Tous les livres de Jacques Bellanger
Deux personnes assommées à la bibliothèque…
Le butin du vol correspond aux documents émis par un certain Comte de Boissiseul de Saint-Creux-Condé, inventeur du mythe du trésor du Mûrier, document sans valeur estime l’une des victimes Michel Goa le conservateur de la Bibliothèque « inventeur dans le sens créateur à l’imagination débordante et non le sens de celui qui à trouver un trésor » nous a-t-il préciser.
Renan Leprince lança l’idée de délocaliser sa biennale Il propose d’organiser et de participer à un énorme jeu de piste pour les lycéens aidé par les plus fins limiers présents tous le mois de mai à juin et le thème :mythe ou réalité sur le trésor...
L'histoire commence par la découverte le 12 mai 1903 du cadavre en décomposition d'une femme. Le corps a été ligoté et attaché sur un chevalet, puis coincé dans un ponceau, un petit pont-aqueduc dans le marécage du Grand-Marais actuellement le Parc Paysager, à l'époque, c'était de la banlieue de Saint-Nazaire en Loire Inférieure.
L'histoire retrace l'enquête sur le crime et les débats du Procès de Nantes, un procès retentissant, défrayant la chronique de la France en ce début de siècle, divisant les personnes entre ceux qui pensait que Monsieur Largeteau, jeune homme issu d'une bonne famille, accusé, était innocent et trouvant que l'enquête avait été faite à charge, et les partisans de la Justice et de la veuve Déceroit, épicière de La Baule, ne voulant qu'une justice rapide.
L'histoire ne s'arrête pas seulement au procès, elle continuera à défrayer la presse pendant encore un certain temps.
Cet après-midi-là, une camionnette se stationnait dans la cour intérieure de la rue Saint-Just. Quatre individus cagoulés et portant de longs manteaux sortirent et pénétrèrent par la porte de service.
Tous les après-midi, Brigitte Robinet, la concierge, avait l’habitude de se promener avec son amie, la locataire du second. Le parcours variait chaque jour, mais il se terminait par le petit verre au bar le Colibri. Elles avaient leur table habituelle, celle près de la sortie, située comme un vrai poste de garde en face de la porte de la résidence.
Accompagnée de Blanche Mapoulle, 20 h 30, Brigitte Robinet entrait dans le porche,se dirigea vers le local à ordure. Elle poussa un cri d’horreur. Blanche arriva en courant et à la vue, resta muette de stupeur.
Une expression de douleur se lisait sur le visage du défunt. Il avait les mains crispées sur le haut de son chandail.
Une heure plus tard, le capitaine Guy Le Roch, Quentin et trois gendarmes arrivèrent à la résidence Pasqualine...
Il est des moments dans la vie d’une personne où il y a des choses qui leur paraîtront insolites, voire bizarres ou anormales…
Les cartésiens diront qu’il y existe une explication à tout et pourtant…
Je vais vous raconter quelques histoires qui pour ces héros n’auront pas toujours une explication.