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'If we were villains' est un hommage merveilleux rendu à Shakespeare. À tous les amoureux des mots, du théâtre et de leurs passions, ce livre vous est dédié.
Il a les ténèbres de Donna Tartt, l'ardente douceur de Madeline Miller et une camaraderie étrange, singulière, enivrante, jamais rencontrée auparavant.
Les liens qui nouent les personnages sont complexes. La folie gagne les esprits, s'empare de leurs chaînes et tout se brise. Les amours ne sont plus étincelles mais feux de forêt en un paragraphe. Les amitiés se teintent de sang et les cœurs de larmes, en un chapitre, en un vers murmuré dans les sous-sols d'un théâtre.
Ce roman me fait penser aux poisons baudelairiens. ' il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.'
Tout n'est qu'excès et abus. Les corps se touchent et se brûlent, c'est rimbaud qui aime verlaine, et verlaine qui lui tire dessus.
Et finalement, au paroxysme du désir, là où la mort s'éprend des amants maudits, le rideau se ferme.
Je finirai ce commentaire par de simples mots, ceux scandés par la folie d'hamlet et pleurés par ses lèvres. Ils résument le livre, d'une certaine manière, par une métaphore engagée. Ils sont la raison du meurtre et de sa compagne, la passion.
'For who would bear the whips and scorns of time,
Th'oppressor's wrong, the proud man's contumely,
The pangs of dispriz'd love, the law's delay,
The insolence of office, and the spurns
That patient merit of th'unworthy takes,
When he himself might his quietus make
With a bare bodkin?' - Shakespeare.
If We Were Villains
Au début, j'étais complètement dedans, genre VRAIMENT. En plus, j'aime beaucoup Shakespeare et le lieu où se déroule l'intrigue, cette école pour l'élite des acteur.ices en devenir, tout ça c'était vraiment très prenant. De même l'aura angoissante, la pression qui monte, tout ça était très bien amené au début. Mais il y a un moment où... j'ai décroché. En fait, plus on approchait de la fin et des révélations, moins j'étais impliquée, ce qui était assez étrange.
D'ailleurs, j'ai trouvé la fin assez prévisible finalement. Je m'attendais à plus.
Mais surtout, gros problème avec les personnages. J'ai bien compris le principe du livre mais franchement on en sait que très peu sur eux au final. Je ne saurai même pas dire ce que j'en ai retenu. J'ai pas eu d'attache particulière car ils étaient tous beaucoup trop bizarres.
Et alors le personnage principal... De même, je l'aimais bien au début,et puis brrr. Déjà je comprenais pas pourquoi tous les perso disaient qu'il était le plus gentil d'entre eux, quand il était clairement PAS GENTIL. J'ai surtout tiqué sur ses relations avec sa famille, il arrêtait pas de dire qu'ils étaient horribles étouffants etc etc. mais les scènes décrites étaient pas du tout en adéquation avec ça et alors les commentaires qu'il fait à sa sœur
Bref, une lecture sympathique malgré tout, qui en effet est très addictive mais qui finalement, ne m'a pas tant marqué que ça et s'est essoufflée.
If We Were Villains
On suit les étudiants dans leurs études de théâtre. Ils ne font que de citer Shakespeare à tout bout de champ en pleine conversation, c'est d'un ridicule et c'est énervant dès le début. Du coup je perd direct mon intérêt pour ce thriller/mystery à cause de ça, mais tant pis, je ne vais pas souffrir plus longtemps.
If We Were Villains
J’ai trouvé l’écriture saisissante ! L’autrice réalise un travail remarquable en s’appropriant l’œuvre de Shakespeare, qu’elle réinvente avec intelligence et agilité pour nous plonger dans son univers théâtral.
L’histoire commence sur les chapeaux de roue, le propos est absolument entraînant et les personnages sont intrigants.
Ensuite le soufflet retombe !
L’histoire s’embourbe en silence et mystère et la suite devient progressivement lente, lente, lente : un véritable enfer ! Je suis soulagée d’avoir enfin le fin mot de l’histoire (mais… franchement, tout ça pour ça ?).
Il y a, dans ce livre, un chouilla du « Le Maître des illusions » de Donna Tartt, un soupçon de « Une vie comme les autres » de Hanya Yanagihara, mais sans atteindre leur grandeur.
If We Were Villains
If We Were Villains
L'histoire est plutôt simple, si on met de côté les parallèles travaillés entre les personnages et les archétypes shakespeariens (que je ne connais pour ma part pas suffisamment, surtout en langue anglaise, pour saisir). Les personnages sont des personnages que j'ai déjà vus ailleurs (celui de James mis à part, il avait une complexité que je salue) et beaucoup de livres et séries ont le même schéma : un groupe d'amis ou de collègues, un mort, un coupable, mais on ne connaît l'identité d'aucun des deux au début du livre. Je ne peux pas non plus dire que j'ai été vraiment surprise par les révélations : dès les 50 premières pages je savais qui serait la victime et la personne coupable de son assassinat.
Et je pense que c'est précisément ça qui a placé ce livre si haut dans mon cœur. Comme je l'ai dit, passé la cinquantaine de pages, j'étais persuadée de connaître l'identité de la victime et du coupable, puis ensuite je n'ai pas mis longtemps à deviner les péripéties à suivre, toutes mes suppositions se révélant vraies les unes après les autres... jusqu'au dernier paragraphe du livre. Et là, mais làààà, j'ai été foutue par terre parce que je l'avais vraiment pas vu venir. Je n'ai jamais vu un retournement de situation aussi tardif, mais surtout je n'ai jamais vu un livre confirmer ainsi toutes mes théories juste pour me rire au nez à la dernière page.
Mais même sans cet ultime retournement de situation, j'aurais adoré ce livre. J'ai aimé l'ambiance de l'histoire, les personnages, les tensions, les relations, les sentiments, Oliver que j'avais envie de prendre dans mes bras pendant tout le livre, les parallèles avec Shakespeare même si j'étais loin d'avoir les connaissance suffisantes pour tous les comprendre. Je ne peux pas tellement juger de l'écriture puisque je l'ai lu en anglais et qu'il en faut donc beaucoup pour que je me rende compte que c'est écrit avec les pieds, mais à en juger par les avis donnés par des anglophones, elle est elle aussi à la hauteur.
If We Were Villains
If We Were Villains
La majorité de l’intrigue se déroule sur le campus élitiste et autour des 7 étudiants de 4e année (Oliver, James, Richard, Alexander, Wren, Filippa et Meredith). Ce côté huis-clos/élite, et toute l’intrigue policière autour (un meurtre, des secrets…) m’a clairement fait pensé à la bande des Keating 5, pour ceux qui connaissent la super série How to get away with murder (Murder pour la VF). C’est toute une ambiance construite autour de l’amour pour le théâtre qui rend très addictif le lecteur à ce petit côté malsain.
If We Were Villains
Les personnages sont attachants et complexes. On est pris dans l'histoire du début à la fin.
If We Were Villains
Je savais que, dans ce roman, les personnages ne seraient pas sympathiques. Et c’est clairement le cas, donc ça ne m’a pas dérangé. En revanche, je m’attendais à en trouver au moins un ou deux vraiment intéressants, captivants, et ça n’a pas été le cas. Alexander est celui qui a le plus retenu mon attention, il est pour moi le personnage dont l’histoire est la plus percutante. Mais, les autres personnages... Oliver est un personnage terriblement naïf, influençable, faible, pathétique; Richard est plutôt cliché, dans le genre arrogant et violent; James devient peu à peu un second Richard; et Meredith, le personnage que j’ai le moins apprécié, est sans aucune dignité ni respect pour elle-même. Filippa et Wren sont très peu développées et c’est dommage, Wren avait beaucoup de potentiel.
Malheureusement, ma lecture s’est terminé sur une mauvaise note puisque j’ai détesté la fin. Que ce soit au niveau des révélations ou de l’épilogue, tout m’a déplu. Et un petit détail qui aurait pu me plaire n’a pas réussi à enlever ce sentiment de déception qui planait autour de moi après la fin de ma lecture.
If We Were Villains
J'ai commencé ma lecture sans aucune attente, autre que découvrir cette histoire dont j'avais entendu beaucoup parler et j'ai été tout simplement embarqué !
Je le précise tout de suite : l’utilisation en grande quantité des vers de Shakespeare peut faire peur, voir rebuter, au premier abord. Pour moi, ils n’ont pas été une gêne et ont même contribué à accentuer la tension grandissante. L’intrigue prend son temps, les personnages nous sont présentés, nous découvrons peu à peu leur personnalité et le lien, assez particulier, qui est unis. Puis vient le drame, et toute la tragédie même de l’œuvre se met en marche, nous entrainant malgré nous vers le dénouement que l’on craint autant que l’on attend.
J’ai trouvé la relation entre les personnages bien construite et très belle, à l’image de l’intrigue, dont la fin m’a profondément émue.
J'ai plongé dans cette tragédie portée par les vers de Shakespeare et par l'évolution de ce groupe d'amis, fasciné par l'univers du tragédien, qui va lentement se diriger à son tour vers un final dramatique !
Ce n’est pas un texte qui sera apprécié par tout le monde, mais c’est un texte qui marquera quiconque prendra autant de plaisir que moi à entrer sur scène et assister à cette représentation digne des plus grandes tragédies de la littérature.
If We Were Villains
🎭Oliver sort après avoir purgé 10 de prison pour le meurtre de l'un de ses camarades. Il va raconter au policier qui l'a arrêté ce qui s'est vraiment passé dans cette académie shakespearienne 10 ans auparavant....
🎭Adorant Shakespeare, les mystères et les dark académies, j'avais extrêmement envie de lire ce roman. Malheureusement, je n'ai vraiment pas apprécié l'écriture pour moi beaucoup trop lente. Les nombreuses références aux pièces de Shakespeare (il y a des passages entiers des différentes pièces) ralentissent l'action et ont alourdi mon expérience.
🎭 En conclusion une grande déception pour moi, mais ce texte pourra sans doute plaire à d'autres et leur fera découvrir ce grand auteur qu'est Shakespeare.
If We Were Villains
Nous suivons des protagonistes très formates, clichées, mais cela est voulu et sert le propos. Ce groupe nous montre la dangerosité du monde artistique, de l'entre-soi et de l'envie. Tout comme les pièces jouées dans le roman, le récit est très shakespearien.
Cependant, le récit reste prévisible et sans grande surprise et malgré tout, je trouve la fin assez précipitée.
Malgré cette fin décevante, c'est une très bonne lecture, surtout pour les amateur·ices d'ambiance mystérieuse et pleine de faux-semblants.
If We Were Villains
If We Were Villains
If We Were Villains n'est pas un mauvais livre per se, loin de là (très bon style d'écriture, univers immersif...), mais la ressemblance avec l'oeuvre de Donna Tartt susmentionnée était pour moi franchement déconcertante. Vous remplacez la lubie de la Grèce antique (Tartt) par Shakespeare (Rio), vous prenez des personnages très complexes (Tartt) et vous les passez au mixeur pour en faire ressortir des figures en papier mâché (Rio) et hop, le tour est fait.
Le seul point sur lequel IVVW surpasse LMDI, c'est la présence de davantage de protagonistes principaux féminins, qui sont très bien développés et pas du tout des caricatures qui... Ah ben non. On peut (à juste titre) critiquer le manque de protagonistes féminins dans LMDI, mais qu'on ne vienne pas me dire que, juste parce que 3/7 des personnages principaux sont des femmes dans IVVW, c'est mieux.
Parce que ce n'est pas mieux.
If We Were Villains