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Paris est tout petit
Mais pour le second j'ai accroché direct .
Lue d'une traite l'histoire est vraiment passionnante et hâte de lire la suite des nouvelles aventures d'Ava qui me plait bien .
Marquise66
Ava préfère se battre
Une histoire agréable avec une jeune fille et des fantômes qui vont résoudre un meurtre pas mal..
Marquise66
Ava préfère les fantômes
Je ne sais pas si je vais lire la suite car il y a d'autre livres qui attendent et que je ne suis pas non plus accro.
Ava préfère les fantômes
Ava préfère les fantômes
Un livre qui met également en avant une relation pédophile, ce qui est hyper problématique !
Côté roman, la personnage principale est très agaçante, creuse et sans intérêt. L’intrigue n’est pas passionnante (et encore une fois hyper clichés sur les zones rurales : on a l’impression qu’elles n’ont pas dépassées les années 60, ce qui est mal connaître les zones rurales du sud-ouest).
Autobiographie d'une licorne
C'est bien ?
Il faut dire que ça se lit vite et bien. Le roman est ponctué de références modernes ( un peu trop si bien qu'on ne peut lire le roman qu'aujourd'hui. Dans 10 ans, on y comprendra plus rien) : entre Waze, les binge-Watching, les Gilets Jaunes (oui ils sont là) Naruto et j'en passe... dans un style irrévérencieux et trop familier et l'autrice s'adresse directement à son lecteur, à grand renfort de "vous suivez bien ?". C'est vrai qu'on peut s'y perdre avec toutes ces péripéties. On est typiquement dans le récit journal intime de Georgia Nicolson et autre figures jeunesse. La vie de Carmen c'est celle d'une ado de lycée somme toute ordinaire: bonheur/malheur/crush... Alors oui ça rend addictif mais ce n'est pas hyper original.
Les amours ? Carmen est bi, elle le sait avant que le récit ne commence, mais elle se pose quand même des questions. Elle va tomber amoureuse d'un flic, d'une jeune fille fugueuse, d'une autre bricoleuse... Tout ça en quelques mois! C'est sympa de parler et de défendre ce sujet, l'acceptation de soi. Même si parfois, on voit bien qu'on est dans un roman quand même.
Rajoutez à ça une histoire de lettres anonymes, l'ouverture d'un local LGBTQ+, la location de chambres dur AirBnB... ça en fait du grabuge.
Bref, j'ai bien aimé. C'est léger, très bavard, les personnages sont authentiques, bien qu'un peu clichés.
Mais il m'a manqué l'humour et l'émotion et c'est dommage dans ce genre de romans tranche de vie. Il se passe tellement de choses qu'on s'y perd. Bon, c'est à lire quand même car c'est plutôt sympa!
Autobiographie d'une licorne
Si vous cherchez du sexe, vous pouvez vous abstenir aussi : c'est une sorte de comédie romantique : il y a des relations amoureuses
J'ai beaucoup aimé que Carmen parle directement au lecteur : elle nous livre ses secrets, ses doutes, ses questionnements, ses réflexions. Elle vit dans un petit village où tout le monde connait tout le monde et donc où les secrets sont difficiles à garder. Elle voudrait vivre sa bisexualité au grand jour, mais a peur du jugement et de la réaction des autres. J'ai apprécié qu'elle ne remette jamais en cause sa sexualité : elle est bi, c'est un fait. Le coming-out est d’ailleurs le sujet central et je le trouve très bien abordé. J'ai aimé qu'on ne tombe pas dans le drama (même si on a un coming-out qui se passe très mal), qu'on reste dans une sorte de comédie mais traitée avec sérieux.
La relation qu'elle développe avec Ariel (qui a 9 ans de plus qu'elle) m'a beaucoup plu et ne m'a pas choqué (elle m'a fait un peu pensé à la relation Aria/Ezra dans Pretty Little Liars)
L'histoire est auto-centrée (tous les autres protagonistes passent au second plan) et donc je suis restée un peu sur ma faim avec certains personnages ou même certaines intrigues, notamment concernant son papy (impossible de préciser sans spoiler).
J'aime aussi beaucoup le caractère de Carmen et son évolution : le fait qu'elle fasse des erreurs mais qu'elle essaie de les réparer, qu'elle essaie de s'améliorer, d'être moins égoïste.
En bref, si vous êtes réellement ouvert d'esprit, je vous conseille cette lecture très sympa.
Autobiographie d'une licorne
Personnellement je ne connais pas Paris, à part ce que j'en vois à la télévision.
L'auteur nous donne envie de nous y balader. Je ne sais pas si c'est parce qu'elle s'est beaucoup documenté ou si c'est parce qu'elle aime elle même beaucoup cette ville. En tout cas le pari est réussi pour moi car j'aimerai énormément flâner dans les endroits qu'elle a cité.
Autre moment dans le roman qui a porté ces fruits si je puis dire, c'est quand elle parle de l'attaque du Bataclan. On a l'impression que ces faits si durs se produisent à nouveau sous nos yeux, sensation du drame qui finalement n'est pas si loin dans nos mémoires, encore à vif pourrions nous dire car l'horreur revient en force comme si c'était hier.
En dehors de ces deux points il y en a un qui m'a gêné car je ne le trouvais pas utile ici, c'est le sexe. Certes les jeunes auront besoin de découvrir les prémices de leurs corps et de l'amour mais ici cela ressemble plus à du voyeurisme.
Paris est tout petit
Un livre bouleversant, mais une fin un peu trop convenue. Une histoire d'amour trop vite mise en place mais un style d'écriture très agréable.
Paris est tout petit
Ce n’est pas le premier que je lis sur le sujet (les attentats, le Bataclan), dans celui-ci j’ai vraiment apprécié la description des personnages et de leurs ressentis.
On a l’impression que l’auteur a vécu le moment et qu’elle sait de quoi elle parle pour comprendre et décrire aussi bien les sentiments des personnages après ce drame.
Beaucoup de référence à la littérature française, qui nous donne envie de découvrir les romans présentés.
Une belle description de la ville de Paris, on a envie de découvrir les rues joliment décrites, on s’y projette !
Rien de trop lourd dans ce roman, on insiste pas sur la religion, ni sur les terroristes mais vraiment sur les sentiments des personnages principaux.
Je ne peux que recommander !
Paris est tout petit
Inès est une jeune musulmane qui vit en banlieue parisienne. Brillante, elle aspire à passer le concours d'entrée à Science Po. En plus de ses cours au lycée, Inès travaille pour aider sa famille. Elle vient tout juste de décrocher quelques heures de ménage chez les Brissac, une famille aisée. Sa première journée de travail prend un tournant inattendu lorsque Gabin, le fils des Brissac, l'embrasse dans l'ascenseur. Ils sont si différents et pourtant...
Gabin et Inès n'ont pas eu la même éducation mais ça ne les empêchent pas de s'intéresser l'un à l'autre. Elle est discrète. Il est passionné. Ils ont tant de choses à s'apprendre. Je m'interrogeais tout de même un peu sur la nature de cette relation qui débute bien vite. Gabin est-il sincère? Profite t-il de la jeune et innocente Inès? Inès se questionne aussi. Peut-elle ressentir du désir pour le fils de ses patrons? Elle ne trouve pas cela correct mais en apprenant à connaître Gabin, elle ne peut s'empêcher de craquer.
Gabin est un garçon avec des rêves plein la tête. C'est un jeune homme bienveillant, à l'écoute. Un amoureux de Paris aussi, qui a bien des choses à partager sur cette ville chère à son coeur. Des choses qu'il partage avec Inès et le lecteur. En tournant les pages, j'ai été ravie de découvrir que ce roman était une douce déclaration d'amour à Paris, à la culture française, à la Culture tout court.
Mais j'ai encore plus apprecié l'évolution du personnage central qui prend peu à peu du caractère. Inès est en Terminale. Elle se questionne sur son avenir et sur ses envies. On en vient à parler de ses origines et de sa religion, du frein qu'elles représentent, parfois. C'est alors plaisant de voir Inès évoluer, murir, s'affirmer au fil de la lecture. On sent qu'elle s'épanouit doucement, qu'elle s'est trouvée. Malheureusement, la jeune fille doit surmonter quelques épreuves pour y arriver et il lui faut s'armer de courage.
Si la première partie du roman nous conte une belle histoire entre deux jeunes gens qui ont grandi dans des milieux opposés, la deuxième partie du roman est beaucoup plus douloureuse. Si vous avez lu le synopsis, vous savez que cette histoire parle aussi des attentats du 13 novembre 2015. Ces événements terribles bouleversent tout. Tout le monde. Le lecteur, inévitablement.
Ce n'est pas facile de revivre cette sombre période. On angoisse avec les personnages qui sont fragilisés. On partage leur douleur. Puis vient le temps de la reconstruction, qui est tout aussi difficile. La lecture est alors forte en émotions, mais en tournant la dernière page, on respire à nouveau. Parce que la vie continue. Parce qu'il faut rester fort. Parce que, comme l'a si bien écrit Jacques Prévert : " Paris est tout petit pour ceux qui s'aiment comme nous d'un si grand amour". Je suis ravie d'avoir pris le temps de découvrir cette douce lecture, qui fait réfléchir.
Paris est tout petit
Nous ressentons bien les sentiments d'Inès.
Paris est tout petit
Ava préfère se battre
Ava préfère se battre