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Confessions d'un ami imaginaire
Stella a perdu son papa très jeune. Cette histoire fait donc particulièrement écho en moi. Et je ne vais pas vous cacher que j'ai eu les larmes aux yeux quelques fois.
Stella va faire un voyage un peu particulier accompagné de son petit frère - entre autres. Je n'ai pas particulièrement été enthousiasmée par cette partie du récit... c'est très axé jeunesse, même si effectivement nous pouvons être adulte et adoré cela sans soucis. De mon côté, pour cette histoire, cela n'a pas trop fonctionné. Malgré tout, j'ai été très touchée par plusieurs passages de ce roman, et je suis persuadée qu'il pourrait être utile à beaucoup de jeunes - mais aussi moins jeunes - suite à la perte d'un parent (ou d'un proche au sens large du terme). J'ai été particulièrement touchée par la fin. Contente d'avoir enfin sorti ce roman de ma pile à lire! :)
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Ici, nous allons suivre Jacques Papier, un garçon de 8 ans, qui a l'impression d'être invisible au yeux de tous.
A l'école, ou la maitresse ne lui prête pas attention quand il lève la main pour répondre à une question.
A la cantine, ou les autres vont limite s'asseoir sur lui pour prendre sa place.
Au bus, ou les portes ce ferme toujours devant son nez, le forçant à rentrer à pied. Heureusement jamais seul, car Fleur, sa soeur jumelle descend toujours pour faire la route avec lui.
Mais ce que Jacques ne sait pas, c'est qu'il est un ami imaginaire. Et quand il va l'apprendre, ça va être le choc. Car pour lui il existe, il y a pas d'autre option. Mais rencontrer d'autre ami imaginaire va lui faire vraiment prendre conscience de son état et, voulant être libre de sa vie, il va demander à Fleur de le "libérer".
Ce qui, au départ va être la pire erreur de sa vie, va finalement être la meilleure idée qu'il ai eu. Grâce à ça, il va pouvoir aidé des enfants de la plus belle façon possible.
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C'est un petit roman, doux, tendre, drôle mais aussi triste. Quand Jacques réalise qu'il est pas un vrai petit garçon, ça nous met un coup au cœur devant la détresse qu'il ressent.
Mais ses multiples changement d'enfants est une vraie leçon d'apprentissage pour les jeunes lecteurs. C'est une leçon de mise en confiance, de réalisation et de compréhension.
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Michelle Cuevas a une belle écriture avec des mots simples mais efficaces. Les pages ce lises toutes seules et les lignes défiles sous nos yeux sans problème.
C'est un petit roman a mettre dans les mains de jeunes lecteurs qui ont besoin d'un petit coup de pouce pour prendre confiance en eux.
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Une bonne lecture que je partagerais avec plaisir avec mes nièces.
Confessions d'un ami imaginaire
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Doux et émouvant à la fois, et qui surtout, reste à la portée de l'enfant, sans être trop dur !
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Comment apprivoiser sa tristesse ou dresser un trou noir... ?!
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Un jour Stella est suivie jusque chez elle par un trou noir. Elle n'en a pas peur, non, elle l'adopte, et le surnomme Larry !
Larry n'est pas méchant du tout, il aime les choses douces et rêverait qu'on le touche... qu'on lui fasse des câlins. Sauf qu'à son contact, tout disparait, qu'il le veuille, ou non ! La fillette va donc le dresser, comme un jeune chiot afin qu'il ne fasse pas trop de dégâts. Sauf que bientôt, elle s'aperçoit que Larry peut être bien pratique pour faire disparaître des choses. Surtout celles qui la rendent triste.
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Car ce que Stella ne nous dit pas, c'est que le réel trou noir se trouve dans son cœur... Elle n'arrive pas à en parler, ni à le formuler. Mais il y peu, son Papa est parti pour toujours. Elle se laisse submerger par ses souvenirs, à tel point, qu'elle voudrait les voir disparaître, pour ne plus être malheureuse et surtout, pour ne plus penser à la mort de son père.
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Elle va donc nous emmener dans une aventure spatiale hors du commun, qui, même si elle ne le sait pas, la fera voyager dans son deuil et l'amènera sur l'après.
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C'est un magnifique roman que nous propose Michelle Cuevas ! Que l'enfant soit concerné par le deuil ou pas, il y trouvera une magnifique aventure ! Les réflexions de Stella amènent à réfléchir mais nous ne sommes jamais dans le pathos ni dans de la tristesse qui amènerait à déprimer. Bien au contraire. Ici, on rit ! Bah oui, c'est avant tout l'histoire d'un trou noir de compagnie qui peut faire disparaitre la musique horripilante d'un petit frère mais aussi, peut-être ,anéantir le monde ! Et en prime, il y a même des nains de jardin, et un hamster qui pue !
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En conclusion, vous l'aurez compris, c'est un magnifique mélange ! Drôle et émouvant à la fois, ce n'était pas évident ! Je recommande fortement à partir de 10 ans !
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Un roman jeunesse qui aborde avec brio la thématique du deuil d’un parent…
Stella, 11 ans, a perdu son père quelques mois auparavant. Un jour, elle s’aperçoit qu’un trou noir la suit jusque chez elle et avale tout ce qu’il touche ! Cela va s’avérer plutôt pratique quand il s’agit d’objets remplis de souvenirs de son père décédé… Finalement, elle va s’apercevoir que ça n’est jamais aussi simple et que ces souvenirs ne peuvent ni disparaître, ni s’altérer…
Le personnage de Stella m’a beaucoup touché. Elle est intelligente, réfléchie et souffre en silence, de son côté. Cette aventure va aussi lui permettre de se rapprocher de son petit frère Cosmo et de sa mère.
Ce roman m’a énormément plu car il expose une aventure qui va faire grandir la jeune fille et l’aider a faire son deuil… J’ai adoré !
Ce thème si particulier du deuil pour un roman jeunesse est ici abordé avec brio. En effet, l’auteure y a disséminé plusieurs touches d’humour qui apportent un peu de légèreté, totalement indispensable dans un roman jeunesse ! Les éléments abordés n’en sont que plus justes et sérieux. Armée de belles métaphores, Michelle Cuevas imagine une aventure basée sur un trou noir représentant à la fois la tristesse liée à la perte et l’immense trou ressenti dans le cœur de Stella. C’est beau, c’est bien écrit et le message est aussi lumineux que le thème est sombre.
Comment se remet-on du décès d’un parent ? Cette question subsiste à tout âge et je pense que ce roman est adapté peu importe l’âge. J’ai d’ailleurs pris énormément de plaisir à le lire et en suis ressortie vraiment touchée par les mots de l’auteure.
Le jour où j’ai adopté un trou noir m’a totalement conquise et il s’agit là d’un petit coup de cœur pour moi. Le thème abordé est difficile et pourtant c’est réalisé avec finesse et subtilité. Les messages retenus sont aussi importants que lumineux : à mettre entre toutes les mains !
Le jour où j'ai adopté un trou noir
Confessions d'un ami imaginaire
Confessions d'un ami imaginaire
Comme le résumé l'indique, Jacques Papier est un ami imaginaire qui s'ignore. J'ai trouvé que le début s'étendait trop sur l'incompréhension de Jacques face au fait d'être invisible. Face à des situations très évidentes, il ne semble se rendre compte de rien et c'était parfois assez exaspérant. Même s'il faut reconnaître que si je l'avais lu plus jeune, je n'aurais pas du tout été exaspérée... Mis à part ça, j'ai beaucoup aimé le principe de cette histoire que j'ai trouvé à la fois drôle et original. Les thèmes de l'invisibilité et du sens de la vie sont traités avec humour, ce qui permet de dérider un sujet qui peut paraître aussi bien réel qu'imaginaire.
Jacques Papier, découvrant enfin sa véritable nature (à travers force situations comiques), va décider de prendre son destin en main et passer par de nombreuses péripéties, toutes aussi rocambolesques les unes que les autres (oui, je suis d'humeur poétique aujourd'hui). Il va rencontrer tout un tas d'enfants radicalement différents les uns des autres mais aussi attachants que leurs amis imaginaires. Jacques Papier, quant à lui, devient un peu plus attachant à chaque page, quand au début son caractère grognon faisait parfois obstacle à cet attachement. J'arrivais mieux à le comprendre au fur et à mesure.
Les illustrations, réalisées par l'auteure elle-même, ajoute un réel côté poétique et attractif à ce roman. Elles collent parfaitement avec l'univers déjanté des amis imaginaires et apportent d'après moi un vrai plus à l'histoire. La plume de l'auteure elle-même est très agréable : complètement enfantine mais sans oublier de nous faire ressentir des émotions, je la trouve parfaite pour ce type de récits.
C'est donc un petit roman qui se lit très vite et remplit parfaitement sa "mission" de divertisseur, sans oublier pour autant d’amener une bonne dose d'humour sensible et un héros qui évolue.
Confessions d'un ami imaginaire
Par hasard, il se rend compte un jour qu'il est un ami imaginaire, créé de toutes pièces par Fleur. Commence pour lui alors la recherche de sa propre vie, celle qu'il choisit, et pas celle qu'on lui crée..
J'ai dévoré ce petit roman! Il est d'une douceur incroyable. Jacques Papier est vraiment un petit garçon, en plus du fait d'être imaginaire. Il a grand coeur, a soif d'aventure, et de liberté.
J'ai accompagné Jacques au hasard de ses chutes dans le monde des enfants. A chaque arrivée, c'est l'inconnu, la découverte d'un nouvel enfant, de ses envies et de ses habitudes. Et la possibilité pour Jacques d'aider chaque petit partenaire qu'il rencontre.
Voilà un joli petit roman que vous pouvez mettre sans crainte de les mains de tous les petits lecteurs!
Confessions d'un ami imaginaire
Je n'en dirai pas plus sur le reste de l'histoire pour vous laisser le plaisir de découvrir ce qu'il va arriver à Jacques Papier mais je peux juste vous dire qu'en lui donnant la parole, l'auteur soulève des questions très intéressantes, qu'elles soient "philosophico-métaphysiques" pour Jacques ou autour du développement de l'enfant qui l'imagine, de l'inquiétude suscitée chez certains parents et de ce qu'est l'amitié.
Si vous cherchez une lecture drôle et émouvante à la fois, je vous le conseille !
http://ocalypso.canalblog.com/archives/2017/02/12/34926216.html
Confessions d'un ami imaginaire
J’avais beaucoup aimé le roman Je m’appelle Budo de Matthew Dicks qui propose un thème similaire et j’étais donc très curieuse de voir où allait où me menait celui-ci. Lorsque j’ai commencé le roman, je ne m’attendais pas à ce qu’il débute ni tourne de cette manière mais je me suis vite attachée à Jacques Papier. A ce petit garçon qui ne sait pas qui il est et qui devient finalement avide de liberté. Il est facile de comprendre ses sentiments car nous avons sûrement tous ressenti cette différence entre ce que l’on croit être et ce que l’on est, entre ce que l’on voudrait faire et ce qu’il est possible de réaliser.
Tout autant que d’indépendance, le roman parle d’amour et de don de soi. Qu’il s’agisse de Jacques, de Fleur (surtout de Fleur au départ) ou du club des amis imaginaires… Tous ont leur histoire et donne d’eux-mêmes dans le but de rendre quelqu’un d’autre heureux. Ce n’est parfois pas grand chose mais c’est souvent amplement suffisant et nous rappelle qu’une parole ou un geste ont beaucoup d’importance pour les gens qui nous entourent.
L’écriture est fluide et le fait que les chapitres soient très courts nous incite à continuer le roman, à découvrir ce qui va arriver à Jacques Papier et comment il va gérer ses découvertes et ses nouvelles connaissances du monde dans lequel il vit. Le personnage évolue au fil des pages, prenant autant confiance en lui qu’il devient… humain finalement.
Un mot aussi sur les dessins qui parsèment le texte et qui ont véritablement leur place dans l’ouvrage, au même titre que les paragraphes. Ils permettent aux lecteurs de mieux comprendre Jacques et de visualiser ce dont il parle. Et surtout, il donne un côté enfantin très humain au roman, vraiment comme si on lisait le journal intime d’un enfant (même si ce n’est pas sympa de lire les journaux intimes des gens !)
J’ai adoré ces petits dessins, ultras mignons et extrêmement bien adaptés au texte qu’ils illustrent, donnant une apparence plus tangible aux écrits de Jacques Papier.
En bref une histoire d’amitié tout sauf imaginaire qui nous rappelle que la liberté est aussi de choisir ce que nous apportons aux autres comme à nous-même.
Confessions d'un ami imaginaire