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Commentaires sur ses livres

Sam Savage

Par ChroniquesDeCeline le 14 Juillet 2023 Editer
ChroniquesDeCeline
Dès les premières pages, je me suis attachée à Firmin, ce rat érudit qui à travers son existence nous plonge dans sa passion pour les livres qu’il dévore, nous raconte ses rencontres mais aussi, la destruction de son quartier qui va être réhabilité ce qui renforce sa mélancolie. Bien que Firmin soit un rat d’un brin coquin et rêveur, il souffre intérieurement de ne pas pouvoir communiquer avec les êtres humains alors, il s’imagine des scènes, des paroles qu’il pourrait dire.
Ce petit roman que l’on pourrait croire emplit d’humour, est en fait plein d’émotions car il parle de la solitude, de la différence et de l’exclusion entre autres.
Sam Savage a fait preuve d’imagination en écrivant ce livre qui le rend ainsi original puisque le héros de cette histoire est un rat littéraire mais ancré dans une dure réalité. Bref, c’est un petit roman touchant et dont j’ai trouvé la fin bien émouvante.
Par AmandineStuart le 13 Mars 2023 Editer
AmandineStuart
Voici (une fois n’est pas coutume) une nouvelle lecture que j’ai effectuée en Février pour le challenge #faisvrillertapal qui m’a permis de sortir *Firmin - Autobiographie d’un grignoteur de livres* des entrailles de ma bibliothèque. J’ai reçu ce livre il y a 8 ans (oui, j’ai honte) de la part de ma prof de français de Seconde qui avait eu cette délicate attention alors que je m’apprêtais à vivre une épreuve difficile de ma vie. Et si son geste m’a énormément touchée… J’avoue ne jamais avoir été plus loin. Peut-être parce que c’était une prof et que j’ai donc bêtement associé ce livre à un classique ennuyeux. Quoi qu’il en soit, je n’y ai jamais touché, jusqu’à ce que je doive constituer ma PAL pour le challenge et que je (re)lise le résumé de *Firmin*… Qui m’a tout de suite tapé dans l’œil ! Il n’a donc pas tardé à être -enfin !- lu.

Et j’ai très vite compris que j’avais été vraiment idiote de ne pas avoir laissé plus tôt sa chance à *Firmin*. Parce que je revois encore cette gentille dame me remettre le livre entre les mains, en plein milieu de la cantine, en me glissant “tu verras, ça va te plaire”. Et oui, en effet, ça m’a plu. Beaucoup même.

—Une idée intrigante…—
Nous rencontrons Firmin, un rat né dans les entrailles d’une vieille librairie d’un quartier mal famé de Boston. C’est là qu’il va découvrir les livres, leurs goûts et leurs saveurs, leurs textures et leurs odeurs. Et très rapidement, Firmin va commencer à dévorer nos chers bouquins. Littéralement d’abord. Littérairement ensuite. Il va apprendre à lire et ainsi appréhender toute la richesse que recèlent les mots. Rapidement, ce rat rachitique devient un érudit qui nous partage ses rêves, ses réflexions, sa solitude et ses désillusions - mais aussi son quotidien au sein de la librairie et de son quartier qu’il voit changer et s’écrouler sans pouvoir rien y faire.

—…Pour un résultat à la hauteur !—
Ce court roman recèle une richesse folle. C’est une véritable ode à la littérature et à la lecture qui nous fait voyager dans des contrées inconnues, nous éduque, nous élève, nous dégoûte, nous indiffère ou nous émerveille. *Firmin* est bourré de références et de citations à des œuvres majeures, que je n’ai souvent pas lues mais qui m’intriguent depuis. C’est poétique, mais pas seulement. Parce que Sam Savage joue avec les niveaux de langue en fonction de l’humeur de son personnage, de sorte que *Firmin* est à la fois drôle, noir, piquant, crû, romantique… Et souvent désabusé. Parce que Firmin a beaucoup de mal à vivre avec sa condition de rat qui l’éloigne inexorablement de celle des humains qu’il partage dans son âme mais qu’il ne fait en réalité qu’effleurer du bout des doigts. Alors oui, *Firmin* est un roman sombre qui traduit aussi toutes les facettes de l’humanité - souvent plus moches qu’autre chose.

Tout cela est marqué par la plume exigeante de Sam Savage, qui est certes belle, mais qui demande d’être concentré sur la lecture - de sorte qu’il m’était assez difficile de lire pendant très longtemps, j’avais besoin de faire des pauses pour pouvoir m’aérer un peu le cerveau. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose puisque ça a rendu *Firmin* encore plus qualitatif à mes yeux. J’ai aussi beaucoup apprécié que certains passages du livre soient illustrés par Fernando Krahn, qui a aussi dessiné la couverture, ce qui créait de petites bulles de fraîcheur et de surprises vraiment bienvenues.

—En bref—
En bref, *Firmin - Autobiographie d’un grignoteur de livres* de Sam Savage fait partie de mes meilleures lectures de Février. Il restera longtemps dans ma mémoire parce qu’il représente une véritable déclaration d’amour à la littérature - tout en faisant une critique subtile de l’humanité et de la société qu’elle a mise en place. Tout cela étant sublimé par une écriture exigeante mais agréable, ainsi que par des illustrations qui viennent ponctuer le récit pour de véritables moments de contemplation. Une lecture que je te recommande chaudement !

https://desrevesdanslamarge.com/sam-savage-firmin-autobiographie-dun-grignoteur-de-livres/
Par OceaneLoulou le 16 Avril 2022 Editer
OceaneLoulou
C'est un livre assez particulier mais sympathique à lire où de nombreux livres sont évoqués (seulement brièvement) donnant une impression de grandeur. Le petit rat, personnage principal, me fait pensé à un enfant introverti découvrant la lecture et ne pouvant plus s'en détacher, tout en vivant la violence et les contradictions du monde réel.
Par Alchmea le 28 Décembre 2021 Editer
Alchmea
Firmin est un rat, avec des émotions très humaines. Ce livre nous fait voyager, à travers la prose de Firmin, parfois un peu trop poétique et fleur bleu, aux nombreuses références littéraires et citations, dont certains auteurs ne me sont connus que de noms et que je n’ai pas toujours lus. C’est une ode à la littérature et il faut donc s’accrocher un peu pour aller au bout et rester concentré dans sa lecture. Cependant, il reste une petite perle que que j'ai dévoré et relu avec plaisir, car notre petit rat, passe par une multitude d’émotions très variées : amusé, taciturne, cynique, déprimé, pervers, romantique et pleins de petits moments touchants, qui prêtent à sourire. Même s la plupart du temps, ce rat est désabusé par la race humaine. C’est un livre qui m'a émue une nouvelle fois par sa beauté. J'avoue que pour l'aspect critique de la société, il m'est de nouveau un peu passé par-dessus la tête. Je suis une nouvelle fois restée en surface de l’aspect plus diront- nous… philosophico sociologique.
Par chanchandestras le 12 Août 2020 Editer
chanchandestras
Beaucoup de plaisir à lire ce livre, drôle, touchant et tellement bien écrit ! Une pépite !
Par Sabine29200 le 31 Mai 2018 Editer
Sabine29200
Petit bijou truffé de références littéraires (citations, références à des classiques et à des auteurs), ce roman est très agréable à lire. Le narrateur, né souris dans les sous-sols d'une bibliothèque, désespéré de sa condition de souris et de génie incompris qui ne trouve pas sa place (et comme tous les génies incompris, seul et en manque d'affection), garde cependant un regard lucide sur lui-même et le monde qui l'entoure. Bien qu'incroyablement érudit, il ne connaît pas bien ce monde et ne comprend les choses qu'après expériences, parfois catastrophiques.

C'est drôle, émouvant, original, bien écrit. Un bon moment de lecture.
Par Croquignolle le 18 Avril 2017 Editer
Croquignolle
Qu'il est bon de devenir ami de Harold Nivenson l'espace de quelques pages !
Quelle chance de pouvoir être le témoin privilégié de la relecture de sa vie.
Une vie pleine d'amertume, de regrets, de sourires, d'envies et de rêves non assouvis.
Une vie pleine de rencontres parfois enrichissantes, souvent destructrices.
Une vie entre espérance et souffrance, entre engagement et démission, entre lumières et ombres.
Le caractère râleur et le ton critique de ses propos pourraient faire de Harold un personnage détestable.
(C'est évident que dans la vie réelle j'aurais tendance à fuir ce genre d'humains).
Pourtant, au long des pages, sa présence a soulevé en moi une once de compassion, un souci de protection, une envie d'aimer ce vieillard en manque de tout au crépuscule de sa vie.
Car il faut le dire, Harold Nivenson est attachant.

Ce vieillard n'est pas n'importe quel vieillard. C'est un passionné d'art, du Vrai, du Beau, de l'Authentique. Pas celui qui compte les ventes aux sommes faramineuses. Pas celui qui couvre les murs des musées, les pages des magazines spécialisés. Mais celui qui révèle la profondeur de l'âme de celui qui peint.
Harold Nivenson aurait aimé être l'un de ces artistes.
Celui qui a gardé une âme d'enfant, celui qui peint les étoiles et les fait briller dans les yeux des autres.
Pour certains pseudo artistes, Harold s'est sacrifié, s'est oublié. Ce qui plonge ses derniers jours dans un bol d'amertume et de tristesse.

Cette lecture pourrait être morose. Elle m'est apparue au contraire lumineuse.
Sam Savage a su distiller à travers la lenteur de ses lignes, le choix de ses mots, une douceur et une tendresse infinies.
Moi, Harold Nivenson... Un livre d'une profondeur insoupçonnée que je recommande vivement.
A propos du livre :
Moi, Harold Nivenson
Moi, Harold Nivenson
Par Cacoethes-scribendi le 8 Avril 2017 Editer
Cacoethes-scribendi
Mon avis sur ce roman est très partagé. D’un côté j’adore la forme et les réflexions du narrateur sur la société, souvent pessimistes et parfois très justes. D’un autre côté, ses souvenirs, son existence, la description de sa vie actuelle m’ont profondément ennuyée.

Le roman est constitué de bribes de narration et de réflexion, qui s’enchaînent dans un ordre imprévisible et surprenant, mais sans pour autant perdre le lecteur. J’ai beaucoup aimé être baladée au gré des notes de Harold. Malgré le ton pessimiste, c’était plutôt rafraichissant !
A un tiers de ce court roman, je me disais que si l’on continuait sur cette lancée, ce serait une belle découverte.
Que nenni. Les méditations pleines de justesse et/ou d’aigreur sur la société et l’art cèdent trop souvent la place à une remontée de souvenirs relativement barbants et à la description de son existence actuelle, tout aussi lassante à lire.

J’ai glané au fil de ma lecture quelques citations marquantes, signe que ce roman n’est pas dénué d’intérêt. Mais l’impression qu’il m’en restera ne sera pas des meilleurs. Dommage !
A propos du livre :
Moi, Harold Nivenson
Moi, Harold Nivenson
Par fanfan50 le 4 Avril 2017 Editer
fanfan50
Les Editions Noir sur Blanc m'ont envoyé ce petit roman à commenter.
Une découverte pour moi. Un auteur vieillissant qui écrit une sorte de manifeste sur lui-même.
C'est truffé de réflexions philosophiques s'approchant du courant littéraire du confessionnalisme dont le poète américain John Berryman (1914-1972) fut l’un des fondateurs. Voir Wikipédia à ce sujet.
Un écrivain raté, Harold Nivenson, au déclin de son existence, regarde en arrière et cherche à comprendre. Il détaille son environnement actuel : son chien, Roy , récemment disparu, sa vieille maison détonant dans son quartier branché, ses jeunes voisins dont la professeure Enid Diamond, Moll, sa dame de compagnie, son fils de 40 ans, surnommé Alfie, sa mère, Janine, la troisième épouse d'Harold. Il vit seul dans sa maison entouré de sa collection de vieilles croûtes (tableaux de Meininger). Il explique son enfance douloureuse, martyrisé qu’il fut par son frère et sa sœur sous l’oeil indifférent de leurs parents. Ceux-ci ont disparu leur laissant une petite fortune qui lui a permis une vie de dilettante. C'est un éternel grincheux qui, de façon délibérée et perverse, refuse de voir le bien dans quoi que ce soit qu’il n’ait pas personnellement inventé(je cite !). A l’Université où il fait des conférences, il est quasi considéré comme un spécialiste de l’Histoire de l’Art.
Très seventie, sa maison est le repaire de toute une nuée de parasites qui tournent autour de Peter Meininger, un peintre à succès qui peint inlassablement la même femme dans un nouveau décor. Une fois le peintre parti il a gardé de lui, entre autres croûtes, un tableau : « le nu sur un transat » qu’il compare à l’image de l’Olympia de Manet et qui n'est que la représentation de Moll.
Hanté par le suicide, Harold Nivenson se raconte jusqu'à la fin du livre. C'est étrange et très nombriliste.

A propos du livre :
Moi, Harold Nivenson
Moi, Harold Nivenson
Par -Anna- le 16 Novembre 2015 Editer
-Anna-
J'ai beaucoup aimé cette lecture et suivre l'histoire de ce petit rat féru de livres né dans les sous-sols d'une librairie. On ne suit pas uniquement son parcours mais aussi celui du quartier de Boston dans lequel il vit, un quartier qui tombe petit à petit dans la misère et la décrépitude. Il y a peut-être une dimension philosophique dans ce récit mais, personnellement, j'ai préféré rester en surface et profiter de l'originalité du roman.
Par Laurinoushka le 7 Juillet 2015 Editer
Laurinoushka
Ce court roman est très bon.
Je l'ai lu avec grand plaisir.
Par MissSherlock le 28 Juillet 2013 Editer
MissSherlock
Tout comme ce petit rat, le lecteur grignote ce livre avec plaisir. Un regard innocent qui peut sembler naïf au premier abord, mais qui s'avère réfléchi. Un très bon livre que j'ai littéralement dévoré !
Par BibHLM le 6 Juillet 2012 Editer
BibHLM
Un joli style au service d'une histoire originale, celle d'un rat surdoué plus humain que certains humains. Le tout dans un contexte très sympa : le vieux Boston dans une librairie indépendante de quartier.

L'intrigue : il n'y en a pas. On suit simplement le parcours (l'élévation sociale surtout) d'un rat passant d'un nid au piano, avec pour constance dans le récit une mélancolie et une perpétuelle recherche du bonheur.

Mon passage préféré :
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Quand il se découvre dans le miroir.


Celui qui m'a énervé :
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Norman et sa mort-aux-rats
.

Le passage qu'on aurait pu éviter :
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La dame à la recherche d'un livre que le libraire ne trouvera pas.
Par asymptote le 2 Décembre 2011 Editer
asymptote
Idée originale, mais j'ai eu l'impression parfois de m'ennuyer autant que ce rat.
Par syl1984 le 14 Juillet 2011 Editer
syl1984
Un roman original avec un personnage principal des plus étonnants. L'auteur a réussi à conférer une véritable humanité à ce rat extraordinaire qu'est Firmin.
Le propos est quelques fois dérangeant
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Je pense entre autres au côté "je suis un rat et je peux me reproduire avec ma soeur si ça me chante"
mais la lescture est très agréable. On en ressort pourtant avec un sentiment d'inachevé, comme si on avait souhaité jusqu'au bout un petit happy end à la Disney. Très bon livre que je recommande cependant.
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