Quentin Raffoux

La plume de l'auteur m'avait déjà conquise avec Kitty Kitty. À nouveau, son écriture nous fait découvrir un univers de science-fiction se rapprochant de ceux de Cyberpunk et Watch dog legion, je trouve.

Nous découvrons un monde où les IA sont très présentes, où la création de clone est en teste, voir même plus...

Il y a cette histoire d'Inquisition, de personnes aux placés pouvant se permettre mont et merveilles au prix du peuple. C'est un monde très futuriste qui s'ouvre à nous lors de ce roman.

Nous le parcourons au côté de Erol, mille ans après une certaine longue histoire...

Le personnage d'Erol est assez intriguant par son côté froid et plutôt "survivaliste". Je l'aimais bien jusqu'à un moment, où j'étais à deux doigts de vouloir lui tirer une balle dessus ! C'est ce chère aventurier qui nous embarque dans une grande aventure, des plus fracassantes ?

L'auteur a un talent pour mélanger la connaissance futuriste autour de l'IA et l'humanité, il y a tout un combat autour de ce point précis. Sur l'extinction de l'espèce humaine, la soif de pouvoir de certains.

Erol fera une découverte des plus étrange et douteuse.

Au début, je me suis méfiée m'attendant un peu à un ennemi caché dans l'ombre mais au file des pages, j'ai fini par comprendre...

L'univers est véritablement riche en réflexion, que ça soit sur un avenir futur pour nous mais aussi sur les questionnement des personnages autour de leur monde. Suzanne est un personnage que j'ai adoré découvrir, de par sa simplicité et le fait qu'on puisse facilement se rattacher à elle. Les découvertes autour de son personnage m'ont pas mal surpris et j'ai trouvé ça si intéressant en faite !

Il y a plusieurs points que j'adore dans la science-fiction, qui sont très présent dans ce roman.

Puis cette fin ! Je ne peux que valider totalement. Elle nous laisse vraiment un goût de "j'en veux plus". Ce n'est pas suffisant, on veut en découvrir encore plus sur l'univers et savoir se qui se passe en suite, même si on a quelques idées.

Pinaise de pinaise !! Qu’est ce que j’ai ri !! Un Main Coon adorable ( Race de chat superbe) enfin en apparence, Lee est un petit peu , non vraiment « Prout prout » il ne se prend pas pour une demie livre de cerises ; ainsi que sa « sapiens » de maitresse pis le système spatial figé dans les années 80 alors que la technologie avance ; vous allez avoir des surprises !! Je n’ai pas pu m’empêché de penser à ça => https://www.youtube.com/watch?v=r3XNfLd78TM

Les aventures de Lee et Ali m’ont faites rires !! De nombreux personnages aussi loufoques les uns que les autres s'enchaînent au sein de décors et d'univers très divers. Une intrigue qui devient de plus en plus profonde et prenante au fur et à mesure des 24 histoires . Chacune à son lot d’intrigues, de nom d’oiseaux qui fusent ainsi que des balles qui sifflent ; euh non des lasers à vrai dire vous allez voir en lisant cette intégrale car croyez moi ce sont des sacrées aventures !!

Que dire de plus , huuuummmm….. FONCEZ !!! Merci à aux auteurs Kitty kitty est génial !! Ca fait du bien de rire et ce qui va avec ……Vous verrez cela en lisant cette intégrale !!

Allez à plus !!

Quelque part dans l'espace, dans un futur qui n'existera jamais (ou pas)... ou dans un autre espace temps...

Deux chasseurs de prime parcourent l'espace à bord du Kitty, chasseur militaire des anciennes nations unies. Cette équipe est composée d'Ali, femme badass, fonceuse, qui tire et réfléchit après... et parfois même tire et ne réfléchit pas... et de Lee, un chat maine coon, pilote du vaisseau, gourmand, paresseux, orgueilleux, un chat quoi...

Emmenés par leur job aux quatre coins de l’univers (Lee et Ali débattraient d’ailleurs pour savoir si l’univers a des coins… ), ils vont rencontrer des personnages hauts en couleurs avec qui il vont forger des alliances et des amitiés (voire plus si affinités…)., ou être trahis de la plus odieuse des façon. Racontées du point de vue de Lee, ces missions s’enchainent en une succession de nouvelles qui paraissent sans transition au prime abord. Toujours dangereuses, parfois tragiques, souvent drôles, sanguinolentes et violentes, nous sommes plongés à 1000 à l’heure dans un voyage galactique parsemé de références aux années 80, mêlant joyeusement ScoobyDoo, Ace of Base, les jeux vidéos, les Monty Pythons, Star Wars, Boney M et tant d’autres que j’oublie ou dont je suis passée à côté…

Peu à peu, la logique apparait et l’enchainement des nouvelles et des rencontres nous dévoile le passé des deux space cow-girl/cat, et nous amène vers une conclusion finalement assez logique.

J’ai adoré partager cette aventure avec tous ces personnages complètement barrés, suivre Lee, Ali, Raspoutine, Zéphyr, Ada, Rodrigue, Benan, Satori, MacCoy, Pingu, Mute, Mancéphalius (ceux que j’oublie me pardonneront… s’ils ne sont pas morts), et avoir cette petite piqure de nostalgie à chaque référence pop.

L’auteur a une plume nerveuse, punchy, addictive, il sait faire passer l’humour et l’émotion, les punchlines sarcastiques de Lee et d’Ali les rendent terriblement attachants, il arrive à nous immerger complètement dans les scènes d’action et de bataille. Quelques coquilles par ci par là, mais qui ne gênent en rien la lecture et la fluidité de l’histoire, parsemée par ailleurs d’un vocabulaire assez pointu.

Un grand merci à Quentin Raffoux pour ce service presse et pour m’avoir donné la chance de partager son univers, ses personnages vont me manquer et je suis un peu triste de quitter l’hirondelle et les pilotes du Kitty, et comme dirait Lee…

Back to business !

Un grand merci à Aliénor Rossi pour ce service presse.

Ali chasseuse de primes, enfin « Auxiliaire de justice », trop badass pour ce rôle, visite la galaxie de long en large à la recherche de « méchants » à capturer. Bon capturer c’est le terme officiel, exécuter serait plus juste tellement elle ne fait pas dans le détail.

Elle est accompagnée dans ses aventures par son associé Lee, Maine coon qui parle et surtout qui pilote un engin qui date et qui se nomme Kitty.

Vous allez les suivre dans pas moins de 24 aventures, délirantes, sanglantes parfois cruelles mais toujours éminemment drôles. Le sarcasme est la première arme des auteurs, la deuxième étant une capacité hallucinante à faire des références aux années 80 et là soyons clairs : je ne suis pas du genre à me faire entourlouper par de vagues petites allusions à Desireless… non en fait ils m’ont eue avec Capitaine Caverne !

J’ai adoré ce côté space opéra dans cet univers post tout, j’ai rigolé aux réflexions de Lee, tellement chat qu’il ressemble souvent à Garfield dans ce côté prétentieux de nos matous préférés, apprécié les délires girly d’Ali alors qu’elle flingue du gros dur à tout va.

Enfin j’aime que les auteurs ne se prennent pas au sérieux tout en étant extrêmement précis et méticuleux dans l’extrême. Je ne pourrais vous citer toutes les références, il y en a tellement que j’ai cessé très vite de les noter.

La science-fiction se prend parfois au sérieux sous le prétexte qu’elle « invente le futur », celui que vous lirez dans ce roman ne fait pas plus envie mais au moins il fait rire et ça mérite mon admiration !

Alors, comme j’ai déjà lu la première partie, je suis passée directement au deuxième tiers de cette histoire qui reste assez sympa à lire.

Bon, comme je l’avais dit la première fois, l’univers est assez sympa. Il est basée sur une idée originale un peu folle mais qui tient la route dans le roman, et qui possède quelques répercussions. Et comme je l’ai déjà dit, on voyage dans un espace assez vaste et plutôt bien décrit, comme on pourrait se l’imaginer. Pour ce qui est de sa définition plus littéraire, cet univers est unique en son genre : on retrouve de nombreuses références à la population culture de notre époque uniquement, comme si ce qui se passait après devait être oublié. et c’est l’imagination d’une petite partie de ce futur qui a selon moi manqué.

Coté histoire, pour être tout à fait honnête j’ai été un peu déçue. En fait, une fois que l’on a lu la première partie du roman, j’ai eu l’impression de la revivre une deuxième fois. Alors oui, les choses étaient quelques peu différentes, pas je suis tout de même restée sur ma faim, pour une raison que je ne m’explique d’ailleurs toujours pas… D’ailleurs, on ressent encore un peu le coté décousu, malgré l présence de la plume de l’auteur qui reste tout de même assez unique.

Les personnages quant à eux, sont fidèles à eux mêmes. On retrouve notre héros et sa sapiens dans le même état qu’on les a laissés. Et même si on sent une petite et très légère évolution, ils restent tout de même fidèles à eux même tout au long des aventures qu’ils vivent. Bien sur, leur relation en devient plus forte que jamais, ce qui permet aux propriétaires chats d’imaginer parfaitement certaines scènes et de s’attacher d’autant plus aux personnages (chose également possible pour les non propriétaires de chats d’ailleurs).

Bref, une assez bonne intégrale qui ne m’a pourtant pas transportée !

J'ai le droit de débuter ma chronique par la fin?

Coup de gueule international : c'est quoi cette fin bordel?!?!?!?!

J'ai retrouvé le style dithyrambique de Quentin Raffoux. J'ai découvert l'auteur avec le titre Kitty Kitty, le futur qui ne fut jamais et je crois que cet ovni littéraire restera une de mes plus belles découvertes de l'année 2020.

L'Empire des Cendres est roman post apocalyptique, et même si je suis consommatrice du genre au niveau cinématographique, cela faisait longtemps que je n'en avais pas lu.

Le premier qui compare l'Empire des Cendres à La nuit des temps je lui mets un coup de boule. Qu'on soit clair ça n'a rien à voir.

Mea-culpa...j'ai été tentée de le faire une nanoseconde mais très rapidement l'histoire prend une autre dimension.

Comme je le disais précédemment, avant mes accès de violence digne de Mike Tyson, j'ai retrouvé le style dithyrambique de l'auteur. En effet, dès le début du récit on est plongé dans l'action, ce qui rend le roman submersif.

D'ailleurs l'action ne s'arrête jamais. Je soupçonne l'écrivain d'être légèrement hyperactif.

Et peut-être un peu sadique aussi car les personnages vivent des actions dignes d'un roman de SF (mouahahah).

Je me suis vraiment attachée à Erol et Suzanne, ces deux personnages sont diamétralement opposés mais leur duo match vraiment bien.

Les flashbacks de Suzanne nous aident à rassembler les pièces du puzzle. Erol est un personnage rude, bourru, et le rares fois où il exprime ce qu'il ressent, le rendent particulièrement émouvant (j'aime bien les personnages abîmés et atypiques).

Ce qui m'a vraiment plu dans ce roman est l'ambiguïté entre le genre SF qui m'a projeté dans le futur et l'Inquisition qui me ramenait à un temps médiéval. Le choc entre ces deux époques a donné une atmosphère particulière, un peu oppressante, mais qui a apporté une tension narrative tout au long du récit.

Concernant le dénouement et bien je dirais que l'auteur a su maintenir le suspense jusqu'au bout. C'est quasiment dans les dernières lignes que nos questions y trouvent leurs réponses.

Quant à cette fin...je ne peux qu'espérer l'écriture d'un tome 2.

Je remercie avant tout l'auteur pour ce service presse et le bon moment passé en compagnie d'Erol, Suzanne et tous les autres. J'ai beaucoup apprécié cette histoire, un mélange de post-apocalypse et de technologie. Malgré quelques petits défauts (plusieurs coquilles, sans être trop), j'ai fini par me laisser embarquer par l'écriture de l'auteur qui nous plonge dans des aventures passionnantes et intrigantes.

Ce n'était pourtant pas gagné car j'ai eu un mal fou à apprécier le personnage principal au début, tout comme le premier chapitre m'a fait douter le temps de sa lecture. Pourquoi ? Simplement parce qu'Erol est assez imbuvable au départ. Il n'a absolument rien d'agréable, est amer, assez égoïste, vénal et colérique par moment. Heureusement, c'est aussi un personnage qui évolue beaucoup (Et ça c'est un point fort du roman). On apprend à l'apprécier et c'est un plaisir de le voir réagir à ses erreurs et changer. Je me suis moins attachée à Suzanne, que j'ai trouvé assez fade au final.

Autre point qui m'a gênée un peu, c'est qu'Erol soit appelé "archéologue" alors qu'il n'agit pas comme tel. Mais c'est le syndrome Indiana Jones, je pense. Je ne veux pas spoiler, mais rien que dans le début, il y a plusieurs passages qui m'ont faite tiquer. Peut-être parce que j'étudie justement l'archéologie ?

Les dialogues étaient étranges au début également. J'avais la fâcheuse impression de suivre des gens du 19e siècle et non pas dans le futur, mais je m'y suis habituée assez vite.

Pour tout le reste, je n'ai rien à redire. J'ai été happée par l'histoire et la fin est parfaite telle qu'elle est. L'écriture de l'auteur est assez fluide et entraînante pour amener n'importe qui dans son univers.

C'est un bon one-shot de science-fiction (il me semble en tout cas !), qui se suffit à lui-même et qui saura certainement ravir de nombreux fans du genre.

Une intrigue post-apocalyptique, un univers sombre à la suite d'une catastrophe planétaire et des survivants dans un monde médiéval.

Une quête de vérité, une fuite pour découvrir le passé, un puzzle complexe que Suzanne et Erol doivent démêler.

Intéressant, malheureusement, malgré tous mes efforts, j'ai toujours autant de mal avec le post-apo...

Dans cette uchronie où les russes on été les premiers à marcher sur la Lune, nous suivons Ali, la chasseuse de primes, et Lee, le pilote maine coon qui parle.

Ainsi que tout un divertissant panel de personnages hauts en couleurs et de situations incongrues. Entre autres, Japa le droïde et Zéphir l'androgyne.

En bref, un space western survolté qui me fait penser, en bien, à Cowboy Bebop.

Back to business !

Tout d'abord je souhaites remercier Aliénor R. qui m'a offert l'opportunité de découvrir sa plume avec son co-auteur Quentin R. grâce à ce livre.

Avec Kitty Kitty on voyage dans le cosmos avec le héros Lee, un Main coon, qui parle et qui conduit le vaisseau et de son équipière l'héroïne Ali. Ensemble ils forment une équipe de choque, entre un chat et son humaine, à la poursuite des méchants, et oui ils sont chasseurs de primes.

Ce roman loufoque et complètement déjantée nous fait voyager à travers le cosmos aux rythme des péripéties de nos héros. Une science fiction dystopique space western… magnifiquement bien écrite, l'histoire n'est peut être pas au goût de tout le monde, car on peu pas plaire à tout le monde mais moi j'ai adoré ce livre dont l'histoire est palpitante, entraînante et follement écrite.

Je vous invite à découvrir ce livre et remercie encore Aliénor pour m'avoir fait decouvrir ce livre