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Autant le dire tout de suite, ce thriller est un choc, un livre haut de gamme, brutal et cruel, étonnamment écrit par une femme, une femme qui parachute ses lecteurs dans un milieu d'hommes, une spirale infernale.
Quel récit intense, perturbant, destructeur, violent, dévastateur et addictif à la fois. La pression est permanente, de la première ligne à la dernière... un déferlement, une tension à perpétuité... une douche froide. Cinq cents pages qui ne ménagent pas le lecteur, mais tout l'art de l'auteur de le plonger dans une atmosphère stressante et rude où la violence est reine, la soumission est loi, « l'amitié une erreur, l'affection une faiblesse »...
L'écriture y est percutante, incisive, énergique et puissante pour décrire le quotidien de ces hommes contraints d'accepter leur sort, comme une fatalité, acceptant de perdre toute identité, tout ce qui fait de l'homme un être humain doté de sensibilité, ce qui le différencie de la « chose ». Ces hommes sont enlevés, dressés pour combattre, tuer, obéir, s'exécuter, agir, ne pas penser... Entassés dans la cave d'une ancienne usine, ils ont été façonnés, entraînés comme des chiens au combat, des machines programmées pour tuer, des hommes « chiens », véritables jouets entre les mains d'une organisation, des « monstres » sur lesquels tous les paris sont permis.
La douleur est aussi bien physique que morale et si les scènes de violence ne ménagent pas du tout le lecteur, c'est dans la suggestion que Paola Barbato excelle, l'autorisant ainsi à « choisir » le degré de violence qu'il est capable de tolérer, la dose qu'il est en mesure de supporter.
Si cette histoire est majoritairement axée sur des combats à mort, elle n'en est pas moins celle de l'attachement d'un jeune garçon à son ravisseur, la relation de dépendance d'un "animal" à son maître, d'un esclave à son bourreau, d'un novice à son mentor, d'un « fils » à son « père »...
Certains témoignages et échanges sont aussi perturbants qu'émouvants, certaines révélations déchirantes. Difficile d'être un tueur, difficile à assumer, courageux de l'admettre, dément d'y prendre goût...
J'ai été littéralement happée par cette histoire, époustouflée par la relation Davide/Minuto, perturbée par cette lecture dont le dénouement est fracassant, une fin que l'on ne voit pas arriver et qui s'impose, explose et a le dernier mot...
À mains nues
À mains nues
Quelques points faibles pourtant :
- je ne sais pas si c'est le style de l'auteur ou la traduction, mais j'ai eu parfois du mal à suivre qui fait quoi ou qui dit quoi
- à mon avis, un souci de psychologie ici :
À mains nues
Le Fil rouge
À mains nues
Cette histoire nous fait vraiment rentrer dans un monde de violence où pourtant il existe des règles barbares qui permettent d'y survivre. Des codes cachés. On n'y découvre aussi que des liens complexes peuvent s'y créer. La relation maître-chien, est on ne peut plus décrite cependant tout peut arriver
Ce livre est super et la fin est un choc.
À mains nues
cf : http://mickaelineetseslivres.blogspot.fr/2015/12/le-fil-rouge.html
Le Fil rouge
lire en entier http://liliandtheworldofbooks.blogspot.com/2015/12/le-fil-rouge.html
Le Fil rouge
Au vu du résumé, ou même du sujet, on se dit que ça pourrait facilement tomber dans le trash. L'idée est assez malsaine : un gamin qui se fait enlever, et qui doit se battre. Une bonne idée de départ donc, et donc le côté pervers et dérangeant s'accentue au fil du livre. Viols, meurtres gratuits, torture. Mais pourtant, malgré le sadisme des sujets, on ne voit rien de potentiellement choquant. Tous les moments vraiment violents sont passés sous ellipse. Et honnêtement, j'ai du mal à dire si c'est une bonne chose ou pas.
Parce que bien sûr, on ne tombe pas dans la provocation gratuite. Mais le scénario n'en est pas plus intéressant pour autant. Comme je le disais, le début est vraiment lent, et l'histoire n'évolue que très lentement sur les deux tiers du récit. Il y a des combats, et des entraînements, mais passés sous silence. Et au fond, il ne reste plus grand chose.
Par chance, ça finit par évoluer, mais ce qui ressort le plus reste la relation que Davide entretient avec Minuto, relation que je trouve vraiment redondante, et qui rend le scénario répétitif et ennuyeux
Autrement, je ne trouve pas la psychologie des personnages vraiment élaborée. Quelques personnages apparaissent plus ou moins sympathiques au début, puis il disparaissent. Quant à Davide... Il est assez incompréhensible. Il s'est adapté sans doute trop vite à mon goût
Certains passages sont plus dynamiques, et même intéressants. Mais malheureusement, je trouve qu'ils restent minoritaires par rapport au reste qui est bien trop lent et mal rythmé. Dommage pourtant, parce que c'était bien un thème qui semblait sortir du lot.
À mains nues