Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 672
Membres
1 027 268

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Roberto Bolaño

Dresse le portrait fictif d'une trentaine d'écrivains et d'artistes américains, de la Patagonie aux prisons du sud des Etats-Unis en passant par la bourgeoisie mexicaine conservatrice. Dans ce faux manuel de littérature, chacun est montré avec ses contradictions : biographie d'une famille d'admirateurs argentins d'Adolf Hitler, celle d'un Cubain cryptographe, anticastriste et pronazi, etc.

Quatrième de couverture :

Roberto Bolaño a écrit un étrange roman noir qui mêle art, histoire et horreur.

Un jeune homme, séduisant et mystérieusement lointain, se présente dans un atelier d'écriture que suit le narrateur dans une ville provinciale du Chili. Le coup d'État de Pinochet donne l'occasion à cet étrange artiste de mettre en pratique sa conception radicale de l'art de la cruauté, en assassinant quelques femmes de sa connaissance dans des circonstances que le lecteur, comme le narrateur, ne peuvent qu'imaginer.

Étoile distante est aussi une prolifération tourbillonnante d'histoires qui accompagnent ce récit sur la démence et le mal. Histoires folles, invraisemblables, traversées de rumeurs invérifiables, comme autant de visions égarées de ceux que l'histoire du Chili a brisés, d'épisodes cruels et pathétiques où l'espace de quelques pages des monstres terriblement (in)humains s'ébrouent. Roberto Bolano exerce son sens de l'humour, son goût de la parodie et sa singulière imagination, dans le foisonnement et les bifurcations vertigineuses de ces récits soufflés par l'histoire ou l'exil, et nous livre une méditation sur le mal dans ce qu'il a de plus fascinant et sobrement médiocre, mais aussi sur son rapport à la littérature.

Z, - une petite ville touristique sur la côte en Catalogne-, l'été, la fournaise, des personnages touchants et grotesques, des amours impossibles, des détournements de fonds, des ambitions politiques qui sombrent, des ruines qui abritent des secrets, un crime : voilà le décor que plante Roberto Bolano pour ce roman presque noir, éclairé par son humour mélancolique et cruel.

Trois personnages prennent la parole à tour de rôle : un écrivain chilien désabusé, un poète mexicain sans permis de séjour, veilleur de nuit dans un camping, et un fonctionnaire municipal, prêt à tout pour sa bien-aimée. Ils évoquent les femmes qu'ils aiment, les illusions qu'ils nourrissent et qu'ils perdent, leurs destins différents cependant aimantés tous par la mort. Leurs récits, leurs confessions, sont comme autant de détours dans un labyrinthe, où ils errent et vivent en aveugles.

Au cœur de ce labyrinthe, le cauchemar architectural du Palacio Benvingut, ses occupants illégaux, et la piste de glace, clandestine.

Paris, avril 1938. Tandis que sévissent le fascisme et la guerre civile espagnole, le poète Vallejo se meurt, possédé d'un hoquet incurable. Surgit alors un homme étrange aux poumons brûlés, acupuncteur féru de sciences occultes, Pierre Pain, qui eût pu arracher Vallejo à la mort mais qui s'abîme dans l'angoisse d'un labyrinthe psychique, vaincu par des forces démoniaques, impuissant à juguler l'agonie de Vallejo qui accomplit une fonction rituelle effroyable.

En septembre 1968, pour échapper à la police qui envahit l'université de Mexico, Auxilio Lacouture, Uruguayenne amie des poètes et de la poésie, se cache au quatrième étage de la faculté de philosophie et lettres et passe treize jours et treize nuits dans les toilettes des femmes. " J'étais à la faculté ce fameux 18 septembre quand l'armée viola l'autonomie de l'université et entra sur le campus pour arrêter ou tuer tout le monde. " Dans cet isolement, elle raconte son histoire, dans un vaste récit qui mêle passé et futur, évoquant les jeunes gens qu'elle a connus à l'université - génération bientôt sacrifiée, et les événements de ces années troubles qu'elle a traversées comme une ombre.

2666 est le dernier roman écrit par Roberto Bolano.

Il a été publié de manière posthume en 2004 et aussitôt salué par la critique internationale. De l'Europe en ruines jusqu'au désert du Sonora à la frontière du Mexique et du Texas, hanté par les meurtres non résolus de centaines de femmes, 2666 offre un parcours abyssal à travers une culture et une civilisation en déroute. L'entreprise de Bolano est ambitieuse. Embrassant tous les genres, du vaudeville au récit de guerre, en passant par le policier, le fantastique et le comique, 2666 étreint la littérature et incarne ce qu'elle a de plus essentiel : relever le défi de dire l'horreur, la mort, l'absence de sens, mais aussi l'amour.

"Qu'est-ce qui fait une écriture de qualité? Savoir s'immerger dans la noirceur, savoir sauter dans le vide et comprendre que la littérature constitue un appel fondamentalement dangereux. " (Roberto Bolano, discours d'acceptation du Prix Romulo Gallegos, 1999).

« Je crois que mon roman comporte autant de lectures qu'il contient de voix. Il peut se lire comme une agonie. Mais aussi comme un jeu. » Le jeune Juan García Madero abandonne ses études de droit pour déambuler dans les bas-fonds de Mexico. Avant de partir, moderne Don Quichotte, en compagnie de la prostituée Lupe, en quête de Cesàrea Tinajero, poètesse mythique dont la trace se perd dans le désert… La littérature et la vie sont-elles deux choses différentes ? Ce roman polyphonique, d’une richesse et d’une drôlerie rares, marque le début d’une nouvelle ère dans la littérature latino-américaine. La critique internationale l’a comparé aux grandes œuvres de Cortázar, de Borges et de Kerouac. De Barcelone à Paris, d’Israël à la Californie, Roberto Bolaño nous offre l’épopée lyrique, tragi-comique, d’hommes en quête de la vraie vie, « le voyage infini de gens qui furent jeunes et désespérés mais ne s’ennuyèrent jamais » (Enrique Vila-Matas).

Udo Berger, vingt-cinq ans, est passionné par les jeux de guerre jusqu’à l’addiction. En compagnie de sa fiancée, il part quelques jours sur la Costa Brava. C’est la première fois qu’ils passent leurs vacances ensemble. Dans leur chambre d’hôtel, Udo cherche de nouvelles stratégies pour Le Troisième Reich, un jeu de plateforme dont il est spécialiste. Bientôt, le couple rencontre deux autres Allemands puis de mystérieux locaux, le Loup, l’Agneau et le Brûlé. Personne ne sait comment ce dernier a été défiguré. Initié par Udo, il se révèle un adversaire redoutable au Troisième Reich. Mais quel est le véritable enjeu de leur partie?

Avec ce roman rédigé en 1989, Roberto Bolaño nous offre une œuvre fascinante au charme vénéneux. L’auteur de 2666 y explore les formes prises par le mal et la folie et développe une réflexion passionnante sur les liens entre la culture – le jeu ou la littérature – et la réalité.

[Description de l'éditeur Folio 2013]

« Nocturne du Chili met en scène un Chilien, critique littéraire et poète qui, le long d'une nuit d'agonie, tâche de se défendre des accusations qu'il entend et qui ne sont probablement qu'une dernière manifestation de sa conscience. Sur son lit de mort, le père Icabache revient fébrilement sur son passé.

À mesure que le récit se rapproche de notre présent, le prêtre glisse vers l'enfer, sans rien perdre de sa mégalomanie ni de son aveuglement, lesquels atteignent leur paroxysme lorsqu'il accepte de donner des cours de marxisme à Pinochet et assiste à des soirées chez Maria Canales, dont le mari, Nord-Américain, torture dans la cave des opposants au régime (anecdotes malheureusement historiques...).

Le portrait s'achève alors, à la fois ridicule et effrayant, et le personnage est enfin confronté à la "tempête de merde", son apocalypse personnelle. Le tout dans une sorte d'élan de joie et de rage.

Dans ce roman/poème en prose, mêlant vision et grotesque, l'auteur éclaire un demi-siècle d'histoire du Chili et repose une des questions qui le hantent : que peut la littérature face aux ténèbres ? »

Ce sont quatorze récits qui révèlent la part intime d'ombre de chacun, les abîmes secrets des êtres que Bolano nous livre ici. Ces quatorze récits sont regroupés en trois parties. La première tourne autour du thème de la vie d'écrivain, la deuxième parle de la violence, la troisième des femmes.

[Evene]

" Cette histoire est très simple, mais elle aurait pu être très compliquée.

Aussi : c'est une histoire inachevée, parce que ce genre d'histoires n'a pas de fin. " Ainsi débute le texte qui a donné son titre à ce recueil sur lequel Roberto Bolano travaillait peu de temps avant sa mort. S'inscrivant dans la lignée des Putains meurtrières ou du Gaucho insupportable, ce volume entremêle des récits de pure fiction, des écrits plus ou moins autobiographiques et les textes de discours et conférences.

Ce quatrième recueil de textes brefs a été établi dans le souci de donner aux lecteurs l'idée la plus proche et la plus respectueuse de la façon dont Roberto Bolafio l'aurait lui-même conçu. Ce volume confirme son intention de plus en plus affirmée de brouiller les frontières entre les genres littéraires en vue de les dépasser. Bien que posthume, Le Secret du mal est à l'image du reste de l'oeuvre de Roberto Bolano : empreint d'une énergie à vivre, à se moquer de ceux qui croient pouvoir se tirer d'affaire sans faire preuve de courage.

L'univers inquiétant et fantaisiste de ces cinq nouvelles est du meilleur Bolano. Des lapins sauvages et féroces investissent la pampa ; des rats s'entretuent ; des poètes tristes errent dans la nuit tandis qu'un écrivain argentin plagié se rend à Paris sur les traces du coupable, qui est aussi son meilleur lecteur. Dans cet univers entre onirisme, humour noir et violence latente, des doubles et des triples de l'auteur se combattent dans des jeux de miroirs déformés. Figurent aussi deux conférences où Bolano parle de lui, de sa mort, de son amour violent de la littérature et de la vie : deux textes magnifiques et émouvants, " Littérature + Maladie = Maladie " et " Les mythes de Chtulhu", où il cingle la littérature récente, les écrivains qui déshonorent leur art. Drôle, cruel, polémique et émouvant, ce recueil, remis à son éditeur quelques jours avant sa mort, nous montre Bolano au sommet de son art

Angel Ros aime le danger, Joyce et les Doors. Le temps d'un été à Barcelone, ce jeune écrivain en devenir s'éprend d'Ana, une Sud-Américaine excentrique, qu'il suit comme son ombre jusqu'aux extrémités les plus sombres où sa folie l'entraîne. Dans son errance suicidaire, ce couple à bout de souffle va s'aimer, se perdre, jouer avec sa vie et celle des autres, terroriser et massacrer absurdement en quête d'une improbable issue. Comment Ana échappera-t-elle à cette plongée dans les bas-fonds du crime ? Angel réussira-t-il à écrire son roman joycien tandis que résonnent les dernières notes de The End de Jim Morrison ? Ce roman, écrit à quatre mains par Roberto Bolafio et A.G Porta au début des années 1980, préfigure ce qu'une partie de leur oeuvre ultérieure déploiera : jeu avec l'érudition, noirceur, rage, humour et mélancolie.

Dans ce court roman, Roberto Bolaño abandonne les territoires qui ont marqué son parcours et son imaginaire personnel pour se déplacer vers la ville de Rome. C'est le décor où plusieurs personnages excessifs déambulent, tendus entre l'inquiétude et la folie. Après la mort soudaine de ses parents dans un accident de voiture, Bianca, la jeune protagoniste, commence en effet une véritable descente aux enfers, côtoyant la délinquance et le mal.

Elle se rappelle sa vie avec son frère, tous deux adolescents au moment de la mort brutale de leurs parents. Livrés à eux-mêmes, ils abandonnent rapidement leurs études et vont essayer de survivre : Bianca, la narratrice, travaille dans un salon de coiffure, son jeune frère se fait engager dans un gymnase où il fait la connaissance de deux individus étranges, le Bolognais et le Libyen. Ces derniers finissent par proposer à la jeune fille de se prostituer à un ancien acteur de péplums, Maciste, afin de pouvoir le voler.

De la même manière que le titre du roman est un écho ironique aux trois petits romans bourgeois de l'écrivain chilien José Donoso, Rome et son passé, ici rappelé par le personnage de Maciste, héros de péplum, ancienne figure du nationalisme et du fascisme italien, n'apparaissent que sous leurs aspects les plus défaits. Il n'y a plus rien d'épique, Maciste est aveugle, sa gloire n'est même plus un souvenir et il n'apparaît que parce que les deux personnages indifférenciés - le Libyen et le Bolognais - veulent le voler (est-il vraiment riche, le lecteur en doute).

Bolaño recycle donc cette fin de l'épopée, du grand récit (de carton pâte), se rappelle sans doute de la prostituée fellinienne qui erre dans les Nuits de Cabiria, affirmant une nouvelle fois que l'expérience de la difficile frontière entre le bien et le mal est faite par les personnages à la marge, pasoliniens pour rester en Italie, pris entre la terreur à la solitude extrême et l'impérieuse nécessité de l'affection, comme le dit Patricia Espinosa.

Le titre modeste et ironique de Petit roman lumpen ne doit pas tromper le lecteur : nous sommes bien face à une œuvre, la dernière publiée du vivant de l'auteur, où, une fois de plus, sont rassemblés des personnages touchants, luttant pour leur survie, cherchant l'amour, en équilibre au bord d'un abîme.

Depuis la parution posthume de son roman " total ", 2666, Roberto Bolaño est considéré comme une figure majeure de la fiction contemporaine. La publication de ses Œuvres complètes vient confirmer le statut déjà acquis de son vivant avec, notamment, Les Détectives sauvages et La Littérature nazie en Amérique.

Tout au long de sa vie, Roberto Bolaño n'a cessé de se considérer, avant tout, comme un poète. Ce premier tome, qui comporte un grand nombre d'inédits, montre le rôle capital joué par la poésie dans sa vie et ses écrits.

Deux romans de jeunesse de l'auteur chilien inédits en poche : dans L'Esprit de la science-fiction, deux jeunes apprentis écrivains paressent, font des rencontres amoureuses ou les rêvent à Mexico dans les années 1970. Les Déboires du vrai policier, que Bolaño a continué à écrire jusqu'à sa mort, cultive l'art du fragmentaire, déploie une constellation de personnages et d'histoires, et contient toute la mythologie de son œuvre.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode