Toutes les séries de Pascal Houmard
Combien de temps encore évolueras-tu, Antigona Krestaj, à la manière d’une funambule, sur la corde raide de dilemmes insoupçonnés, tes scrupules de flique et ta soif de vérité pour seul balancier ?
L’odeur tenace de putréfaction du cadavre retrouvé à Montelly, les haut-le-cœur d’indignation qu’inspire la poupée de chair désarticulée gisant dans un caniveau de la Borde, quinze années au sein de la Crim’ lausannoise t’ont appris à composer avec ça.
Mais cette affaire, Antigona, loin de s’arrêter à deux morts suspectes et atroces, pourrait signer, du même coup, d’un coup fatal, la perte de tes repères.
Quand l’une des victimes te ramène cruellement à l’innocence de l’enfance, quand le prévenu te renvoie, contre toute attente, à l’urgence de vivre enfin, quand cette enquête ébranle un système de valeurs patiemment échafaudé pour te prémunir du vide de la solitude, à quoi peux-tu encore te cramponner, Antigona ? À ta plaque de flique ? au dévouement de tes inspecteurs ? à l’amitié d’Eusebio ? à la valse des surnoms ?
La Surnommeuse est le premier tome des enquêtes de Crystal, surnom donné à Antigona Krestaj, inspectrice en chef puis commissaire à la Crim' lausannoise.
Tous les livres de Pascal Houmard
En acceptant de venir photographier les classes d'un petit collège situé à cent bornes de Metz, Julien Philémon ne s'attend pas à faire la rencontre la plus étrange de son existence, la plus décisive aussi. Et ces nuages qui n'en finissent pas de déverser leur trop-plein, larmes célestes à la consistance singulière, au goût inhabituel, propres à vous détremper le corps, à vous imprégner le cœur, à glisser le long d'un arc-en-ciel comme des enfants sur un toboggan !
Rome, an 27 de notre ère.
Personnalité emblématique depuis qu’il a préservé d’un incendie le sanctuaire des Vestales, le chevalier Titius Sabinus est aussi un veuf inconsolable, au désespoir de la jeune Gauloise Sullivia. En outre, comme il prête allégeance à Agrippine, principale opposante au pouvoir en place, il est la cible à abattre pour Séjan, le chef des prétoriens, qui, en l’absence de Tibère, exerce à Rome une dictature sournoise et implacable, or, pour discréditer Sabinus, Séjan décide de bouter le feu à la colline du Caelius...
