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Tous les livres de Martine Delvaux

Une jeune femme tombe enceinte. Un homme s’enfuit. Et une petite fille reste aux prises avec une énigme.

À la manière du dessin caché qui apparaît dans les cahiers de jeux des enfants quand on relie entre eux les points numérotés, Martine Delvaux s’applique à réunir dans Blanc dehors le peu qu’elle sait de l’inconnu qui a refusé de devenir son père.

Un roman aussi résolu qu’apaisé, où la romancière parvient à rendre lisible à nouveau une histoire pourtant criblée de blancs.

Les filles sont des filles parce qu’elles sont en série.

Des corps féminins en rangées. Ils se meuvent en synchronie. Ils ne se distinguent que par le détail d’un vêtement, d’une courbe, d’une teinte de cheveux. Les filles en série sont mises à leur place et créent l’illusion de la perfection. Ce sont des filles-machines, des filles-marchandises, des filles-ornements. Toutes reproduites mécaniquement par l’usine ordinaire de la misogynie.

Mais la figure des filles en série est double : à la fois serial girls et serial killers de l’identité qu’on cherche à leur imposer. Casseuses de party, ingouvernables, elles libèrent la poupée et se mettent à courir. Entre aliénation et contestation, les filles en série résistent à leur chosification, à l’instar des grévistes féministes de 2012. Cet essai percutant se déploie comme une chaîne qui se fait et se défait, depuis les Cariatides jusqu’aux Pussy Riot.

Il a laissé une étendue de ruines dans sa vie.

Le coup de foudre et la passion ont dégénéré en conflit, puis en guerre, à la vitesse de l’éclair. Pourtant, elle était certaine d’être en train de vivre une grande histoire, l’histoire de sa vie.

Les cascadeurs de l’amour n’ont peut-être pas droit au doublage, mais elle a pu écrire ce livre – une ultime missive envoyée du front, le champ de bataille de la rupture.

Avec ce roman belliqueux, rageur et libérateur, Martine Delvaux s’applique à coudre ensemble avec adresse les clichés effilochés de l’amour. Un livre qui solde pour de bon les comptes du ratage amoureux.

(Source : Héliotrope)

Ce livre est un hommage aux images à la fois tendres et violentes de la photographe Nan Goldin.

Goldin est une guerrière, une gardienne de la mémoire. Elle lutte pour qu’on n’oublie pas la vie des femmes, des sidéens, des bannis. Depuis la mort brutale de sa soeur aînée adorée, elle se bat pour le souvenir de ceux qu’elle a perdus.

Goldin est une gorgone dont le regard sidère. Elle demande de poser les yeux sur ce qui est étranger, elle exige que les secrets soient dénudés.

Martine Delvaux met ici ses pas dans les pas de Goldin, et avance avec elle dans la colère, la rébellion et l’amour fou.

L’écrivaine trouve chez la photographe une oeuvre-soeur, un écho de sa propre esthétique et de son engagement à dire, coûte que coûte, ce qu’elle sait et ce qu’elle voit.

(Source : Héliotrope)

Une petite fille grandit dans un village nouveau. Le père a disparu avant sa naissance. La mère a épousé un autre homme et souhaité s'installer loin de la ville. Le village est morne et ils y resteront des étrangers. Entre les enfants les liens se tissent quand même, dans les champs de fraise, ses amies s'appellent Manon-juste-Manon, BB ou encore Valence Berri. Elles rêvent d'Hollywood, mâchent de la Hubba Bubba, passent leur été à sauter dans la piscine du camping juste à côté. Tout semble normal. Mais une menace plane sur cet univers doucereux. Au village et dans la banlieue aseptisée où la famille déménagera dix ans plus tard il arrive que des filles disparaissent.

Rose amer raconte le regard inquiet d'une petite fille, puis d'une adolescente, sur la violence diffuse de l'ordinaire.

(Source : Héliotrope)

Une amitié s’est nouée il y a presque vingt ans entre un homme et une femme. C’est cette dernière qui raconte les années, fait l’inventaire des petites phrases prononcées et des grandes, laissant ainsi entrer le lecteur dans un univers clos, jusque-là jalousement fermé aux autres.

Les années passent, leur amitié traverse le temps, les études, les ruptures amoureuses, le travail, leur enfance qui remonte par à-coup, et une question résonne au milieu de cette complicité extrême : c’est quand le bonheur ?

Un roman pudique, drôle parfois, rythmé, où l’amitié permet d’élever une barricade contre la dureté de l’existence.

(Source : Héliotrope)

Je ne sais pas si ce livre est une liste de conseils, de consignes, de recommandations ou d’explications. Si c’est mon regard sur le monde, sur toi, sur moi, ou sur nous. Si ce sont des morceaux d’avenir ou des fragments de mémoire. Ou si, tout simplement, c’est une lettre d’amour, la suite du geste que je pose quand je te prends dans mes bras, ton long corps élancé que je ne peux plus attraper en entier, et que je te dis que je t’aimerai toujours…

Dans ce texte sensible, écrit à l’orée de l’essai, Martine Delvaux interroge son rapport à sa fille. Elle ausculte l’amour et réfléchit à ce qu’il y a de féministe en lui. Comment le féminisme l’informe, et comment cet amour (entre une mère et sa fille) informe la pensée féministe. Car peut-on penser le féminisme, demande-t-elle, sans penser l’amour ?

« On dit du vieillard africain qui meurt que c'est une bibliothèque qui brûle. Un enfant qui naît, est-ce un livre qui s'écrit? »

À l'arrivée de son premier enfant, l'auteure de « Échographies » entreprend de marquer par l'écriture cette nouvelle présence au monde. Jour après jour, elle compose des fragments pour témoigner de cette expérience unique et toujours secrète de la naissance.

En même temps qu'il nous fait pénétrer dans l'intimité de l'univers maternel, « Échographies » nous livre une réflexion sur l'écriture. Petit à petit, l'enfant qui « était l'écho » devient « graphie », c'est-à-dire l'objet d'écriture et générateur de fiction.

Cet ouvrage, inscrit tout entier sous le signe de l'émerveillement devant la révélation d'une nouvelle vie, propose un regard original sur les premiers moments de l'existence et témoigne, par la finesse de son style, d'une rare maîtrise de l'écriture.

«Il me fallait un dispositif, une provocation, peut-être un garde-fou pour continuer d’observer cet objet à la fois banal et étrange qu’est ma vie. L’observer en suivant de nouvelles lignes : le chemin que me propose le film Thelma & Louise. Mon film choisi, mon film aimé, le film qui a marqué ma vie, le film qui encore aujourd’hui me fait pleurer.

J’ai voulu remonter le cours du temps en m’installant dans la Thunderbird avec Thelma et Louise, pour retrouver celle que j’étais en 1991, cette jeune femme qui n’est pas si différente de la femme que je suis aujourd’hui. J’ai suivi le scénario du film à la manière de marques topographiques sur le chemin de ma propre vie : deux femmes, une voiture, un voyage, un viol, un révolver.»

Ils sont tournés les uns vers les autres. Ils s’observent et s’écoutent. Ils s’échangent des idées, des armes, de l’argent ou des femmes. Dans cet univers clos réservé aux hommes, le pouvoir se relaie et se perpétue à la façon d’une chorégraphie mortifère. Le boys club n’est pas une institution du passé. Il est bien vivant, tentaculaire: État, Église, armée, université, fraternités, firmes… et la liste s’allonge.

À la manière d’une chasse à l’image, c’est dans les représentations au cinéma et à la télévision que Martine Delvaux le traque. Véritable plongée en eaux noires, ce livre nous invite à considérer l’entre-soi des hommes comme un phénomène régressif. Un dispositif à profaner, déconstruire, refuser, parce que nos vies comptent.

«En octobre 2017, devant la vague de témoignages suscitée par le mouvement #moiaussi, j’ai senti une urgence : une fois sorties du silence, nous ne devions pas y retourner. C’est la raison pour laquelle j’ai lancé un appel. Ce livre est une chambre d’échos. Un chœur.

Sans déesse ni héroïne en tête, des voix avancent. Nous faisons front commun.» Martine Delvaux

«Je n'en ai jamais parlé à personne» : paroles recueillies et agencées par Martine Delvaux

Face à la crise climatique, Martine Delvaux refuse l’abattement et choisit le combat, celui que mène la génération de sa fille, qui tient tête aux décideurs et réclame avec force la protection de la vie sur Terre. Solidaire, elle offre ici un livre-collage tissé de catastrophes, mais surtout d’espoir, où le feu occupe une place centrale. Feu sacré des militant.es, bûchers où tant de femmes ont péri, feux follets, feux de forêt dévastateurs, rage incendiaire et feux de joie : certaines flammes nous détruisent, quand d’autres nous éclairent. Les pompières pyromanes qui habitent ce livre savent lesquelles entretenir amoureusement.

«Ces pages sont nées de ma fascination pour le feu. Elles sont remplies de souvenirs brûlants, de scènes incendiées, de flammes qui ont marqué l’histoire des femmes. J’ai voulu établir une filiation de femmes qui portent le feu, rendre hommage à celles qui ont joué avec le feu. Qui ont résisté à l’injustice avec détermination, constance et patience, parfois au prix de leur vie. Toutes celles qui ont fait œuvre de feu pour la suite du monde.»

Un producteur de cinéma invite Martine Delvaux à écrire le scénario d’un film. Parmi les sujets proposés, il y a la liaison amoureuse entre Joan Mitchell et Jean Paul Riopelle. Le producteur mentionne à l’écrivaine un troisième personnage, moins connu dans cette histoire, celui de la jeune peintre américaine, Hollis Jeffcoat, qui s’est retrouvée au milieu du couple. L’autrice va rapidement ressentir pour cette peintre un genre de coup de foudre. Et l’envie de tout savoir.

Le résultat est une enquête originale et très prenante. Ça aurait pu être un film met ensemble les fragments d’une histoire en marche, qui finissent par former le portrait vibrant d’Hollis Jeffcoat.

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