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Tous les livres de Martin Monestier

Pour la première fois, un ouvrage est entièrement consacré à l'histoire des pratiques d'hygiène de l'humanité. L'histoire officielle évoque sans réticence les tueries, les viols, les trahisons mais elle s'est toujours refusée à considérer ce besoin naturel, essentiel à l'individu, celui d'uriner et de déféquer.

Nos sociétés contemporaines continuent d'entretenir le silence et le non-dit sur ce sujet. Pourtant, près de 80 % de la population mondiale vit au milieu ou entourée de ses déjections. En France, plus d'un demi-million de personnes travaillent directement ou indirectement à des activités liées à l'évacuation, au traitement et au recyclage des excréments.

Reconstituer l'histoire particulière de ces pratiques revient à disséquer les processus de civilisation qui ont façonné peu à peu les moeurs, les sensations, les pudeurs et les normes régissant les conduites individuelles et collectives. C'est aussi constater que les excréments sont omniprésents dans tous les champs d'action et de pensée de toutes les sociétés.

Martin Monestier dresse un panorama général et abondamment illustré de la peine de mort, des origines à nos jours. Encore pratiquée dans les neuf dixièmes du monde, elle concerne chaque année deux mille hommes, femmes et enfants ; un nombre qui a doublé en quinze ans. A côté des procédés sans douleur (guillotine, chaise électrique, injection létale) persistent des supplices plus cruels : la pendaison, la lapidation, le fouet, la crucifixion. Jusqu'à quand ? C'est la question que pose ce livre où les faits sont dévoilés sans complaisance ni voyeurisme, dans leur atroce réalité.

Les poils se développent chez l'homme différemment selon les parties du corps. Depuis les origines du monde, ils interfèrent sans discontinuer dans tous les rapports humains, amoureux, sexuels, superstitieux, médicaux, pénaux,commerciaux, religieux. Dans la majorité des pays occidentaux, il existe plus de coiffeurs que de boulangeries, et plus de centres de traitement du poil que de cordonnerie.

A l'heure actuelle, plus de 35 millions de personnes - dont 12 millions de coiffeurs-vivent et oeuvrent dans le monde pour et à travers le poil. Tantôt courts,fins, lisses et droits,tantôt long,épais,bouclés, la production de poils, leur emplacement, leur appellation, leur utilité,leur symbolisme diffèrent selon les ethnies et les sexes. Signes de virilité, de sagesse, de raffinement ici, ils sont ailleurs stigmates de soumission, de traîtrise, de démonialité.

Reines du XIXème siècle, des milliers de femmes à barbe contemporaines subissent l'ostracisme du monde du travail et se tournent de plus en plus vers les tribunaux. Alors que les chauves se remémorent tristement la fuite de leurs poils capillaires , d'autres se font "raser" pour souscrire au diktat de la mode , ou encore pour "couper l'herbe sous le pied des poux, des morpions et des champignons".

Les collectionneurs de poils plongent quelquefois dans la délinquance pour obtenir "une pièce rare". Les fétichistes poussent les femmes à se raser le pubis, tandis que d'autres achètent des perruques et des moumoutes pour aisselles et pubis.

Le poils a été à l'origine de plusieurs guerres et de maintes rebellions . Indics de toutes les polices, ils "se mettent régulièrement à table" pour désigner les criminels, les violeurs , et les champions sportifs "truqueurs".Imputrescibles , les "poils du passé" aident à la résolution d'énigmes historiques.

Objet d'un trafic, au même titre que les cigarettes, ou les objets d'art, les poils ont chaque année leur heure de gloire avec le "championnat international des barbus et des chevelus" où s'affrontent les plus belles pilosités de la planète.

Histoire du suicide collectif des premiers chrétiens...à Guyana. Table : le suicide collectif est-il une solution? - les grandes épidémies : phénomène d'imitation - les lieux maudits - des éléments détonateurs - séries noires des tapis verts - périodes de crises - finir en uniforme. les suicides collectifs : la mort à deux - fidélité outrancière - la victoire en fuyant - fors l'honneur - devancer l'inévitable - la destruction des vaincus - les clubs de suicide - les grands sacrifiés - quand les dieux exigent. Guyana ou l'autopsie d'un suicide collectif.

Le crachat fait un retour irrésistible dans le monde occidental. Près de 60 des jeunes générations crachent. Population à laquelle il convient d'ajouter les phtisiques, les emphysémateux, les tuberculeux, les fumeurs, les sportifs et beaucoup d'autres déficients de la tuyauterie respiratoire. II n'existait à ce jour aucun texte sociologique, ethnographique ou d'une autre science sociale propre à disséquer ce comportement individuel aux racines culturelles profondes et qui matérialise toute la gamme des passions humaines, l'angoisse, la rébellion, l'agressivité, mais aussi l'imaginaire érotique, la satisfaction, la préparation à l'effort, une preuve de sincérité, etc. Qu'est-ce que cracher, sinon l'art de lancer des projectiles ? On en référence de nombreux types qui se différencient par leur formation, leur consistance, leur couleur, leur volume, leur poids, leur forme, leur vitesse d'expulsion, leur écrasement, etc. Les cracheurs eux-mêmes entrent dans des catégories très distinctes : les " négligents ", les " obsessionnels ", les " convaincus ", les " automatiques ", les " saisonniers ", etc. Certains analystes donnent le crachat comme la conséquence d'une éducation douteuse. D'autres comme une réaction aux progrès techniques. Pour la première fois, une étude dégagée de tout a priori religieux ou philosophique répond à l'ensemble des questions afférentes à cette phénoménologie récurrente. Pourquoi, par exemple, un footballeur glaviotte-t-il quatre fois moins qu'un ouvrier du bâtiment et onze fois plus qu'un notaire ?

Des enfants âgés de 5 à 15 ans deviennent des assassins, sans pitié ni retenue, commettant des crimes atroces, dont on ne peut généralement pas percer les secrets et les mobiles profonds et véritables.

Partout dans le monde, et particulièrement dans les pays industriels, des enfants et des jeunes adolescents, souvent après une longue préméditation, tuent d'autres enfants ou des adultes et, dans de nombreuses circonstances, leurs propres parents. Tueries tellement inimaginables que, souvent, le sens commun repousse dans un premier temps leur authenticité. A travers une multitude de cas précis, relevés ces vingt dernières années, Martin Monestier tente d'approcher au plus près ces criminels juvéniles qui " tuent au détail " ou " massacrent en gros ".

Comment naît, chez eux, l'idée de tuer? Quel en est le germe? Pourquoi et comment passent-ils à l'acte? On retrouve chez les jeunes mineurs assassins les mêmes motivations, futiles ou profondes, et les mêmes modes opératoires que chez les criminels adultes. Comme eux, les jeunes assassins font preuve de remords ou au contraire d'insensibilité, voire de satisfaction et de fierté. Psychiatres, sociologues, juges, avocats, policiers, politiciens, parents, s'affrontent à leur sujet.

Sont-ils un pur produit de notre civilisation? Sont-ils " fabriqués " par les médias et le désengagement des familles? Sont-ils des malades mentaux? Souffrent-ils de troubles génétiques? Ou, au contraire, la violence meurtrière de ces tueurs précoces est-elle innée, et dans ce cas ne sont-ils alors que les éclaireurs avancés de l'intrinsèque malfaisance qui habiterait la nature humaine?

L'ouvrage rassemble les faits divers, c'est-à-dire les comportements humains les plus incongrus, les plus bizarres ou absurdes de ces deux dernières décennies.

Qui peut croire qu'un prêtre ait marié un chien et une petite fille ? Qu'un naufragé mette en branle la marine britannique par un SOS lancé depuis... sa baignoire ? Qu'un bateau de pêche nippon soit coulé par une vache tombée du ciel? Qu'un cambrioleur soit mis en fuite par un perroquet-vigile? Ou encore qu'un groupe de députés néerlandais veuille taxer les vaches pétomanes? Et pourtant, tous ces événements sont authentiques.

Cet ensemble de plus de 2000 faits divers constitue la plus incroyable mais véritable radiographie du monde d'aujourd'hui au sein duquel personnages fameux et anonymes sont les héros ou les victimes de circonstances cocasses.

Quoi de mieux qu'un " professionnel de la gâchette " pour éliminer ces pires ennemies ? accidents, armes à feu, armes blanches , corde à piano , bombes , poisons ... la créativité de ces professionnels n'a de limite que leur imagination !

Monestier, attiré par le bizarre et la curiosité , étudie le monde particulier et sombre des "Hitmans " , tueurs sur contrats, que rien n'arrêtent si ce n'est les balles des forces de l'ordre!

Histoires vraies, expériences documentées, confessions de ces personnages de l'ombres, rien n'est laissé au hasard par l'auteur .Celui ci tient particulièrement à retracer l'histoire des plus grands tueurs , allant de l'antiquité à nos jours .

Un livre donc richement documenté qui se lit sans difficultés aucune et qui plus est , devient au fil des pages de plus en plus palpitant !

Il y a eu Brassens. Ses vieux costumes de velours côtelé, son regard bourru, cet air de frère sur qui on peut compter. Ses bancs publics, son chat, son arbre sa mauvaise réputation, ses copains, son auvergnat et pauvre Martin, on aimait l'entendre quand il en parlait.

Puis il y a eu Georges, le philosphe, le sage. Il a tout accepté de la vie, Georges. La pauvreté comme la gloire, les joies comme les maladies. Puis la mort. Sans révolte, sans peur, sans résignation non plus. Il s'est frayé un passage à l'écart de ce monde secoué de violence. un chemin de poète qui a su trouver l'essentiel : la sérénité. Voilà pourqoi dans votre mémoire, il est si grand.

Autodidacte, maladivement curieux, encyclopédiste du bizarre, archéologue du pire, briseur de tabous, rien n'arrête Martin Monestier dans sa quête de l'inimaginable, du scandaleux et de l'occulte.

Livre après livre, cet enquêteur de l'extrême pousse l'érudition des incongruités et des extravagances humaines à son comble et révèle ainsi une histoire du monde telle qu'on ne l'a jamais écrite. Encyclopédiste des comportements, de nos travers, de nos perversités, Martin Monestier s'est fait une spécialité du témoignage par KO dira un de ses confrères. C'est le cas, cette fois encore, avec cette nouvelle édition de son livre culte qui le pose depuis trente ans comme le premier historien des monstres.

Ses nombreux livres, au carrefour des sciences humaines et du journalisme, sont tous des ouvrages de référence, sans cesse réédités et traduits en de nombreuses langues. Enfin réédité dans une nouvelle édition revue et largement augmentée, Les Monstres de Martin Monestier est un rassemblement minutieux et érudit de documents mal connus ou inédits de toutes les époques, de toutes les civilisations et de tous les coins du monde.

Cet ouvrage est une stupéfiante galerie d'" hommes différents " aux destins insolites, heureux ou tragiques mais toujours passionnants. Hier les croyances imposaient souvent leur mise à mort, mais les foules faisaient au contraire leur fortune. Aujourd'hui, estimés à plus de 250 millions sur la planète, ils sont écartés de la lumière. Présenté sans complaisance, cet ensemble inouï offre un voyage au pays du merveilleux, de l'horrible et du sublime.

II aide à comprendre cette étrange humanité et à apporter aux " monstres " nos semblables, la seule réponse qu'on leur doit : le droit d'exister. Géants, nains, obèses, femmes à barbe, frères siamois, hommes à queue, femmes à cornes, sirènes, culs-de-jatte, manchots, hommes-troncs, hermaphrodites, albinos, hommes animaux, hommes à deux têtes, femmes à quatre jambes, hommes machines, etc

Depuis Adam et Ève, les seins des femmes n'ont cessé de subjuguer les esprits et ont déclenché ou entretenu bien des actions humaines.

Cette nudité affriolante, plate, lourde, agressive, épanouie, affaissée ou pointue, exprime, pour l'homme, les beautés et les avatars de l'existence, les plaisirs érotiques aussi bien que les rêveries fantasmées. Pour les seins d'une belle, des hommes se sont laissé mourir, et d'autres ont assassiné. Les seins sont tout autant objet de convoitise pour l'adolescent qui rêve que pour le vieillard qui se souvient. De même, les collectionneurs fétichistes, les nécrophages, les sado-masochistes et même les cannibales les regardent comme un morceau de prédilection.

Pour la femme, ils expriment la sensualité, les élans maternels, les affres de la maladie et de la vieillesse, mais beaucoup d'entre elles ont pu, grâce à leurs seins, conquérir des empires et régner sur l'esprit des hommes les plus fins de leur temps.

Leur force d'évocation est telle que tantôt ils furent regardés comme l'incarnation du mal, tantôt comme les instruments des dieux. Tous les domaines de la réflexion humaine les ont accaparés, la philosophie, la théologie, la morale, la médecine, l'arithmétique, la religion, la législation pénale, etc.

Les seins fascinent aussi par les curiosités qu'ils sont capables d'offrir : des femmes possèdent des seins de 20 kg ou en portent un seul, quelquefois sur la cuisse ou sur le dos. D'autres en présentent trois ou quatre sur le thorax. Certaines, enfin, allaitent à 75 ans, imitées en cela par des hommes qui portent des mamelles comme leurs épouses.

Les seins ont inspiré d'innombrables chef-d'œuvres de la littérature, de la poésie et de la peinture. Publicité, bande dessinée, cinéma, se les sont à leur tour approprié et les utilisent à outrance.

L'ouvrage est réalisé sur un principe encyclopédique. Plus de 1 000 mots-clés entraînent chacun un texte offrant une ou plusieurs informations étonnantes. L'ensemble réunit toutes les connaissances possibles, mythologiques, symboliques, historiques, médicales, littéraires ou simplement curieuses et constituent ainsi une somme inédite sur le sujet.

Cannibalisme, anthropophagie, omophagie, autant de synonymes pour désigner l'habitude de manger sans répugnance de la chair humaine.Cette pratique aux motifs nombreux remonte à la nuit des temps et se retrouve à un moment ou à un autre dans toutes les parties du monde sans exception, y compris l'Europe de l'Ouest. Ce qui fit écrire à Voltaire: “Comment des hommes séparés les uns des autres par de si grandes distances ont-ils pu se réunir dans une si horrible coutume? Faut-il alors croire qu'elle n'est pas absolument aussi opposée à la nature humaine qu'elle le paraît?” Les dieux de nombreuses mythologies n'ont-ils pas de surcroît montré l'exemple en se dévorant entre eux ou en mangeant leurs propres enfants?L'époque contemporaine semble offrir une résurgence notoire de cette pratique ancestrale. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, partout dans le monde, on signale des cas individuels ou collectifs de cannibalisme. Les raisons sont sensiblement les mêmes que par le passé: cruauté, sauvagerie, plaisir, gourmandise, médecine, vengeance, religiosité, démence, amours déviants, superstitions, nécessité vitale, etc.Quelles que soient les motivations qui ont poussé et continuent à pousser les hommes au cannibalisme, force est de constater que chaque peuple qui s'est livré à cette pratique a eu ses “recettes gastronomiques” destinées à mettre en exergue les goûts et les saveurs particulières de la viande humaine. Sexe, âge, parties corporelles destinées à la consommation sont pris en considération. Crue, saignante ou bien cuite, rôtie ou bouillie, grasse ou maigre, la chair humaine est préparée avec soin, car les cannibales se sont toujours attachés non seulement à la préparation et à l'assaisonnement mais également au service et à la présentation de leurs victuailles humaines. Là se tient peut-être la vraie différence et la supériorité de l'homme cannibale sur la bête carnivore.

L'Organisation Mondiale de la Santé a recensé près de mille façons de se donner la mort, et les raisons qui poussent les individus à se détruire sont plus nombreuses encore. Chaque année, une ville comme Strasbourg, banlieue comprise, est rayée de la carte.

Phénomène de société de première importance, l'histoire du suicide à travers le temps et les peuples restait à écrire. Véritable encyclopédie, l'ouvrage de Martin Monestier évoque toutes les facettes d'un des comportements humains les plus complexes. Des suicides passionnels à l'épopée kamikaze, des suicides-sacrifices aux suicides de protestation, de la prévention aux suicides assistés, du phénomène d'imitation aux suicides collectifs, de la mort volontaire dans la littérature aux recommandations religieuses, rien n'a échappé à son enquête rigoureuse et passionnante.

Pourquoi les jeunes de moins de vingt-cinq ans se tuent-ils plus que les autres individus ? Pourquoi les candidats à la mort fabriquent-ils d'étranges machines à mourir ? Pourquoi certaines professions engendrent-elles plus de désespérés ? Pourquoi les Hongrois se suppriment-ils trois fois plus que la plupart des autres peuples ? Pourquoi pense-t-on que les animaux se suicident ? Mille questions posées à travers la grande et la petite histoire de l'humanité, à travers l'anecdote et le fait divers, véritable miroir des sociétés d'hier et d'aujourd'hui.

Si de nombreux ouvrages ont parlé du trompe-l'oeil de décor ou " mural ", qu'il soit extérieur ou intérieur,très peu d'ouvrages ont pris en considération le trompe-l'oeil de chevalet, recherchant " l'effet d'illusion sur toile ". Pourtant, même dans ce cas, une très petite place est consacrée à la période contemporaine.

Or, depuis les années 1960, on a assisté à une renaissance du trompe-l'oeil. Ce genre, qui répond à des règles techniques et créatrices très particulières, a rencontré un public de plus en plus enthousiaste. Les expositions se sont succédé, et certains artistes ont atteint des cotes extrêmement élevées.

Il manquait un ouvrage consacré à la soixantaine d'artistes qui, depuis 40 ans pour certains, luttent pour réhabiliter le " genre réaliste " que les courants modernes, abstrait et autres, avaient relégué dans l'ombre et l'oubli.

Depuis le commencement du monde, d'innombrables événements historiques, grands ou petits, mettent en relief l'indéniable influence des animaux sur le cours des choses et des existences humaines.

Les animaux ont été des vedettes adulées de toutes les formes de spectacle. Ils se sont distingués dans les exploits sportifs, et bien sûr au cours de toutes les guerres depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Dans les arts, à toutes les époques, ils ont fortement influé sur les peintres, les musiciens et les gens de lettres.

On a vu des animaux bénéficier de testaments mirobolants ou encore se porter candidats à des élections démocratiques.

Tantôt compagnons de misère, tantôt sujet de grandeur pour leur maître, ils ont aussi été martyrs, sacrifiés au nom de la science, de la religion et de la superstition. S'ils ont souvent été des protecteurs zélés de leur entourage, ils ont aussi mis leur force, leur intelligence et leur instinct au service du crime et de la délinquance.

À travers une énorme quantité d'anecdotes véridiques, de récits piquants, de témoignages hallucinants mais confirmés, de faits divers insolites mais attestés, les animaux démontrent qu'ils connaissent non seulement l'amour, la fidélité et l'abnégation, mais également la rancune, la vengeance, la violence et même le mensonge, pour certains.

L'histoire du duel projette une lueur d'aube violente et passionnée, sur l'histoire des peuples. Pourquoi ce rite si controversé n'est-il ignoré d'aucune nation, des plus barbares aux plus civilisées ? Qu'on le déplore ou qu'on s'en félicite, c'est un fait : on s'est battu en duel de tout temps et partout dans le monde. Le duel est un invariant du litige et de la querelle.

Aujourd'hui encore cette coutume un peu oubliée fascine même si, pour beaucoup, l'honneur et la bravoure ne sont plus que des mots poussiéreux hérités d'un autre siècle. Le duel demeure synonyme de délit et de prouesse. On lave une offense et, au lieu de recourir à une justice abstraite, on risque sa vie. On ne défie pas seulement un adversaire, on brave l'Église et l'État. On affronte seul sa destinée.

Justifiable de la peine de mort, depuis Saint Louis, le duel n'a pourtant cessé d'être pratiqué, en toute impunité, jusqu'à la IIIe République. Ainsi, à l'époque d'Henri IV, cause-t-il dans le royaume plus de victimes que les guerres de religions ; sous les règnes de Louis XIII et Louis XIV, ces rendez-vous de cape et d'épée font des ravages qui ont enflammé l'imagination des romanciers.

Ce n'est plus un passe-temps réservé aux émules de la chevalerie, c'est une véritable mode qui s'empare du royaume et qui n'épargne ni les femmes ni les ecclésiastiques.

L'histoire du duel s'illustre de noms célèbres dont les exploits ont défrayé la chronique de leur temps : parmi eux, Sainte Beuve, le cardinal de Retz, Pouchkine, Wellington, Clemenceau, Jaurès ou Bismarck. Et, plus près de nous, Gaston Defferre, maître Floriot ou le marquis de Cuevas.

On compte encore un millier de duels dans le monde, chaque année. Et il est à nouveau à l'honneur dans certaines universités allemandes.

Travail, guerre, prostitution, tel est le triptyque sur lequel s'appuie à l'heure actuelle l'asservissement de plus de 300 millions d'enfants de 5 à 14 ans. Leur exploitation, dans des souffrances physiques, psychiques et morales indescriptibles, est universellement répandue, et constitue une des caractéristiques de notre époque.

Travailleurs forcés, esclaves sexuels, soldats malgré eux, ils sont aussi l'objet de l'embrigadement par le crime organisé, de mutilations pour la mendicité ou à des fins de trafic d'organes, d'exécutions extra-judiciaires, du commerce de l'adoption. Rien ne leur est épargné ! Tous les continents, y compris l'Europe, sont concernés par ces dénis d'humanité, que les instances internationales n'hésitent plus à qualifier de " fléau planétaire ". Un enfant sur quatre est concerné dans le monde et deux tiers des 140 millions d'enfants qui ne vont pas à l'école sont des filles. Martin Monestier établit un constat impitoyable. L'ampleur du phénomène et son évolution ces vingt dernières années interdisent, hélas, tout optimisme.

Les mouches et les hommes se livrent depuis les origines du monde un combat sans répit ni quartier, dont l'enjeu est l'espace vital. Cette lutte a influé sur l'histoire de tous les peuples sur les cinq continents.

La mouche a entravé ou précipité la plupart des projets et des activités humaines. Ses possibilités de nuisance sont exceptionnelles.

Près de 80 000 espèces se partagent la planète. Piqueuses, suceuses de sang, porteuses de maladies mortelles, les mouches, au cours des siècles, ont tué davantage que les conflits entre nations. Aujourd'hui encore, la moitié de l'humanité souffre de leurs incessantes attaques. Éliminées chaque année par milliards, elles continuent à prélever un lourd tribut : troupeaux décimés, ravages sur les cultures, sans oublier les vies humaines.

Les mouches règnent sans partage sur plus de 10 millions de km2 répartis sur toute la planète, soit la surface du Canada. Ces territoires sont interdits à l'homme et à ses activités. Ailleurs, elles engendrent d'innombrables désastres humanitaires, économiques et écologiques, chiffrés par dizaines de milliards de dollars chaque année.

Source d'affrontements scientifiques, religieux et économiques, la mouche a été regardée tout au long des siècles, tantôt comme l'incarnation des forces du mal, tantôt comme l'instrument de Dieu. Elle a inspiré écrivains, peintres, sculpteurs et cinéastes.

Un fait semble avéré : plus l'homme prolifère, plus la mouche prolifère ; plus l'homme détruit son environnement, plus la mouche prospère ; plus l'homme vit dans des conditions misèreuses, plus la mouche s'épanouit ; plus l'homme fait la guerre, plus la mouche progresse.

Alors que depuis 30 ans les hommes ont multiplié les programmes d'éradication auxquels les mouches ont toujours su s'adapter, le combat entre les hommes et les mouches semble plus indécis que jamais.

Immersion au cœur d'un monde de prédateurs sans pitié... Âmes sensibles s'abstenir !

L'homme a d'autres prédateurs que lui-même : ce sont les insectes sans pitié et omniprésents qui vivent sur lui, par lui et dans lui.

Ces parasites souvent invisibles nous encerclent, nous colonisent, nous mettent à contribution de mille façons, et souvent même nous éliminent.

Rien ne les freine. Ils s'introduisent dans nos placards et nos penderies pour y dérober nos nourritures et dévorer nos vêtements.

Présents dans toutes les pièces de nos habitations, même les mieux tenues, ils y investissent les moindres recoins, y compris nos lits.

Nombre de ces envahisseurs sont si minuscules qu'ils échappent à nos regards et deviennent à notre insu des locataires permanents.On les respire et on les avale par milliers, eux et leurs œufs. D'autres, plus grands, s'accrochent épisodiquement à nous. Ils rampent et trottinent sur notre corps et finissent par piquer et percer notre peau pour boire goulûment notre sang. Certains sont capables de grignoter peu à peu nos meubles et nos maisons jusqu'à l'effondrement.

Ces nuisibles malfaisants et ravageurs se nomment cafards, tiques, vrillettes, termites, poux, puces, moustiques, araignées, mouches, fourmis, cloportes, anthrènes, punaises et acariens.

Ce sont les ennemis intimes de l'homme.

De l'enfer à l'Olympe, l'histoire d'un destin hors-pair.

À travers une biographie très fouillée de la grande cantatrice que fut Maria Callas (1923-1977), Martin Monestier retrace l'une des destinées les plus singulières du XXe siècle. On découvre la façon dont elle devint ce phénomène extraordinaire, par sa voix hors du commun ; quelles étaient ses conceptions de l'art lyrique et le rôle d'éclaireur inspiré qu'elle donnait à l'artiste ; les passions qu'elle entretenait avec les plus grands chefs d'orchestre de son temps, passions idéalisées, orageuses (elle en tira certains de l'ombre ou de l'oubli ; ceux-là figurent aujourd'hui parmi les plus grands noms au répertoire des opéras les plus prestigieux du monde). On est bouleversé par sa vie amoureuse, tumultueuse, généreuse, grandiose et par ses rapports étranges avec sa mère ; ses liaisons provocantes, ses procès en cascade, ses scandales sont évoqués avec minutie par l'auteur qui en apporte une version nouvelle, surprenante. L'effondrement de son être, la perte de ses moyens, la retraite, la solitude et enfin sa mort entourée de mystère (pour beaucoup elle est un suicide) sont relatés. Nous découvrons un personnage brûlant et vulnérable, confiant et blessé par la vie. Un récit passionnant qui éclaire d'un jour nouveau la Callas, désormais entrée dans la légende.

Ce livre, illustré, comporte, en outre, un répertoire exhaustif de toutes les représentations des opéras qu'elle a interprétés ainsi que de tous les concerts qu'elle a donnés et une discographie complète.

Les hommes, non contents de se faire la guerre tout au long des siècles, ont dressé des animaux à leur image afin que ceux-ci participent aux luttes armées.

Des oies du Capitole aux dauphins de la marine américaine, en passant par les éléphants d'Hannibal et à ceux des Khmers rouges, les renards hébreux, les chiens de guerre japonais, les rats du Mossad, les pigeons, les ânes, les otaries, les chevaux, etc., peu d'animaux ont échappé à l'embrigadement.

Pendant la Première Guerre mondiale, plus de 14 millions d'animaux furent enrôlés dans les armées belligérantes, et 120 000 d'entre eux décorés pour faits de guerre. Le second conflit mondial verra trente millions d'animaux servir sur tous les terrains d'opération. Aujourd'hui, les laboratoires militaires de para-psychologie animale continuent à étudier le comportement des animaux pour les éventuelles guerres à venir.

Martin Monestier, avec force documents - pour la plupart inédits - à l'appui, évoque, depuis les origines jusqu'à nos jours, les missions et les actes d'héroïsme de ces auxiliaires malgré eux des armées.

L'histoire des hommes commence par le vol d'une pomme et se poursuit avec un assassinat et un inceste. Depuis, la haine et la rivalité sont ancrées dans le cœur de l'humanité. La nature intrinsèquement malfaisante de l'homme a élevé le meurtre, le viol, l'inceste, la trahison, l'arbitraire, la haine, le mensonge, l'orgueil, l'avarice et l'ambition à un niveau difficilement imaginable. Même les singes en ont assez d'imiter l'homme.

Depuis l'âge le plus lointain et aujourd'hui plus que jamais, l'homme vit dans l'univers qu'il bâtit, jour après jour un peu plus obscène, grossier, arrogant et féroce. C'est dans ce monde putride qu'il se multiplie sans discontinuer de façon exponentielle, se nourrissant du pire dans tous les domaines tandis qu'augmente sans cesse le nombre de ses crimes et exactions.

Martin Monestier, tel un " bousier ", a travaillé plusieurs années à rassembler " les excréments " de l'histoire. Il a débusqué et décortiqué les secrets cachés, oubliés et honteux d'innombrables personnages illustres.

Roueries, bassesses, traîtrises, comportements incongrus ou crimes terribles, la preuve est faite : l'homme est viscéralement destructeur. Même les rats, qui régissent leur prolifique société par des règles intelligentes, regardent l'humain, cette bête à gueule plate, prédateur de tout ce qui vit, avec une pointe de satisfaction : " ils ne sont pas les derniers des derniers de dessus la terre ".

Depuis l'antiquité la plus reculée, des générations de personnages illustres, d'intellectuels et autres fins esprits de tout acabit, dont la hiérarchie ecclésiastique, ont délivré pis que pendre sur les femmes. Citons en désordre : Colette, de Gaulle, Baudelaire, Milton, Voltaire, Nietzsche, Cocteau, Richelieu, Montaigne, Napoléon, Vigny, Freud, Balzac, et des centaines d'autres... Pour eux tous comme pour nous-mêmes, les femmes seraient des êtres inférieurs, intrinsèquement faibles, narcissiques, néfastes, menteuses, bavardes, rusées, légères, perfides et dissimulatrices si nécessaire. Loin de rougir de ses travers, cette moitié du genre humain en fait souvent gloire, ce qui la rend très dangereuse.

Tout cela n'est qu'une affaire d'opinion, objectent les lobbies féministes. Toutes les bassesses qu'on leur prête ne seraient que des partis pris d'hommes martyrisés par les violences et les trahisons d'une épouse ou d'une maîtresse délaissée ? Certes, mais pas seulement. Des milliers de faits divers, les plus souvent cruels, révoltants ou insolites, affichent les spectres particuliers de la femme au quotidien.

Celle-ci échange son enfant de 5 mois contre un chien ; celle-là, institutrice mère de quatre enfants, débauche un de ses élèves de 14 ans ; cette autre encore accouche huit fois en cachette et enterre les nouveau-nés dans son jardin ; une Américaine, sur conseil de son gourou, introduit un os de poulet dans son vagin pour tomber enceinte, etc.

Les faits divers " féminins " sont la sève de la misogynie, mot magnifique qui élève les hommes et les protège de l'ineffable égalité des sexes.

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