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L'intrigue part dans de multiples directions ce qui rend le livre très décousu. On a de multiples sujets abordés, de la religion, à la médecine, à la paléontologie, aux classes sociales, aux rapports entre les gens à l'époque victorienne, etc. Je pense que l'autrice a voulu traiter de trop de choses à la fois, de plus la découpe des chapitres n'est pas la meilleure, entre les lettres, les journaux, l'histoire en elle-même, cela à tendance à perdre le lecteur très rapidement. On se retrouve avec un point de vue omniscient qui suit tous les personnages en même temps dans un chapitre, ce qui provoque une grande confusion. Je m'attendais à ce que le Serpent de l'Essex soit le centre de l'histoire, mais tout aboutit à une conclusion trop rapide avec une enquête minimaliste. C'est sur ce point que la série est nettement meilleure d'ailleurs.
L'écriture de Sarah Perry est très alambiquée avec énormément de description est très peu de dialogues qui ne font pas avancer l'histoire. Je pense qu'elle a voulu rendre son style poétique et complexe, mais encore une fois, c'était trop. Les phrases étaient à rallonges pour dire une chose qui aurait pu être conclu en trois mots. La plume et le style me sortaient énormément du livre et c'est dommage.
Concernant les personnages, je ne me suis pas attachée à leur personnalité, j'ai trouvé Cora très froide et hautaine avec des idées réellement arrêtées. Stella n'est qu'un personnage secondaire sans réellement d'intérêt alors que dans la série on nous dépeint une femme bien plus forte et plus présente. Luke a un comportement enfantin, capricieux et arrogant. Spencer et Martha n'apparaissent que peu. Le seul qui rattrape le tout est Will grâce à sa personnalité et à l'évolution de son personnage, sur sa mentalité, mais c'est tout.
Alors que j'adorais la représentation des personnages dans la mini-série, je n'ai pas retrouvé ce que j'aimais dans ce roman.
Finalement, si vous voulez vous pencher sur la légende du serpent de l'Essex, regardez la série sur AppleTV+ plutôt que de lire le récit. Si vous aimez les descriptions et les plumes vraiment recherchées, alors peut-être que vous aimerez ce roman.
Le Serpent de l'Essex
Honnêtement, je n'ai pas plus apprécié que ça le roman. J'ai trouvé que c'était lent et les personnages étaient assez ennuyants. Il ne se passe pas grand chose et j'ai eu du mal à voir où le livre voulait en venir.
Il est vrai que le roman veut montrer à quel point la science et la médecine apparaissent dans la société, mais si c'était ça le sujet, pourquoi parler de ce mystérieux serpent ? Ce pan de l'histoire est très bref et on n'en parle pas tant que ça, alors qu'il s'agit du titre du livre.
Je pense que l'autrice a plus voulu faire une métaphore avec le serpent biblique en montrant Cora comme une tentatrice (dans tous les sens du terme) avec la science face à William Ramson qui représente la foi.
En somme, ce n'est pas une lecture que j'ai réellement appréciée mais l'écriture était fluide et bien construite.
Le Serpent de l'Essex
Que dire.... je suis un peu déçue. La romance passe vraiment au premier plan, et cette magie que le début promettait disparait mystérieusement. J'ai eu l'impression que on se payais un peu ma tête. L'histoire en sois et bien tenue, même si c'est un peu long à certains moments. Je ne regrette cependant pas ma lecture, car cela m'a permis d'avoir un aperçu de l'époque victorienne, car je n'avais jamais lu de livre sur le sujet.
J'aurais aimer que l'auteur accentue le côté fantastique, ou alors qu'elle face en sorte que nous ne soyons pas trop déçue. Mais c'est un bon livre tout de même. Je recommande pour les fan de romance (certains passage où ils s'échangent des lettres sont très beau, vous allez voir !)
Le Serpent de l'Essex
Le Serpent de l'Essex
J'ai lu la grosse moitié "sérieusement" puis j'ai fini par sauter des pages, lire en diagonale car je ne me suis attaché à aucun des personnages malgré les nombreux point de vue.
Je n'aime ni Cora et je ne comprends pas le magnétisme qu'elle exerce autour d'elle.
L'intrigue ayant de trop nombreux tiroirs ne s'arrête jamais sur les thématiques qu'elle aborde. On passe du coq à l'âne : le féminisme, la médecine, la religion, la science, les croyances populaire, la question sociale avec les logements insalubre, les classes dirigeantes et même un peu l'autisme et le lien maternel. Mais aucun des thèmes n'est maîtrisé, approfondi ou prend le dessus sur les autres.
L'écriture ne m'a pas touché, des phrases alambiquées pour pas grand chose, de la poésie gratuite et lourde.
Bref, je ne suis ennuyée alors que j'attendais beaucoup du personnage de Cora.
Le livre fait cependant de nombreuses références à la culture populaire, à des auteurs, des scientifiques, biblique etc et cela le livre un peu plus appréciable car on sens l'investissement de l'auteur et le travail en amont.
Je ne recommande pas particulièrement la lecture mais je suis sure que ce style contemplatif, cette intrigue qui n'en est pas une peut plaire à un certain lectorat.
Le Serpent de l'Essex
Le Serpent de l'Essex
Le Serpent de l'Essex
Sans fil conducteur, j'étais ballottée de chapitre en chapitre sans y trouver de but ou de sens.
Le Serpent de l'Essex
J’ai eu beaucoup de mal avec ce livre : le début était un peu long et poussif puis (après la mise en place de l’histoire), le récit est un peu trop lourd et la fin est beaucoup trop accéléré par rapport au rythme du livre.
L’autrice a voulu beaucoup trop en faire avec ses multiples sujets abordés (les légendes avec le serpent, la médecine, la religion, les relations entre les gens dans l’époque victorienne, les classes sociales, l’amour, etc…) sans en maitriser aucun.
La narration est décousue, inégale et beaucoup trop alambiquée. Là encore l’autrice a voulu trop en faire !
A contrario, la plume (traduction) de l’autrice n’est pas si mal étant donné qu’elle arrive tout de même à retranscrire une atmosphère de l’époque victorienne.
Gros bémol sur la mise en page catastrophique qui ne fait qu’accentuer le coté brouillon/fouillis du livre.
Le Serpent de l'Essex