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Tous les livres de Jean Ziegler

Aujourd'hui dans le monde, toutes les sept secondes, un enfant de moins de 10 ans meurt de faim. Le plus souvent victime d'un impératif et d'un seul, celui des maîtres du monde : le profit sans borne. Ces nouveaux maîtres du monde, ce sont les seigneurs du capital financier mondialisé. Qui sont-ils et d'où tirent-ils leur pouvoir ? Comment les combattre ?

Où qu'il aille, dans le cadre de ses fonctions internationales, Jean Ziegler est frappé par l'hostilité de principe que les peuples du Sud manifestent vis-à-vis de l'Occident, rendant parfois impossible l'adoption de certaines mesures d'urgence en faveur des plus démunis. Dans ces conditions, mettre fin à cette situation devient une question de vie ou de mort pour des millions d'hommes, de femmes et d'enfants à la surface du globe. Comment contraindre le nouvel ordre du capitalisme mondialisé à cesser de soumettre le reste du monde à sa domination meurtrière, et renouer le dialogue avec les victimes ? Du Nigeria à la Bolivie, des salles de conférences internationales aux villages les plus déshérités, le parcours de Jean Ziegler lui permet d'apporter des réponses à ces questions, sur le mode vibrant et engagé qui lui est propre. En forme d'hommage, si l'on veut, aux deux puissantes voix tutélaires qui hantent ce livre, celles d'Aimé Césaire et de Wole Soyinka.

Nous assistons aujourd'hui à un formidable mouvement de reféodalisation du monde, à la mise en coupe réglée des peuples de l'hémisphère Sud par les grandes sociétés transcontinentales. Deux armes de destruction massive sont à l'œuvre : la dette et la faim. Par l'endettement, les Etats abdiquent leur souveraineté ; par la faim qui en découle, les peuples agonisent et renoncent à la liberté. Oui, c'est bien l'empire de la honte qui s'est mis subrepticement en place sur la planète. Jean Ziegler, qui témoigne ici d'une connaissance exceptionnelle du terrain, démonte cette formidable machine à broyer et à soumettre.

Rien n’est plus scandaleux : dans un monde de plus en plus riche, trente millions d’êtres humains meurent de faim chaque année. Des centaines de millions d’autres, un peu partout sur la planète, sont gravement mal nourris. Comment est-ce possible ? Pourquoi acceptons-nous une injustice aussi monstrueuse ? Comment peut-on expliquer une telle absurdité ?

Sans dissimuler son indignation, Jean Ziegler répond ici aux questions que lui pose son fils. Ce sont celles que se posent tous les enfants du monde.

Jean Ziegler n'est pas tendre pour sa patrie. Pour lui, la Suisse est gérée par une oligarchie: 'En procédant à une analyse des mandats dans les conseils d'administration, nous retrouvons une sorte d'élite du pouvoir de 26 personnes dont l'influence s'étend à tous les secteurs clés de l'économie.'

De plus, il y a un lien étroit entre la politique et les affaires, car les politiciens suisses élus sont immédiatement proposés comme membres du conseil d'administration de plusieurs sociétés.

Jean Ziegler est un marxiste-léniniste, pour qui le système économique mondial fonctionne dans un cadre de cercles concentriques avec au milieu un centre (les pays / sociétés capitalistes) et autour des (semi-)périphéries, reliées au centre par des bandes de transport d'investissements et de bénéfices. Dans ce système, la Suisse remplit le rôle de receleur. L'oligarchie impérialiste du centre et ses complices locaux dans la périphérie ont besoin d'un lieu où la législation bancaire, la relative stabilité politique, et l'efficacité technologique assurent une mise à l'abri et un réinvestissement rationnel du butin accumulé.

Nonobstant son jargon marxiste, Jean Ziegler dévoile un système bien huilé pour maintenir au pouvoir une élite oligarchique.

Un spectre hante l'Europe : celui du crime organisé.

Depuis une quinzaine d'années, en effet, de nouvelles et redoutables mafias sont apparues et menacent les sociétés démocratiques de notre continent. Elles tirent parti de l'effondrement du communisme, de la déréliction de certains États, des facilités de la globalisation financière et de la mondialisation des marchés. Parfois, c'est le pouvoir politique lui-même qu'elles tiennent dans leurs mains. Avec une équipe de collaborateurs, Jean Ziegler est parti à la rencontre de cette armée du crime.

Le récit hors du commun et les analyses qu'il propose ici se fondent sur l'audition d'innombrables témoins magistrats, procureurs, policiers - et le dépouillement d'archives jusqu'alors inaccessibles. Le bilan est terrifiant.

Rien ne détermine plus profondément une civilisation que la place qu'elle fait à la mort. Les Noirs du Brésil vénèrent et intègrent la mort : les rites consolateurs du Candomblé relient les vivants aux disparus. Notre société capitaliste marchande par contre refoule la mort et nie le statut des défunts. Dès lors la mort resurgit en névrose, en folie, l'homme privé de finitude cesse d'être le sujet actif de son histoire. Car c'est la mort qui permet la naissance, transforme la vie en histoire consciente, c'est la mort qui instaure la liberté. Libérer la mort et la réintégrer au devenir social, cette revendication grandit, et fera plus que toute autre changer notre vie.

Description:Il y a beau temps que l'Afrique est mal partie. Mais voici qu'aujourd'hui elle accède au rang de terrain de manœuvres, privilégié des luttes d'influences planétaires, de champ de bataille des intérêts multinationaux, et qu'un gigantesque safari politico-économique fait l'enjeu de toutes les convoitises.

Jean Ziegler étudie ici, à travers les convulsions de certaines luttes nationales africaines, à travers l'idéologie et l'action de certains mouvements de libération, la tragédie historique d'un continent qui, du puzzle colonial aux plus récentes curées néo-colonialistes, n'a cessé d'être mis en pièces.

Au lendemain de l'assassinat de Lumumba, l'Afrique s'enflamme. Des peuples révoltés ravagent le Congo, menaçant le pouvoir soutenu par les mercenaires blancs et l'empire des seigneurs des mines. Thomas, l'humaniste, qui aime passionnément Isabel, et Santos, le doctrinaire, qui la soupçonne de trahison, luttent avec les mêmes armes, mais dans des buts différents. Personne ne peut arrêter la tragédie.

L’état de la faim dans le monde et des moyens de l’éradiquer par celui qui fut, pendant près de dix ans, en charge du dossier auprès du Secrétaire général de l’ONU. Toutes les trois secondes, un enfant de moins de dix ans meurt de malnutrition, tandis que des dizaines de millions d’autres, et leurs parents avec eux, souffrent de la faim et de ses terribles conséquences physiques et psychologiques. Et pourtant, nous le savons aussi, l’agriculture d’aujourd’hui serait en mesure de nourrir 12 milliards d’êtres humains. Nulle fatalité, donc. Mais comment en sortir ? D’abord, prendre conscience des dimensions exactes du problème : un état des lieux documenté, mais vibrant de la connaissance du terrain, ouvre le livre. Comprendre ensuite les raisons de l’échec des formidables moyens mis en oeuvre depuis la Deuxième Guerre mondiale pour éradiquer la faim. Puis identifier les ennemis du droit à l’alimentation. Enfin, bien comprendre les deux grands mécanismes à travers lesquels progresse la faim aujourd’hui : la production d’agro-carburants et la spéculation sur les biens agricoles. Mais l’espoir est là, qui s’incarne dans le travail quotidien de ceux qui, ici et là, dans les zones dévastées, occupent les terres et imposent le droit à l’alimentation à l’ordre du monde. Comme toujours, avec Jean Ziegler, la souffrance a un visage, l’oppression un nom, et les mécanismes à l’oeuvre sont saisis dans leur application concrète. Un livre d’espoir et de mobilisation des consciences.

Pourquoi l'aliénation? Pourquoi cette occultation volontaire des fantastiques richesses de création, de désir que possède chacun de nous ? Pourquoi, en cette fin de XXe siècle, nous, hommes d'Occident, qui avons conquis de formidables privilèges - des libertés, des droits contre l'arbitraire -, qui avons vaincu la pénurie, percé le mystère des astres, de l'atome, fait reculer de plusieurs décennies la mort, sommes-nous incapables de briser le carcan de nos rôles, d'accueillir dans la liberté et l'amour l'imprévisible rencontre, de donner, enfin, un sens à notre vie ?

Mon livre contient des armes que je crois utiles pour comprendre notre situation et indiquer les voies d'action pour sa transformation. Ces armes sont celles de la sociologie. Aucun savoir n'est neutre. Comme toute science, la sociologie est un outil qui libère ou opprime.

Ce manuel de sociologie, en outre, est habité, hanté par le drame de notre temps, par l'impérialisme. L'effort sociologique ne sert aujourd'hui à rien s'il n'est pas capable non seulement de connaître cet ennemi, mais encore de contribuer à faire saisir aux hommes le pouvoir de le combattre et d'en triompher.

Source : Seuil

Sans les banquiers suisses, la Deuxième Guerre mondiale aurait été terminée plus tôt et des centaines de milliers d'être humains auraient eu la vie sauve. Ils ont fourni des milliards de francs suisses à Hitler, lui permettant d'acheter sur le marché mondial les matières premières stratégiques dont il avait besoin.

Les profits astronomiques de la guerre ont ensuite fondé la puissance mondiale de la place financière helvétique.

Des rapports de services secrets, surtout américains, récemment déclassifiés, rélèvent la complicité active des banquiers suisses (marchands d'art, agents fiduciaires, bijoutiers, avocats d'affaires, etc.) qui ont recelé, "lavé" l'or qui les SS avaient volé dans les banques centrales, les entreprises et les demeures privées des pays occupés, ou arraché aux victimes des camps.

Dans le même temps, le gouvernement suisse refoulait à ses frontières des dizaines de milliers de réfugiés juifs, les renvoyant parfois directement ver les bourreaux nazis.

Charles Baudelaire est l'objet de mythes, d'anecdotes et de scandales. Rebelle, agitateur politique, dandy débauché et post-romantique, son imagination poétique était la plus originale depuis la Renaissance. Ce récit de sa vie est lucide, élégant et convaincant, présentant un portrait définitif de l'une des figures les plus étranges et les plus innovantes de l'histoire poétique.

De plus en plus souvent dans l’hémisphère Sud les conflits armés, révoltes, contradictions sont d'essence culturelle. Le choc de la modernité - celle de la rationalité marchande et technicienne ou celle de la révolution matérialiste - ébranle en profondeur des sociétés traditionnelles hier encore cohérentes. Et celles-ci résistent plus farouchement qu'on aurait pu l'imaginer. Elles se savent porteuses d'une cohérence, d'une chaleur, d'un sens que nous avons, le plus souvent, perdus.

D'où la violence de leur refus et l'échec répété des modernisateurs. Au Nicaragua, la raison révolutionnaire des sandinistes échoue devant la raison autonome des Misquitos, barricadés dans leur spécificité. A Cuba, le castrisme d'origine hispanique et blanche n'a pas vraiment su intégrer la culture "nègre" pourtant majoritaire, mais entachée du soupçon d'opposer un frein au progrès. En Ethiopie ou dans les Républiques musulmanes d'URSS, la logique du socialisme scientifique se heurte à la même résistance culturelle.

Au Burkina-Faso ou dans les îles du Cap-Vert, conscients des embûches de unilatéralisme des modèles de "développement" et sans doute favorisés de ce point de vue par la pauvreté des ressources de leur pays et leur manque d'attrait aux yeux des nouveaux colonialistes, les dirigeants cherchent à fonder leur politique sur les valeurs ancestrales qui ont permis à leur peuple de survivre et de créer des sociétés originales.

Apparemment pourtant, presque partout, un contradiction profonde et grave oppose le désir de déracinement, de la dilution de toute identité culturelle. Et c'est sans doute ce type de contradiction - culturelle plus qu'économique - qui dominera l'histoire de l'hémisphère Sud dans les années à venir. Sur cette question, Jean Ziegler, spécialiste et homme de terrain, propose ici tout à la fois un grand reportage sociologique et un essai flamboyant.

300 à 500 milliards de dollars, tel est le montant estimé des profits réalisés chaque année sur le marché mondial de la drogue.

Principal receleur de l'argent de la mort : le système bancaire suisse, qui n'a pas son pareil pour accueillir et recycler les capitaux internationaux à l'abri des regards indiscrets.

Quatorze ans après la publication d'Une Suisse au-dessus de tout soupçon, violent réquisitoire contre l'hypocrisie du secret bancaire et du compte à numéro, Jean Ziegler démonte un à un les rouages du recyclage international de l'argent sale, dont Zurich est aujourd'hui la capitale. A travers des exemples précis, il montre ainsi que des multinationales du crime, disposant de réseaux commerciaux bien implantés, de laboratoires modernes, de milices entraînées par des professionnels, d'établissements bancaires fort accueillants, ont pénétré l'appareil d'Etat lui-même, et juissent, dans "l'Emirat helvétique", d'une protection efficace de la part de certains responsables politiques et judiciaires.

En faisant la lumière sur l'organisation des réseaux de la mort, en nommant les responsables et leurs complices, ce livre veut contribuer à l'anéantissement d'une puissance meurtrière qui, à Zurich comme à Medellin, concurrence aujourd'hui le pouvoir des Etats.

Le capitalisme domine désormais la planète. Les sociétés transcontinentales défient les États et les institutions internationales, piétinent le bien commun, délocalisent leur production où bon leur semble pour maximiser leurs profits, n’hésitant pas à tirer avantage du travail des enfants esclaves dans les pays du tiers-monde.

Résultat : sous l’empire de ce capitalisme mondialisé, plus d’un milliard d’êtres humains voient leur vie broyée par la misère, les inégalités s’accroissent comme jamais, la planète s’épuise, la déprime s’empare des populations, les replis identitaires s’aggravent sous l’effet de la dictature du marché.

Et c’est avec ce système et l’ordre cannibale qu’il impose au monde que Jean Ziegler propose de rompre, au terme d’un dialogue subtil et engagé avec sa petite-fille.

Depuis quinze ans, Jean Ziegler consacre toutes ses forces au combat en faveur des damnés de la terre au sein de l’Organisation des Nations unies.

Successivement Rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation, puis vice-président du Comité consultatif du Conseil des droits de l’homme, il n’a cessé de se battre, dans le cadre de ses nombreuses missions, contre la faim et la malnutrition, en faveur des droits de l’homme et de la paix. Combats prométhéens ponctués de grands succès… mais aussi d’échecs.

Ce sont ces moments qu’il relate ici, au plus près du terrain, des manœuvres de coulisses, de l’action délétère des prédateurs du capitalisme financier mondialisé, soucieux avant tout de maximiser leurs profits.

De défaite en victoire, le témoin implacable du jeu sordide des puissants de ce monde s’interroge : comment aller plus loin, comment faire en sorte que l’utopie qu’avaient conçue Roosevelt et Churchill, cette organisation susceptible de réguler les conflits internationaux et d’assurer le minimum vital aux peuples du monde, renaisse de l’état de paralysie dans lequel elle est tombée ?

Et c’est finalement un message d’espérance que livre le combattant de toujours au terme d’un récit vibrant et engagé.

"De plus en plus rares sont les critiques virulents du capitalisme et du libéralisme contemporains. Leur voix n'est pas éteinte, mais elle est muselée, sinon discréditée, au moins contestée par la suprématie que ce double modèle idéologique et économique exerce désormais, sous des formes certes disparates, sur la quasi-totalité du globe... et dans la quasi-totalité des consciences. Jean Ziegler est de ces opiniâtres résistants au capitalisme. Sa confrontation intellectuelle et physique, scientifique et émotionnelle, à la véracité de l'extrême pauvreté, au cynisme des mécanismes diplomatiques, aux obscurantismes multiformes, à l'étranglement des droits humains élémentaires, au dépérissement des utopies, lui confère d'être un observateur unique de l'état humain du monde." Denis Lafay

En mission pour l'ONU, Jean Ziegler s'est rendu en mai dernier à Lesbos, cette île grecque qui abrite le plus grand des cinq centres d'accueil de réfugiés en mer Égée. Sous la haute autorité de l'Union européenne, plus de 18 000 personnes y sont entassées dans des conditions inhumaines, en violation des principes les plus élémentaires des droits de l'homme. Le droit d'asile y est nié par l'impossibilité même dans laquelle se trouvent la plupart des réfugiés de déposer leur demande ; le droit à l'alimentation, quand la nourriture distribuée est notoirement avariée ; le droit à la dignité, quand les rats colonisent les montagnes d'immondices qui entourent le camp officiel, quand les poux infestent les containers dans lesquels les familles doivent s'entasser ; les droits de l'enfant, quand la promiscuité livre les plus vulnérables aux violences sexuelles et les prive, bien sûr, de tout accès à l'éducation. La honte de l'Europe.

Pour la plupart, ces réfugiés sont venus d'Irak, de Syrie, d'Afghanistan, d'Iran. Ils évoquent ici leur long calvaire : la torture, l'extorsion, le pillage, les passeurs infâmes, les naufrages, les familles décimées, les tentatives de refoulement de Frontex et des garde-côtes grecs et turcs. Les responsables du camp disent leur point de vue, les militants des organisations humanitaires expliquent les obstacles qu'il leur faut lever au quotidien pour sauver des vies. Le dossier est accablant. Jean Ziegler s'indigne, alerte et exige.

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