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Toutes les séries de Jean-Paul Tapie

4 livres
25 lecteurs

Dolko, jeune guerrier barbare né en Germanie, aux confins de l’Empire, est fait prisonnier par les légions romaines et offert en cadeau au général Marcus Augustus. Devenu son esclave, il devra se plier aux désirs de son maître, y compris au lit, et le suivre jusque dans ses campagnes militaires. Mais, au lendemain d’une cuisante défaite, Marcus Augustus est contraint au suicide. Tous ses biens sont vendus, et Dolko se trouve attribué à la maison d’un riche marchand qui en fait le domestique de ses enfants ainsi que de son neveu, Quintilius, un jeune et charmant débauché qui deviendra son amant et lui fera connaître les orgies de la bonne société romaine. Pourtant, à la suite d’un tragique accident, le jeune homme est obligé de fuir les plaisirs de Rome. Il embarque alors pour la Grèce sans se douter qu’une fois encore le destin va se jouer de lui et l’entraîner dans des aventures imprévues, parfois sensuelles, souvent cruelles, mais qui jamais ne feront vaciller sa conviction d’être un homme libre.

5 livres
11 lecteurs

Nicolas a tout pour être heureux. C’est un beau garçon, en pleine santé et il est le plus jeune fils du baron de Beaulieu-Mareuil. Mais nous sommes en 1794, au plus fort de la Terreur. Le jour des fiançailles de Charlotte, sa soeur préférée, la foule envahit le château. Ses parents et l’un de ses frères sont arrêtés : il ne les reverra plus. Alors, pour Nicolas, commence une vie d’errance. Son chemin passe par le pensionnat de Senançay, où il rencontre le surprenant La Vibraye et sa Conquérante ; il frôle le pied de l’échafaud, en compagnie du frère Chanceaulme ; il croise le chemin d’une bande de malandrins au sein de laquelle il découvre Lilian et là, sa vie change brusquement. Ensemble, Lilian et Nicolas partent sur les routes à la recherche de leur destin. Le destin aventureux et périlleux qui attend, aux quatre coins de l’Europe, tous les bâtards de l’Empire.

3 livres
1 lecteurs

Ludovic Taillefer n'y va pas par quatre chemins

Jean-Paul Tapie

Roman de 356 000 caractères, 62 000 mots, le livre papier fait 238 pages.

Ludovic Taillefer plaît aux hommes mûrs. Mais pas aux femmes des hommes mûrs. L'une d'elles le fait suivre par un détective privé, qui va faire à Ludovic une étrange proposition.

Devenu détective privé à son tour, Ludovic Taillefer va découvrir que filature rime avec aventure.

Sur le chemin de Compostelle, il se lance sur les traces d'un homme que sa femme, richissime héritière, soupçonne de vouloir prendre le contrôle du groupe qu'elle possède.

Sur les chemins de la Réunion, il cherche à découvrir ce qui est arrivé à un incorrigible séducteur qui ne s'embarrasse pas de scrupules pour arriver à ses fins.

En vacances sur le GR20, il rencontre Étienne Lestrade, qui s'inquiète de la disparition douteuse du jeune frère d'un mafioso local.

Enfin, sur le chemin Stevenson, il va résoudre le fait divers qui tient tout le pays en haleine, celui des "Disparus du Stevenson".

Pas après pas, chemin après chemin, Ludovic Taillefer va se rendre compte que son nouveau métier n'est pas de tout repos.

Tous les livres de Jean-Paul Tapie

Bertrand Champetier de Comminges, chevalier du Temple, transcrit les souvenirs de celui qui l’a réduit en esclavage, le Grand Keftir de Kasbadan. Un demi-siècle plus tôt, ce dernier se nommait encore Amaury…

Après avoir fui le château familial, Amaury et son amant Rambert atteignent Paris, sans le moindre liard en poche. Cependant, leur aimable figure leur vaut rapidement la bienveillance de quelques-uns… Les rencontres et les aventures se succèdent, qui toutes ne sont pas agréables… L’une d’elles, particulièrement calamiteuse, conduira Rambert à l’échafaud et Amaury à la fuite à travers l’Europe avant, enfin, d’être fait chevalier. Il décide alors de s’embarquer pour la Terre Sainte, où l’attend un nouveau destin.

Bertrand, lui aussi, est assailli de souvenirs… la maison chèvetaine du Temple… le quartier du marais… Marseille d’où il a embarqué pour la Croisade.

Dans la nuit de Kasbadan, les souvenirs du Grand Keftir et ceux de Bertrand n’en finissent pas d’éveiller l’écho des combats mais aussi des cris de plaisir.

Après l’immense succès de Dolko, Jean-Paul Tapie nous offre une nouvelle saga historique gay encore plus mouvementée, encore plus démesurée que la précédente !

Amaury est-il vraiment l’un des innombrables bâtards du puissant comte Enguerrand de la Bauge, vassal du roi Philippe Auguste ? Pour ses parents adoptifs, peu importe, car l’enfant est d’une beauté si extraordinaire qu’il faut lui donner une chance de se hisser au-dessus de sa condition. Mais, dans le sombre château de la Bauge, les rivalités et les intrigues vont bon train entre fils légitimes et enfants naturels, et nul n’est sûr, au final, d’en sortir vivant !…

C’est ce récit que le Grand Keftir, tyran d’un royaume perdu au milieu des sables d’Arabie, entreprend de dicter à son esclave, le jeune chevalier du Temple Bertrand Champetier de Comminges, en cet an de grâce 1249. Mais dans quel but ? et avec quelles arrière-pensées ? L’impétueux Bertrand pourra-t-il survivre longtemps aux colères du souverain, qui fait tout pour provoquer le guerrier chrétien et ne lui épargne aucun détail de ses turpitudes ?

Après Dolko, Jean-Paul Tapie nous offre une nouvelle saga historique gay encore plus mouvementée, encore plus démesurée que la précédente !

« Dix petits phoques étaient sur une île. A votre avis, qu'arriva-t-il ? »

Si vous avez lu "Dix petits nègres", cette comptine vous fait sans doute déjà froid dans le dos.

Malheureusement pour eux, les petits phoques lisent peu. Trop préoccupés de leur ravissant museau et de leur corps de rêve, ils ont davantage l'habitude de se regarder dans un miroir que de voir la mort en face. Piégés sur une île par un hôte invisible, ils sont bien incapables d'imaginer qu'on puisse leur vouloir du mal. Et puis, après tout, pourquoi s'en faire quand la piscine est bleue, le frigo plein et les garçons disponibles ?

A présent, dix petits phoques sont sur une île... et tout peut arriver !

Entre pastiche et hommage iconoclaste, Jean-Paul Tapie nous propose une relecture sulfureuse du chef-d'œuvre de la reine anglaise du crime.

Depuis l'âge de quinze ans, Arthur joue à cache-cache avec le sommeil.

Cela représente des milliers de nuits à fouiller la maison de ses parents, à épier ses camarades endormis dans la chambrée de la caserne, à jouer les « Room Service » pour les soldats de Tsahal, à se pencher sur les formes superbes de Harold assoupi, à rêver au soleil levant dans le désert du Néguev, à apprendre le Adon Olam sous la houlette du signor Minzi Coen, à boire des bières avec Selim dans la cour du Boogie, à se prendre pour un aventurier dans les gorges de la Samaria ou à attendre simplement que Tom se laisse rejoindre.

C'est fou tout ce qu'on peut faire la nuit quand on ne dort pas. On peut se rêver un destin, un rendez-vous, une histoire d'amour.

En fait, la nuit, quand on ne dort pas, on attend de pouvoir vivre.

Existe-t-il rien de pire que de perdre sa mère ? Oui : n'en éprouver aucun chagrin. Moi, quand la mienne est morte, je me suis réjoui de n'avoir rien de plus excitant à faire le jour de son enterrement. Alors j'y suis allé. Mais, première surprise : elle n'avait pas voulu être enterrée, elle avait souhaité être incinérée. Puis, deuxième surprise, ma soeur m'a demandé de respecter la dernière volonté de notre mère : aller répandre ses cendres dans un ruisseau de son pays natal, les Landes. Alors j'y suis allé. Enfin, pas tout de suite. Quelque chose m'en a longtemps empêché. Comme un goût de cendres dans la bouche.

Je m'appelle Fabien Meyer. J'ai trente-sept ans. Je suis conseiller de clientèle dans une grande banque de la banlieue nord de Paris. Je suis célibataire et je vis seul, sans animal domestique. J'habite un trois-pièces dans une cité. Je mesure un mètre quatre-vingt-trois pour quatre-vingts kilos. J'ai un physique banal. Signe particulier : une cicatrice sur la joue droite. Je pratique régulièrement la musculation, les arts martiaux et la boxe. J'ai une passion pour les puzzles de plus de trois mille pièces et les mots de plus de trois syllabes.

Certains soirs, je me rends dans un lieu de drague homosexuelle et je tabasse un pédé.

Avec ce roman coup-de-poing, Jean-Paul Tapie nous offre une étonnante plongée dans l'esprit d'un homophobe (presque) ordinaire, loin des poncifs et du politiquement correct.

Les sentiers corses et les plateaux de télévision ont en commun de regorger de chausse-trappes. Étienne Lestrade a passé sa vie à apprendre comment les contourner ou les ignorer. Mais alors qu'il se croit à l'abri, le destin s'amuse à placer sur son chemin la Fatalité, sous les traits délicieux d'un jeune Anglais athlétique et audacieux. Oliver Stapleton n'est pas le genre de garçon à se laisser contourner, encore moins ignorer. Commence alors un face-à-face ambigu qui monte en puissance jusqu'à la chute finale.

Attention : Ce roman en deux parties est présenté tête-bêche dans le même ouvrage. Pour lire la première partie, « Le Cirque de la solitude », on commence depuis la première couverture, puis on retourne le livre pour lire la seconde partie, « La Solitude du cirque », depuis la quatrième de couverture.

« Un excellent moment de lecture. »

Benoît Migneault - Fugues

« Ce roman [...] pourrait rapidement devenir un classique de la littérature gay, tant il est saisissant. »

F. Md. - Revue Inverses

Jean est le plus bel homme que j'aie jamais vu.

Grand, blond, sportif, rieur, entouré d'amis, toujours prêt à mesurer sa force à la lutte ou à la course sur les plages désertes de l'Océan. Comment, après l'avoir côtoyé pendant des années, pourrais-je ne pas aimer les hommes ? Mais aussi, hélas, comment pourrais-je en aimer un autre ? Il le faudra bien, pourtant, puisque Jean est mon père.

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La beauté de Jean est si évidente, si unanimement reconnue et célébrée par tout son entourage familial et ses amis sportifs, que personne ne perçoit le trouble intime qu’elle provoque chez son jeune fils, que sa mère, Denise, a prénommé Luis en hommage à Luis Mariano, son idole masculine... Sa grand-mère et sa tante Odette avec lesquelles le ménage cohabite, sont des petites bourgeoises snobs, mesquines et sottes de la banlieue d’Arcachon. Les deux femmes considèrent le beau Jean comme leur propriété et méprisent leur belle-fille et belle-sœur, qu’elles considèrent comme une intruse, absolument indigne d’un tel mari. La tante Odette, dépourvues de sensibilité et à défaut d’intelligence, d’un minimum d’instinct, a épousé à la surprise générale et sans le moindre soupçon, un puceau mou et falot qui, dès que l’occasion s’est présentée l’a plantée, probablement encore vierge, pour s’enfuir avec un coiffeur.

Le beau Jean, quant à lui, est un brave type très sportif, sans narcissisme exagéré, ni vanité ostensible, totalement dépourvu d’ambition. A partit du moment où il peut faire du sport avec ses copains, il se laisse vivre et admirer, mais il ne lui viendrait jamais à l’idée d’utiliser l’arme de son charme et de son insolente beauté pour en tirer un quelconque avantage de carrière. Le lecteur découvre bien avant ses proches que Jean est, certes très beau, mais aussi, comme dans la chanson de Brel: “beau, beau et con à la fois”. Beau et con mais gentil, il emmène partout avec lui son fils Luis, sans soupçonner que jour après jour, le jeune garçon éprouve un sentiment d’admiration de plus en plus équivoque pour lui, son magnifique mâle de père; un sentiment qui dépasse de très loin celui d’une tranquille et confiante affection filiale... Un sentiment qui n’est en fait qu’une confusion de sentiments contradictoires.

Ni Jean, ni sa mère, ni sa famille, ni ses amis n’iraient imaginer l’exaltation et l’angoisse grandissantes du jeune Luis, confronté à sa passion, et bien moins encore les phantasmes étranges qui l’envahissent, quand, après les combats et la lutte au gymnase ou sur la plage, il assiste dans les vestiaires au spectacle de tous ces corps d’athlètes nus dégoulinants sous les douches. Leurs virilités velues insouciantes fraternellement exposées paraissent à l’enfant aussi monstrueuses que singulièrement attirantes et prometteuses d’extases inavouables. Le sexe de Jean surtout le fascine, c’est celui de son idole, le plus mystérieux et le plus secrètement aimé, porteur de félicités ineffables et redoutables ... Intimement mêlé à son désir qui devient de plus en plus pressant et tangible, l’adolescent perçois en lui un sentiment horrible d’interdit, de culpabilité et de solitude totalement sans issue. En dépit des tourments qui le torturent, peut être même stimulé par eux, il prend progressivement conscience de posséder une intelligence très supérieure à celle de tous les membres de sa famille, et en particulier à celle de son superbe géniteur.

Seul son grand-père, absorbé et inquiet des difficultés que rencontre sa petite entreprise, partage à regret cette lucidité et considère que son fils, le beau Jean, est incapable de lui succéder à la direction de son affaire, qu’il est contraint de vendre à un concurrent. Jean lui-même accepte cette décision sans manifester une notable rébellion contre ce qui est pourtant une importante régression sociale puisqu’il doit travailler désormais comme salarié d’une société dont son père était le patron.

Il déménage une première fois avec sa femme et son fils et installe sa famille à Mont-de-Marsan , une petite ville coquette où semble s’établir un relatif équilibre. Denise est enfin débarrassée de sa détestable belle famille et Jean est ravi de pouvoir intégrer la section de judo du régiment de parachutistes de la Place. Luis, qui accompagne toujours son père, constate que, sous les douches, les militaires n’ont pas la même insouciance que les copains de l’ancien dojo et qu’ils se préoccupent bien davantage d’affirmer une incontestable virilité. L’homophobie est latente et ne manquera pas de se manifester à la moindre alerte.

Hélas, profitant sans doute du manque de caractère de son responsable commercial, le patron de Jean, le contraint à accepter un nouveau poste, mais cette fois dans une ville où à l’évidence personne n’aurait envie d’habiter, une ville totalement dénuée d’ attraits, loin de tout et au milieu de nulle part, dont l’auteur n’indique pas même le nom, pour renforcer l’ impression d’absence totale d’identité.

Cette fois, c’est Denise qui ne supporte pas le déménagement et qui entre dans une profonde dépression. Alors qu’on aurait pu croire que le superbe Jean tenait au moins sa femme grâce à des relations intimes d’une exceptionnelle sensualité, on découvre par hasard une nuit, en même temps que leur fils, que Jean, le beau gosse, l’Apollon, n’inspire plus que dégoût à l’ancienne fan de Luis Mariano...et qu’elle le contraint à des plaisirs solitaires navrants

Luis qui n’en peut plus décide alors de mettre un terme à l’insoutenable équivoque qui le rend fou. Il élabore pour cela un plan machiavélique qui conduit à un dénouement aussi inattendu que stupéfiant... Dénouement que je laisse évidemment découvrir aux lecteurs de ce superbe roman, porté par un style sobre, très maîtrisé et qui, bien qu’abordant un sujet on ne peut plus scabreux, demeure exempt de toute trivialité.

Qu'est-ce qui fait que l'on se sent différent ? Toute diversité est-elle une chance pour l'humanité ? Et n'est-ce pas se mettre soi-même en marge que de prétendre à un quelconque droit à la particularité ? En fait, une sexualité différente mérite-t-elle d'être revendiquée ? Justifie-t-elle qu'on lui consacre des livres ? Implique-t-elle une autre vision du monde, de la vie, de la société ? Et à partir de quand se retrouve-t-on étiqueté ? A-t-on le droit de changer d'avis ? A quoi sert d'en parler ? Ce recueil de textes littéraires autour de l'homosexualité, par sept auteurs venus d'horizons très divers, ne tente de répondre à aucune de ces questions pourtant pleine d'intérêt.

Et si, au fil de la lecture, il vous vient des idées sur tous ces sujets, soyez certains que c'est indépendamment de leur volonté.

Malgré son nom, Denis Hoareau ne connaît rien de la Réunion.

Il y est né, mais quand il avait cinq ans, sa mère l'a emmené avec elle en métropole. A présent, sa mère est morte et a souhaité que ses cendres soient répandues quelque part dans le cirque de Mafate. Pourquoi ? C'est l'une des nombreuses questions auxquelles Denis Hoareau, lors d'un voyage dans son île natale, va chercher la réponse. L'ennui, c'est que chaque fois qu'il croit trouver une réponse, Denis trouve une nouvelle question.

Jusqu'à trouver la réponse à celle qui l'obsède depuis toujours : pourquoi sa mère l'a-t-elle si peu ou si mal aimé ?

Marc est atteint de VIH, il participe au Grand Raid. Durant cette course, il mène deux combats : celui de terminer la course et celui de vivre.

Alors qu'il n'a encore jamais touché un corps d'homme, le jeune Jérôme Peyral sait déjà qu'il est homosexuel.

Tout en lui le lui dit : ses loisirs, ses rêves, et surtout son attirance pour son professeur de français, le beau monsieur Langlois. Plus le temps passe et plus s'affirme sa différence. Il ne partage ni les mêmes goûts ni les mêmes plaisirs que ses camarades de classe qui trouvent en lui un souffre-douleur idéal. Le voici mis à l'écart, dénigré, ridiculisé en permanence. Même sa famille finit par le laisser tomber.

Dès lors, commence pour Jérôme Peyral le long supplice de l'humiliation en même temps que l'apprentissage douloureux de l'affirmation. Jusqu'au jour où surgit l'idée de se venger enfin de tous ceux qui l'ont persécuté. L'adolescent vulnérable décide alors de "tuer la folle en lui" et de montrer à tous quu'on ne se moque pas impunément de "Peyral-la-Pédale". Le Goûter d'annivenaire est le sixième roman de Jean-Paul Tapie.

Aussi perfide que Le Désir du Cannibale... Aussi captivant que Dix petits phoques... Aussi émouvant que Le Fils de jean... Mais le meilleur de tous !

Deux jeunes étrangers à Rome et la folle nuit qui les entraîne, d’aventure en aventure, de plaisir en plaisir. Pétrone, Moravia, Fellini : bien sûr, on citera ces noms, mais qu’ils n’empêchent pas de distinguer le talent propre à cet auteur de vingt-quatre ans, qui n’hésite pas, pour son premier roman, à broder sur un thème illustre. On trouvera ici Rome, ses monuments, ses trattorias, ses boîtes plus ou moins équivoques, ses rues enjôleuses et traîtresses, sa faune cosmopolite, ses prostitués des deux sexes, son peuple nocturne de débauchés. Mais à travers les deux héros de Jean-Paul Tapie, on suivra aussi la quête d’une certaine innocence, qui traverse en se jouant les embûches du vice et ressort intacte des périples infernaux. Par la grâce d’une écriture légère, par la gaieté d’un esprit enclin à se représenter la vie comme une fête, ce livre allegro vivace conduit son lecteur dans le pays enchanté des masques et des fontaines, où l’érotisme n’est qu’un ornement supplémentaire du baroque, et où les expériences les plus scabreuses rentrent dans le concert féerique d’une petite musique de nuit.

Les quatre enfants de Marthe Moutiers-Lebret n’ont pas été vraiment surpris d’apprendre que leur mère voulait être incinérée. Mais qu’elle ait décidé par testament de confier ses cendres à un inconnu, voilà qui fait plus que les surprendre : ils sont choqués. Qui est cet homme? Qu’était-il pour leur mère ? Menait-elle, sans leur en avoir parlé, une vie parallèle dont ils ne connaissaient rien ? Pour Hervé et ses trois soeurs, Hélène, Claire et Agnès, commence alors une partie de passe à dix, un relais familial où l’on se transmet les cendres de l’un à l’autre pour éviter que l’intrus ne mette la main dessus. Mais tous les coups sont ils permis pour mettre à l’abri l’urne sacrée ?

Comment Amaury, fils adoptif d'un vassal du roi Philippe Auguste, est-il devenu le Grand Keftir de Kasbadan, ce petit royaume aux confins des déserts d'Arabie? Et comment Bertrand, chevalier du Temple, est-il devenu le scribe de ce souverain redouté ? Quel destin les a tous deux poussés, à cinquante ans d'intervalle, vers les rives de la Terre Sainte ? Le premier connaîtra le saccage des villes de Zara et de Constantinople, sous l'égide des Vénitiens.

Le second s'égarera en Sicile puis en Crête. Mais la trajectoire du roi comme celle de l'esclave passera par la découverte de la sexualité et l'apprentissage de l'amour. Pris au charme du récit de son ravisseur, Bertrand ne sait plus à quel saint se vouer. D'autant que le Grand Keftir lui a offert comme serviteur un garçon d'une beauté et d'une pureté incomparables : Tobias. À la croisée des chemins, entre la rigueur de sa morale et la puissance de ses appétits, il faudra que le Templier fasse appel à toutes les ressources de son cœur pour admettre que la Terre Promise est entre les bras de ce jeune homme hors du commun.

Parce qu'il était un peu différent de ses camarades, Germain Fanchet a été le souffre-douleur de toute sa classe.

De la seconde à la terminale, la vie au lycée a été pour lui un enfer quotidien. Les humiliations, les injures, les coups parfois ont fini par le persuader lui-même qu'il était un " anormal ".Trente ans ont passé, Fanchet est devenu infirmier aux Urgences. Il a caparaçonné son cœur, il a pratiqué le sport et la musculation jusqu'à en imposer aux autres hommes. Il est devenu cynique et volontiers moqueur ; il n'a jamais pu vivre une histoire d'amour au-delà de quelques mois.

Et voilà qu'arrive dans son service un accidenté de la route. L'homme est salement amoché, mais Fanchet reconnaît immédiatement son principal tourmenteur, la bête noire du lycée, celui qui, jour après jour pendant trois longues années, a joui de le torturer : Rémi Laurent-Dubreuil. Tout lui revient alors en mémoire, et le projet d'une vengeance définitive, celle qui lavera les offenses faites à toutes les " fanchettes " de la terre, germe bientôt dans son esprit...

Avec Ils m'appelaient Fanchette Jean-Paul Tapie nous offre un de ses plus beaux romans, dans la lignée du Fils de Jean (Gallimard) ou du Garçon qui voulait être juif (H&O).Un roman qui nous fait vivre (ou revivre) les ravages de l'homophobie à l'école et où se lit, en filigrane, le propre parcours de l'auteur.

Je m’appelle David Tolédano.

Je suis le fils de Daniel Tolédano, champion de boxe éphémère, et le petit-fils d’Ida Fonseca, membre de la Nation Portugaise, descendante des grands rabbins cabalistes de Cordoue, Tolède et Lisbonne qui, si ça se trouve, ont vraiment existé.

Je suis le genre de garçon qui n’arrête pas de commettre des erreurs. Par exemple, j’ai longtemps cru que mes parents étaient morts dans un accident de voiture. Alors que ce n’est pas vrai.

J’ai également cru que j’aimais les filles et que j’avais envie de me marier. C’est d’ailleurs dans cet objectif que j’avais rendez-vous, cet été-là, avec Bérengère, à Athènes. Cependant, la garce m’a posé un lapin et a poursuivi son chemin avec un autre.

Mais, finalement, je m’en fous. Car grâce à elle j’ai rencontré Milosz. L’homme qui lisait Henry Miller.

Et ça a changé ma vie.

Durant la Seconde Guerre mondiale, David arrive un jour chez le narrateur avec ses parents. Le lendemain, il avait disparu mais revient le soir même, sans ses parents, arrêtés par les Allemands. Il s'installe alors dans sa nouvelle famille et prend le nom de François. Le narrateur veut l'emmener en Espagne pour pouvoir le sauver.

Antoine Arbousier a deux passions : la politique et le sexe. Deux passions qui n'en sont qu'une, en fait, puisque l'une et l'autre tendent à exercer un pouvoir sur les hommes. Et, concernant Antoine Arbousier, il ne faut pas entendre "hommes" au sens des gens, du peuple, du genre humain dans son ensemble, mais bien des personnes de sexe masculin. Car Antoine Arbousier est gay et ne s'en cache pas. D'ailleurs, il aime la politique et le sexe avec la même ardeur, le même désir de parvenir à ses fins par tous les moyens, la même voracité insatiable, la même impuissance à contrôler ses appétits. C'est pourquoi, malgré les difficultés d'un tel projet, il a décidé de présenter sa candidature au pouvoir suprême. Malheureuse ment pour lui, la politique est réservée à ceux qui n'ont que des vices raisonnables. Il va en faire l'effroyable expérience.

Ce livre se passe à la Réunion. Enfin, peut-être. Au hasard de l'un comme de l'autre, on rencontre des villes qui s'appellent Saint - Denis, Saint- Paul, Saint - Pierre ou Saint - Leu ; des lieux baptisés Barachois, Maïdo ou Dimitile ; des familles portant des patronymes tels que Hoareau, Payet, Fontaine, Tiburce, Bègue ou Sautron. On y entend des mots comme moucater, ladilafé ou tatocher.

Mais qu'est-ce que cela prouve ? Il pourrait s'agir d'une coïncidence. D'ailleurs, si cette île n'existait que dans l'imagination de l'auteur, qu'est-ce que cela changerait à l'histoire ?

De même qu'il a conçu cette intrigue et ses héros, l'auteur a peut-être rêvé aussi sa géographie, son histoire, sa sociologie, son économie, sa politique, ses religions, ses traditions, ses mœurs, ses faits divers. II ne faut jamais croire un romancier sur parole.

L’étalon d’outre tombe

Jean-Paul Tapie

Roman de 257 000 caractères, 44 700 mots, le livre papier fait 178 pages.

Le corps de Kevin P. est retrouvé flottant sur un des lacs du Bois de Boulogne.

Ce jeune acteur était plus apprécié pour son physique que pour son talent.

S’est-il suicidé ou l’a-ton suicidé ?

Paul S. un ami d’enfance devenu scénariste enquête.

Entre sexe, argent et politique, le mystère s’épaissit.

Pourquoi Kevin P. est-il mort ?

Qui pouvait en vouloir à ce beau garçon que les médias ont baptisé L’Étalon d’outre-tombe.

Erko

Jean-Paul Tapie

Roman de 287 300 caractères, 50 000 mots, le livre papier fait 214 pages.

« Le corps puissant d’Erko donnait à ses traits une beauté farouche, presque animale. Il avait une mâchoire spectaculaire qui délimitait son visage en renforçant ses lignes. Le nez aussi était imposant, droit, centre parfait de la face. Je ne distinguais pas, de là où je me trouvais, la couleur de ses yeux, mais comme ses cheveux étaient d’un blond éclatant, je les imaginais bleus, ou alors légèrement verts. La bouche était ce qu’il avait de plus gracieux. Elle était très dessinée, avec des lèvres aussi épaisses et ciselées l’une que l’autre. Je me demandai aussitôt ce qu’un aussi spectaculaire spécimen de virilité pouvait bien faire à bord d’un bateau de croisière. »

Jusqu'où peut-on aller pour vivre ses rêves, pour réaliser ses fantasmes ? Jusqu'au bout du monde ? Probablement. Surtout si celui qui les incarne est un marin au long cours qui, à défaut d'avoir une femme dans chaque port, est prêt à y donner rendez-vous à son amant. Mais on ne peut vivre d'amour et d'eau fraîche. La passion n'a pas de prix, ce qui signifie qu'elle peut être fort coûteuse. Le narrateur risque de l'apprendre à ses dépens.

Un amour de jeunesse

Jean-Paul Tapie

Roman de 234 000 caractères, 41 100 mots, le livre papier fait 150 pages.

Dans la ville moyenne où la dernière insubordination de son père, un militaire de carrière "forte tête et caractère de cochon", vient de l'entraîner, Pierre, 17 ans, découvre les Morin-Géniez. Une famille bourgeoise dont la stabilité et la décontraction le fascinent.

Parmi les membres de la tribu, l'un d'eux l'attire particulièrement : Pascal, 15 ans, un garçon sportif, rebelle et indifférent.

Entre ces deux garçons, que peut-il se passer ? Un amour de jeunesse peut-il être le bon ? Est-on condamné à n'aimer qu'une fois ? Est-il possible d'aimer sans espoir de retour à 17 ans ?

Pierre se pose de redoutables questions dont il n'est pas certain de posséder les réponses.

Le refuge des cow-boys

Collectif

10 nouvelles en faveur du Refuge, 330 000 caractères, 57 000 mots, le livre papier fait 227 pages.

10 nouvelles sur la thématique des cow-boys. Romantiques ou bad boys, ils sont toujours virils dans ce Far West où les amitiés puissantes sont favorisées, mais où l’amour entre hommes reste interdit.

11 auteurs ont donné vie à ces relations.

1. Unnamed Song de Maxime Meyer

2. Cow-Boy Mystère de Laur’El

3. Souffle-du-vent de Michel Evanno

4. Ranch’s Love d’Emma Kat & NM Mass

5. Bareback Mountain de Jean-Paul Tapie

6. Chevaucher l’espoir de Angie Le Gac

7. Mon oncle Eliot de Marie Laurent

8. Une nuit pour tout changer de Sully Holt

9. Rien que la vérité ! de V.D PRIN

10. La Splendeur ou l’Effroi de Sébastien Monod

Deux hommes se retrouvent seuls, après un naufrage, sur un îlot écarté de l'archipel de Sao Luciano. Antoine, la quarantaine plutôt sereine, éprouve un désir vorace pour Jérémy, le jeune marin qui l'a sauvé.

Jérémy, lui, repousse ce désir, sans violence apparente. Pourtant, dans ce face-à-face psychologique, chacun se bat : l'énigmatique Jérémy, si sûr de lui dans ce milieu hostile, force Antoine à raconter sa vie, ses amours, et, pour que le 'jeu' dure, fait vaciller les certitudes d'Antoine. Le silence sera donc la meilleure arme d'Antoine, mais le combat ne s'arrête pas là...

Comment j'ai écrit mon cinquième roman

Jean-Paul Tapie

Roman de 385 000 caractères, 66 000 mots, Le livre papier fait 246 pages.

Connaissez-vous Martin Montel ?

Avez-vous lu l'un de ses livres ?

Non, probablement pas.

Si son premier roman a connu un succès d'estime, les deux suivants n'ont guère fait parler d'eux.

Pourtant, son éditeur persiste à le publier et son quatrième ouvrage vient de sortir. Toujours aussi discrètement. Aussi son éditeur propose-t-il à Martin de changer de directeur littéraire.

Le nouveau a tout pour lui plaire : joli garçon, chaleureux, et surtout déterminé à conduire Martin vers le succès. Quitte à procéder à quelques évolutions dans le sujet de ses récits. Martin devrait s'en réjouir, mais au bout du compte, Fabien Keller est-il un directeur littéraire ou un directeur de conscience ?

Que fait Gus assis dans cette armoire ? De qui se cache-t-il ? De quoi a-t-il peur ? Hésite-t-il au moment de s'engager dans une union qu'il n'est pas certain de souhaiter ? Cherche-t-il un ultime sursis ? Espère-t-il un miracle qui le transporte vers une autre réalité ? Qui fuit-il ? Lui-même, ou quelqu'un d'autre ? Assis dans cette armoire où il a l'impression d'être à l'abri du monde, Gus s'apprête à faire une rencontre qui va transformer sa vie.

À la Réunion, une jeune femme zoreil décide de reprendre son mari à celle qui le lui a volé. Une cafrine de feu. Une couverture pays. À présent qu'elle a pris sa décision, Aline est prête à tout pour récupérer Julien. À tout ce qui est en son pouvoir. Et, s'il le faut, à tout ce qui est au pouvoir des forces occultes. Mais peut-on y recourir sans risque ?

Comprend les 5 tomes de la série

• T1 : L'ombre de la terreur

• T2 : Prisonniers des sables

• T3 : Les garçons de Naples

• T4 : Le Soleil Noir De Wagram

• T5 : Le Rendez-Vous D'Anatevka

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