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Les Pages du serpent
Les Pages du serpent
En faisant un petit tour sur Booknode, j'ai vu le nombre important de commentaires négatifs. Le livre est vraiment mal vu et peu de personnes l'ont apprécié... J'ai été refroidie, mais je lui ai laissé sa chance. Il la méritait !
La plume de l'auteure est magnifique, j'adore. J'aime toujours autant l'idée de fond, c'est original.
Malheureusement, il y a pour moi un nombre de pages en trop, dont je n'ai pas compris l'utilité... Et le problème de l'auteure est qu'elle nous balance des noms à la figure, aussitôt lus, aussitôt oubliés, car elle n'insiste pas dessus. Résultat, lorsqu'ils réapparaissent 150 pages plus tard, j'avais complètement oublié leur rôle. Ça m'a parfois un peu perdue.
Mis à part ça, c'est un roman qui valait le coup, l'héroïne très mystérieuse m'a beaucoup plu. On ne sait pas trop ce qu'elle est... Folle ? Possédée ? En tous cas, je l'ai adorée.
Bref, le bouquin mérite d'être lu. À tester !
Les Pages du serpent
L'idée de fond est vraiment très intéressante et très originale mais les informations qui devaient aussi être très bien imaginées et trouvées ne sont absolument pas mis en valeur. Je trouve cela tellement dommage!! On a réellement l'impression que l'auteure s'emmêle les pinceaux dans l'écriture et la construction de son scénario. Ce qui fait que dès le premier tiers du livre on perd le fil de l'histoire avec des retours en arrière dans le temps, selon les personnages,... Bref, c'est dommage que l'écriture ne soit pas plus fluide, ça gâche l'originalité des idées du scénario, qui aurait pu être plus appréciable à lire.
Les Pages du serpent
Pas mal de remplissage.
Les Pages du serpent
La jaquette donne le ton de ce roman, en comparant Jessica Cornwell à Dan Brown. N’ayant pas adoré le Da Vinci Code, je n’étais pas ultra emballée en commençant ma lecture. A la fin non plus, d’ailleurs. J’avoue que je ne comprends pas franchement la référence à Dan Brown. On est dans l’enquête mystique, mais à part ça…
Instant people : Jessica Cornwell n’a aucun lien de parenté avec Patricia Cornwell – j’ai vérifié. En revanche, c’est la petite-fille de John Le Carré.
Les pages du serpent est le premier roman de la demoiselle. Un roman dense et touffu, dans lequel une jeune femme mystérieuse recherche un document sacré écrit dans une langue inconnue pour le compte de personnes de pouvoir.
Ajoutons à cela des cadavres de femmes, mutilées avant d’être exécutées et vous aurez le coeur de l’intrigue, une histoire ésotérique fort compliquée et un tueur de femmes mystique.
J’ai eu un mal fou à entrer dans ce livre. J’avais l’impression de ne rien comprendre et de ne pas réussir à raccrocher les wagons. Est-ce que c’est parce que je ne suis pas friande de ce genre d’histoires illuminées ? Peut-être. En tout cas, si ce roman est plutôt bien documenté, l’intrigue part dans tous les sens et sans réel fil conducteur, elle m’a complètement perdue. Je suis allée jusqu’au bout, mais avec difficulté et sans joie.
Les Pages du serpent
Les Pages du serpent
Le style peut-être. Complexe, alambiqué, contourné. Complexe parce qu'il fait appel à des aller-retour, à travers l'histoire récente du récit et le regard posé par des protagonistes des siècles précédents sur l'intrigue, comme un copié collé indépendant du récit et pourtant nécessaire à comprendre la lutte qui se joue.
Alambiqué parce que l'héroïne de l'histoire nous entraine dans sa "folie" et on ne sait plus très bien, parfois, s'il s'agit d'elle tant elle se fond dans la psychologie des "victimes", laissant errer son intellect au gré de ses perceptions.
Voilà pourquoi j'ai eu le plus grand mal à entrer dans le roman et en même temps, la plus grande difficulté à m'en extraire.
De là à comparer ce thriller à Dan Brown, c'est en diminuer la consistance. Là où le premier s'intéresse à ce qui est d'emblée perceptible, ce roman nous entraine dans une juxtaposition de sensations, d'impulsions, d'efforts pour saisir l'intrigue, une manière de percevoir le déroulement de l'histoire à travers le regard torturé d'Anna Verco, ses peurs, ses doutes, ses hallucinations textuelles.
Ouf! quand on arrive enfin à l'extrême limite de la lecture. Heureux de cet effort.
Les Pages du serpent