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Toutes les séries de Michel De Saint Pierre

3 livres

Tous les livres de Michel De Saint Pierre

Sur le port de Gênes, une bande de matelots de tous horizons se retrouvent à la pension de Margherita.

Leur bateau doit bientôt appareiller pour la Sicile afin de livrer dans les délais leur précieux chargement : des centaines de litres de vin.

Mais entre l'arrestation du capitaine et les caprices de la météo, le voyage s'annonce des plus agités...

Fuyant la tentation de l'anecdote et de la charge, Michel de Saint-Pierre, pour décrire le monde littéraire qu'il connaît bien, a choisi le mode romanesque. C'est l'histoire d'un écrivain célèbre qui, bien que couvert de gloire, se sent de plus en plus seul face aux petites et grandes interrogations de l'existence.

Un beau roman sur la condition d'écrivain "célèbre", traité avec tact mais aussi avec humour et parfois avec férocité. En exergue une belle citation de Vigny: "Les rois font des livres à présent, tant ils sentent bien que le pouvoir est là." Heureux temps où la télévision n'existait pas.

Histoire vrai de la famille du tsar Nicolas deux avec les faits historiques du massacre de la dernière famille royale de Russie avant et pendant la révolution soviétique . Et des tortures jamais inégalés dans toutes l'histoires du monde et de nos gouvernants !

Il s'agit de l'épopée quotidienne d'une poignée de familles françaises huguenotes, exilés de France et partant de la Hollande vers la pointe sud - africaine, vers le Cap de Bonne Espérance, au début de l'an de grâce 1688. Ces gens là vont vivre en effet l'aventure dans tout ce que ce terme peut signifier: un long et dur voyage en mer, d'abord, sous l'essor des grandes voiles. Puis l'installation difficile dans la région du Cap, jusqu'au Veld qui est la prairie et la brousse sud africaine. Les français y rejoignent des hollandais et des allemands pour former en cinquante années le noyau de l'une des races les plus solides et les plus braves qui furent jamais; celle des Afrikaners que l'on appela plus tard les Boers; et ceux la n'avaient pour richesse, au départ, que leur bible et leur courage..

Raconter des histoires, se souvenir en même temps, voilà les raisons qui ont poussé l'auteur des Aristocrates et des Nouveaux Prêtres à composer ces nouvelles. Toutes, avoue Michel de Saint Pierre, sont plus ou moins mêlées à son existence.

Parce qu'il a failli suivre un jour les leçons d'une vieille dame terriblement joueuse, il a écrit LA VIELLE DAME ET LE HASARD. Passionné de sports, en pratiquant beaucoup (surtout le tennis où il est classé seconde série) il a eu l'idée de LA RAQUETTE DU VIKING. Très gourmand,- il adore discuter cuisine et recettes, et il nous conte ici des histoires de chasseurs gastronomes et de pigeons en compote, Seul le titre de sa première nouvelle (et celui du livre) est, dit-il, paradoxal, car : a Dieu ne m'a point gardé des femmes - je les ai portées dans mon cœur plus que tout le reste au monde ». Ses fidèles lecteurs - et lectrices -vont grâce à ces récits découvrir bien des secrets jalousement cachés jusqu'ici par leur auteur favori.

Georges H. Fabre-Simmons est de ces industriels modernes persuadés que la seule chance de survivre face aux géants de la concurrence étrangère consiste à se faire aussi gros qu'eux. Par quel moyen ? La fusion de sociétés. Peut-être serait-il plus juste de dire l'absorption, car Georges H. médite d'étendre son empire dans le domaine de l'informatique en annexant les Ateliers et Chantiers Sangalles et Fils, affaire familiale fondée en 1840.

Plus cuisante que le refus opposé par Marcel Sangalles à ses ouvertures est l'insulte dont il l'assortit. Georges H. engage la bataille avec toutes les ressources de sa fortune et de son astuce fouaillée par son orgueil blessé. Sous cette peau de milliardaire qui n'hésite devant aucun coup, si bas soit-il, pour vaincre, il y a un homme en effet - pas seulement un homme d'affaires, mais aussi le mari aimant et aimé de Françoise, le père déconcerté de Roland et de Cécile.

C'est qu'ils sont modernes, comme lui, et appliquent les idées à la mode dans leur génération - mais au rebours de celles qui ont donné des Sangalles, puis des Fabre-Simmons, sur quoi débouchent-elles? Interrogation qui est celle même du siècle, si bien que Le Milliardaire donne à la fois une image d'un milieu que Michel de Saint Pierre connaît bien et l'image de notre temps avide et insatisfait.

Michel de Saint Pierre veut être l'écrivain témoin de son temps. C'est d'ailleurs sous cette enseigne que Jean Paulhac lui a consacré, voici quelques années, une importante biographie critique. Michel de Saint Pierre, dans un cycle romanesque puissant et varié, a donc examiné successivement les différentes facettes de la vie contemporaine : du monde étudiant au monde ouvrier, de la vocation littéraire à la profession médicale, de la vie au collège à la vie de château, des prisonniers et des juges au presbytère d'un saint. Il manquait à cette couronne un fleuron ; le voici. Car dans le Double Crime de l'impasse Salomon, ce sont des policiers qui agissent et pensent devant nous - au sein d'une organisation qui est l'une des meilleures du monde : la police judiciaire française. Michel de Saint Pierre, à l'occasion d'un terrible fait divers, plonge ses lecteurs dans cet univers qu'il a longuement prospecté, celui des "flics". II peut ainsi montrer la célèbre brigade criminelle aux prises avec la grande truanderie de notre époque. Etude approfondie, sans hostilité ni complaisance, des moeurs policières actuelles et du laxisme judiciaire, récit riche en cou-leurs et en rebondissements, ce nouveau roman, à coup sûr, étonnera aussi bien les détracteurs de l'écrivain que ses nombreux amis.

Pour ses débuts de professeur, le Père de Maubrun doit affronter une classe hostile, prête au chahut. Quel grief ont contre lui les « philosophes » du collège Pierre-Favre ? Aucun, sinon de remplacer leur cher maître Sauvageot qui vient de mourir. C'est une sorte de baroud d'honneur en mémoire d'un homme très aimé. Pourtant, Denis Prullé-Rousseau, le meneur, obéit à des raisons plus profondes. Le Père de Maubrun discerne vite ce qui, chez Denis, est la part de jeu de ce qui est angoisse d'un être jeune en quête d’un idéal digne de lui et d’un guide. Denis est de ces adolescents qui, faute de trouver l’un et l’autre, entrent en lutte avec le monde entier : les nouveaux aristocrates. Si saine qu'elle soit, cette révolte n'en est pas moins blâmable aux yeux du directeur du collège. Une bataille serrée s'engage entre les autorités et Denis, représentant de la jeunesse moderne dont Michel de Saint Pierre donne une analyse des plus fines, prise sur le vif.

Il y a près de deux siècles, au nom de sa foi et de son roi, Charette a inventé la guerre subversive moderne, illustrée à notre époque, au nom d'idéologies opposées, par Mao, Giap ou Dayan - la guerre de paysans-soldats rassemblés en une armée de partisans aussi vite levée que dissoute, égaillée et réintégrée à la terre des ancêtres et qui regagne ses métairies le soir après le fracas des armes.À travers l'épopée et les récits de batailles, Michel de Saint Pierre nous révèle une face mal connue du héros : le panache et la passion mêlés dans ce sabreur entouré d'une véritable cour d'amour, ce chef de guerre qui n'allait jamais au combat sans être accompagné d'une «cavalcade d'amazones» et qui portait en se battant les foulards et les écharpes que des mains aimables avaient pour lui brodés de fleurs de lys.

On ne serait pas complet sur le thème de la foi de Michel de Saint-Pierre, sans évoquer Les murmures de Satan (1959), roman novateur qui raconte une vie de château particulière : Jean Dewinter, fils d’ouvrier, polytechnicien et chef d’entreprise, marié à une aristocrate a fondé une communauté chrétienne regroupant quatre couples et leurs enfants. Définition du prêtre selon lui : « C’est un homme que Dieu a touché, comme le peuple disait autrefois des lépreux. » Fidélité, sainteté, découragement, pratique de la foi, tentation de la chair, exaltation du bonheur : tous ces thèmes en font l’un des romans les plus brûlants de Michel de Saint Pierre, l’homme libre sous le regard de Dieu.

- Les aristocrates (Roman)

Vous êtes pire qu’au Moyen Age, pire qu’au Moyen Age ! Et j’en ai assez, moi, vous entendez ? J’ai vingt-cinq ans. Je sais ce que j’ai à faire ! Mais vous êtes là, toujours, comme une espèce d’ombre sur moi. Et vous ne comprenez pas que j’en ai assez, non ? Que j’étouffe ? Oh, je devine bien ce que vous allez encore trouver pour m’avoir à votre merci : vous me renverrez de Maubrun pour toujours si j’épouse Conti. Même cela, vous entendez, je suis prête à le subir pour vous échapper !… Tout le monde commence en avoir marre, ici…

un malaise règne entre le curé Florian et ses deux vicaires barré et Reismann. L'abbé Paul Delance, nommé troisième vicaire à Villedieu, le pressent dès son arrivée dans cette grande paroisse de la banlieue ouvrière de Paris.

L'abbé Barré se charge l'éclairer, d'ailleurs, en lui expliquant ce que sera son travail : la municipalité est communiste et Barré est de ces prêtres qui oient bon de "faire un bout de chemin » avec les marxistes.

Dans son zèle moderniste, il a vidé l'église de tout ornement. Pour Paul, ce dépouillement a quelque chose de sacrilège. Il conçoit autrement son ministère.

Un sermon "progressiste » de l'abbé Barré met le feu aux poudres

. L'incident oblige le curé à sortir du rôle passif où il 'lait se cantonner pour arbitrer cette nouvelle , "querelle des Riens et des Modernes » qui divise sa paroisse : l'Eglise doit-elle faire des concessions ou bien n'est-ce qu'un leurre, comme pensent l'abbé Delance et le laïc Georges Gallart ?

Cet affrontement où sont engagés cœur et âme des hommes également sincères illustre avec brio et clarté l'opposition fondamentale des tendances qui sont nées au sein de l'Eglise d'aujourd'hui.

Source : Le Livre de Poche

Ce roman de Michel de Saint Pierre tourne autour du peuple juif. Et son titre Je reviendrai sur les ailes de l'Aigle n'est autre qu'une parole du prophète, annonçant le rassemblement des Hébreux sur la terre de l'élection divine : promesse qui a été réalisée de nos jours, après deux mille ans de dispersion...

La vie dans un collège ou sévit l'antisémitisme ; puis l'ambiance analogue d'un dépôt des équipages, peu avant la guerre de 1939 ; puis encore la Résistance, la guerre de l'Indépendance d'Israël, celles du Sinaï et des Six-Jours, les attentats terroristes, l'interminable effort de dialogue avec les Nations : autant de tableaux dessinés d'un crayon fidèle, parfois cruel, dans le livre qu'on va lire. Autant d'étapes qui jalonnent ce récit pathétique où le peuple juif est considéré avec soin, avec sympathie, mais sans faiblesse ni parti pris, au cours de la période qui va de 1934 à 1967.

Des problèmes brûlants sont ainsi posés, que l'auteur ne prétend pas résoudre, mais dont il veut offrir objectivement les données : qu'est devenue l'âme juive, pendant ces années de liberté et d'incessants périls? Si la guerre règne en maîtresse au Moyen Orient, qui donc sont les responsables? Et si de réelles et fréquentes amitiés se sont nouées, en Palestine, entre Arabes et Juifs, pourquoi le rapprochement de ces peuples semble-t-il, de nos jours, appartenir au rêve? Les hommes, les femmes et les enfants d'Israël, enfin, veulent-ils vraiment la paix –qui est promise par l'Évangile aux gens de bonne volonté?

Le récit de Michel de Saint Pierre, chargé d'âpres questions, fait ressortir un peu du mystère enclos dans les destin d'Israël. Mais il s'agit ici, d'abord et avant tout, d'un roman : celui d'une famille juive, auprès de laquelle vit et agit un ami normand qui, sans être le moins du monde un portrait de l'auteur, pourrait bien –parfois – témoigner en son nom.

Pourquoi l'étudiant Gilles de Lointrain s'en va-t-il dans une salle de gymnastique lutter avec le Gros Défié, employé à la Halle aux vins ? Pourquoi ne reste-t-il pas peinard entre papa et maman, selon l'expression d'un camarade de Dédé ? Parce que c'est un petit gars qui veut voir du pays, répond Défié.

II ne se trompe pas. Gilles étouffe dans le milieu où évoluent .les siens - gens du monde, plus ou moins argentés mais orgueilleux de leur particule et de leurs traditions, savants confits dans leur spécialité, gens de lettres et salonnards. Il a dix-huit ans, le cœur haut placé, la tête bourrée d'idéalisme. Il se représente la vie comme un Saint-Graal que seule la pureté permet d'obtenir.

Comme il veut être écrivain et se laisse introduire dans les salons littéraires, comme il a du succès étant beau garçon et comme il provoque les tentations pour mieux les refuser, cela le mène par d'étranges chemins à une expérience aux chantiers de Saint-Nazaire qui n est pas la moins étonnante. Il s'y jette comme à la Trappe.

C'est l'itinéraire inverse de celui suivi par l'autre héros de ce roman qui, écrit en 1948 et situé en 1935, n'a rien perdu de son intérêt, car c'est l'histoire aune jeunesse idéaliste en crise.

4ème de couverture :

Messieurs de la Gauche, votre obsession a toujours été d’assassiner l’enseignement catholique en France. Depuis Jules Ferry, vous le guettez, hachoir en main. Qui donc nous accuse, nous, les catholiques, de « ranimer la guerre scolaire » ? Mais cette guerre est un fait brutal qui n’a jamais cessé ! N’avons-nous pas été sans relâche assaillis, tout au long des dernières cent années, par le sectarisme de la venimeuse Laïque ? Aujourd’hui, c’est la Fédération de l’Éducation nationale (F.E.N.) et bien d’autres instances de notre régime totalitaire qui veulent la peau de l’École libre — c’est M. Mexandeau, le compère de M. François Mitterrand, qui a médité longuement l’acte de mort — c’est M. Savary, ministre en exercice et bourreau de service, qui doit proposer à la condamnée les instruments de son supplice. Car enfin, n’en doutez pas ! Les décisions ont été prises une fois pour toutes ; le procès de l’enseignement catholique est fait — sans que l’on ait même voulu consulter les avocats. Des négociations ? Trompe-l’œil et attrape-nigauds. La guillotine est prête, avec son couperet. Cette « Lettre ouverte », en apporte la preuve.

Alors, Messieurs les socialo-communistes, je vous le dis solennellement : prenez garde ! Nous n’acceptons rien de vous — ni vos décisions, ni vos interdits, ni vos grossièretés de voyous de tribune, ni vos lois. Votre majorité n’englobe déjà plus, tant s’en faut, la majorité des Français, et votre régime est devenu parfaitement illégitime. Réfléchissez bien. Nos libertés, avec l’École libre qui en est la première et la plus inviolable expression, nous saurons les défendre « par tous les moyens, même légaux ». Craignez certaines colères, qui viennent de loin — je veux dire : des tripes même de ce peuple dont vous autres, bourgeois, conventionnels de pacotille, vous ignorez l’âme. Et prenez le temps de méditer, dans vos têtes farcies de haine recuite, l’ironie terrible de l’un de vos grands ancêtres, Danton, qui nous semble aujourd’hui d’une brûlante actualité : « Ce ne sont pas toujours les mêmes têtes qui tombent ! »

Michel de Saint Pierre

4ème de couverture :

Avoir vingt-trois ans, le visage aigu d’un ange, des dons pour la poésie et le charme d’une intelligence sensible, songeuse, que demander de plus à l’existence ? Laurent de Balivière, brillant étudiant à la faculté de droit, vit dans une famille unie – un frère, une sœur, une mère aimante et discrète- sous le règne débonnaire du « Maestro », poète célèbre et père soucieux de comprendre les incertitudes d’une jeunesse à la dérive. Car Laurent, comme plusieurs de ses camarades, garçons ou filles, est à la recherche d’une raison d’être dans cette société qui a proscrit l’effort, l’élan, l’idéal et souvent la foi. « Vous êtes libres », leur crie un professeur lucide, qu’inquiète cette vacuité morale, mais que faire de cette liberté ? Entre un Dieu auquel il ne croit plus et un socialisme dont il vit bien les lacunes, entre la drogue qui endort ou détruit les unes et les amours brèves qui enivrent les autres. Laurent s’enferme de plus en plus dans sa solitude assiégée, dans son exil intérieur. Il est resté « l’enfant qui suivait son rêve », et son rêve, où pouvait-il encore le mener, dans un monde sans amarres et sans espérance ?

A son clair talent d’écrivain, toujours attentif à cerner les êtres, les milieux et leurs mobiles, avec un sens aigu de la vérité romanesque, Michel de Saint Pierre ajoute l’émotion d’un homme qui réfléchit honnêtement, dans le profond de son cœur, à l’un des problèmes essentiels de notre époque. Et parce qu’il s’y est engagé tout entier, son livre surprend et bouleverse, tandis que Laurent, avec ses doutes, ses angoisses, devient le plus exemplaire, peut-être les plus vivant de tous ses personnages.

4ème de couverture :

Paul Delance, le personnage central de Nouveaux Prêtres, revient comme curé dans la paroisse où il a débuté.

Il entre en conflit avec son évêque, Mgr Barré, attaché au modernisme.

Au fur et à mesure que revit la paroisse, que le rayonnement de Paul Delance s'étend, qu'il reçoit par les stigmates les armes de sa foi et de sa charité, qu'il guérit des malades incurables et que, nouveau curé d'Ars, nouveau Padre Pio, il devient lumière et transparence, l'exaspération de Mgr Barré ourdit contre le témoin de Dieu un complot qui ne recule devant rien.

Mais...

En écrivant Sainte Colère, Michel de Saint Pierre s'est souvenu de certaines paroles de Léon Bloy : «Il est trop facile d'émasculer les âmes en ne leur enseignant que le précepte de chérir ses frères, au mépris de tous les autres préceptes qu'on leur cacherait. On obtient, de la sorte, une religion mollasse et poisseuse, plus redoutable par ses effets que le nihilisme même.» Et puis : «Que penseriez-vous de la charité d'un homme qui laisserait empoisonner ses frères, de peur de ruiner, en les avertissant, la considération de l'empoisonneur ?»

Mais de quoi s'agit-il, dans Sainte Colère ? Exactement des problèmes soulevés par le roman Les Nouveaux Prêtres et par les derniers événements dans l'Église. Il s'agit des foyers d'infection que l'auteur, au cours d'une enquête qui a duré plusieurs années, a découverts et signalés parmi la famille chrétienne, aussi bien chez les prêtres que chez les laïques engagés : naturalisme, modernisme, esprit d'indiscipline à l'égard de Rome, agitation politico-religieuse, pratique de l'amalgame et de la dialectique, apostolat sélectif et défaut de charité, engagement dans un combat politico-social au mépris des tâches apostoliques, fureurs iconoclastes, extravagances liturgiques, etc. Il s'agit aussi de cette dictature moderniste que Michel de Saint Pierre met en accusation - et de cette majorité qui souffre, à laquelle il appartient. Il s'agit de l'infiltration marxiste dans la France chrétienne ; et il s'agit du combat que mène désormais en France, contre cette infiltration, une Église du Silence qui a retiré son bâillon.

En écrivant Sainte Colère, Michel de Saint Pierre répond à l'appel d'innombrables lecteurs, prêtres, religieux, religieuses et laïques en tout genre qui lui ont écrit : «Vous avez derrière vous plusieurs millions de baptisés...»

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