Q-ta Minami
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Note moyenne : 6.17/10Nombre d'évaluations : 18
0 Citations 11 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
C est mon cousin qui m a fait découvrir les mangas...
Et Mlle oishi est vraiment un bon manga!Certe il n égalera sûrement jamais les one piece mais il se défend bien dans le monde des livres japonais!!!
Afficher en entierMlle oishi est un bon manga!Je l ai découvert grâce à mon cousin!il n égalera certainement jamais les one piece mais il se débrouille bien dans le monde des livres japonais !!!
Afficher en entierJe m'attendais à autre chose. Les "jeux d'enfants" ne concernent que quelques pages au début du manga. Ensuite l'héroïne grandit très vite, on assiste à sa vie au collège, lycée, fac et premier job... Le concept aurait pu être sympa mais ces tranches de vie ne m'ont pas séduite. Elles manquaient de poésie, de sentiments, d'éclat. Résultat je ne me suis pas attachée à Jun, dommage...
Afficher en entierManga original par son aspect de l’amour, tous ne sont pas tous blanc dans une relation, il peut y avoir des ruptures.
Il est très différent des autres manga qui traite d’amour.
Mais j’ai eu du mal a le terminer, l’histoire n’était plus intéressent vers la fin.
Afficher en entierBien, sans plus. Genre, voilà, ça se laisse lire, mais ça transporte pas quoi. C'est pas mal pour occuper 5h de train.
[30/09/2018]
Afficher en entierJ’ai un peu de mal à évaluer ce roman graphique.
Je n’ai pas lu l’œuvre originale « d’après une histoire vraie » de Delphine de Vigan, donc je ne peux pas comparer et je pense que certaines choses m’ont échappée.
J’ai aimé le personnage de Yuu et j’avais beaucoup de mal à supporter Eru par contre.
Plus les pages avançaient, plus je sentais l’angoisse monter. Et effectivement dans l’œuvre originale on est sur un thriller psychologique. Ici ce n’est pas le cas, c’est beaucoup plus soft, mais l’auteur a quand même réussi à me faire ressentir de l’angoisse.
Je reste un peu frustrée sur la fin qui apparemment diffère de l’œuvre originale. Je ne suis pas certaine à 100% de l’avoir comprise et elle me parait assez ouverte. Par curiosité je pourrai lire le livre original, mais j’ai peur de ne pas adhérer car les thrillers psychologiques ne sont pas la tasse de thé.
Pour moi il manquait encore un ou deux chapitres pour dénouer l’histoire.
Afficher en entierJ'ai beaucoup apprécié cette histoire...
C'est une belle image du "pied dans la porte ". On sent bien que l'héroïne doit sortir de cette mauvaise relation mais malgré tous les signaux, elle persiste parce que ?
Je trouve que c'est très vrai et j'ai vraiment apprécié.
Afficher en entierJ'ai bien aimé ce deuxième tome. C'est toujours dans la même veine.
Comment ne pas reproduire les erreurs de la relation précédente.
Comment on est changé après une relation...
Je trouve que le ton est très juste .
Afficher en entierDans ce tome, c'est plus une question de deuil...
Deuil d'une relation, deuil d'une personne.
Je trouve l'héroïne globalement attachante.
Afficher en entierC'est une belle illustration d'une relation toxique.
J'ai trouvé les personnages et les relations entre eux assez intéressantes.
J'ai un peu repensé à la série Mlle Oishi qui est un peu dans le même genre : relation nocive.
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Biographie
Née en 1969, Q-ta MINAMI débute sa carrière d'auteur de manga en 1990. Elle est aussitôt primée par la revue "Afternoon" de l'éditeur Kodansha. Ce succès précoce ne l'empêche pas de s'octroyer une pause de deux ans. Asobi ni ikô yo (Allons jouer) marque son retour, et lui permet d'être à nouveau récompensée. 1996 et 1997 sont des années fastes pour la jeune mangaka, qui publie trois ouvrages chez trois éditeurs très différents, dont le géant Shûeishaz et le plus confidentiel Bunkasha. Cet éclectisme éditorial vaut à Q-ta MINAMI une reconnaissance conséquente parmi les lecteurs de manga, et la jeune femme possède même un public de fans. Son œuvre est appréciée pour son style graphique simple et aéré, presque "classique", et sa narration elliptique, où les dialogues se font rares. Cette sobriété sied à merveilles à ses récits ancrés dans la vie quotidienne, dans lesquels elle s'amuse à mettre en avant ces petits détails qui font le sel des situations comme des personnages. Depuis son mariage et la naissance de sa fille, elle produit principalement pour des revues destinées aux jeunes filles. Elle continue néanmoins d'aborder des thèmes aussi variés que l'enfance (Himitsu no nikkichô, ou Le journal intime), l'apprentissage de la vie (Jeux d'enfants) mais aussi la sexualité (Yume no ondo, ou La température des rêves). Elle figure d'ailleurs parmi ces quelques auteurs qui savent aborder la sexualité de la jeunesse japonaise d'aujourd'hui avec une grande justesse.
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