Tous les livres de Jonathan Buckley
Un roman à chausse-trappes sur les illusions de l’identité
Sur une plage au sud de l’Angleterre, un chien et son maître découvrent un cadavre rejeté par la mer.
Un policier est chargé de reconstituer le passé de la victime, Henry, un vagabond, qui après avoir erré plus de vingt ans dans la région, s’était installé dans la petite ville balnéaire.
Pourquoi et par qui Henry, identifié grâce à ses vêtements, a été tué ?
L’enquête s’ouvre, se ramifie, s’épaissit. Les faux-semblants s’accumulent.
Dans ce roman rien n’est ce qu’il semble être, à commencer par le livre qui se présente comme un roman policier mais est une remarquable réflexion sur l’impossibilité à donner un sens à une vie.
A cinquante ans, Dominic Pattison est un homme sans histoires. Un mariage heureux, des affaires florissantes, une belle maison dans la banlieue de Londres, le tout couronné par une interview à la télévision.
Jusqu'au jour où Sam, ouvrier dans le bâtiment et ancien militaire qui a combattu en Irlande du Nord, surgit dans vie et affirme être son fils. Dominic se souvient, en effet, d'une aventure avec une jeune femme, trente ans plus tôt. Le doute s'installe, Dominic vacille.
Chronique de l'effondrement d'un couple, Contact est un roman dérangeant sur le mensonge.
L’histoire de la rencontre surprenante de Naomi et de Bernàt. L’arrivée de celui qu’elle considère comme un « visionnaire » a bouleversé la vie de la jeune femme, venue dire au revoir à sa sœur Kate, écrivain à succès. Son projet ? Se retirer avec lui – en tout bien tout honneur – dans une maisonnette en Ecosse, au confort très minimaliste. C’est avec son expérience de la vie et sa sagesse qu’il l’a bouleversée ; selon lui, « on ne peut composer qu’avec une partie de la réalité, celle que notre esprit interprète ». Et cela change bien des choses. Car « il n’est pas deux aurores pareilles lorsqu’on apprend à regarder comme il faut ».
Tels les méandres d’un Fleuve, cette incroyable construction narrative vous emporte dans son flot. Si les récits se superposent et Jonathan Buckley réussit la prouesse littéraire de ne jamais vous perdre. Une multiplicité de personnages, d’époques et d’histoires se succèdent sans jamais se répéter ; de l’attachement parfois, du bonheur de temps en temps. Assurément, une extraordinaire expérience de lecture.
Source: www.babelio.com
En été, Castelluccio, une petite ville de Toscane, seprépare à la grande fête populaire en l'honneur de Zénon, son saint patron. Avant les joutes de tir à l'arbalète,un peintre anglais, Gideon Westfall, exilé depuis de nombreuses années, incarne, lors d'un défilé costumé, le personnage central de l'histoire de la ville. Gideon, passionné par la Renaissance, voue une obsession pour son art, souvent incompris et violemment critiqué. Il réfute toute forme de modernité.
Un jour, peu avant l'arrivée de Claire, sa nièce, Ilaria, son modèle favori, une jeune femme rebelle et un peu sauvage disparaît. Inévitablement, Gideon est interrogé, soupçonné.
Chaque chapitre est subdivisé en douze sections. Alternant de manière constante entre le passé et le présent, cette oeuvre de fiction structurée comme une symphonie, entrelace des récits qui touchent à l'histoire, à l'art ou encore à l'architecture.