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Toutes les séries de Paul Bourget

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Nouvelle Description

Un divorce est un roman à thèse de Paul Bourget (1852 † 1935) paru en 1904Note 1, quelque temps après L’Étape. Cette littérature engagée s'inscrit dans le combat politique et « la campagne de restauration nationale » que l'académicien français, porte-parole des milieux catholiques traditionnels, mène avec la publication de romans d'idées.

Paul Bourget développe les thèmes sociaux et politiques qui lui sont chers et qu'il a découvert en lisant Bonald, théoricien de la Contre-révolution : la lutte contre les idées révolutionnaires et la défense de l'Église catholique romaine, de la famille traditionnelle et des valeurs patriotiques. Il écrit ce roman à partir de novembre 1903, dans sa propriété hyéroise du Plantier de Costebelle

Un divorce, qui est la suite logique aux arguments traités dans L’Étape sur la défense de la famille traditionnelle, dévoile l'impossibilité du bonheur pour un catholique qui transgresse la loi religieuse du mariage indissoluble, et le danger d'une loi civile qui semble offrir la possibilité d'une vie nouvelle et « trompe ceux qui s'y laissent attirer ».

Tous les livres de Paul Bourget

« C’est là réellement une suite de portraits de passantes, esquissés dans le rapide éclair de la plus fugitive impression. Une seule fois nos chemins se sont croisés pour ne plus se toucher ici-bas. De presque toutes, j’ignore où elles vivent, et si elles vivent. Elles ne me réapparaissent, quand j’y songe, que dans le cadre momentané où je les ai connues : un pont de bateau (…), la nef d’une vieille basilique italienne, la terrasse d’un palais étranger, une rue d’une ville où ni elles ni moi ne sommes revenus… (…) Voyageuses, connues juste assez pour les plaindre de leur mélancolie, pour être heureux de leur bonheur, et pas assez pour souffrir de les avoir vues disparaître à jamais… »

L’œuvre de Paul Bourget (1852-1935) est immense. Plus de quatre-vingt-dix titres : romans, nouvelles, théâtre, poésie, essais, voyages, discours. La littérature l’emporte au-delà de ses choix politiques très conservateurs. Bourget a comme amis Zola, Maupassant, Henry James ou Edith Wharton. Il est aussi ce critique auquel on doit d’avoir redécouvert Stendhal et d’avoir rendu justice à Jules Vallès. Si la plupart de ses romans ont aujourd’hui davantage un intérêt « socio-historique », son sens du drame se retrouve intact dans ses nouvelles. Bourget excelle aussi les récits de voyages : depuis l’âge de 22 ans, il n’a cessé d’aller de pays en pays. C’est pourquoi Voyageuses était vraiment à rééditer.

Ecrit en 1918.

La duchesse de Roannez, jeune veuve cosmopolite, affranchie de tous préjugés, a rompu avec le capitaine Courtin. Accablée, elle est allée cacher son ressentiment dans un grand domaine des environs de Sienne. Elle y joue les dames de la Renaissance et regroupe autour d'elle une société hybride.

C'est une planche d'anatomie morale comme le présente l'auteur dans sa dédicace à Hippolyte Taine datée du 7/1/1887.

Un homme meurt mystérieusement après avoir découvert qu'un de ses amis était amoureux de sa femme. Le fils de la victime souffre du remariage de sa mère alors qu'il est encore jeune. Pour retrouver une paix intérieure, André, se met à enquêter sur la mort de son père et finit par tuer le second mari de sa mère.

Suzanne Moraines, jeune femme belle et riche, est aimée de son mari qui a en elle toute confiance ; mais elle a, dans le baron Desforges, un amant d’une cinquantaine d’années, qui avec une élégante discrétion, lui offre le luxe dont sa frivolité a besoin. Dans un salon, Suzanne rencontre un jour René Vincy, jeune poète ignorant de la vie et de ses laideurs. Il croit voir en Suzanne la personnification de son idéal de la femme et il s’éprend éperdument d’elle ; Suzanne à qui le jeune homme est loin de déplaire, cède à son amour après une résistance savamment calculée. Ainsi commence pour elle une vie fausse et compliquée : à la fois sage épouse, amante capricieuse et frivole avec Desforges, amoureuse chaste et pleine de remords avec le jeune poète.

En 1885, le philosophe Adrien Sixte reçoit la visite d’un jeune homme de vingt ans, Robert Greslou, qui lui a soumis un manuscrit d’une impressionnante qualité. Puis Robert Greslou part en Auvergne occuper un poste de précepteur chez le marquis de Jussat-Randon. Deux ans plus tard, la fille du marquis meurt empoisonnée. Greslou est accusé du meurtre et Sixte est convoqué chez le juge qui se demande dans quelle mesure l’influence du philosophe a pu détruire le sens moral de son disciple.

Les pas dans les pas réunit six "tragédies morales", ainsi qualifiées par l'auteur

Cet ouvrage contient deux longues nouvelles, L'échéance et Le luxe des autres, suivies de trois autres plus courtes sous le titre de Cœurs d'enfants.

La psychologie des années 1880 tient dans un esprit de contradiction. Un suprême paradoxe entre une vie de dépravation physique et morale, de scepticisme enjoué, et un besoin – irrépressible – de certitude.

Dans ce livre, Paul Bourget, en parlant d'un de ses personnages dont le souhait le plus cher est d'être écrivain, nuança au cours d'un de ses portraits l'image somme toute trop romantique ou trop naïve de l'artiste. A ce moment là de la nouvelle, il annonce la décision d'Eugène Corbières de se diriger vers une carrière de médecin :"Ce qui m'a décidé à prendre cette voie, cela peut te sembler singulier, c'est le besoin de certitude.

Mon goût personnel m'eût entraîné vers des études plus abstraites. Je serais entré à l'Ecole normale, pour m'occuper de la métaphysique, si je n'avais pas lu Kant et aussi L'Intelligence de Taine. Il m'a paru que l'objet dans les sciences philosophiques est par trop douteux. Mon esprit à moi a comme faim et soif de quelque chose de positif, d'indiscutable."

Nouvelle Description

Résumé :

« Lors d'un voyage à Ragatz, pour faire prendre les eaux curatives à sa fille, Madeleine Liébeau, épouse d'un célèbre chirurgien parisien, fait la rencontre du commandant Brissonnet, jeune héros des campagnes militaires africaines venu également prendre les eaux. Elle trouve cet homme sympathique, et décide de le présenter à sa soeur aînée Agathe, veuve de fraîche date. Mais... est-elle vraiment sincère dans son projet? Ne cherche-t-elle pas à faire entrer le beau commandant dans sa famille afin de le côtoyer plus aisément? Et ce M. Brissonnet, de qui tombera-t-il finalement amoureux, de l'épouse respectable, ou de la jeune veuve? Voilà un triangle amoureux poignant que nous offre Bourget. »

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Résumé :

« M. Paul Bourget, avec Un crime d’amour, nous fait pénétrer dans le monde (...) de l’âme et du sentiment. C’est l’histoire de trois âmes, le drame de trois cœurs, qui revit en ces pages désolées et tout attendries d’une analyse féroce, et pourtant toutes parfumées de ces parfums rares : la tendresse et la pitié.

Il se dégage d’Un crime d’amour je ne sais quelle puissance d’observation, quelle grandeur de pensée, quelle bonté éparse à travers chaque ligne, qui font songer à Anna Karénine, malgré la différence du milieu, des caractères et des influences psychologiques.

De même que Cruelle énigme, ce nouveau roman est l’étude d’un adultère – j’allais dire de l’adultère –, car toutes les angoisses, les terreurs, les déceptions, les hontes et les brisements définitifs des âmes dont se composent ce que les gens gais appellent les joies de l’adultère, y sont mis en des reliefs saisissants. » O. Mirbeau

Nouvelle Description

Résumé :

La fin du dix-neuvième siècle s'affirme de plus en plus nettement comme le creuset de la modernité esthétique et littéraire ; il n'est pas jusqu'au cinéma qui ne doive son origine à cette fermentation de la critique autour des grands thèmes de la représentation en art, du jugement moral sur l'évolution de la société et de l'affranchissement par rapport aux contraintes de la religion tels qu'ils se sont formés avec Stendhal, Baudelaire, Flaubert, mais aussi à partir des discussions plus théoriques d'un Renan ou d'un Taine, des réflexions sur l'art développées par Dumas, Leconte de Lisle, les frères Goncourt, Heredia, Barrès, Amiel. Il s'agit là d'un véritable état de la littérature à la charnière de la fin du romantisme et du vingtième siècle. On ne sait peut-être pas que le plus fervent des lecteurs de ce livre fut, à l'époque, Friedrich Nietzsche qui n'a pas hésité à traduire quelques passages de ces Essais dans son Zarathoustra.

Nouvelle Description

Résumé :

Depuis quand nous connaissions-nous Louise et moi ? Je n’en sais plus rien, nous nous étions souvent rencontrées, toutes petites, toutes les deux en grand deuil, elle, de son père, moi, de ma mère. Nos gouvernantes étaient en relations, nous avions fini par nous parler, nous nous étions plu, puis aimées, et cette amitié-là, nous ne l’avons jamais trahie.

Nouvelle Description

Un homme a été l’amant d’une femme mariée à un autre. Il a eu de cette femme un enfant inscrit sous le nom de cet autre. Mais il ne saurait douter, il ne doute pas qu’il ne soit le véritable père. Garde-t-il des devoirs envers cet enfant, et quels devoirs ? Garde-t-il des droits, et quels droits ? Est-il coupable de continuer sa vie propre sans en tenir aucun compte ? Le lien mystérieux du sang implique-t-il nécessairement une obligation, latente, si l’on peut dire, et que telle ou telle circonstance découvrira ? Je ne crois pas exagérer en affirmant que neuf hommes sur dix feront à cette série de nouvelles questions une réponse négative. C’est pour le dixième qu’est écrit ce roman, pour celui dans le cœur duquel les passions et l’expérience n’ont pas entièrement aboli le noble sens du scrupule, et à qui ce n’est point assez, pour s’estimer tout à fait, d’avoir concilié son intérêt avec les convenances et son plaisir avec la correction mondaine ou bourgeoise. Peut-être celui-là jugera-t-il que ce drame de la paternité dans l’adultère demeure un des plus tragiques et des plus humains parmi ceux que présente quotidiennement la vie réelle, et qu’il vaut toujours la peine d’en étudier de plus près les données et les péripéties.

(extrait de la préface)

Un homme tombe amoureux et épouse la fille d'une femme dont il a jadis été l'amant. Le fantôme de la mère morte, à laquelle la fille ressemble trait pour trait, ne cesse de l'obséder. Il a l'impression de commettre un inceste, et songe au suicide...

Nouvelle Description

« Le Démon de midi », paru en 1914, est un roman à thèse de Paul Bourget (1852-1935) qui permet à l'académicien d'aborder la fameuse « crise de la quarantaine » tout en développant les thèmes sociaux, politiques et religieux qui lui sont chers, en particulier son soutien à l'Église et au pape Pie X dans sa condamnation du modernisme.

À l'origine de l'oeuvre, une conversation avec son ami le vicomte de Vogüé sur l'incohérence du comportement de Chateaubriand qui vivait d'une manière et pensait d'une autre.« Il faut vivre comme on pense, sinon, tôt ou tard, on finit par penser comme on a vécu. » ? Paul Bourget.

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