le Führer a survécu fait tout échouer. La " chance du diable a encore frappé et la vengeance de Hitler sera terrible... " L'opération Walkyrie " a été un coup de tonnerre dans l'histoire du Ille Reich. Il faut se représenter le courage de ces hommes d'honneur, dont le dilemme était terrible : tuer Hitler, c'était décapiter l'Allemagne alors que le pays se trouvait dans une situation critique, menacé de perdre la guerre ; cela signifiait, en cas d'échec, l'accusation de haute trahison, l'ignominie. Adapté de la biographie que Ian Kershaw spécialiste mondial du nazisme, a consacrée à Hitler, ce livre propose le récit, quasiment heure par heure, de l'attentat et de ses suites. Il éclaire la personnalité des conjurés et détaille le châtiment qui s'est ensuivi à l'aide de documents très peu connus du grand public (rapports de la SS, récit des exécutions, dernières lettres des conjurés avant de mourir...).

Il est difficile de trouver un sujet qui ait donné lieu à des controverses plus nombreuses et plus brûlantes que le Troisième Reich. Les points de vue sont si variés et si divergents qu'il est parfois impossible de s'y repérer. C'est pourquoi Ian Kershaw, spécialiste mondialement reconnu, a brillamment entrepris de faire le point sur les principaux problèmes posés par la dictature nazie et les interprétations qui en ont été données : quelles sont les origines du nazisme ? S'agit-il d'un fascisme, d'un totalitarisme ou bien d'un phénomène unique en son genre ? Quel rôle a joué la grande industrie dans l'avènement de Hitler ? Celui-ci contrôlait-il tous les rouages du régime ? Quand a-t-il conçu l'Holocauste ?

Voici enfin rééditée l’étude fondamentale qui a révolutionné notre connaissance de l’opinion publique sous le IIIe Reich. Une histoire des « Allemands ordinaires » dans une région hautement emblématique, la Bavière, qui vit Adolf Hitler faire ses premiers pas d’agitateur et de démagogue raciste. La reconstitution vivante et minutieuse d’un quotidien marqué par le conformisme, l’inertie, l’adhésion, la peur ou le renoncement et beaucoup moins souvent par la résistance ou le dissentiment.

Comment « l’homme de la rue », prompt à s’enthousiasmer pour les défilés nazis, réagit-il au boycott des commerces juifs, aux attaques contre le clergé, à la brutalité des SS et à la répression des opposants ? Quelles furent les réactions des églises, des ouvriers, des classes moyennes, du patronat et de l’aristocratie ?

À rebours d’une interprétation longtemps partagée par les historiens, Ian Kershaw entend rompre avec l’image d’une domination totale de la population par un régime répressif. Il contredit directement la thèse du bouleversement social. Ni « communauté nationale » régénérée conformément aux voeux des nazis, ni âge d’or pour telle ou telle catégorie de la population : c’est bien plus l’invariance ou la morosité qui caractérise la société allemande à cette époque, et le désenchantement qui qualifie l’opinion.

Aucun homme politique du XXe siècle n'a sans doute joui d'une aussi grande popularité auprès de son peuple que Hitler. Ni la personnalité du Führer, ni son action politique ne suffisent à en rendre compte. Cette énorme popularité tient bien plutôt aux espoirs et aux perceptions des foules qui lui vouaient un culte. En s'appuyant sur les rapports officiels du gouvernement et du parti, mais aussi sur les écrits de leurs opposants et sur les témoignages de l'opinion publique allemande, Ian Kershaw étudie la naissance, l'apogée et le déclin du 'mythe' Hitler.

L'historien Ian Kershaw livre un grand récit de la fin de la guerre.

De l’attentat manqué contre Hitler, le 20 juillet 1944, à la capitulation du 8 mai 1945, l’Allemagne tombe peu à peu dans la folie meurtrière et la destruction. C’est un pays tout entier qui se transforme en immense charnier. Les morts – civils tués sous les bombardements alliés, rescapés des camps victimes des « marches de la mort », soldats sacrifiés dans des batailles perdues d’avance… – se comptent par milliers. Malgré tout, la guerre dure, le régime tient. La Wehrmacht continue d’envoyer des soldats combattre sur le front.

Pourquoi la guerre a-t-elle duré si longtemps ? Comment expliquer l’incroyable résistance du régime nazi au milieu des décombres ? C’est pour répondre à ces questions que le grand historien britannique Ian Kershaw a entrepris ce vaste récit des derniers mois de la Seconde Guerre mondiale. L’obstination fanatique du Führer, l’emprise du parti nazi sur la population, la peur viscérale de l’armée Rouge, mais aussi les choix stratégiques et militaires des Alliés sont quelques-unes des hypothèses explorées dans ce livre, qui est aussi une réflexion brillante sur les rouages du régime nazi au moment de son agonie.

Été 1914. L’Europe plonge dans une guerre dévastatrice qui va ébranler le système politique et les valeurs d’un continent entier. Une génération plus tard, alors que les survivants du premier conflit mondial sont encore choqués d’avoir vu sombrer dans la barbarie une civilisation qu’ils considéraient comme un modèle, l’Europe s’achemine vers une déflagration plus inhumaine encore : une guerre où le massacre de civils occuperait une place centrale et dont le point culminant serait le génocide des Juifs.

Le grand historien du nazisme Ian Kershaw livre une synthèse magistrale de ce premier xxe siècle européen ensanglanté par deux guerres mondiales et poursuit le récit de cette ère d’autodestruction jusqu’au moment où le continent émerge de ses ruines, recomposé en deux blocs, divisé par la guerre froide. Sa lecture restitue toute la cohérence de l’histoire européenne avec une maîtrise, une profondeur de vue et une vivacité inégalables, mettant notamment l’accent, pour rendre compte de cet enchaînement catastrophique, sur quatre facteurs : l’explosion du nationalisme ethnique, la virulence des révisionnismes territoriaux, l’acuité des conflits de classe et la crise prolongée du capitalisme.

Incisif, brillamment écrit, L’Europe en enfer est le livre de référence pour comprendre cette séquence fondatrice de notre présent.

Traduit de l’anglais par Aude de Saint-Loup et Pierre-Emmanuel Dauzat.

(Source : Seuil)

«Comment Hitler a-t-il été possible ? Comment un désaxé aussi bizarre a-t-il pu prendre le pouvoir en Allemagne, pays moderne, complexe, développé et culturellement avancé ? Comment a-t-il pu, à partir de 1933, s'imposer à des cercles habitués à diriger, bien éloignés des brutes nazies ? Comment a-t-il réussi à entraîner l'Allemagne dans le pari catastrophique visant à établir la domination de son pays en Europe, avec, en son coeur, un programme génocidaire terrible et sans précédent ? La réponse à ces questions, je ne l'ai trouvée qu'en partie dans la personnalité de l'étrange individu qui présida aux destinées de l'Allemagne au cours de douze longues années. Hitler, ceux qui l'admiraient comme ceux qui le dénigraient en convenaient, était une personnalité extraordinaire. Il avait de grands talents de démagogue ainsi qu'un oeil sûr, qui lui permettait d'exploiter impeccablement la faiblesse de ses adversaires. On peut l'affirmer avec certitude : sans Hitler, l'histoire eût été différente. Cela donne à penser que la clé de l'énigme est à chercher moins dans la personnalité de Hitler que dans les changements vécus par la société allemande elle-même, traumatisée par une guerre perdue, l'instabilité politique, la misère économique et une crise culturelle. A toute autre époque, Hitler serait certainement resté un néant.»

Après l'accumulation d'horreurs de la première moitié du XXe siècle qui avaient conduit " l'Europe en enfer ", les années 1950 à 2018 apportèrent la paix et une prospérité relative à la majeure partie de l'Europe. D'immenses progrès économiques transformèrent le continent. Le souvenir des guerres mondiales s'éloigna peu à peu, même si leur ombre a continué de planer sur les esprits.

L'Europe était désormais un continent divisé, vivant sous une menace nucléaire, qui prit parfois des contours terrifiants. Ses habitants perdirent la maîtrise de leur destin, dicté par la guerre froide qui opposait les États-Unis et l'URSS, et se trouvèrent " précipités " dans une série de crises qui menaçaient de les faire basculer dans la catastrophe. Il y eut des succès éclatants : la dissolution du bloc soviétique, la disparition des dictatures et la réunification de l'Allemagne. L'accélération de la mondialisation, la dérégulation financière, la naissance d'un monde multipolaire, la révolution des technologies de l'information ont produit de nouvelles fragilités. L'enchevêtrement de crises qui ont suivi 2008 a été l'avertissement le plus clair adressé aux Européens : la paix et la stabilité ne sont aucunement garanties et le continent pourrait bien connaître de nouvelles fractures. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère d'incertitudes.

Dans ce livre remarquable, Ian Kershaw brosse un ample tableau du monde dans lequel nous vivons. Puisant ses exemples à travers tout le continent, Des temps d'incertitudes / L'Age global éclaire puissamment l'histoire du temps présent et jette un regard prudent sur notre futur.

Événement majeur de notre siècle, le nazisme demeure également une énigme majeure posée aux historiens. Entre l'omnipotence diabolique de Hitler et la description de son pouvoir comme celui d'un « dictateur faible » face à un appareil d'État tout-puissant, Ian Kershaw risque une vision nouvelle. Ce qui devient objet d'histoire, ce n'est plus Hitler, mais sa position exceptionnelle qui excédait la mesure d'un individu sans qualité, tribun de brasserie, déclassé social, artiste raté.

Hitler exerçait une autorité charismatique, fondée sur la perception, toujours renouvelée, par la masse de qualités, d'une mission, d'un héroïsme supposés du chef. Le charisme permet enfin de tenir ensemble tous les traits que les interprétations précédentes avaient jusqu'alors séparément soulignés: le pouvoir de Hitler résultait de la collaboration, de la tolérance, des faux espoirs ou de la faiblesse de tous ceux qui, en Allemagne, occupaient une position de pouvoir ou d'influence tous reportèrent leurs attentes ou leurs ressentiments dans la personne du dictateur.

Il devint l'emblème de l'activisme, la source de l'autorité légitime, l'instance de confirmation ou de sanction des faits et gestes de quiconque agissait selon les intentions qu'il prêtait au Führer.

De cela résultait une combinaison sans précédent d'instabilité institutionnelle et de dynamisme hors du commun, qui, incapable de stabilisation dans des formes légales, finit dans l'autodestruction.

L'histoire du nazisme fait toujours l'objet des controverses les plus passionnées. Peut-on considérer que l'essentiel a été dit sur le IIIe Reich et qu'il serait temps de se consacrer à l'histoire d'autres régimes criminels ? Ou bien doit-on penser que le " travail de mémoire " sur Hitler et la Shoah reste insuffisant, comme en témoigne la résurgence régulière de courants d'extrême droite en Europe ? Depuis la chute du mur de Berlin, ce débat est mené avec une virulence particulière en République fédérale d'Allemagne.

L'inventaire du régime de RDA accentue la tendance de certains historiens à chercher dans les crimes du communisme un équivalent - et même une explication - à ceux du nazisme dans l'histoire allemande et européenne. Inversement, la fin de la guerre froide permet à d'autres de parier sans tabou de la guerre d'extermination menée, entre 1941 et 1945, par la Wehrmacht contre les peuples d'Union soviétique.

Reste que le " travail de mémoire " effectué par les historiens de République fédérale d'Allemagne se confirme à tous égards comme exemplaire et que l'unité nationale retrouvée a, paradoxalement, fait sauter les derniers obstacles à une enquête vraiment scientifique sur le IIIe Reich.

La responsabilité des crimes nazis n'est plus seulement rejetée sur le dictateur et ses proches ; les travaux d'historiens allemands se multiplient, montrant qu'une société totalitaire ne peut fonctionner que si les " individus ordinaires " exécutent - et même devancent les desseins criminels de leurs dirigeants.

L’époque contemporaine a vu l'émergence de conflits planétaires. Des sociétés entières ont été bouleversées. À leur tête, des dirigeants capables de galvaniser les foules, qui détenaient un terrifiant éventail d’instruments de contrôle, de propagande et de mort.

Le nouveau livre de Ian Kershaw propose une analyse lucide et stimulante des conditions d’émergence de cette toute-puissance, en passant au crible les personnalités et les moyens d’action de ces autocrates, qu'ils agissent sur la scène mondiale (Lénine, Staline, Hitler, Mussolini) ou que leur rôle se cantonne à une échelle plus nationale (Tito, Franco). Qu'est-ce qui, chez ces individus, et à l'époque où ils vivaient, leur a permis d'exercer un pouvoir aussi illimité et meurtrier ? Et qu'est-ce qui a mis fin à cette ère de terreur ?

Rassemblant un groupe de figures contrastées, qui inclut aussi de grands dirigeants tels Churchill, de Gaulle, Adenauer, Gorbatchev, Thatcher et Kohl, Kershaw utilise sa connaissance unique du champ politique pour réfléchir à la manière dont des chefs politiques, en tout point différents, ont exercé le pouvoir et changé le monde.

Un ouvrage vif et passionnant par l’un des meilleurs analystes de l’histoire politique de du XXe siècle.

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