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Commentaires sur ses livres

Sayaka Murata

Par AsteriaBlack le 20 Juin 2022 Editer
AsteriaBlack
"La Fille de la supérette" est un roman assez court avec un propos intéressant sur l'anti-conformisme et le poids de la société sur nos comportements et notre personnalité.
A travers Keiko, l'auteur traite de ce sujet avec pertinence et nous fait prendre conscience de la pression sociale véçue par son personnage. Keiko a sa propre manière de pensée qui diffère de la norme. Et elle décide d'imiter les autres et d'établir des règles strictes pour ne pas être rejetée et être sur d'être dans une certaine norme.
J'ai trouvé le sujet passionnant. Il nous pousse à nous interroger sur le fonctionnement de nos sociétés et notre manière d'agir vis-à-vis de nous-mêmes et des autres.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par chaerin le 24 Février 2023 Editer
chaerin
Livre extrêmement intéressant que beaucoup ne comprenne pas et n’apprécie pas car passe à côté du message du livre.

Ce n’est pas dit dans le récit mais je pense que l’on suit une personne neurodivergente ou bien autiste qui ne comprend pas les codes de la société entre autre mais essaye tant bien que mal pour survivre de se calquer aux autres.

On nous pousse à nous interroger sur ce qui est normal et pas normal (existe t’il une normalité et pourquoi ?) a s’interroger sur le comportement de chacun vis a vis des autres (cette envie et curiosité malsaine de donner son avis sur les choix de vie des uns et des autres). Ce poids qu’est la société quand on ne rentre pas dans le moule.
D’ailleurs beaucoup disent que ça dépeint à la perfection le Japon et c’est vrai mais on peut très bien aussi le transposer à notre société en Europe. Je me suis reconnu dans beaucoup des questionnements et des choix de la protagoniste.

Bref c’est très poignant quand on comprend réellement les problématiques et qu’on se rends compte qu’on les subit soit même et qu’il n’y a pas grand chose à faire à par peut être vivre comme on l’entend.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par chanchandestras le 1 Novembre 2021 Editer
chanchandestras
Violences domestiques et sexuels durant l'enfance, cannibalisme, un roman "extraterrestre" qui ne m'a strictement rien apporté !!!
A propos du livre :
Les Terriens
Les Terriens
Par Im-a-Sassenach le 27 Septembre 2021 Editer
Im-a-Sassenach
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du titre La fille de la supérette signé Sayaka Murata. Après en avoir beaucoup entendu parler sur le Booktube anglophone et francophone, j'étais extrêmement curieuse de découvrir ce roman qui semblait résolument sortir des sentiers battus et qui m'a en effet fait passer un moment de lecture aussi déroutant que riche en réflexions.

D'emblée, j'ai été attirée tel le moustique par la lumière (très jolie comparaison, vous me le concéderez) par cette histoire en partie autobiographique d'une femme célibataire, ne projetant pas d'avoir un mari ni des enfants ni même aventures d'un soir, qui se contente parfaitement de son job au sein d'une supérette sans que ses proches ne comprennent pourquoi. J'aimais beaucoup le fait que, pour une fois, on ne nous narre pas un chemin tout tracé tout ce qu'il a de plus ordinaire. Keiko, notre personnage principal, n'est effectivement pas comme tout le monde et a un fonctionnement neurologique bien différent de la normale, ça saute aux yeux dès le début du récit qui se veut extrêmement direct, sans détour, mais qui invite aussi le lecteur à se poser ses propres questions. Est-ce à Keiko de s'adapter ou à la société de faire des efforts pour l'accepter comme elle est ? Au fond, il n'y a pas de réelle réponse, d'avis bien tranché, et c'est ce qui m'a le plus déstabilisée avec cette intrigue. Me considérant moi-même comme inadaptée à ma façon, je m'attendais à y trouver un portrait de moi-même et des solutions pour rentrer dans le moule tout en restant moi-même. On est d'accord, c'est de la pure contradiction mais avouez qu'être aimé des autres tout en étant en accord avec soi, c'est l'idéal absolu que l'on cherche tous, consciemment ou non, à atteindre en tant qu'être humain. L'autrice ne nous apporte pas la clé du mystère sur un plateau d'argent mais ses choix scénaristiques sont suffisamment clairs pour que l'on puisse deviner son opinion sur la question et en tirer nos propres conclusions.

Une chose est sûre, j'ai été secouée par la lecture de ce roman certes court mais intense et vrai à bien des égards. Keiko peut sembler être de prime abord une protagoniste froide, détachée, insensible et elle et moi divergeons à plus d'un titre mais j'ai malgré tout su me retrouver en elle et surtout dans sa quête d'appartenance, de ce sentiment qu'on a enfin trouver notre place en ce bas monde et que désormais, tout est limpide et paisible. Quoiqu'il en soit, cela m'a fait grandement du bien de lire ce livre qui dénonce la sale manie que l'on a de toujours se construire et se voir par rapport aux autres et qui nous donne mille et une définitions silencieuses de la notion de réussir sa vie. Je ne regrette assurément pas de lui avoir laissé sa chance et je ne peux que vous inciter à faire de même !
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Go_jun_pythagore le 21 Avril 2021 Editer
Go_jun_pythagore
Une déception. C'était une histoire sans intérêt. Pas mon type de livre.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Bimbogami le 17 Octobre 2020 Editer
Bimbogami
Franchement déçue...Je m'attendais à un roman tranche de vie fun et pétillant et ça a été tout le contraire...Il y a des passages entiers dont je n'ai pas compris l'intérêt...Peut-être suis-je passée à côté?
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Leboudoirlivresque le 17 Mai 2024 Editer
Leboudoirlivresque
Pas mal... j'ai beaucoup aimé l'écriture incisive et cette héroïne très singulière, a la marge, complètement perdue dans ce monde. Dommage qu'il n'y ait pas eu de retournement de situation un peu thriller, j'aurais aimé ! Le livre se dévore d'un coup ceci dit.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par ALMA001 le 21 Mars 2024 Editer
ALMA001
un sujet inhabituel et surtout une autre culture.
Sinon j'attends encore l'addiction promise.
On lit, on referme le livre. Fin de l'histoire, si tant est qu'il y a une histoire...
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par agapanthia le 17 Mars 2024 Editer
agapanthia
très agréable roman, assez court, qui nous relate une histoire certes simple, mais qui questionne avec beaucoup d'à propos le regard que la société porte (particulièrement au japon apparemment) sur ceux qui n'entrent pas dans les cases et tentent tant bien que mal de résister à la norme. L'héroïne est très spéciale, drôle et attachante. J'ai passé un bon moment
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Lennie_btm le 17 Décembre 2023 Editer
Lennie_btm
C'est un livre très facile à lire. L'histoire est assez légère mais fait quand même réfléchir à quelle place a-t-on dans la société.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Nekop le 22 Octobre 2023 Editer
Nekop
Je comprend largement le choix des deux titres car le personnage principale vit pour le Konbini. Elle est une sorte d'employée corporate parfait pour un supermarché tout en étant une copieuse de comportement et de style pour pouvoir vivre et survivre dans la société.

Cela rend le personnage assez malaisant et triste du point de vue du lecteur car elle semble bloqué dans sa situation et n'arrive pas à se crée "une vie" avec des passions et son vraie comportement.

Son comportement s'explique grandement
Spoiler(cliquez pour révéler)
par deux traumatisme que le personne principale a subit lors de son enfance (le rat et la bagarre)
ce qui a engendré son comportement d'aujourd'hui et le côté "corporate".

Tellement que la société lui dicte sa vie, elle est obligé de sortir avec
Spoiler(cliquez pour révéler)
un chômeur "toxique" et machiste
pour pouvoir rentrer dans le "moule".
Pour finir, le livre se lit en une traite car il est très court et on s'intéresse à ce moment de vie de ce personnage en espérant un changement de direction
Spoiler(cliquez pour révéler)
qui n'arrive pas
.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par NicolaK le 29 Juin 2023 Editer
NicolaK
Que les mauvaises langues se déchaînent, j'avoue, j'ai craqué sur la couverture.
Trop de mignonitude, ça ne devrait pas exister.
J'aurais ça dans l'assiette, je serais bien incapable de le manger.
Cette bouille à bisous s'appelle un onigri, sandwich de riz japonais.
Si comme moi vous avez l'intention d'en faire pour changer des makis, je vous explique.
Prendre du riz rond fraîchement cuit et encore chaud (j'ai pas dit brûlant), le même que pour les sushis ou les makis, sauf qu'on ne met pas de vinaigre.
Ensuite laissez libre cours à votre imagination au niveau des ingrédients, un bout de feuille de nori, du gingembre et le tour est joué.
Les Japonais en sont très friands et on en trouve dans chaque konbini (épicerie japonaise ouverte 7 / 7 jours).
*******
C'est dans l'une de ces supérettes que Keiko Fukura travaille à mi-temps, dans le but de se conformer aux gens "normaux".
Parce que voyez-vous, Keiko n'est pas "normale", elle ne rentre pas dans les cases, elle est toujours en décalage, du plus loin qu'elle s'en souvienne... mais ses souvenirs sont flous, hormis quelques dérapages, puisque la notion de bien et de mal lui échappe.
Au kombini, elle intègre les règles, tout est bien cadré et elle s'y sent à l'aise parce qu'elle sait exactement quoi faire, tel jour, à telle heure.
Les formules de politesse sont dictées par le gérant et répétées en choeur par les employés chaque matin au briefing.
Elle se sent utile, et a l'impression de se rapprocher de la personne que tout le monde attend qu'elle soit.
Elle efface sa personnalité en se transformant en mode décalcomanie des personnes qui l'entourent, notamment ses supérieurs, imitant leur voix et leur façon de s'exprimer, leur manière de s'habiller, d'accessoiriser.
Elle se sent bien dans ce travail, d'appoint pour tout le monde sauf pour elle.
Elle vit Konbini, dort konbini, rêve konbini... vous avez saisi l'idée.
*******
J'ai beaucoup aimé l'ironie grinçante de ce petit livre d'une centaine de pages sur le conformisme et la difficulté d'être différent, surtout quand on ne s'accepte pas, peut-être parce qu'on n'a pas été assez aimé au cours de notre enfance.
Ça se passe au Japon, mais ça pourrait être n'importe où, bien entendu.
Un livre à mettre entre toutes les mains.
.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Mister_Shibari le 28 Mai 2023 Editer
Mister_Shibari
Ce livre me rend un peu perplexe. J'adore les auteurs et la littérature japonaise, ce livre a obtenu des récompenses mais en le lisant je l'ai senti un peu plat... Les personnages sont assez détestable et je pense que cela est voulu, concernant l'histoire en elle même je la trouve un peu trop linéaire et la conclusion me donne l'impression que tout ce qui est arrivé avant n'a servis presque a rien.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par Mertesger le 27 Mars 2023 Editer
Mertesger
Une lecture assez douce, rythmée par une plume simple et par les journées d’une employée de Konbini qui trouve sa place dans cet organisme qu’est son lieu de travail. Pour autant, la douceur de cette histoire ne retire rien du propos plus important qui y est développé. Ici, Keiko a un travail dans lequel se trouvent tous ses repères et qui lui ont permit de se trouver une place dans la société. Pourtant, elle ne rentre toujours pas dans les cases qu’on attend d’elle : femme trentenaire et célibataire, on lui pointe ce qu’il ne va pas au point que, pour rentrer dans ce monde si codifié qu’est le nôtre, elle joue leur jeu au point se perdre elle-même. Cependant, on ne peut pas lui reprocher d’avoir répondu à la pression sociale exercée par son entourage, qu’il soit amical, familiale et professionnel. Après tout, elle ne fait que reproduire ce qu’elle voit et semble “normal”, mais force est de constater que sa normalité à elle est simple : employée de konbini et personne ne peut le lui retirer, même les attendus de la société. Enfin, j'ai trouvé très intéressant la façon dont on voit tout du point de vue de Keiko, qui est très détaché des conventions sociales dites "normales". Détachée de tout, sauf de son travail, la plume de l'autrice ici parvient à retranscrire cela et effectivement, ça peut faire tiquer, mais peut-être est-ce là aussi l'un des propos de ce livre ?
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
Par leslecturesdemo le 20 Janvier 2023 Editer
leslecturesdemo
Ce roman a été une véritable épreuve à lire. Tous les personnages sont insupportables et exécrables envers Keiko. L’entourage de Keiko considère qu’elle a besoin d’être «guérie» parce qu’elle n’est pas mariée à son âge, parce qu’elle n’est pas comme eux. En plus, le traitement du trouble mental de Keiko (ce n’est pas clair, mais Keiko souffre d’un trouble mental selon moi) que j’ai trouvé totalement offensant. Et, le pire du roman sans aucune hésitation est un personnage masculin tout simplement insupportable, que ce soit à cause de ses discours répétitifs sur le «Stone age» (l’âge de pierre en français?) ou à cause des remarques qu’il se permet de faire à Keiko alors qu’il est socialement bien pire qu’elle. C’est le genre de personnage qui m’a clairement fait passer un moment désastreux de lecture, et c’est bien dommage parce que je pensais que j’allais apprécier ce roman.
A propos du livre :
La Fille de la supérette
La Fille de la supérette
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